Retrouvez les articles d’actualité et d’analyse portant sur les résultats financiers (comptes trimestriels, semestriels, annuels, journées investisseurs, avertissements sur résultats) publiés par les grandes entreprises françaises et internationales.
Nexans a annoncé mercredi qu’il comptait accélérer sa croissance et améliorer sa rentabilité et sa génération de trésorerie au cours de la période 2021-2024, qui verra sa transformation en un pure player de l’électrification. D’ici à 2024, Nexans compte atteindre un chiffre d’affaires «standard» compris entre 6 milliards et 7 milliards d’euros et une rentabilité plus élevée qu’auparavant, avec un excédent brut d’exploitation (Ebitda) compris entre 10% et 12% du chiffre d’affaires. Le groupe souhaite également atteindre à cet horizon une génération de trésorerie de 500 millions à 600 millions d’euros, avant fusions, acquisitions et opérations de capital.
Avec le Covid, la foncière a enregistré une baisse de 15% de son résultat Epra en 2020, à 385 millions d’euros. Ce dernier devrait se maintenir autour de ce niveau en 2021.
Nexans a annoncé mercredi qu’il comptait accélérer sa croissance et améliorer sa rentabilité et sa génération de trésorerie au cours de la période 2021-2024, qui verra sa transformation en un pure player de l’électrification.
Le groupe minier anglo-australien Rio Tinto a annoncé mercredi un dividende exceptionnel inattendu, d’un montant de de 0,93 dollar par action, ainsi qu’une hausse de 22% de son bénéfice net annuel à 9,77 milliards de dollars, grâce au rebond des prix du minerai de fer. Rio Tinto versera un dividende final de 3,09 dollars par action, soit un dividende total de 4,64 dollars par action pour l’ensemble de l’exercice 2020. Au titre des résultats de 2019, Rio Tinto avait distribué un dividende de 4,43 dollars par action.
A l’occasion de la publication de ses résultats annuels, Bic a annoncé que le conseil d’administration a engagé la recherche d’un nouveau président non-exécutif. Prenant acte de la perte de son statut d’Indépendant douze ans après sa première nomination comme administrateur, l’actuel président, Pierre Vareille, a informé le conseil qu’il ne sollicitera pas le renouvellement de son mandat d’administrateur lors de l’assemblée générale du 19 mai prochain. Son successeur devrait être nommé administrateur lors de la prochaine assemblée générale. A défaut, le conseil d’administration pourrait nommer un de ses membres président non-exécutif par intérim jusqu'à l’assemblée générale suivante.
Le projet de retour de Neil Woodford en tant que gérant moins de deux ans après la faillite de sa société de gestion a provoqué la colère des investisseurs ayant perdu de l’argent et un appel à réaliser une enquête indépendante, rapporte le Financial Times. Le stock-picker déchu s’apprête à lancer une société de gestion de fonds basée à Jersey, alors même que la Financial Conduct Authority n’a pas encore conclu son enquête sur sa précédente société, Woodford Investment Management. Cette dernière a implosé en 2019 alors qu’elle gérait encore 3,7 milliards de livres pour le compte de plus de 300.000 investisseurs. Gina et Alan Miller, co-fondateurs de la True and Fair Campaign, réclament l’ouverture d’une enquête indépendante sur l’affaire Woodford. Le duo a aussi demandé au Parlement d’examiner le rôle de la FCA dans la supervision de Woodford, vu que le régulateur n’a toujours pas publié les résultats d’une enquête qui dure depuis 20 mois.
Glencore a essuyé une perte nette de 1,9 milliard de dollars (1,57 milliard d’euros) au titre de l’exercice 2020, contre une perte de 404 milliards de dollars en 2019. Le groupe de matières premières été pénalisé par 5,9 milliards de dollars de dépréciations d’actifs, portant notamment sur une mine de cuivre en Zambie, ses activités dans le charbon en Colombie et dans le pétrole en Afrique. Malgré le rebond des cours des matières premières depuis l'été, son chiffre d’affaires annuel s’est contracté de 34% à 142,3 milliards de dollars. La réduction de 10% de son endettement net à 15,8 milliards de dollars lui permet toutefois de reprendre le versement d’un dividende à 0,12 dollar par action, correspondant à 1,6 milliard de dollars.
