Nos articles d’actualité et d’analyse sur les projets d’investissement d’un point de vue macro comme micro, au niveau des entreprises comme des acteurs financiers.
La plupart des 105 fonds de pension, banques centrales, endowments, assureurs et sociétés de gestion – représentent un encours cumulé de plus de 1.600 milliards de dollars, ont indiqué qu’ils avaient l’intention d’accroître leur exposition aux marchés émergents, montre un sondage de Morgan Stanley cité par le Financial Times. Les analystes de la banque estiment qu’il pourrait y avoir une hausse de l’allocation globale de 1,3 % sur 1 à 2 ans, ce qui correspondrait à 1.600 milliards de dollars. Sur les 3 à 5 années qui viennent, la hausse serait de 2,2 % correspondant à 2.750 milliards d’euros.
Le méga fonds de capital-investissement collecte à nouveau, rapporte L’Agefi. Selon les données de Preqin, les véhicules dont l’objectif dépasse les 10 milliards de dollars sont au nombre de trois. En incluant les fonds européens de Nordic Capital et PAI Partners Les 17 premiers fonds dans le monde atteignent ou dépassent tous les 3 milliards d’euros.Par ailleurs, tous les fonds confirment un intérêt renouvelé à l'égard des actifs non cotés européens. Conséquence immédiate, le montant de capitaux disponibles (dry powder) retrouve des sommets. Preqin l’a estimé au mois de novembre à 789 milliards de dollars à travers le monde. En 2013, les fonds ont pour l’instant réuni 280 milliards de dollars, sans compter les possibilités de co-investissements des souscripteurs - selon une formule de plus en plus usitée. Certains évaluent cette manne potentielle entre 200 et 300 milliards de dollars.
Le consultant Towers Watson a publié en début de mois sa liste biennale actualisée des risques extrêmes (document pdf en pièce jointe), avec notamment la probabilité chronologique d’occurence (de 10 à 100 ans), la gravité de l’incidence/l’intensité et le champ géographique et temporel des répercussions.Les trois principaux risques majeurs avec une probabilité de un pour dix ans sont la pénurie de nourriture, d’eau ou d'énergie, la stagnation et l’effondrement du commerce mondial, tandis que le changement climatique et un retour de manivelle sur le progrès en matière de santé, qui pourraient avoir des conséquences «transgénérationelles».
La plupart des stratégies d’investissement actuelles sont en passe d'être démodées. Les exigences des investisseurs et le cadre dans lequel ces derniers évoluent s'éloignent des allocations rigidement focalisées sur les indices de référence au profit de mandats gérés en fonction du risque et des résultats. Dès lors, selon le consultant américain Casey Quirk, les gestionnaires devront basculer sur des stratégies actives de nouvelle génération qui devraient pouvoir représenter près de 45 % du chiffre d’affaires mondial d’ici à 2018, avec des souscriptions nettes de 3.400 milliards de dollars, alors que les portefeuilles actifs traditionnels perdront environ 1.800 milliards de sorties nettes. Parallèlement, les stratégies passives n’attireront sur la même période que 1.000 milliards de dollars.Selon Casey Quirk, on peut identifier six catégories de «new active strategies» qui brouillent la frontière entre investissements traditionnels et alternatifs en intégrant des techniques innovantes dans une enveloppe plus conviviale : les investissements sur tout le spectre obligataire, les actions sans benchmark, les stratégies sur le non coté, les stratégies de négoce, les solutions dynamiques multiclasses d’actifs et les actifs réels.Le consultant souligne aussi que les gestionnaires d’actifs peuvent utiliser l’un quelconque des trois leviers suivants pour mettre à jour les stratégies hérités du passé : la fixation de nouvelles glissières de sécurité en matière de risque, l'élargissement de l’univers d’investissement et l’acquisition de nouvelles compétences en matière de marché des capitaux. En fait, la meilleure stratégie dépendra de la crédibilité du gestionnaire, de sa clientèle actuelle et de l’appétence des institutionnels pour le changement.
