Nos articles d’actualité et d’analyse sur l’évolution des Bourses, sur les dynamiques à l’oeuvre sur les marchés actions et sur les principales opérations (augmentation de capital, émissions d’actions...).
Dans sa nouvelle étude «Private equity, sortir de la crise», publiée mercredi 1er septembre, Towers Watson souligne les opportunités offertes aux investisseurs dans certains secteurs du marché. Mark Calnan, responsable de la recherche Private equity, relève une augmentation des opportunités sur les « buy-out » « small-mid market » et dans les marchés émergents. Il existe également des opportunités de niche d’un point de vue thématique, comme le « distressed ». Le rendement des portefeuilles tend aussi à se stabiliser, et les prix pour les nouvelles affaires deviennent plus attrayants pour l’investisseur. Les capacités de financement se développent pour les bons dossiers. L’étude fait référence au lien reconnu entre période de crise économique et bonne année de millésime de performance sur le private equity. «Mais, précise Towers Watson, il faut rester prudent quant à la pérennité de cette règle». Enfin, le rapport souligne que la période de croissance anémique du PIB dans les marchés développés va permettre aux bons gestionnaires de générer une surperformance significative au-delà des rendements des marchés boursiers. «Les gestionnaires qui peuvent conduire d’importantes améliorations de marge opérationnelle, et ceux qui peuvent construire des leaders du marché dans des niches de croissance, sont particulièrement bien positionnés dans cet environnement de croissance molle», précise le communiqué.L’étude comprend les chapitres suivants : • Quel avenir pour les fonds de fonds ?• Capital risque : les années 1990 étaient elles une anomalie ?• Les fonds secondaires, une autre bulle ?• Profiter du marché « distressed »• Énergie – quel profit après les taxes ? En outre, la publication explore six marchés :• Royaume-Uni – marché saturé ou aire de surperformance ?• France - y a-t-il une différenciation suffisante ?• Allemagne – la cigale• Pays nordiques - la valeur des compétences locales• Australie - au-delà des Super fonds • Asie – bénéficier de l’amélioration du niveau de vie Le rapport est disponible sur : http://www.towerswatson.com/research/2160
D’après une étude publiée par Allianz dans sa revue Demographic Pulse, le marché mondial de l’'épargne-retraite individuelle devrait afficher un volume de 36.000 milliards d’euros en 2020, au terme d’une croissance moyenne de 4,7 % annuels, contre 22.000 milliards en 2009. Le marché américain passerait de 11.100 milliards à 16.300 milliards d’euros tandis que celui d’Europe occidentale monterait à plus de 14.000 milliards contre 8.300 milliards.
Mercredi, la Deutsche Bank a lancé un système de négociation électronique pour les options sur devises, des instruments complexes qui sont habituellement traités par téléphone. Ce système sera hébergé sur la plate-forme AutobahnFX, rapporte The Wall Street Journal.
Selon les derniers chiffres d’Europerformance-SIX Telekurs, les fonds actions immobiliers de droit français sur les trois dernières années (entre le 31 août 2007 et le 27 août 2010) affichent, via l’indice Europerformance Actions Immo-Foncières, une perte moyenne de 29,98 %, soit une baisse supérieure à l’indice Actions Amérique du Nord qui, sur la même période, recule de 18,01 %. A titre de comparaison, toujours sur trois ans, les fonds investis en obligations de long terme sur la zone euro ont progressé de 19,47 %.