Le groupe sucrier Tereos anticipe un Ebitda ajusté 2021/2022 dans le bas de la fourchette annoncée de 600 à 700 millions d’euros. Il invoque «la faiblesse exceptionnelle des rendements betteraviers de la campagne 2020, la pression croissante sur les marges dans les activités amidonnières du groupe en Europe, le niveau déprécié du réal brésilien et l’incertitude liée à la situation sanitaire».
Glencore a essuyé une perte nette de 1,9 milliard de dollars (1,57 milliard d’euros) au titre de l’exercice 2020, contre une perte de 404 milliards de dollars en 2019. Le groupe de matières premières été pénalisé par 5,9 milliards de dollars de dépréciations d’actifs, portant notamment sur une mine de cuivre en Zambie, ses activités dans le charbon en Colombie et dans le pétrole en Afrique. Malgré le rebond des cours des matières premières depuis l'été, son chiffre d’affaires annuel s’est contracté de 34% à 142,3 milliards de dollars.
Eutelsat a légèrement relevé sa prévision de chiffre d’affaires pour son exercice 2020-2021, qui s’achèvera le 30 juin prochain, après que l’activité de l’opérateur satellitaire a relativement bien résisté aux conséquences de la crise sanitaire au premier semestre. Il anticipe désormais un chiffre d’affaires des activités opérationnelles compris entre 1,19 et 1,22 milliard d’euros, contre une fourchette de 1,18 à 1,22 milliard d’euros initialement prévue.
Dans ses projections pour l’année 2020, L’Oréal ne s’attendait sûrement pas à devoir composer avec un accessoire jusqu’alors inconnu du grand public : le masque. L’indispensable morceau de tissu a pourtant reflété les vents contraires auxquels a dû faire face le numéro un mondial des cosmétiques au cours de l’année écoulée.
La Française des Jeux (FDJ) a fait honneur à son statut de valeur défensive en 2020. L’action de l’opérateur de jeux d’argent et de hasard s’est appréciée d’environ 60% l’an passé et ses résultats annuels, publiés ce vendredi, ont démontré sa résistance à la crise.
Eutelsat a légèrement relevé ce matin sa prévision de chiffre d’affaires pour son exercice 2020-2021, qui s’achèvera le 30 juin prochain, après que l’activité de l’opérateur satellitaire a relativement bien résisté aux conséquences de la crise sanitaire au premier semestre. Il anticipe désormais un chiffre d’affaires des activités opérationnelles compris entre 1,19 et 1,22 milliard d’euros, contre une fourchette de 1,18 à 1,22 milliard d’euros initialement prévue.
Le cours de l’action Française des Jeux progresse de 4%, à 38,58 euros vendredi en fin de matinée après que le groupe de jeux d’argent et de hasard a publié des résultats 2020, au-dessus des attentes et qualifiés de « solides » par les analystes d’Oddo BHF. L’action de l’ancien groupe public a quasiment doublé par rapport à son prix d’introduction en Bourse en novembre 2019.
Le conglomérat industriel allemand a relevé ce matin pour la première fois en quatre ans ses prévisions financières annuelles, invoquant une reprise de la demande pour les composants et les matériaux automobiles. ThyssenKrupp a maintenant pour objectif d’atteindre sur son exercice se terminant fin septembre 2021 un résultat d’exploitation ajusté à l’équilibre, alors qu’il s’attendait auparavant à une perte d’environ 500 millions d’euros. Il anticipe désormais «une croissance à un chiffre élevé» de son chiffre d’affaires, contre «une croissance à un chiffre faible à moyen» précédemment.
Le Crédit Agricole d’Ile-de-France (Cadif) a publié hier un produit net bancaire consolidé en recul de 4,4% 992 millions d’euros pour l’exercice 2020. Il a bénéficié d’une bonne dynamique des encours, malgré un effet taux toujours défavorable, et de la baisse du coût de refinancement. Le coût du risque représente 21 points de base (pb) des encours de crédit (contre 11 pb en 2019), en lien avec les principes de prudence appliqués en anticipation des conséquences potentielles de la crise Covid-19. Le taux de créances dépréciées sur encours brut est demeuré à 1%. Le résultat net ajusté a reculé de 12,7% sur un an en vision économique à 258,3 millions.