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Fidelity Investments compte de plus en plus sur BlackRock pour se développer sur le marché des ETF. Le nombre d’ETF de iShares qui peuvent être négociés sans commissions par les clients de Fidelity devrait plus que doubler à 65, selon un communiqué publié le 13 mars par Fidelity et BlackRock.Les ETF de iShares seront utilisés au sein des comptes gérés de Fidelity dans les prochains mois et BlackRock aidera Fidelity à développer des ETF liés à des stratégies sectorielles. En échange, BlackRock pourra contacter directement un nombre plus important d’investisseurs américains retail.BlackRock et Fidelity sont convenus en 2010 de distribuer 25 fonds de iShares sans frais auprès des clients de Fidelity. Le nombre de fonds passait à 30 une année plus tard. Les 65 fonds désormais proposés sans frais comprennent les dix Core ETF de iShares lancés en octobre ainsi que des véhicules qui investissent dans d’autres actions, obligations, matières premières américaines et internationales.
Selon InvestmentNews, l’Oppenheimer Developing Markets Fund (33 milliards de dollars) sera fermé aux nouveaux investisseurs en avril. Cela signifie que, sur les cinq plus gros fonds émergents, seul le deuxième, American Funds New World Fund (20 milliards de dollars), restera ouvert aux souscriptions.En effet, le Lazard Emerging Markets Fund (16 milliards) est fermé aux nouveaux clients depuis 2010, tandis que, depuis le début de l’année, Aberdeen et Virtus ont également fermé le guichet des souscriptions pour leurs Emerging Markets Fund (10 milliards de dollars) et Emerging Markets Opportunities Fund (8,3 milliards).
Les élus et officiels du Qatar auraient entamé des négociations avec le gouvernement britannique dans le but d’investir jusqu’à 10 milliards de livres dans des projets d’infrastructures au Royaume-Uni, rapporte le Financial Times. Un fonds spécifique pourrait même être créé par le Qatar. Parmi les investissements envisagés, le FT cite le projet de construction d’un réacteur nucléaire à Hinkley Point par EDF. D’autres investissements dans des projets dans des constructions d’usines énergétiques, de routes ou de rails seraient également ciblés.
Les trackers britanniques, qui représentent un encours de plus de 6 milliards de livres, affichent des frais annuels de gestion très peu concurrentiels, selon une étude réalisée par Bestinvest, rapporte MoneyMarketing.Bestinvest souligne que les frais annuels des principaux trackers britanniques s’inscrivent dans une fourchette comprise entre 0,15% et 1,5%. Les deux plus gros fonds indiciels britanniques retail sont le Virgin UK Index tracking fund (2,4 milliards de livres d’actifs), dont les coûts annuels s'élèvent à 1%, et le Legal & General (N) Tracker Trust fund (1,2 milliard de livres), dont les coûts annuels s'élèvent à 1,15%. Bestinvest évoque plusieurs autres fonds indiciels dont les frais annuels sont compris entre 0,8% et 1,5%. Bestinvest estime que de tels niveaux de frais sont excessivement élevés et inutiles. Selon Ben Seager-Scott, analyste senior chez Bestinvest, «il n’y a aucune raison de payer plus que 0,4% par an de frais pour un tracker ou un ETF. Ce que notre recherche montre clairement est que malgré que ces stratégies soient passives, il reste très important d'être actif dans la sélection des fonds lorsqu’on choisit un fonds indiciel».
BNP Paribas Real Estate vient de publier deux nouveaux guides « Investing in » consacrés à Dublin et à l’Espagne. Parallèlement à ces lancements, BNP Paribas Real Estate met à jour ses trois guides consacrés à Paris, à l’Allemagne et au Luxembourg.Ces deux nouveaux ouvrages viennent enrichir la collection de guides existants sur Paris, Londres, l’Allemagne (les 6 principales villes : Berlin, Cologne, Düsseldorf, Francfort, Hambourg et Munich), le Luxembourg et l’Italie. Chacun de ces guides d’une quarantaine de pages présente, en anglais, les marchés immobiliers locaux, ainsi que les spécificités administratives, juridiques et fiscales propres à chaque pays.
