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Trois émetteurs corporate ont fait défaut la semaine dernière, ce qui porte le total des défaillances depuis le début de l’année à 181, soit presque une multiplication par quatre des 46 défauts observés l’an dernier sur la même période, selon un article publié le 17 juillet par Standard & Poor’s («Global Corporate Default Update (July 10 - 16, 2009)).Deux défauts sur les trois ont été le fait d’entreprises américaines (Euramax International et RathGibson), le troisième émanant d’une entreprise européenne (NXP B.V.). Le total des défauts s'établit ainsi à 130 pour les Etats-Unis, neuf pour l’Europe, trente pour les marchés émergents, et douze pour les autres pays développés (Australie, Canada, Japon et Nouvelle-Zélande). L’augmentation des défauts reflète une détérioration marquée des fondamentaux économiques et des perspectives de bénéfices, ainsi que la persistance d’un marché du crédit pratiquement à l’arrêt, ce qui se traduit dans les faits par un gel des prêts aux entreprises notées dans la catégorie spéculative. Dans ce contexte, estime Standard &Poor’s, une grande partie des défauts seront concentrés sur les deux ou trois premiers trimestres de l’année. Quatre autres facteurs favorisent, selon l’agence, une montée des défauts : l’environnement récessif aux Etats-Unis, la proportion record d'émetteurs en catégorie spéculative, le volume le plus élevé depuis 2003 d'émissions mal notées et l’arrivée à maturité d’une grande partie de la dette notée «B-" ou moins émise ces dernières années. Le taux de défaut des entrperises américaines en catégorie spéculative pourrait ainsi s'établir à 14,3 % d’ici à la fin du premier trimestre 2010.
Lundi, la Deutsche Bank a annoncé qu’elle publiera ses résultats du premier semestre le 28 juillet au lieu du 29, les chiffres détaillés étant publiés avant Bourse. Une conférence destinée aux analyste est également prévue pour 10 heures mardi de la semaine prochaine et la Börsen-Zeitung annonce qu’elle sera animée par Stefan Krause, le directeur financier. Les opérateurs s’attendent de nouveau à un bénéfice net supérieur au milliard d’euros.
Selon Les Echos, Santander a été sélectionné pour devenir spécialiste en valeurs du Trésor (SVT), chargé de placer la dette de l’Etat, aux côtés de 17 autres établissements. Les SVT, qui étaient déjà dans la précédente liste pour la période 2006-2009, ont été reconduits en tenant compte des regroupements et des disparitions d'établissements: Dresdner a été repris par Commerzbank. Merrill Lynch et Bank of America, tout comme Royal Bank of Scotland et ABN Amro ont fusionné. Le groupe des SVT comprend donc désormais 4 banques françaises, 8 européennes, 5 américaines et une japonaise.
Regroupement familial ? Roger Jenkins, qui a joué un rôle central dans la levée de fonds qui a sauvé Barclays l’an dernier, a l’intention de rejoindre son épouse et ses enfants dans le Sud de la Californie et de mettre sur pied à Los Angeles une société focalisée sur le conseil en investissement au profit de clients du Moyen-Orient, rapporte The Wall Street Journal. Roger Jenkins était entré chez Barclays en 1978 et il a été l’un des fondateurs de Barclays Capital.
Selon L’Agefi suisse, la Banque cantonale neuchâteloise (BCN) a dégagé au premier semestre le meilleur bénéfice net de son histoire. Il s’est inscrit à 22,1 millions de francs, en progression de 11,2% au regard de la même période de l’exercice 2008. Au cours de la période sous revue, les dépôts de la clientèle ont augmenté de 2,6% pour atteindre 4,382 milliards de francs.De son côté, la Banque cantonale de Fribourg (BCF) a vu son bénéfice net progresser de 7,3% à 40,9 millions de francs. Les avoirs de la clientèle ont atteint 9,263 milliards de francs (+12,6%), soit 1,041 milliards de plus qu’au cours des six premiers mois de 2008. Les engagements sous forme d’épargne et de placements ont progressé de près d’un quart (+23,6%) ou 811 millions.