Le fournisseur d’indice Stoxx Limited a annoncé, mercredi 1er septembre, l’actualisation annuelle de la composition de différents indices européens - STOXX Europe 50, EURO STOXX 50, STOXX Nordic 30, STOXX EU Enlarged 15 et STOXX Sub Balkan 30 – ainsi que l’actualisation semestrielle du STOXX Eastern Europe 50 Index.Les changements seront effectifs à compter du 20 septembre 2010.L’ensemble des modifications peut être consulté via le lien :http://www.stoxx.com/download/news/2010/stoxxnews_20100831.pdf
Le volume quotidien moyen des transactions sur le marché international des changes s'élevait à 4.000 milliards de dollars en avril 2010, en progression de 20% par rapport à son niveau d’avril 2007, selon les statistiques publiées le 31 août par la Banque des règlements internationaux, fruit d’une enquête réalisée tous les trois ans par la Banque. Lors de la première étude qui remonte à 1992, le volume quotidien des transactions s’inscrivait à 820 milliards de dollars.Cette évolution spectaculaire serait due notamment à l’implication toujours plus grande de la catégorie des «autres institutions financières», entre autres les hedge funds, les fonds de pension ou encore les compagnies d’assurances. L’activité de cette catégorie a augmenté de 42% à 1.900 milliards de dollars en avril 2010 contre 1.300 milliards de dollars en avril 2007.Par ailleurs, le montant quotidien des opérations de gré à gré sur produits dérivés a progressé de 24% par rapport au dernier sondage à 2.100 milliards de dollars en avril 2010 contre 1.700 milliards en avril 2007.
L’indice de confiance des investisseurs institutionnels State Street Investor Confidence Index établi par State Street Global Markets s’est affiché en baisse en août.L’indice mondial a ainsi baissé de 4,4 points à 92,1 par rapport au niveau corrigé de 96,5 relevé en juillet.La confiance des investisseurs institutionnels en Amérique du Nord a chuté de 5,7 points pour s’établir à 95,3 par rapport au niveau corrigé de 101 obtenu le mois précédent.La confiance en Europe a également baissé, l’indice passant de 99,9 à 98,7, en repli de 1,2 point.L’Asie a suivi la tendance, l’indice régional baissant de 1,6 point, passant de 103,8 à 102,2.
«Les champions économiques d’aujourd’hui ne sont pas toujours ceux qui favorisent un développement soutenable sur le long terme», selon l’agence d’analyse extra financière EthiFinance, qui vient de lancer une nouvelle version de Global Risk Rating (G2R), son outil de notation des Etats sur des critères de Développement Durable. Ainsi, si les pays scandinaves restent de manière générale en tête de classement, sept pays de l’OCDE sont situés dans le dernier quart des émetteurs en ce qui concerne la gestion des ressources naturelles et la protection de l’environnement. Par exemple, les Etats-Unis, malgré les efforts annoncés par l’administration Obama sur le plan environnemental, conservent une notation relativement faible. La mise à jour des indicateurs a également révélé la position médiane de la France au sein de l’OCDE, indique EthiFinance dans un communiqué diffusé mardi. «Malgré l’amélioration de sa note environnementale en raison notamment de l’adoption des textes du Grenelle II, l’appréciation s’est dégradée sur les enjeux liés à la gouvernance». La Grèce s’est quant à elle maintenue dans le dernier quart du classement des pays de l’OCDE en raison d’une appréciation très mitigée de ses performances en matière de gouvernance, au même titre d’ailleurs qu’en 2008 et 2009. Au classement général mondial, EthiFinance salue les bonnes performances d’Etats nouvellement membres de l’OCDE comme le Chili, ou de certains pays en développement tels que le Costa Rica. «Leurs efforts de transparence dans les politiques publiques et leur progression sur le plan du développement social et des performances environnementales les placent au dessus de plusieurs pays membres de l’Union Européenne ou de l’OCDE», commente l’agence. Suite à son renouvellement, la méthodologie de notation de Global Risk Rating repose désormais sur 74 indicateurs regroupés en quatre catégories : Caractéristiques pays, Gouvernance et Droits de l’Homme, Capital Humain et Développement Social, Ressources Naturelles et Protection de l’Environnement. Chaque catégorie a été enrichie. On notera par exemple l’apparition dans l’outil de l’indice d’opacité financière (Caractéristiques Pays), de l’indice de rigueur de la protection de l’emploi (Capital Humain et Développement Social), et d’une mesure du volume d’Aide Publique au Développement par rapport au PNB (Gouvernance et Droits Humains).
