Les acteurs non bancaires, dont les traders haute fréquence, estiment que la «Dealer Rule», qui les oblige à s’enregistrer en tant que négociants auprès des autorités de marché américaines est arbitraire.
L’institution a maintenu son taux mais estime désormais les risques équilibrés sur l’inflation. Le dollar australien s’affaiblit, également en raison de la chute des prix du minerai de fer.
Profitant d’un marché favorable, le groupe de distribution relance une émission obligataire six mois après l’avoir annulée, avec de meilleures conditions pour les investisseurs.
Pour le moment, les marchés réagissent favorablement aux politiques d’austérité mises en place par le président libertarien argentin. Le pays vient de réaliser une opération d'échange de dette.
Et si la banque centrale américaine ne baissait finalement pas ses taux cette année, en raison d'une inflation persistante et d'une croissance soutenue ? Ce scénario extrême n’est pas exclu, mais le marché peine encore à en mesurer la probabilité.
Un an après le crash Credit Suisse, les dettes perpétuelles AT1/CoCos ont généré un très bon rendement absolu. Malgré un nouvel écrasement des spreads depuis janvier, elles conservent un potentiel de rendement relatif supérieur aux autres obligations.
Les entreprises se ruent sur le marché après la publication de leurs résultats annuels pour profiter de la forte demande des investisseurs et de spreads serrés.
L'inflation plus élevée, alimentée par de nouvelles tendances structurelles, modifie radicalement les attentes de rendement pour la prochaine décennie, ainsi que la prime de risque des actions.
Le pays a placé plus de 18,3 milliards de «BTP Valore» le 1ᵉʳ mars. Ces opérations renforcent la part de la détention domestique de la dette, d'où une moindre exposition à la volatilité des investissements étrangers.
Au cours d'une partie du mois de février, les primes secondaires ont été négatives, comme pendant le programme d'achat d'obligations de la BCE, compte tenu de la forte demande. Mais le volume d’émissions a fini par peser sur le marché.
En février, plusieurs places boursières ont atteint de nouveaux records. Un fossé semble se creuser entre des actions portées par l’IA et le soft landing et des obligations pénalisées par le risque d’une inflation persistante.
L’équipementier automobile (ex-Faurecia) a émis 1 milliard d’euros d’obligations en deux tranches pour racheter d’anciennes souches, dont une obligation ESG.
SBB et Heimstaden ont annoncé d’importantes dépréciations d’actifs, mais estiment que le pire est passé. Pour les investisseurs, la situation n’est pas encore stabilisée pour les acteurs les plus fragiles, malgré les cessions.
Les portefeuilles de couverture ont beau être exposés aux bureaux américains, leur diversification pourrait suffire à garantir que les créanciers en cas de restructuration. Sous réserve que les autres actifs sous-jacents tiennent.