Les hedge funds lancés par les nouveaux gérants proposent les meilleures perspectives de rendement par rapport aux fonds lancés par les sociétés du secteur qui ont pignon sur rue, selon une étude que vient de publier Preqin et qui relève aussi que l’intérêt des institutionnels pour les gestionnaires en herbe continue - paradoxalement - de diminuer.Une stratégie long/short lancée par un nouveau gérant depuis 2007 affiche une performance nette annualisée de 8,80% durant les trois premières années alors que les mêmes stratégies proposées par des gérants bien établis dégagent un rendement de seulement 5,38% sur la même période.Il n’empêche! La surperformance des fonds émanant des nouveaux gérants ne se traduit pas en termes de flux. Preqin indique même que la proportions des investisseurs intéressés par les hedge funds des jeunes investisseurs est tombée cette année à 38% contre 42% en 2012. Et 60% des fonds de pension, publics ou privés, précisent qu’ils n’investiraient pas un gestionnaire en herbe.
Les ETF sont partis pour leur prochaine phase de croissance, selon PwC, qui estime que toutes les sociétés de gestion « ont besoin d’une stratégie ETF », rapporte le Financial Times. « A l’avenir, il y aura davantage de fournisseurs, davantage d’utilisateurs et davantage de pénétration par les ETF dans le marché mondial des actifs gérés », estime John Siciliano chez PwC. Pour lui, les ETF sont simplement une enveloppe pour des expertises d’investissement que les sociétés de gestion peuvent utiliser pour re-packager des produits ou stratégies existantes ou comme des « briques » pour des fonds d’allocation.
La croissance mondiale du marché de la finance islamique devrait se poursuivre en 2014 dans la lignée de la hausse observée cette année, sur la base d’une progression à deux chiffres, estime l’agence Standard & Poor’s dans une étude publiée le 28 novembre.(«Islamic finance 2014: We Expect Continued double-Digit Growth, An A Push For Regulation And Standards»)."Nous estimons qu’au niveau mondial, les actifs conformes à la charia, que nous évaluons à plus de 1.400 milliards de dollars, devraient enregistrer une croissance à deux chiffres au cours des deux ou trois prochaines années», selon Zeynep Holmes, responsable régional pour l’Europe de l’Est, le Moyen-Orient et l’Afrique chez Standard & Poor’s.Cela dit, la finance islamique reste un marché tiré par la demande, avec une offre limitée, encore freinée par un nombre réduit de centres financiers islamiques soumis à des réglementations différentes.
Le couturier italien Versace est entré dans la dernière ligne droit pour la cession d’une participation de 20 % dans son capital et il a reçu plusieurs candidatures fermes de capital-investisseurs: Blackstone, Permira, Clessidra, FSI, Qatar Holding et Ardian, selon The Wall Street Journal relayé par Expansión.Les offres se situeront aux alentours d’un milliard d’euros pour le cinquième du capital. L’objectif des patrons de Versace est de se procurer des fonds pour financer la croissance sans perdre le contrôle de l’entreprise.
Les gestionnaires d’actifs japonais affichent un regain d’intérêt pour la zone euro avec une exposition obligataire à la zone qui se retrouve au mois de novembre à son plus haut niveau depuis mars 2011, selon un sondage publié le 29 novembre par l’agence Reuters et réalisé entre les 18 et 27 novembre.Les gestionnaires ont par ailleurs maintenu en novembre leur exposition actions à son plus haut niveau depuis 18 mois. L’exposition actions s’inscrit comme le mois dernier à 44,2% contre 48,9% pour l’allocation obligataire contre 49% en octobre. Mais, au sein de la poche obligataire, l’exposition à la zone euro passe à 24,2% contre 22,4% précédemment alors que l’exposition à l’Amérique du Nord perd 4,4 points de pourcentage pour tomber à 23,1%.