Beltrán Parages, directeur commercial de Bestinver (groupe Acciona), annonce dans Funds People qu'à long terme la société de gestion compte gérer davantage d’encours dans ses fonds de pension que dans ses fonds d’investissement, parce que les fonds de pension cadrent mieux avec le style de gestion de la société, qui est orienté sur le long terme et sur des souscriptions régulières, indique Funds People..Actuellement, Bestinver, dirigée par Francisco García Paramés, gère 6,3 milliards d’euros, dont 3,7 milliards en fonds d’investissement et 650 millions en fonds de pension, plus 400 millions dans la sicav luxembourgeoise et le reste en mandats.Bestinver gère trois fonds de pension individuels (Global, Ahorro et Previsión), à quoi s’ajoutent une plate-forme pour les plans d’entreprise et deux EPSV, des fonds de pension spécifiques au Pays basque.
Vontobel lance cette semaine une plate-forme en ligne pour les gestionnaires d’actifs indépendants (EAM ou external asset managers), selon le site d’information finews.Le nouvel outil, dénommé Vontobel EAMNet, sera accessible à tous les gestionnaires indépendants ayant un acord de coopération avec Vontobel. Les utilisateurs auront notamment accès à toute la recherche actualisée de Vontobel.Vontobel va ainsi coiffer sur le fil le Credit Suisse qui a récemment annoncé vouloir lancer dans les prochaines semaines une plate-forme en ligne du même type pour les gestionnaires indépendants (Newsmanagers du 19 février 2013).
L’Association suisse des banquiers (ASB) a nommé Peter Grünblatt pour coordonner son initiative Asset Management, a-t-elle annoncé le 11 mars. Le projet vise à améliorer les conditions cadres dans la gestion d’actifs, un secteur que l’ASB juge capital pour la place financière suisse.Peter Grünblatt (51 ans) a exercé depuis 2001 des postes à responsabilités dans le domaine des produits de placement chez Credit Suisse, en l’occurrence dans sa filiale Bank Leu devenue par la suite Clariden Leu, selon le communiqué de l’ASB. Dans un document d’une vingtaine de pages, l’association décline les objectifs prioritaires du secteur de la gestion d’actifs qui s’est moins développée ces dernières années que sur les places concurrentes de Londres ou de New York. A l’origine de ce constat, des raisons «externes» qui touchent notamment à l’encadrement juridique et fiscal, moins concurrentiel, et à des facteurs «internes», comme la promotion de la gestion d’actifs en tant que marque suisse à part entière.
Russell Investments a annoncé que Nyse Euronext et le Chicago Board Options Exchange (CBOE) allaient proposer sur une base exclusive les options sur indices de Russell. L’accord devrait renforcer les positions complémentaires des deux opérateurs les plus importants sur le marché des options américaines, selon un communiqué de Russell.Le nouvel accord avec le CBOE, un opérateur pionnier dans le développement du marché des options et des options indicielles, permettra également d’améliorer les capacités de Russell en matière de formation sur les options. Le négoce des options sur indices de Russell devrait démarrer fin avril.
Les grandes sociétés de gestion comme BlackRock, TCW Group et Pimco se préparent pour le jour où les taux commenceront à être relevés, rapporte le Wall Street Journal. Mais au lieu de tenter de deviner quand exactement ce moment va se produire, elles procèdent à des achats censés payer lorsque les taux remonteront. Cela inclut notamment l’acquisition de dette avec des taux d’intérêt flottants ainsi que des swaps de taux et des obligations protégées contre l’inflation. D’autres investisseurs se protègent contre d’éventuelles pertes obligataires en faisant des paris négatifs sur les bons du Trésor américains par le biais de dérivés.