Selon les milieux financiers, la Deutsche Bank a licencié le patron de la sécurité du groupe pour l’Allemagne et celui des relations investisseurs, rapporte la Frankfurter Allgemeine Zeitung. Rafael Schenz et Wolfram Schmitt auraient été mis en cause dans l’enquête interne diligentée par le cabinet Cleary Gottlieb Steen & Hamilton, dont les conclusions finales ne sont pas encore connues. L’affaire d’espionnage de personnalités opérationnelles de la banque, du conseil d’administration et d’actionnaires fait également l’objet d’investigations de la part de la BaFin ainsi que du Parquet de Francfort.
Manifestement pour des raisons comptables, les investisseurs institutionnels allemands ont une tendance croissante à s’intéresser aux fonds offerts au public, qu’il s’agisse de produits ayant ce statut mais uniquement réservés aux investisseurs institutionnels, (dans 6,97 % des cas), de fonds s’adressant aussi bien aux particuliers qu’aux institutionnels (39,3 %) ou bien de fonds destinés aux particuliers ayant une classe de parts destinée aux investisseurs institutionnels (53,72 %), indique le consultant Kommalpha Institutional Consulting de Hanovre.L'étude a porté sur 53 sociétés de gestion avec 1.476 fonds offerts au public et utilisés par les investisseurs institutionnels. Elle fait ressortir que, dans 75,3 % des cas, le domicile du fonds est Luxembourg, l’Allemagne arrivant en troisième position, avec 5,35 % des produits, après l’Autriche (5,39 %). Par rapport à l'étude de 2008, la part luxembourgeoise s’est accrue de 7 points.Les cinq principaux promoteurs de ces fonds sont MFS avec une part de marché de 8,71 %, devant Franklin Templeton (8,21 %), BNPP AM Luxembourg (7,52 %), Fidelity (6,34 %) et Bank Julius Bär (5,72 %).Concernant les classes d’actifs, les investisseurs institutionnels privilégient largement les fonds d’actions (54,14 %) devant les fonds obligataires (17,96 %).Pour les volumes, Kommalpha note que 41,9 % des fonds offerts au public utilisés par les investisseurs institutionnels affichent un encours inférieur ou égal à 50 millions d’euros, avec 22,2 % du total dans des produits dont les actifs sont inférieurs ou égaux à 10 millions d’euros. La catégorie des plus de 1 milliard ne représente que 7,48 % de l'échantillon.Pour les frais de gestion, Kommalpha note qu’ils s'échelonnent entre 0 et 2,5 %. 50,1 % des produits facturent des commissions inférieures ou égales à 0,75 % tandis que 38,9 % font payer entre 0,75 % et 2,5 %.(11,02 % n’ont pas communiqué).En matière de droits d’entrée, 54 % des fonds pratiquent un tarif compris entre 0,5 % et 1 %, tandis que 20,2 % facturent entre 1 et 2,5 %.Enfin, Kommalpha note que 33,27 % des fonds pratiquent un TFE (TER) inférieur à 1 % et 26,56 % un TER compris entre 1 et 2 %. Il faut noter à ce sujet qu’aucune donnée n’a été fournie pour 28,46 % de l'échantillon.
Dans une interview à Die Welt am Sonntag, Michael Endres, président sortant du conseil de surveillance, indique que cela ne l'étonnerait guère si les 10 milliards d’euros injectés par l’Etat dans Hypo Real Estate (HRE) s’avéraient insuffisants, tout cela à cause des difficultés dans le secteur immobilier. Le banquier martèle qu’il est faux de dire que les difficultés de HRE ne proviennent que de la faillite de Lehman : elle n’en a été que le révélateur.
