Nos articles d’actualité et d’analyse sur l’évolution des Bourses, sur les dynamiques à l’oeuvre sur les marchés actions et sur les principales opérations (augmentation de capital, émissions d’actions...).
Pour octobre, l’indice Lyxor des hedge funds affiche une performance de 0,75 %, tandis que pour novembre (au 14 novembre), il enregistre encore un gain de 0,26 %. De la sorte, la perte se limite à 5,85 % pour janvier-octobre et à 5,61 % depuis le début de l’année jusqu’au 14 novembre.Les plus fortes baisses depuis le début de l’année et jusqu’au 14 novembre sont accusées par les situations spéciales (- 15,14 %) et l’equity short bias - 14,01 %). Seules deux stratégies sont dans le vert pour cette période : le distressed security avec une progression de 0,82 % et surtout le CTA short term, avec une performance de 5,16 %.
L’agence de notation Moody’s a estimé le 21 novembre qu’une hausse des taux des obligations françaises sur les marchés financiers et des perspectives de croissance économique détériorées risquaient d’avoir des conséquences négatives sur la note de la dette de la France."Des coûts de financement élevés et persistants pourraient accroître les difficultés que le gouvernement français rencontre, conjuguées à une perspective de croissance qui se détériore, avec des implications de crédit négatives», selon Moody’s. Mi-octobre, l’agence s’est donné trois mois pour étudier s’il y avait lieu de revoir la perspective «stable» d'évolution de cette note. L’agence rappelle que «la semaine dernière, l'écart de taux entre les titres à 10 ans français et allemands a dépassé 200 points de base, un record depuis la création de la zone euro». L’agence calcule qu’une hausse de 100 points de base des taux d’intérêt entraîne un surcoût de trois milliards d’euros chaque année. «Avec une prévision du gouvernement de croissance du PIB d'à peine 1% en 2012, un taux d’intérêt alourdi rendra plus difficile à atteindre les objectifs de réduction des déficits», selon Moody’s.
Selon les statistiques de la Banque de France citées par Les Echos, les banques françaises ont emprunté 100 milliards d’euros à la banque centrale en octobre, soit plus de trois fois plus qu’il y a deux mois ou qu’il y a un an (36 milliards en août, et 33 milliards en octobre 2010). «Les banques françaises ont mécaniquement plus de liquidité à aller chercher à la BCE. Elles ont été plus touchées que les banques espagnoles par la sortie des fonds monétaires américains pour leur accès en dollars et elles ont plus d’activités à l’international», indique le responsable financier d’un groupe français. «Pour des raisons d’image, elles ne voulaient pas faire appel à la BCE, mais toutes ont fait sauter cette barrière». Différents responsables estiment que les gestionnaires de fonds et les entreprises vont réduire significativement leur exposition aux banques.
D’après l’association allemande BVI des sociétés de gestion, l’encours des plans d'épargne-retraite subventionnés du type Riester en unités de compte se situait à presque 8,07 milliards d’euros fin septembre, pour 2,92 millions de comptes. Cela représente certes une augmentation de près de 10 % par rapport à fin décembre 2010 (7,37 milliards d’euros et 2,81 millions de contrats), mais le volume affiché à fin juin avait été supérieur (8,2 milliards d’euros pour 2,88 millions de contrats).Les plans en unités de compte avaient fin septembre une part de 19,5 % du marché des plans Riester contre 19,6 % neuf mois plus tôt. Les assureurs continuent de dominer la planète Riester, avec près de 10,64 millions de contrats et 70,9 % du marché.
Début 2012, les entreprises pourront faire admettre leurs obligations au segment Prime Standard de la Bourse de Francfort. Cela offrira aux investisseurs institutionnels et aux particuliers (qui investissent au maximum 25.000 euros) un accès peu onéreux au marché primaire ainsi que de la liquidité et de la transparence sur le marché secondaire. Le Prime Standard pour les obligations d’entreprises s’adresse aux grandes entreprises, cotées ou non, qui souhaitent placer des émissions d’un volume supérieur à 100 millions d’euros.Pour accéder au Prime Standard, les émetteurs doivent s’engager à publier un ensemble de 24 indicateurs significatifs sur l’activité de leur entreprise et à tenir au moins une conférence pour les analystes par an.
