Toute l’actualité du secteur du numérique, ses évolutions, les grandes dynamiques à l’oeuvre, ses grandes entreprises françaises (Dassault Systèmes, Capgemini, OVH etc.) et étrangères (Microsoft, Google, Facebook, Apple, Baidu, Tencent etc.)
Atos a annoncé ce matin le lancement d’Atos OneCloud, une initiative devant lui permettre d’accélérer la migration de ses clients vers l’informatique dématérialisée (‘cloud)’ via un guichet unique d’offres. Atos financera ce projet en y consacrant 2 milliards d’euros d’investissements sur cinq ans. Le groupe a également annoncé, dans le cadre de l’initiative Atos OneCloud, un accord en vue de développer une plate-forme digitale pour Telecom Italia (TIM). «Cette plate-forme permettra à l’opérateur de fournir des solutions innovantes ainsi qu’une gestion sécurisée et localisée des données publiques et privées en Italie», a expliqué Atos. Cette solution devrait être commercialisée d’ici au premier semestre 2021.
Dans une lettre adressée à la Commission, ces entreprises dénoncent les pratiques du moteur de recherche qui reviendraient à privilégier ses services maison.
Le groupe français, qui gérera intégralement les infrastructures utilisant la technologie de l'américain, voit même dans cet accord un premier pas de Google vers les principes numériques européens.
OVHcloud a annoncé mardi matin un partenariat avec Google qui lui permettra de puiser dans l’une des technologies du groupe américain dans le cloud (informatique en nuage) pour compléter sa plateforme de solutions. Cette alliance donnera au groupe français un accès à la technologie Anthos de Google, une solution d’exploitation des clouds à destination des entreprises. Cette solution, compatible avec les technologies ‘open source’, sera utilisée par OVHcloud sur ses propres infrastructures. Celles-ci resteront entièrement gérées par le groupe français. « Aucune donnée ou métadonnée ne sera entre les mains de Google », assure à L’Agefi l’entreprise détenue et dirigée par Octave Klaba.
Capgemini a fait état ce matin d’un rebond plus fort que prévu de son activité au troisième trimestre, ce qui devrait lui permettre d’atteindre le haut de la fourchette de ses objectifs financiers pour 2020 et conforte ses perspectives d’amélioration pour l’an prochain. Entre juillet et septembre, le chiffre d’affaires du groupe de conseil et de services technologiques a progressé de 18,4% à taux de changes constants, à 4,008 milliards d’euros. Sur la même base, ils avaient progressé de 13,4% au deuxième trimestre et de 2,3% au premier.
Dassault Systèmes a fait état d’une croissance organique de 4% de son chiffre d’affaires au troisième trimestre comme sur les neuf premiers mois de l’année. Durant le trimestre écoulé, ses revenus sur une base non IFRS se sont élevés à 1,03 milliard d’euros, un montant inférieur aux attentes du consensus des analystes, qui s'établissait à 1,08 milliard. Le spécialiste des logiciels industriels vise désormais une hausse de 11% à 12% de son chiffre d’affaires à taux de change constants, contre 12% à 13% auparavant, et une progression de 1% à 3% seulement du bénéfice net par action.
Dassault Systèmes a fait état aujourd’hui d’une croissance organique de 4% de son chiffre d’affaires au troisième trimestre comme sur les neuf premiers mois de l’année. Durant le trimestre écoulé, ses revenus sur une base non IFRS se sont élevés à 1,03 milliard d’euros, un montant inférieur aux attentes du consensus des analystes, qui s'établissait à 1,08 milliard. Le spécialiste des logiciels industriels vise désormais une hausse de 11% à 12% de son chiffre d’affaires à taux de change constants, contre 12% à 13% auparavant, et une progression de 1% à 3% seulement du bénéfice net par action.
L’agence de presse espagnole EuropaPress rapporte que les sociétés de gestion hispaniques indépendantes ont fait face à des sorties nettes de 918 millions d’euros entre début janvier 2020 et fin septembre 2020. Dans le même temps, selonles données du fournisseurVDOS, les filiales de gestion d’actifs desbanques espagnoles ontcollecté 805 millions d’euros. A fin septembre, le patrimoine des fonds espagnols se situait à 269 milliards d’euros d’après VDOS.
L'équipe Google Cloud a révélé vendredi dernier une attaque DDoS non divulguée qui a ciblé le service Google en septembre 2017. A 2,54 terabits par seconde, elle était la plus grande attaque DDoS enregistrée à ce jour. Le Google Threat Analysis Group (TAG) précise que l’attaque a été menée par un acteur de la menace parrainé par un Etat non identifié, rapporte le site spécialisé ZDNet. Les chercheurs du TAG affirment que l’attaque est venue de Chine, car elle avait pour origine le réseau de quatre fournisseurs chinois de services internet. En révélant la semaine dernière cette cyberattaque, l'équipe TAG de Google a voulu sensibiliser à la tendance croissante des groupes de cyberattaquants parrainés par des Etats.