Le «Future Fund» qui gère 80 milliards de dollars australiens (62,5 milliards d’euros) pour les retraites des fonctionnaires, a annoncé fin février qu’il allait sortir du capital de toutes les sociétés fabriquant du tabac dans le monde, rapporte Les Echos. Cela représente près de 222 millions de dollars australiens (soit 174,2 millions d’euros, et 0,3 % de ses encours), investis dans 14 fabricants, dont des leaders mondiaux que sont Philip Morris ou Imperial Tobaco. Une décision qui fait suite à une revue de ses politiques de gestion responsable.
L’an dernier, les investisseurs en quête de rendement mais aussi de placements perçus comme sûrs, ont donné la priorité à l’obligataire. Selon les statistiques de Morningstar publiées dans son premier «Global Fund Flows Trend Report», les fonds obligataires dans le monde ont enregistré en 2012 une collecte nette de 535 milliards de dollars, soit près de 95% des souscriptions de long terme, c’est-à-dire hors fonds monétaires.La collecte totale de long terme s’est élevée à 565 milliards de dollars, ce qui correspond à une croissance organique de près de 4%. Une collecte significative qui reste toutefois en deçà des niveaux observés en 2009 et 2010, années où la collecte s'était inscrite à respectivement 746 milliards de dollars et 672 milliards de dollars. Vanguard et Pimco ont drainé respectivement 16 et 18 % des souscriptions nettes des mutual funds l’an dernier.L’obligataire américain est la catégorie globale de long terme la plus importante –et de loin-, avec près de 2.000 milliards de dollars d’actifs sous gestion. Les investisseurs américains ont contribué pour 199 milliards de dollars à la collecte obligataire totale qui s’est élevée l’an dernier à 227milliards de dollars.Corollaire de cet engouement pour l’obligataire, la commission de gestion moyenne a diminué dans des proportions spectaculaires depuis 2007 d’autant plus que les investisseurs ont aussi tendance à rechercher des placements moins coûteux.D’où l’intérêt croissant pour les stratégies passives. Quelque 78% des mutual funds et des ETF dans le monde se trouvent encore dans des fonds gérés activement, mais les produits passifs ont attiré 41% de la collecte nette, soit quelque 355 milliards de dollars. A l’exception de l’Australie et de la Nouvelle-Zélande, les stratégies passives ont enregistré une croissance plus rapide que les fonds gérés activement dans toutes les régions du monde, la palme revenant bien évidemment aux Etats-Unis. Morningstar souligne par ailleurs que les nouveaux fonds, ceux n’ayant pas encore un historique de performance de trois années, ont attiré 87% de la collecte mondiale en 2012.
La période récente l’a bien montré, les investisseurs immobiliers affichent un appétit croissant pour le risque. Selon l'édition de mars du «Real Este Spotlight» de Preqin, 55% des investisseurs immobiliers privés s’intéressent à des fonds à valeur ajoutée en 2013 contre seulement 47% l’an dernier. Corollaire de cette évolution, les investissements dans l’immobilier «core» suscitent moins d’intérêt. Les fonds «core» n’intéressent plus que 45% des investisseurs dans les douze prochains mois contre 54% pour les douze mois courant après janvier 2011. Ce regain d’intérêt pour les stratégies à valeur ajoutée suggère que les investisseurs sont peut-être en train de revenir sur l’une des stratégies les plus prisées avant la crise de 2008. L’an dernier, 36 véhicules à valeur ajoutée ont recueilli un total de 11 milliards de dollars, contre 27 véhicules pour un total de 8 milliards de dollars en 2011. En termes de parts de marché, les fonds à valeur ajoutée représentent 18% en 2012 des capitaux dans les fonds immobiliers fermés contre 13% en 2011.