Alors que les Fonds en euros à capital garanti drainent 87 % des versements en assurance vie – de 92 milliards d’euros à fin juillet -, leur rendement va sans surprise continuer à baisser, note la Tribune. La faute aux emprunts d’Etat, qui constituent l’un des piliers des investissements des fonds en euros des assureurs et dont les rendements sont au plus bas. Cela dit, les assureurs disposent de plusieurs amortisseurs, rappelle le quotidien. Les bénéfices mis en réserve les années passées et non distribués (la provision pour participation aux excédents), la stratégie d’investissement de l’assureur, plus attentif aux obligations émises par les entreprises peuvent entre autres ralentir le déclin de la performance. Les assureurs doivent aussi anticiper l’effet d’une remontée des taux qui déprécierait les obligations à faible rémunération dans leur portefeuille. La réserve de capitalisation, formée par les plus-values obligataires, sert à compenser ces dépréciations. Mais, précise la Tribune, elle sera moins confortable dans l’avenir, car elle va subir une taxe de 10 % en 2011.
Si le calendrier est respecté, les futures et les swaps sur l'électricité pourront être négociés en Espagne d’ici à fin septembre grâce à la contrepartie centrale MEFF Power, même si le porte-parole de l’entreprise de marché Bolsas y Mercados Españoles (BME) souligne bien que la date précise n’est pas définitive. Il faut attendre l’entrée en vigueur du décret royal mettant les marchés officiels espagnols des futures et des options en conformité avec la directive MIF, ce qui devrait être fait début septembre, BME devant ensuit ratifier le règlement du nouveau segment de marché.En réalité, souligne Cinco Días, MEFF Power ne sera pas la création du marché de l'électricité, qui existe en fait déjà : le Mercado Ibérico de la Electricidad (Mibel). La nouveauté tiendra dans la chambre de contrepartie que BME offrira aux opérateurs pour garantir les transactions, comme il le fait déjà pour les actions avec le MEFF Renta Variable.
Selon les chiffres publiés par l’Association européenne des investisseurs en capital (EVCA), le montant total investi dans les sociétés atteint 8,6 milliards d’euros au deuxième trimestre, en progression de 16 % par rapport au premier et de 105 % en un an. Il a également atteint un pic depuis le troisième trimestre 2008. La reprise se confirme, note le quotidien, après le creux marqué entre le début de la crise de liquidité bancaire et la fin de l’année 2009, où le niveau d’investissement était tombé sous les cinq milliards d’euros.
Dans l’ensemble, les résultats des deuxième trimestre et premier semestre 2010 des quatre grandes banques françaises sont bons, relève la Tribune, qui note que sur le métier de gestion d’actifs, les comptes semestriels des filiales de ces établissements sont dans le vert. Dans un contexte de marché plus difficile qu’en 2009, Amundi a vu son PNB progresser de 15,9 % au 30 juin 2010 par rapport au 30 juin 2009, contre 29,80 % pour BNP Paribas Investment Solutions et 8,80% pour Natixis Global Asset Management (Ngam). Preuve que ces activités sont encore rentables. Reste, souligne le quotidien, que les problèmes structurels de l’industrie de la gestion d’actifs, comme la saturation du marché français ou la décollecte, ne sont pas totalement résolus. Le manque d’orientation des marchés d’actions depuis quelques mois, un horizon économique loin d'être dégagé, pourraient entraîner la poursuite des rachats au second semestre. Ce qui impactera les revenus des établissements.
La Tribune rapporte que selon EPFR, les investisseurs ont retiré 7,1 milliards de dollars des produits actions en une semaine, dont 5,4 milliards sur des fonds investis sur des actions américaines. Les fonds obligataires ont enregistré des souscriptions de 5,2 milliards de dollars. Avec 330 millions dollars, les fonds actions émergents ont enregistré leur plus faible collecte sur les treize dernières semaines, précise le quotidien.