L’indice Dow Jones Credit Suisse Core Hedge Fund Index a rebondi après sa baisse de septembre pour afficher une performance de 1,85 % en octobre. Toutefois, l’indice d’ensemble accuse une perte de 6,04 % depuis le début de l’année et jusqu’au 11 novembre.Dans le détail, , le long/short equity s’adjuge 5,27 % en octobre. Quant aux managed futures et à l’arbitrage de convertibles, elles ont été les deux seules stratégies dans le rouge sur le mois, (respectivement - 5,07 % et - 0,52 %). En revanche, tous les compartiments sont en perte entre le 1er janvier et le 11 novembre, notamment les stratégies événementielles (- 11,60 %), le global macro (- 8,92 %) et l’arbitrage de convertibles (- 7,14 %). L’arbitrage obligataire est l’unique stratégie dans le vert sur cette période, avec un gain de 0,30 %.
Le fournisseur américain d’indices Indxis s’est associé au suisse GAIA Capital Advisors pour créer le GIA Farming Index qui servira de base à un ETF ou à d’autres produits structurés, indique Hedge Week.La rétropolation montre que le nouveau produit affiche une performance annualisée sur les trois ans de 20,29 %. Il regroupe à l'échelon mondial les actions de sociétés possédant ou exploitant des terres agricoles, le plus souvent avec une forte intégration verticale pour couvrir un segment important de la chaîne de valeurs. Cet indice sera administré et calculé par Indxis tandis que GAIA prendra en charge la gestion de cet indice qui coiffe tous les secteurs de production (viande, céréales, huiles alimentaires, produits laitiers, poisson, exploitations diversifiées, plantations) sur toutes les zones géographiques.
Constatant que la Place de Paris est pauvre en sociétés de gestion quantitative alternative, QuantValley - une association réunissant 20 fondateurs, dont huit sociétés de gestion, des institutions académiques (Paris-Dauphine, Institut Louis Bachelier, Ensae.), le pôle de compétitivité Finance Innovation et des PME – a lancé son projet «Paris, cité des quants 2020», rapporte L’Agefi. L’objectif est de porter cette stratégie à 10% des actifs de la gestion diversifiée en France alors qu’elle pèse à Londres en actifs et en emplois dix fois plus. A terme, il est question de faire de Paris la première place d’Europe continentale en gestion active quantitative. Par ailleurs, jeudi 17 novembre, dans le cadre du lancement du projet, a été annoncé la mise en place d’une initiative de recherche intitulée «Developpement de la gestion quantitative», dont les travaux seront conduits par l’université Paris-Dauphine et l’ENSAE ParisTech.
L’Agefi, qui cite une information de Reuters, rapporte que Deutsche Börse et Nyse Euronext, pour pallier leur position très forte sur les marchés dérivés, envisagent de vendre leurs activités d’options sur actions en Europe et de donner accès à leur concurrents à Eurex Clearing. La date limite de revue de l’opération par Bruxelles est portée du 22 décembre au 23 janvier, précise le quotidien.
Le fournisseur américain d’indices Indxis s’est associé au suisse GAIA Capital Advisors pour créer le GIA Farming Index qui servira de base à un ETF ou à d’autres produits structurés, indique Hedge Week.La rétropolation montre que le nouveau produit affiche une performance annualisée sur les trois ans de 20,29 %. Il regroupe à l'échelon mondial les actions de sociétés possédant ou exploitant des terres agricoles, le plus souvent avec une forte intégration verticale pour couvrir un segment important de la chaîne de valeurs. Cet indice sera administré et calculé par Indxis tandis que GAIA prendra en charge la gestion de cet indice qui coiffe tous les secteurs de production (viande, céréales, huiles alimentaires, produits laitiers, poisson, exploitations diversifiées, plantations) sur toutes les zones géographiques.