La crise financière a affaibli le marché financier de Hong Kong au premier semestre 2009. Ainsi, selon l’étude Hong Kong IPO 2009 Interim Review du cabinet d’audit et de conseil PricewaterhouseCoopers, le total des fonds levés grâce aux IPO s’élève à 17 milliards de dollars de Hong Kong (1,5 milliard d’euros), pour le semestre clos le 30 juin 2009 - en baisse de 66 % par rapport au premier semestre de 2008. PricewaterhouseCoopers prévoit que les fonds levés au cours d’IPO sur l’année 2009 à Hong Kong avoisineront les 100 milliards de dollars de Hong Kong (9,25 milliards d’euros). Dans le détail, 18 introductions en bourse ont été réalisées au premier semestre 2009, contre 23 au cours de la même période de l’an dernier. Les sociétés industrielles réalisent 50 % des opérations, suivies par les entreprises des secteurs de la distribution, des biens de consommation et des services (38 %), des technologies de l’information et des télécommunications (6 %), et de l’énergie et des services aux collectivités (6 %). Enfin, la taille moyenne des opérations réussies (hors sociétés ayant levé plus de 450 millions d’euros) ont enregistré une baisse de 63 % par rapport à l’année dernière pour s’établir à 55 millions d’euros.
Ernst & Young (E&Y) n’a recensé pour le premier semestre 2009 que 54 acquisitions pour 2,8 milliards d’euros par les capital-investisseurs en Allemagne, soit un tiers de moins dans les deux cas que pour le second semestre 2008, pourtant déjà marqué par la crise financière. C’est le niveau le plus bas depuis 2002, alors que le record avait été enregistré avec environ 30 milliards en juillet-décembre 2006.Le résultat a cependant été dopé par l’acquisition de 9,1 % de Daimler par le fonds souverain Aabar d’Abou Dhabi, précise la Frankfurter Allgemeine Zeitung.Du côté des sorties (exits) sous forme d’introductions en Bourse ou de cessions, E&Y n’a compté que 31 opérations pour un montant de 0,3 milliard d’euros, ce qui représente un plongeon de 94 % par rapport à la période correspondante de l’an dernier.
A l’aide des dernières statistiques trimestrielles présentées par le groupe Private Edge® qui comprend plus de 1 600 partenariats pour un volume total d’actifs de 1 500 milliards de dollars, State Street Corporation vient de communiquer les résultats du « Private Equity Indexsm » au 31 mars 2009. Le rendement de l’Indice de private equity de State Street s’est établi à – 6,46 % au 1er trimestre 2009, soit une baisse moins prononcée qu’au cours des trimestres précédents. Au 31 mars, le premier trimestre 2009 a également affiché le niveau de retrait de capitaux le plus bas depuis dix ans par rapport au capital engagé. Avec cependant un accroissement des flux monétaires constaté au second trimestre. Dans le détail, une baisse de respectivement 103 et 114 points de base a été relevée pour les fonds des catégories Capital risque et Buyout. Le taux de rentabilité interne de l’indice à long terme des fonds « distressed debt », « Mezzanine » et « Special Situation » depuis sa date de départ enregistre quant à lui un repli de plus de 500 points de base. A noter que les fonds US composant l’Indice ont enregistré un rendement de – 5,46 % et les fonds non-US un rendement de – 10,05 % au premier trimestre 2009. Stratégie Nombre de fonds Engagements (Milliards USD) % TRI à long terme Buyout 769 1 136,5 8,96 Capital risque 674 221,1 8,97 Autres 159 149,8 0,08 Total 1 602 1 507,3 8,39 US 1 305 1 156,3 8,67 Europe 174 278,2 10,04 Reste du monde 123 72,8 (3,97)
En valeur absolue, le volume de transactions sur les swaps de devises a gonflé de 12 % en juin par rapport à mai, poursuivant ainsi la tendance observée depuis le début du deuxième trimestre, estime CLS Bank, qui fournit des services de règlement d’opérations sur devises pour 17 monnaies utilisées par plus de 3.000 fonds, banques et entreprises. Cette hausse des volumes, souligne The Wall Street Journal, est le signe que les banques se font à nouveau mutuellement confiance. Cependant, il faut attendre la période de publication des résultats du deuxième trimestre, qui pourrait être tendue parce que les rapports entre établissements vont être recalibrés à l’aune des performances.