Selon le Money Fund Report, cité par la Tribune, les actifs sous gestion des fonds monétaires américains ont progressé de 11,1 milliards de dollars en une semaine à 2.809 milliards de dollars. Le rendement moyen de ces fonds est, pour la dixième semaine consécutive, de 0,04 %.
Le fournisseur d’indices STOXX Limited a annoncé mardi 24 août la nouvelle composition de plusieurs de ses indices. Sont concernés les indices STOXX Global 1800 Index, STOXX Europe Total Market Index, STOXX Europe 600 Index, STOXX Americas 600 Index, STOXX Asia/Pacific 600 Index, STOXX EU Enlarged Total Market Index, STOXX Eastern Europe Total Market Index, STOXX Eastern Europe 300 Index ainsi que les sous-indices par capitalisation et les indices sectoriels tels que l’indice STOXX Europe Football Index et le STOXX Europe Private Equity 20 Index.A compter de l’ouverture des marchés européens le 20 Septembre 2010, les titres suivants seront ajoutés et supprimés du STOXX Europe 600 Index et des sous-indices par taille de capitalisation et indices sectoriels concernés. Titres entrants AMADEUS IT HLDG (Spain, Industrial Goods & Services, AMA.MC) ESSAR ENERGY (U.K., Oil & Gas, ESSR.L) ELECTROCOMPONENTS (U.K., Industrial Goods & Services, ECM.L) VICTREX (U.K., Chemicals, VCTX.L) NATIONAL EXPRESS GRP (U.K., Travel & Leisure, NEX.L) GEORG FISCHER (Switzerland, Industrial Goods & Services, FIN.S) HIKMA PHARMACEUTICALS (U.K., Health Care, HIK.L) Titres sortants ALLIED IRISH BANKS (Ireland, Banks, ALBK.I)/BELLWAY (U.K., Personal & Household Goods, BWY.L)/MAUREL ET PROM (France, Oil & Gas, MAUP.PA)/MARFIN INVESTMENT GRP (Greece, Financial Services, MRFr.AT)/ATRIUM EUROPEAN REAL ESTATE (Austria, Real Estate, ATRS.VI)/YELL GRP (U.K., Media, YELL.L)/PROSAFE (Cyprus, Oil & Gas, PRSO.OL)A compter de l’ouverture des marchés européens le 20 Septembre 2010, les titres suivants seront ajoutés et supprimés du STOXX Americas 600 Index et des sous-indices par taille de capitalisation et indices sectoriels concernés. Titres entrants TELUS (Canada, Telecommunications, T.TO)/AUTOLIV (U.S., Automobiles & Parts, ALV.N)/CB RICHARD ELLIS GP. (U.S., Real Estate, CBG.N)/ROVI (U.S., Technology, ROI.OQ)/INTERPUBLIC GP. (U.S., Media, IPG.N) LOBLAW (Canada, Retail, L.TO)/SUNOCO (U.S., Oil & Gas, SUN.N)/FRONTIER COMMUNICATIONS (U.S., Telecommunications, FTR.N) Titres sortants BECKMAN COULTER INC. (U.S., Health Care, BEC.N)CABOT OIL & GAS CORP. (U.S., Oil & Gas, COG.N)D.R. HORTON INC. (U.S., Personal & Household Goods, DHI.N)QUESTAR CORP. (U.S., Utilities, STR.N)/ITT EDUCATIONAL SERVICES INC. (U.S., Retail, ESI.N)LSI CORP. (U.S., Technology, LSI.N)/BABCOCK & WILCOX COMPANY (U.S., Industrial Goods & Services, BWC.N)/RENAISSANCE RE HOLDINGS LTD. (U.S., Insurance, RNR.N)A compter de l’ouverture des marchés européens le 20 Septembre 2010, les titres suivants seront ajoutés et supprimés du STOXX Asia/Pacific 600 Index et des sous-indices par taille de capitalisation et indices sectoriels concernés. Titres entrants HUABAO INTL. HDG. (Hong Kong, Chemicals, 0336.HK) / APA GROUP (Australia, Oil & Gas, APA.AX) / POLY (HONG KONG) INVS. (Hong Kong, Real