Au 30 septembre, l’encours total des fonds coordonnés européens avait baissé de 2,6 % sur fin août, à 5.414 milliards d’euros pendant que celui des fonds non coordonnés s'était tassé de 0,2 % à 2.046 milliards, selon l’association européenne Efama des gestionnaires d’actifs. Fin 2010, les actifs gérés avait été respectivement de 5.889 milliards et 2.042 milliards d’euros.Les fonds coordonnés ont subi une forte aggravation de leurs sorties nettes à 48,5 milliards contre 20,3 milliards en août, mais les remboursements nets des fonds de long terme (hors fonds monétaires) ont diminué à 37 milliards d’euros contre 53 milliards le mois précédent. Depuis le début de l’année, les fonds coordonnés affichent des sorties nettes de 38,2 milliards d’euros.De fait, les sorties nettes des fonds coordonnés obligataires et diversifiés sont demeurées stables à respectivement 12,1 milliards contre 13,4 milliards et 10,1 milliards contre 11 milliards d’euros en septembre, pendant que celles des fonds coordonnés d’actions diminuaient à 17,4 milliards contre 26,3 milliards. Quant aux fonds monétaires coordonnés, ils ont subi des sorties nettes de 11,6 milliards contre des souscriptions nettes de 32,7 milliards en août.
L’Agefi rapporte qu’Allianz a proposé hier un système d'étagement de la dette souveraine pour répondre aux difficultés rencontrées sur le marché. Les emprunts d’Etat pourraient ainsi être répartis dans différentes catégories selon leur risque de défaut, à l’image des obligations corporate, ce qui éviterait l’approche «tout ou rien» et permettrait aux investisseurs d'évaluer correctement, ou même d’assurer, les risques qu’ils achètent.
Il y a dans le monde 185.795 personnes qui possèdent 25.000 milliards de dollars, soit 40 % du PIB mondial ou sept fois le PIB de l’Allemagne, d’après le cabinet Wealth-X de Singapour, qui conseille les entreprises et établissements financiers spécialistes de la clientèle très haut de gamme, cité par Cinco Días.Sur ce total, 1.235 personnes sont milliardaires en dollars et contrôlent une fortune de 4.180 milliards de dollars, soit 3,3 milliards chacun, tandis que les 97,5 % restants possèdent entre 30 millions et 500 millions de dollars.En Amérique du Nord, essentiellement aux Etats-Unis, on trouve 57.860 «mégariches» avec un total de 7.600 milliards de dollars, devant l’Europe (54.325 personnes et 6.800 milliards) et l’Asie (42.525 personnes et 6.200 milliards). L’Asie devrait dépasser l’Europe en 2024 et les Etats-Unis en 2032.
Après une perte moyenne de 3,96 % en septembre (sur un échantillon de 2.255 produits), les 1.799 hedge funds qui avaient communiqué leurs résultats au 15 novembre à BarclayHedge ont affiché une performance moyenne de 3,63 % pour octobre, ce qui permet de réduire la perte cumulée depuis le début de l’année à 3,54 % (contre une perte de 6,60 % à fin septembre)De fait, seule la stratégie equity short bias (5 fonds) subit une perte (de 8,77 %) en octobre, tout en gagnant 4,53 % pour les dix premiers moide de l’année.Les deux stratégies avec les meilleurs résultats en octobre sont l’equity long bias avec 6,53 % (234 fonds) et les marchés émergents avec 4,16 % (282 fonds). Ces deux stratégies sont également celles qui subissent les plus fortes pertes pour janvier octobre, avec respectivement 6,51 % et 8,68 %.