First State Investments a publié le 28 novembre plusieurs «Global Stewardship Principles», qui seront adoptés dans l’entreprise et qui respecteront les exigences actuelles du «Stewardship Code» britannique et d’autres codes de bonne gouvernance.Ces principes ont été élaborés par le comité mondial de l’investissement responsable de First State composé du directeur général et de représentants des équipes investissement et distribution. Ce comité supervise la stratégie d’investissement responsable de First State et révisera les principes une fois par an. De plus, le gestionnaire s’engage à ce que l’application des Global Stewardship Principles soit soumise à un processus annuel de vérification, à compter de cette année.
Malgré une progression spectaculaire des émissions de dette européenne high yield en 2013 et des rendements sur le déclin, l’appétit pour ce type de produit reste bien réel, indique S&P Capital IQ dans une étude publiée le 27 novembre («High Yield Debt: Rising Demand in a Suppressed Yield Environment»). «Malgré la croissance continue des émissions, la demande des investisseurs pour la dette high yield ne semble pas avoir atteint la saturation», indique Claudia Holm, director chez S&P Capital IQ.Depuis le début de l’année jusqu’au 11 octobre, les émissions de dette européenne high yield ont totalisé 56,2 milliards d’euros, un montant record qui marque un bond de 98% d’une année sur l’autre. Cette forte activité est due pour beaucoup aux besoins de refinancement qui ont représenté 52,7% du total des émissions high yield, précise S&P Capital IQ. Tous les secteurs ont participé à l’activité du secteur high yield, les principaux contributeurs étant les services et le leasing pour 16,1% et l’automobile pour 13,1%.Toutes choses égales par ailleurs, cette évolution contraste avec celle observée aux Etats-Unis où les émissions de dette high yield ont reculé de 5% depuis le début de l’année par rapport aux niveaux enregistrés l’année précédente à 196,3 milliards de dollars."Les investisseurs ne sont pas du tout insensibles aux risques supplémentaires posés par les obligations high yield», ajoute Claudia Holm, «mais il est possible que les investisseurs aient désormais en tête la possibilité d’une remontée des taux d’intérêt à court et moyen terme et les risques liés à une telle évolution. Même si les obligations high yield semblent généralement beaucoup moins affectées par des modifications de taux d’intérêt que les autres titres de dette, il est clair aussi que les investisseurs recherchent des obligations à duration plus courte».
Les actifs des ETF ont enregistré une progression de 4,8% au mois d’octobre pour s'établir à 1.600 milliards de dollars. La collecte nette des ETF s’est élevée le mois dernier à 24,8 milliards de dollars, selon des chiffres communiqués par Cerulli.Les investisseurs ont surtout investi dans les fonds actions, précise Cerulli dans le numéro de novembre de «The Cerulli Edge-U.S. Monthly Product Trends». Lipper publie par ailleurs des statistiques sur l'évolution de l’activité des ETF en Europe. Sur les douze derniers mois à fin septembre, les actifs sous gestion des ETF ont progressé de 32,3 milliards d’euros ou 11,43% pour s'établir à 282,55 milliards d’euros. Sur les neuf premiers mois de 2013, la progression a été légèrement supérieure à 8% ou 21,23 milliards d’euros.Seulement 45 des 1.810 ETF européens détiennent des actifs supérieurs au milliard d’euros. La majorité de ces fonds (32 sur 45) sont des fonds actions, les autres étant des fonds obligataires (11) ou encore des fonds de matières premières (2° investissant dans l’or physique.