Estate, 0119.HK)/ UNITED COMPANY RUSAL (Hong Kong, Basic Resources, 0486.HK) / GCL-POLY ENERGY HOLDINGS LTD. (Hong Kong, Utilities, 3800.HK)/ RIVERSDALE MINING (Australia, Basic Resources, RIV.AX) Titres sortantsTRANSFIELD SERVICES LTD. (Australia, Industrial Goods & Services, TSE.AX) / RYOHIN KEIKAKU CO. LTD. (Japan, Retail, 7453.T)/CHARTER HALL OFFICE REIT (Australia, Real Estate, CQO.AX)/SKYWORTH DIGITAL HOLDINGS LIMITED (Hong Kong, Personal & Household Goods, 0751.HK)/NOMURA REAL ESTATE HOLDINGS IN (Japan, Real Estate, 3231.T)/SHINSEI BANK LTD. (Japan, Banks, 8303.T)A noter que la composition du STOXX Europe Private Equity 20 et STOXX Europe Football Indices reste inchangée.
Un groupe de responsables financiers espagnol met sur pied actuellement la première plate-forme de négociation multilatérale (MTF) sur les valeurs espagnoles, sous le nom de PAVE (pour Plataforma Alternativa De Valores Españoles). Le tour de table devrait être bouclé avec l’aide de banques espagnoles et étrangères ainsi que de différents fonds tant espagnols qu'étranger, notamment des spécialistes du négoce haute fréquence comme Citadel ou Renaissance Capital. La PAVE, qui vise explicitement à concurrencer Bolsas y Mercados Españoles (BME), devrait être opérationnelle au premier trimestre 2011. Son siège sera à Barcelone mais elle exercera ses activités à partir de Londres.
Selon Les Echos, le marché de la titrisation des risques d’assurance confirme cette année la reprise enregistrée l’an dernier. D’après les dernières données de SwissRe, les émissions d’obligations catastrophes («cat bonds») se sont élevées à 2,5 milliards de dollars entre le 1 er janvier et le 31 juillet, soit 40% de plus que sur la même période de 2009. Le consensus prévoit entre 5 et 6 milliards de dollars d’émissions sur l’ensemble de l’année.
L’Agefi rapporte que la Banque islamique de développement prévoit d'émettre un milliard de dollars d’obligations islamiques, dites sukuks, afin de financer des projets de développement dans ses pays membres. Les titres à cinq et dix ans seront émis au quatrième trimestre et cotés à Londres et Kuala Lumpur. Les émissions devraient atteindre 25 milliards de dollars cette année, contre 20 milliards l’an passé.
L’agence de notation Standard & Poor’s a annoncé le 24 août l’abaissement de la note souveraine de l’Irlande d’un cran à AA-. L’agence s’attend à ce que le soutien aux institutions financières locales devienne de plus en plus coûteux.L’agence a en outre placé le pays sous surveillance négative, ce qui signifie qu’un autre abaissement est envisageable d’ici deux ans. «Le coût budgétaire du soutien public au système financier irlandais s’est sensiblement accru par rapport à nos estimations précédentes», explique S&P dans un communiqué. Selon l’agence, Dublin devra dépenser 90 milliards d’euros pour soutenir son système bancaire alors que l’agence évaluait auparavant ce coût à 80 milliards d’euros.
Standard & Poor’s vient de lancer le S&P International Preferred Stock Index, un indice qui offre aux investisseurs une exposition aux actions préférentielles sur les marchés européens et asiatiques.