L'équipe Google Cloud a révélé vendredi dernier une attaque DDoS non divulguée qui a ciblé le service Google en septembre 2017. Elle avait atteint 2,54 terabits par seconde, faisant d’elle la plus grande attaque DDoS enregistrée à ce jour.
Selon plusieurs médias espagnols, dont EuropaPress et FundsPeople, El CorteInglés, la plus grande chaîne de supermarchés en Espagne et au Portugal, a entamé avant l'été un processus de sélection afin de trouver un partenaire industriel pour accroître son activité dans le distribution defonds d’investissement collectifs. Le but serait de commercialiser des fonds à travers son réseau de commerces. Cinq noms seraient en lice pour s’associer à El Corte Inglés, à savoir Mutuactivos, BlackRock, Abante, Andbank et Santander. La chaîne de supermarchésdispose déjà d’une plateforme d'épargne et d’investissements virtuellesur laquelle elle propose plus 5.000 produits d'épargne et d’investissement provenant de 150 sociétés de gestion. El Corte Inglés gère aussi troisplans de pensions dont les encours s'élevaient à 120 millions d’euros fin juin selon les données d’Inverco. Funds People rappelle également qu’El Corte Inglés Seguros (l’activité assurantielle du groupe) est récemment entré au capital de Myinvestor (Andbank) aux côtés d’Axa España, à hauteur de 25%.
Crédit Mutuel Investment Managers vient de recruter Dirk Bockenholt au poste de responsable de l’activité Wholesale en Allemagne. Il couvrira plus précisément les banques, les multi-family offices et les fonds de fonds. Celui-ci possède plusieurs expériences dans le développement commercial dans la gestion d’actifs en Allemagne, notamment chez Invesco (2012-2017), et Cominvest, devenu Allianz Global Investors (2005-2011).
IBM a annoncé hier la scission de sa division de services de gestion des infrastructures (Managed Infrastructure Services) pour se concentrer sur le cloud et l’intelligence artificielle. La nouvelle entreprise cotée est provisoirement baptisée NewCo. Cette séparation devrait être réalisée au moyen d’une scission défiscalisée auprès des actionnaires d’IBM d’ici à fin 2021. «Le temps est venu de créer deux entreprises leaders sur leur marché et centrées sur ce qu’elles font de mieux», a déclaré le directeur général d’IBM, Arvind Krishna. Les revenus de l’activité Managed Infrastructure Services ont atteint 19 milliards de dollars au cours des douze derniers mois, selon le courtier Wedbush, alors qu’IBM a engrangé l’an dernier un chiffre d’affaires total de 77,15 milliards. «IBM se débarrasse pour l’essentiel d’une activité à faibles marges et en diminution étant donné l’effet de cannibalisation de l’automatisation et du cloud, ce qui masque une croissance plus forte pour le reste des activités», a souligné le courtier.
IBM a annoncé jeudi la scission de sa division de services de gestion des infrastructures (Managed Infrastructure Services) pour se focaliser sur le cloud et l’intelligence artificielle. Cette nouvelle entreprise cotée est provisoirement baptisée NewCo. Cette séparation devrait être réalisée au moyen d’une scission défiscalisée auprès des actionnaires d’IBM d’ici à la fin 2021, a indiqué le groupe. «Le temps est venu de créer deux entreprises leaders sur leur marché et centrées sur ce qu’elles font de mieux», a déclaré le directeur général d’IBM, Arvind Krishna.
Les États et leurs services de renseignement ne peuvent avoir un accès illimité aux données de connexion des particuliers, estime la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) dans un arrêt rendu mardi, ayant été sollicitée par les juridictions en France, en Belgique et au Royaume-Uni. Elle ajoute toutefois qu’un État membre peut déroger à cette règle «dans des situations dans lesquelles [il] fait face à une menace grave pour la sécurité nationale qui s’avère réelle et actuelle ou prévisible».
Les Etats et leurs services de renseignement ne peuvent avoir un accès illimité aux données de connexion des particuliers, estime la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) dans un arrêt rendu ce mardi. Sollicitée par les juridictions en France, Belgique et Royaume-Uni, la CJUE «confirme que le droit de l’Union s’oppose à une réglementation nationale imposant à un fournisseur de services de communications électroniques, à des fins de lutte contre les infractions en général ou de sauvegarde de la sécurité nationale, la transmission ou la conservation généralisée et indifférenciée de données relatives au trafic et à la localisation».