Selon la firme de conseil et d’audit Ernst & Young, les gestionnaires d’actifs pourraient être de plus en plus nombreux à lancer leur propre activité de réassurance, rapporte le site spécialisé Artemis. Les hedge funds notamment sont présents depuis plusieurs années dans l’univers de la réassurance. Ils ont investi directement dans les sociétés de réassurance et ils ont aussi compté au nombre des premiers investisseurs dans certains produits innovants comme les obligations catastrophe ou les ILS (insurance linked securities). Désormais, plusieurs de ces gestionnaires sophistiqués estiment que le secteur de la réassurance pourrait leur permettre de constituer de nouvelles sources pérennes de fonds propres par le biais de la création de leurs propres véhicules de réassurance.Exemple typique, un hedge fund crée sa propre société de réassurance. Le gestionnaire peut lever du capital pour financer l’entité de réassuurance, ce qui lui permet d’augmenter ses actifs sous gestion; il peut ensuite souscrire des produits de réassurance à faible volatilité tandis que le gestionnaire investit les primes dans des stratégies alternatives. Une stratégie suivie et éprouvée déjà mise en œuvre par plusieurs hedge funds à l’instar de Greenlight Capital, Third Point, SAC Capital ou encore Paulson. D’autres devraient suivre, estime Ernst & Young…
Credit Suisse a décidé d’abaisser les durations des portefeuilles obligataires de ses caisses de pension en prônant des approches plus actives et diversifiées. «De nombreuses caisses de pension ont opté pour la gestion passive au cours de l’année en passe de se terminer et cela leur a plutôt bien réussi dans la phase de taux actuelle. Mais ce qui frappe, c’est que les durations des obligations tendent à augmenter. Ce qui, au niveau encore très bas des taux actuels a pour effet d’accroître les risques sur les portefeuilles obligataires en cas de remontée des taux d’intérêt», selon Beat Zeller, le responsable de la clientèle institutionnelle de Credit Suisse, rapporte L’Agefi suisse.Sur les neuf premiers mois de l’année, l’indice des caisses de pension de Credit Suisse n’en affiche pas moins une performance de 4,1%. Grâce aux actions qui ont apporté une contribution de 2,4% pour les actions suisses et de 1,8% pour les titres étrangers. Alors que la contribution des obligations a été cette fois-ci légèrement négative, soit de 0,2% pour les emprunts suisses et autant pour ceux en monnaies étrangères.
Le fonds de pension des enseignants de l’Ontario (Ontario Teachers’ Pension Plan, OTPP) envisage d’augmenter son exposition internationale, notamment à l’Asie et aux marchés émergents, rapporte Asian Investor. L’exposition aux marchés émergents est actuellement limitée à 14% du total des actifs mais ce plafond pourrait être relevé, a indiqué Neil Petroff, chief investment officer d’OTPP.OTPP, qui a récemment ouvert un bureau à Hong Kong, sa première implantation en Asie, précise toutefois que la dette émergente ne fait pas partie de ses priorités. Dans la perspective d’une exposition accrue aux pays émergents, le fonds de pension envisage de s’installer au Brésil.Les actifs sous gestion du fonds de pension canadien s'élèvent à 127,3 milliards de dollars canadiens, soit environ 128 milliards de dollars US.
Mi-2013, 60 % des investisseurs d’Europe continentale étaient exposés à la dette émergente pour un montant cumulé de seulement 24 milliards d’euros, montre une étude réalisée par Indefi Market Research pour le compte d’Aberdeen Asset Management auprès de 161 investisseurs de 10 pays représentant plus de 1.000 milliards d’euros d’encours.Ce pourcentage masque toutefois des réalités différentes en fonction du type d’investisseurs concerné. Ainsi, sur le segment des distributeurs de fonds, le taux de pénétration est extrêmement élevé : 90 %. En revanche, seulement 44 % des investisseurs institutionnels sont exposés à la dette émergente. « Cette différence s’explique par le fait que les portefeuilles des clients finaux sont soumis à des contraintes moins strictes que les portefeuilles des institutionnels », indique Richard Bruyère, d’Indefi, qui présentait mardi l’étude.Chez les institutionnels, la situation est également hétérogène, selon le pays couvert. Ainsi, les trois quarts des institutionnels allemands sont investis dans la dette émergente, alors qu’en France, la proportion n’est que de 36 %.La pénétration auprès des institutionnels en France est entravée par une réglementation interdisant à certaines caisses de retraite d’investir en dette émergente. Pourtant, 56 % des investisseurs français jugent cette classe d’actifs stratégique.L’étude montre enfin que l’investissement dans la dette émergente se fait essentiellement par le biais de la délégation à des tiers (à 90 %). « La délégation se traduit essentiellement par la recherche de fonds globaux et activement gérés », précise Richard Bruyère, qui note que l’utilisation d’ETF est rare sur cette classe d’actifs.