En France, le nombre d’offres d’emploi postées sur eFinancialCareers, site spécialisé dans l’emploi dans les secteurs de la banque et de la finance, reste stable d’une année sur l’autre, avec une légère progression de 1 % entre le troisième trimestre 2011 et le troisième trimestre 2010. Mais entre le deuxième et le troisième trimestre de cette année, les offres ont diminué de 19 %. Aujourd’hui, malgré un sursaut en octobre (+18% par rapport à septembre), eFinancialCareers constate que «certaines institutions financières revoient légèrement à la baisse leur programme de recrutement».En Europe continentale, le recrutement dans la finance reprend un peu de couleurs sur un an. Au troisième trimestre 2011, le nombre d’offres d’emploi postées sur eFinancialCareers a en effet augmenté de 19% par rapport à la même période l’an dernier. En revanche, le nombre d’offres a diminué de 10% au troisième trimestre 2011 par rapport au second. En octobre, le nombre d’offres d’emploi postées pour l’Europe a augmenté (+4% par rapport à septembre), mais eFinancialCareers s’attend à ce que la volatilité persistante des marchés et les effets saisonniers dissuadent certaines entreprises de recruter au quatrième trimestre.Les trois secteurs qui ont le plus recruté en Europe continentale au troisième trimestre 2011 par rapport au trimestre précédent sont le marketing / vente (+37%), le trading (+33%) et le juridique / compliance (+27%). Les secteurs qui ont enregistré les plus fortes baisses sont le back office / middle office (-20%), le IT / systèmes d’information (-19%) et le marché du crédit (-18%).
L’activité sur le marché des dérivés de gré à gré a décollé au premier semestre 2011, d’après les dernières statistiques de la Banque des règlements internationaux (BRI) citées par L’Agefi. Le montant notionnel de ces instruments a grimpé de 18% au premier semestre, à 708.000 milliards de dollars. Depuis le second semestre 2008, les encours étaient restés relativement stables, autour de 600.000 milliards de dollars. Cette fois-ci, ils dépassent même le niveau d’avant-crise du premier semestre 2008, à savoir 683.000 milliards de dollars. L’augmentation de 19% du marché des contrats sur les taux est la principale explication de cette reprise.
Sur les marchés, les appels à une action décidée de la BCE se multiplient, rapporte L’Agefi. La banque centrale a bien racheté hier des obligations, mais elle le fait toujours à reculons, ce qui ôte toute puissance à son intervention. «Soit les choses continuent ainsi, et l’Italie va probablement se retrouver rapidement à court d’options de financement, soit l’Allemagne se résout à accepter de véritables mesures d’assouplissement quantitatif», a résumé Keith Wade, chef économiste de Schroders. De son côté, le Fonds européen de stabilité financière pâtit des difficultés des Etats qui garantissent sa note AAA.
Le mois derniers, les ETP européens ont drainé en net 1,3 milliard de dollars et leur encours totalisait au 31 octobre 327,6 milliards de dollars, mais certains acteurs ont subi des sorties nettes, notamment Lyxor Asset Management du groupe Société Générale (- 1,2 milliard de dollars), UBS Global Asset Management (- 0,5 milliard) et ETF Secutities (- 0,4 milliard). ComStage (Commerzbank) et Source ont subi des remboursements nets de 0,1 milliard chacun, d’après les statistiques de BlackRock.En revanche, iShares (BlackRock) a drainé 2 milliards de dollars ; la Banque cantonale de Zurich a attiré 0,5 milliard et db x-trackers/db ETC (Deutsche Bank) a enregistré des rentrées nettes de 0,3 milliard.Pour les dix premiers mois de cette année, les souscriptions nettes pour l’ensemble du secteur en Europe ont atteint 28 milliards de dollars, dont 17,5 milliards ont été trustés par iShares. Les meilleures collectes sont ensuite celles d’UBS Global AM (4,5 milliards) et de db x-trackers/db ETC avec 2,9 milliards.En revanche, Lyxor a supporté des sorties nettes de 7,7 milliards de dollars. D’ailleurs, depuis début janvier, sont encours a baissé de 12,2 milliards à 40,1 milliards et sa part de marché a baissé de 4,4 % points de pourcentage à 12,2 %.Toujours sur les dix premiers mois de 2011, db x-trackers/db ETC a vu son encours diminuer de 0,6 milliard à 48,5 milliard de dollars et sa part de marché s’effriter de 0,8 point. iShares, de son côté, a enregistré une hausse de 9,3 milliards de ses encours, à 111,1 milliards fin octobre, gagnant ainsi 1,6 point de part de marché.