L’enquête annuelle du Credit Suisse auprès de 550 clients de hedge funds montre que ces investisseurs institutionnels dont l’encours représente 1.030 milliards de dollars ont l’intention de privilégier cette année le long/short equity, les actions émergents et l’événementiel, qui devient la troisième stratégie la plus recherchée alors qu’elle se classait encore dixième en 2012.Sur le plan régional, les marchés émergents en général et l’Asie-Pacifique demeurent les deux ensembles préférés des investisseurs, mais ils ont échangé leurs places par rapport à 2012. Le Credit Suisse constate aussi un fort regain de faveur (26 %) pour l’Europe développée. En taille, les investisseurs préfèrent les hedge funds dont les encours se situent entre 500 millions et 2 milliards de dollars.Les institutionnels interrogés s’attendent en moyenne à un gonflement de 10 % des encours des hedge funds cette année, à 2.420 milliards de dollars. Ils escomptent de ces fonds une performance de 6,9 % contre 5,4 milliards attendus en 2012 pour l’an dernier.Le sondage met en exergue que les principaux risques identifiés par le panel pour les hedge funds sont le comportement grégaire, de nouvelles modifications de la réglementation et la sous-performance. Enfin, le Credit Suisse constate que les institutionnels sont très nettement plus nombreux à vouloir obtenir une baisse des commissions.
Des chiffres meilleurs que prévu sur le front de l’emploi américain ainsi que les records battus par le Dow Jones ont incité les investisseurs à quelque peu délaisser début mars les fonds émergents au profit des fonds obligataires et actions américains, selon EPFR Global.Durant la semaine au 6 mars, les fonds actions dans leur ensemble ont enregistré une collecte nette de 7,14 milliards de dollars, contre 4,5 milliards de dollars pour les fonds obligataires. Parallèlement, les fonds monétaires ont subi une décollecte de 13,7 milliards de dollars.Les fonds d’actions américaines ont attiré 4,9 milliards de dollars, l’essentiel de ces flux étant investi dans des ETF de grosses capitalisations. Parmi les fonds gérés activement, seuls les fonds de petites et moyennes capitalisations ont enregistrés des collectes record. Depuis le début de l’année, les fonds d’actions américains affichent une collecte nette de 33,05 milliards de dollars alors que l’an dernier à la même époque, ils accusaient une décollecte d’un peu plus de 3 milliards de dollars.Du côté des fonds d’actions émergentes, la collecte est restée positive pour la 26ème semaine sur 27 semaines grâce à un intérêt soutenu pour les fonds asiatiques hors Japon. Les investisseurs se sont notamment intéressés aux fonds d’actions coréennes qui, depuis la mi-février, ont enregistré une collecte nette de plus de 700 millions de dollars.
Directeur de la stratégie chez Cholet-Dupont, Vincent Guenzi estime dans un entretien donné à l’Agefi des potentiels de hausse pour les indices et se montre très confiant dans l’atteinte de ces objectifs. Les marchés américains, qui retrouvent leurs meilleurs niveaux historiques seront les premiers à donner le signal d’un nouveau marché haussier à long terme des actions. «Concernant les actions européennes, nous avons plutôt profité des opportunités d’achat pour renforcer les expositions des portefeuilles qui en avaient besoin», indique-t-il.
SCOR a conclu le 8 mars un protocole d’accord aux fins d’investir dans la société MRM, société foncière soumise au régime des sociétés d’investissements immobiliers cotées («SIIC») détenant un portefeuille mixte d’immeubles de commerces et de bureaux, et de prendre son contrôle en vue de recentrer son activité vers la détention d’un portefeuille cohérent d’actifs de commerces.La nouvelle stratégie souhaitée par SCOR pour MRM vise à améliorer le taux d’occupation des actifs, à ramener le ratio d’endettement à un niveau raisonnable pour éviter tout problème de liquidité à moyen terme, et à restaurer la rentabilité de la société.Afin de mener à bien ces objectifs, la réalisation du programme d’investissements sur les actifs maintenus en portefeuille sera poursuivie simultanément à un plan de cession portant plus particulièrement sur les immeubles de bureaux. L’investissement de SCOR, qui prend la forme d’une augmentation de capital souscrite en numéraire comprise entre 41 et 54 millions d’euros selon le taux de conversion des obligataires de MRM, s’accompagne d’un désendettement de la société et de la mise en place d’une structure financière pérenne négociée en amont de l’entrée de SCOR au capital de MRM. SCOR détiendra au plus 59,9% du capital de MRM à l’issue de l’augmentation de capital.«Dans le cadre de sa politique d’allocation d’actifs, et grâce à sa forte expertise en matière de gestion de biens immobiliers, SCOR renforce et diversifie son portefeuille immobilier avec cet investissement, conformément aux objectifs du plan stratégique Strong Momentum. Cette transaction permet à SCOR de prendre le contrôle d’une société détenant un portefeuille d’immeubles de commerces avec un potentiel important de valorisation dans le cadre d’une nouvelle stratégie ainsi que de bénéficier des opportunités offertes sur le marché de l’immobilier en raison du contexte économique et financier actuel», explique François de Varenne, président du directoire de Scor Global Investments.