En novembre, l’indice de confiance des investisseurs institutionnels de State Street affiche une baisse de 4,2 points à 91,3 par rapport au niveau de 95,5 (en données corrigées) enregistré en octobre. «Ce repli est attribuable à une chute relativement forte de la confiance des investisseurs en Europe, l’indice régional étant passé de 111,3 (en données corrigées) à 101,5 en novembre», note State Street. A l’inverse, la confiance des investisseurs en Amérique du Nord et en Asie s’est légèrement améliorée au cours du mois. Ainsi, l’indice de la confiance en Amérique du Nord termine en hausse de 3,2 points à 89,4 par rapport au niveau corrigé de 86,2 le mois dernier. Pour sa part, l’indice de la confiance des investisseurs en Asie s’adjuge 3,4 points de hausse, pour s’établir à 98,9 par rapport au niveau corrigé de 95,5 en octobre. «De meilleures données économiques américaines et l’ajournement de la réduction progressive des achats d’obligation par la Fed qu’implique le consensus ayant entouré la nomination de Mme Yellen à la présidence de cette institution, semblent motiver le regain de confiance des investisseurs en Amérique du Nord», commente Ken Froot, auteur de l’indice. «Les investisseurs américains sont certes toujours conscients des problèmes, et ceci se reflète dans la confiance au niveau mondial, qui n’a pas encore retrouvé son niveau neutre», ajoute-t-il.
Dans la vague d’investissements étrangers dans des sociétés cotées espagnoles, on remarque quatre grands noms : BlackRock, Vanguard, NBIM et BNP Paribas, constate Expansión. Ces quatre gestionnaires détiennent des participations représentant au total 26,18 milliards d’euros, ce qui correspond à 5,1 % des firmes de l’indice Ibex 35. Et 60 % de leurs investissements sont allés à quatre sociétés : le Santander, le BBVA, Telefónica et Grifols. Cependant, le fonds souverain norvégien (GPFG géré par NBIM, ndlr), BlackRock et Vanguard sont présents dans respectivement 30, 25 et 21 des 35 valeurs de l’indice-phare de la Bourse espagnole.
«Dans le contexte actuel de répression financière, il est risqué de ne pas prendre de risque», estime dans un entretien aux Echos Franck Dixmier, directeur général France d’Allianz GI et CIO taux pour l’Europe. «Investir sur des rendements faibles, même dans un contexte d’inflation basse, c’est prendre le risque d’une perte en termes réels. La faiblesse des rendements offerts sur la dette souveraine nous a incités à accroître la diversification de nos placements obligataires, notamment sur la dette des émetteurs privés. Depuis trois ans, nous avons renforcé nos efforts de recherche et disposons d’une équipe de 8 analystes crédit à Paris, en relation avec nos 70 analystes actions à travers le monde. Nous nous positionnons aussi sur des niches comme la dette émergente, la dette d’infrastructures ou les placements privés en zone euro», explique Franck Dixmier.
Axa Real Estate Investment Managers, agissant pour le compte d’Axa France Insurance Companies, et Norges Bank Investment Management (NBIM), qui gère le fonds souverain norvégien, ont acquis la tour SZ à Munich pour un prix anticipé de 164,1 millions d’euros à Prime Office REIT.Cette tour est un ensemble de bureaux de 62.200 mètres carrés et de 28 étages, qui est entièrement loué et sert de quartier général à un groupe d’édition allemand (la Süddeutsche Zeitung). La transaction, qui devrait être bouclée avant la fin de l’année, donne à chaque partenaire dans la joint venture une participation de 50 % dans le bâtiment.