Entre fin 2007 et début 2009, les portefeuilles d’actions détenus par les fonds souverains ont accusé des moins-values de 45 %, ce qui a réduit le montant total des encours d’environ 18 %. A de très rares exceptions près, ces dépréciations n’ont pas encore été réalisées, les fonds souverains maintenant leurs investissements, selon une étude de Deutsche Bank Research (DBR).Les équipes de Norbert Walter estiment que les actifs gérés par les fonds souverains dans le monde de situent à quelque 3 billions de dollars, ce qui représente environ le double des encours des hedge funds, mais seulement 3 % du total de bilan des banques et un septième des encours des fonds d’investissement et des compagnies d’assurances. S’appuyant sur la performance passée des réserves de change, indicateur clé de la liquidité qui peut être allouée aux fonds souverains par les gouvernements, DBR estime que les capitaux disponibles pour l'épargne souveraine continueront d’augmenter. Selon le scénario central retenu par les spécialistes francfortois, il est probable que les actifs gérés par les fonds souverains atteindront 7 billions de dollars en 2019. Cependant, compte tenu de la volatilité du prix des matières premières et des actifs, d’autres scénarios peuvent être envisagés, et l'évolution des encours est sujet à des incertitudes substantielles, prévient DBR.
Christine LAGARDE, ministre de l’Economie, a annoncé Jeudi 16 juillet que le taux du livret A sera fixé à 1,25% à partir du 1er août 2009. Cette décision fait suite à la proposition de Christian Noyer, gouverneur de la Banque de France, de limiter la baisse de taux des livrets d'épargne réglementée à ce niveau, après la diminution déjà intervenue le 1er mai dernier.Chaque année, le 15 janvier et le 15 juillet, la Banque de France est en effet chargée de calculer le taux des livrets d'épargne réglementée en fonction d’une formule qui prend en compte l’inflation et les taux de marché. Or, la stricte application de la formule de calcul des taux de l’épargne réglementée l’aurait conduite à abaisser, à partir du 1er août, le taux du livret A de 1,75 % à 0,25 % compte tenu du glissement annuel de l’indice des prix à la consommation hors tabac à - 0,5 % en juin 2009 (contre + 0,3 % au mois de mars).Selon la Banque de France, le taux accepté par Bercy permet de maintenir au cours des prochains mois une rémunération largement positive en termes réels de l’épargne réglementée, .
Selon la Tribune, les PME cotées sur Euronext attendront l’automne pour se transférer sur Alternext car la réforme nécessaire à la réalisation de ces opérations ne pourra être examinée par le Parlement avant fin septembre. Ces retards agacent les entreprises concernées, précise le quotidien, dont certains responsables de sociétés candidates estime que le rapport gain/coût du financement direct par le marché ne cesse de se dégrader. Les entreprises se disent prêtes à patienter encore un peu. Elles ont d’ailleurs toutes fait valider en assemblée générale la possibilité d’effectuer le transfert en vue d’un allégement des tâches administratives, objet de nombreuses réclamations depuis déjà des années par l’association des valeurs moyennes Middlenext. Selon la directrice générale, Caroline Weber, un assouplissement des directives européennes prospectus, transparence et abus de marché, est en cours.
Dans le rapport publié lundi 13 juillet par l’UK Financial Investments, l’organisme gèrant la participation de l'État britannique dans les banques, la participation de Downing Street représente l'équivalent de 75 milliards de livres (87 milliards d’euros), en comptant les recapitalisations directes ainsi que le plan de garantie des actifs toxiques, rapporte la Tribune. Or, au cours actuel des actions, les participations valent un peu moins de 65 milliards de livres (76 milliards d’euros). D’où une perte potentielle de 10,9 milliards de livres.