Malgré leur croissance exponentielle, les ETF restent des produits dont certaines catégories d’investisseurs se méfient encore. Les trois quarts des conseillers utilisent certes les ETP, selon un sondage réalisée par WealthManagement.com auprès de 735 conseillers (1), ce qui signifie malgré tout qu’un sur quatre n’intégre pas d’ETF dans les portefeuilles de ses clients.Parmi les non-utilisateurs, 42,5% des conseillers indiquent qu’ils ne maîtrisent pas suffisamment ces véhicules d’investissement. Certains (18,6%) estiment aussi que les mutual funds sont les produits les mieux adaptés pour leurs clients alors que d’autres (18%) déclarent les ETP ne sont pas des produits faits pour leurs clients.De nombreux conseillers estiment qu’ils ont besoin d’une information plus abondante et plus riche sur les ETP. «Il est normal que les conseillers ne soient pas encore vraiment à l’aise, car il s’agit vraiment d’un nouveau secteur d’activité», estime Adam Patti, CEO et fondateur du fourniseur d’ETF IndexIQ.Le sondage montre aussi l’attachement des conseillers aux véhicules qu’ils connaissent bien à savoir les mutual funds gérés activement. Interrogés sur les véhicules de leur choix autres que les ETP, les conseillers sont 44,7% à mentionner les mutual funds gérés activement, largement devant les mutual funds indiciels (25,6%).Reste donc un énorme travail d’information et de pédagogie. Les principales sources d’information des conseillers qui utilisent les ETP sont surtout les sites internet (52,9%) et les documents proposés par les sponsors (50,4%). Il sont beaucoup moins nombreux à s’intéresser à la recherche indépendante sur le sujet. Les spécialistes déplorent qu’il n’existe pas encore un véritable lieu de référence sur les ETF. L’association américaine de la gestion d’actifs (ICI) a toutefois lancé à l’automne dernier un site d’information sur les ETF (http://www.understandetfs.org/ ) qui constitue en tout cas un premier pas intéressant dans la bonne direction…(1) «Advisor Use of ETPs – And Lessons From the Trenches.»
Cinco Días rapporte que l’espagnol Santander Consumer Finance a vendu au fonds vautour Elliott Management (21 milliards de dollars d’encours)un portefeuille de 300 millions d’euros de crédits à la consommation irrécouvrables, avec une ristourne de 96 %. Soit environ 12 millions d’euros. C’est un portefeuille de 87.000 dossiers.Pour le gestionnaire alternatif fondé par Paul Singer, c’est une tête de pont avant d’autres acquisitions en Espagne. Elliott considère notamment qu’il y a de bonnes affaires à réaliser dans le secteur financier espagnol.
Le Fonds stratégique d’investissement (FSI) s’apprête à constater une survaleur sur sa participation de 13,67% dans France Télécom, selon L’Agefi qui cite Reuters. La Caisse des dépôts détenant plus de 357 millions de titres France Télécom en avril 2012, une révision de 16 à 9 euros par action, reflétant la chute du cours de Bourse de l’opérateur français, induirait une dépréciation d’environ 2,5 milliards d’euros.