Le nombre moyen de transactions (on-book trades) pour les ETF sur les places européennes de NYSE Euronext est tombé en octobre à 11.250 unités contre 13.070 en septembre et 14.658 en août. Pour les dix premiers mois de l’année, il a augmenté de 26,1 %, contre 26,6 % pour janvier-septembre.Quant au volume moyen journalier de transactions (toujours pour les on-book trades), il est ressorti à 433,6 millions d’euros pour le mois dernier, contre 558 millions en septembre et 618,2 millions pour août. Pour janvier-octobre, la hausse en glissement annuel s’inscrit à 32 %.La cote des marchés européens de NYSE Euronext comportait fin octobre 593 ETF cotés au total 691 fois. Depuis le début de l’année, il y a eu 153 introductions, dont 125 cotations primaires et 28 cotations secondaires. En octobre, 14 ETF ont été nouvellement admis à la négociation, dont 6 SPDR (SSgA), 5 de RBS Market Access et 3 de Lyxor Asset Management (société Générale).Le spread moyen pour tous les ETF s’est situé en octobre à 36,3 points de base, contre 38,83 en septembre et 28,5 en août.
Les fonds offerts au public en Allemagne, hors fonds immobiliers, ont subi des sorties nettes de 8,43 milliards d’euros pour janvier-septembre, rapporte l’association allemande BVI des sociétés de gestion. En dehors d’Allianz Global investors, qui a engrangé 1,49 milliard d’euros grâce à des souscriptions nettes de 5,73 milliards de sa filiale Pimco Europe, toutes les grandes maisons accusent des sorties nettes durant les trois premiers trimestres : les remboursements ont ainsi atteint 7,53 milliards d’euros pour Deka (caisses d'épargne), 3,54 milliards pour l’ensemble DWS/DB Advisors/DB (Deutsche Bank) et 1,52 milliard pour Union Investment (banques populaires).Néanmoins, les promoteurs d’ETF, à l’exception d’ETFlab (Deka), qui accuse des sorties nettes de 1,09 milliard d’euros, enregistrent des souscriptions nettes, notamment BlackRock (avec les produits iShares), qui a drainé plus de 7,55 milliards d’euros. db x-trackers (Deutsche Bank) a mobilisé 1,3 milliard et ComStage (Commerzbank) a recueilli 279 millions d’euros.Les fonds offerts au public ont globalement subi des sorties nettes de 2,77 milliards d’euros, ce qui porte leurs sorties nettes à 3,94 milliards pour le troisième trimestre et 7,55 milliards pour les neuf premiers mois de l’année. Pour les trois premiers trimestres de 2010, ces fonds avaient encore drainé 18,91 milliards d’euros.La gestion d’actifs allemande dans son ensemble a tout de même bénéficié de souscriptions nettes de 10,75 milliards d’euros pour janvier-septembre… grâce aux 20,08 milliards collectés par les fonds institutionnels. Ces deux derniers chiffres se comparent respectivement à 62,41 milliards et 42,93 milliards il y a un an.En ce qui concerne les mandats gérés hors des fonds, qui représentaient 278,18 milliards d’euros fin septembre, ils ont affiché pour les neuf premiers mois de l’année des sorties nettes de 1,79 milliard d’euros, malgré des rentrées nettes de 1,85 milliard pour septembre.