Actuellement, on compte 657 ETF en Europe, et l’on atteindra probablement les 1.000 unités l’an prochain. On assiste à une prolifération anarchique et les patrons d’iShares Allemagne (Dirk Klee) ou d’ETFlab (Andreas Fehrenbach) redoutent que ce marché ne connaisse le même sort que celui des certificats qui a explosé en vol après la retentissante faillite de Lehman, rapporte Die Welt. Thorsten Michalik, directeur général de db x-trackers (Deutsche Bank), ne partage pas ce pessimisme, du fait que les certificats étaient vendus par les conseillers des banques, qui percevaient d’importantes commissions. Ce n’est pas le cas pour les ETF, que les conseillers ne promeuvent donc pas. Quant aux particuliers qui achètent d’eux-mêmes ce genre de produits, ils n’iront pas chercher des produits incompréhensibles comme par exemple le DJ EuroStoxx 50 BuyWrite ETF, qui combine un placement dans le DJ Euro Stoxx 50 avec la vente d’un call sur ce même indice.Die Welt rapporte aussi que db x-trackers a l’intention d'élargir sa gamme d’ETF à 200 produits l’an prochain, contre 113 actuellement.
La confiance des investisseurs a été fortement ébranlée en juin par une modeste correction boursière conjuguée à une baisse plus marquée des prix des matières premières. Résultat, les investisseurs ont perdu leur appétit renaissant pour le risque et se sont recroquevillés sur les valeurs défensives, indique la dernière enquête de Merrill Lynch sur la gestion d’actifs (Merrill Lynch Survey of Fund Managers for July). Après avoir sous-pondéré l’ensemble des secteurs défensifs, les investisseurs ont remis le cap sur les pôles réputés les plus sûrs. En net, 11% des investisseurs interrogés sont désormais surpondérés sur les pharmaceutiques contre 2% en net sous-pondérés en juin. L’exposition aux télécommunications a également progressé. Les poches de cash sont passées de 4,2% à 4,7%, seulement 12% des investisseurs faisant état d’une prise de risque plus forte que la normale. Cela dit, les investisseurs sont convaincus que la croissance de l'économie internationale va s’améliorer au cours des douze prochains mois. Mais c’est plutôt du côté des pays émergents que les investisseurs espèrent trouver de la croissance. Près de 50% des investisseurs (soit une progression de 11 points de pourcentage par rapport à juin) indiquent qu’ils veulent surpondérer la zone émergente au cours des douze prochains mois alors qu’ils restent très réservés sur la zone euro.Les investisseurs européens commencent à croire que la fin de la récession est en vue mais leurs allocations actions montrent qu’ils sont de plus en plus défensifs. L’enquête indique toutefois que 52% des répondants en net s’attendent à ce que la récession se poursuive au cours des douze prochains mois contre 70% en juin.
Selon Global Reporting Initiative (GRI), plus de mille sociétés font état de leurs performances en matière de développement durable en s’appuyant sur les critères définis par le GRI G3 en 2008. Il s’agit du nombre le plus important jamais atteint, qui marque une augmentation de 46 % par rapport à 2007. Les critères de GRI G3 ont établi les principes et les indicateurs que les organisations peuvent utiliser et appliquer afin déterminer leurs performances économique, sociale et environnementale. Dans le détail, c’est en Espagne que les rapports d’entreprises (*) sur le développement durable sont les plus nombreux, devant les États-Unis. Pris par zone, l’Europe regroupe 49% des rapports, suivie par l’Asie (15%), l’Amérique du Nord (14%), l’Amérique latine (12%), l’Océanie (6 %) et l’Afrique(4 %). En outre, 64 % des sociétés cotées du DAX 30 en Allemagne, 48 % des sociétés du CAC 40, 22 % des entreprises britanniques du Footsie ou 13 % des valeurs américaines du S&P 500 établissent des rapports de développement durable. (*) Le «top Ten» des pays 1. Spain 128 2. USA 100 3. Brazil 64 4 = Australia 56 4 = UK 56 6. Japan 49 7 = Germany 41 7 = South Africa 41 9. Italy 38 10. Canada 36
En raison du manque de réglementation sur les dérivés et de l’afflux de liquidités généré par les plans de relance gouvernementaux, il faut s’attendre à une nouvelle crise financière, selon Mark Mobius, le gérant-star de Franklin Templeton, cité par la Frankfurter Allgemeine Zeitung. Le gourou estime que la pression politique de la part des banques d’investissement et de tous ceux qui gagnent de l’argent avec les dérivés va empêcher une régulation appropriée du marché.