Nos articles d’actualité et d’analyse sur les projets d’investissement d’un point de vue macro comme micro, au niveau des entreprises comme des acteurs financiers.
Le sondage Global Investor Pulse 2013 de BlackRock auprès de 17.600 personnes dans 12 pays a montré dans le cas de l'échantillon représentatif de 1.000 Français que nos concitoyens épargnent beaucoup (19 % de leur revenu mensuel), mais que leur allocation s’avère sous-optimale dans l’optique de la retraite.En effet, ont souligné Alex Hoctor-Duncan, head of EMEA Retail et Gad Amar, head of French retail, les personnes interrogées souhaiteraient en moyenne disposer à la retraite d’un revenu annuel de 30.850 euros par couple et s’imaginent qu’il leur suffirait pour cela de constituer un capital de 188.000 euros lors de la cessation d’activité. En réalité, d’après les calculs de BlackRock, il faudrait amasser 771.250 euros en dépôts traditionnels.Dans ces conditions, il faudrait que les Français adoptent une vision de plus long terme et acceptent un surcroît de risque, par exemple en investissant en actions. D’autant que le revenu moyen par couple de retraités est dans la réalité de seulement 14.600 euros et que seules 44 % des personnes interrogées ont déjà commencé à épargner en vue de leur retraite.Cela posé, la situation ne s’avère guère plus brillante dans les autres pays. Les Allemands visent 44.000 euros de retraite annuelle par couple, mais pensent y parvenir avec 183.000 euros alors qu’il leur faudrait 1,75 million d’euros. Pour les Britanniques, qui visent 28.000 livres par an, un bas de laine de 260.000 livres paraît suffisant. Mais BlackRock estime qu’il leur faudrait 550.000 livres. Pour les Suisses, le revenu annuel devrait être de 67.000 francs suisses avec une épargne de 515.000 francs suisses, mais le calcul de gestionnaire donne plutôt 986.000 francs suisses.BlackRock a observé une déformation intéressante du comportement d'épargne de ses clients : les investisseurs recherchent des produits à revenu défini, des actions européennes, des produits en multigestion, des fonds à duration courte et des supports à performance absolue. Ils considèrent aussi que la baisse subie par les émergents commence à offrir des points d’entrée intéressants.
Les douze derniers mois ont conforté l’attrait des grandes artères commerçantes mondiales, selon l'étude annuelle du conseil international en immobilier d’entreprise Cushman & Wakefield, Main Streets Across the World, publiée le 13 novembre. «85 % des 333 emplacements analysés par Cushman & Wakefield dans 64 pays ont enregistré une hausse ou une stabilité de leur valeur locative, tandis que l’ensemble du marché mondial a connu une augmentation annuelle de 3,2 %», annonce Christian Dubois, directeur général de Cushman & Wakefield France. Certes moins forte que l’an passé (+ 4,5 %), cette nouvelle hausse continue de traduire la forte concurrence que se livrent les enseignes pour disposer des plus belles vitrines sur les artères les plus renommées et les plus fréquentées des grandes métropoles mondiales. «Le secteur du luxe est un facteur de croissance particulièrement important, la demande soutenue des plus grands groupes ayant conduit à de nombreuses ouvertures destinées à profiter de l’essor du tourisme international, de la vigueur du marché américain et de l’enrichissement d’une partie de la population des pays émergents», explique Christian Dubois. Causeway Bay, qui avait ravi en 2012 à la 5e avenue à New York la première place du classement des artères commerçantes les plus chères du monde, conforte cette année sa domination, devant la 5e avenue à New York. Les Champs-Elysées restent loin derrière. Toutefois, l’avenue parisienne a accru en 2013 son avance sur Ginza à Tokyo et New Bond Street, à Londres. «Après un bond de 30 % entre 2011 et 2012, la valeur locative prime a connu une nouvelle augmentation de 38,5 % au cours des 12 derniers mois, la plus forte enregistrée parmi les principales artères commerçantes mondiales. Ainsi, les plus beaux emplacements des Champs-Elysées continuent à se louer à des niveaux record, comme l’a illustré la prise à bail par Tag Heuer d’une boutique au n°104de l’avenue », commente Christian Dubois. Si le segment moyen/haut-de-gamme constitue une part importante de l’activité des meilleurs sites, le bouillonnement du luxe reste la cause première du bond des valeurs locatives en France. Après les Champs-Elysées, les plus fortes progressions ont ainsi été enregistrées rue du Faubourg Saint-Honoré et avenue Montaigne (+ 25 % sur un an dans ces deux artères). Les enseignes de luxe demeurent de fait très sélectives quant au choix de leur adresse, privilégiant les artères les plus prestigieuses du Triangle d’Or au travers de nombreux projets de création (Pucci et Qela avenue Montaigne), d’extension/rénovation et de transfert (Loewe et Valentino avenue Montaigne, Moncler Rue du Faubourg Saint-Honoré). Les valeurs locatives prime ont augmenté de 2,1 % dans l’ensemble de l’Europe, soit une croissance moindre qu’en Amérique (+ 5,8 %) ou en Asie-Pacifique (+ 4,6 %). Cela dit, le vieux continent est le seul à avoir connu une hausse supérieure à celle enregistrée l’an passé. Cette légère embellie tient à l’amélioration du climat économique mais surtout, comme en France, au dynamisme du luxe. Celui-ci est notamment à l’origine de la forte hausse des valeurs locatives sur New Bond Street, à Londres (+ 15,6 %), qui passe de la 6e à la 4e place du classement mondial. 2014 devrait prolonger les tendances récemment observées sur le marché de l’immobilier de commerces dans le monde. Ainsi, à l’exception de certains pays particulièrement affectés par la crise (Grèce, Irlande), les valeurs locatives devraient généralement rester stables ou continuer de progresser du fait du rebond attendu de la croissance économique, de la forte concurrence que se livrent les plus grandes enseignes de fast fashion ou du luxe, et de la rareté de l’offre disponible sur les meilleurs emplacements. «Les prix élevés et la raréfaction d’opportunités sur les sites les plus prisés, et l’arrivée constante de nouveaux acteurs désireux de renforcer leur visibilité internationale devraient également confirmer la popularité d’artères «émergentes» proches des secteurs commerçants les plus établis», conclut Christian Dubois.
La Corée du Sud et la Russie doivent annoncer mercredi un fonds commun de 500 millions de dollars pour stimuler le commerce et les investissements entre les deux pays, à l’occasion de la visite de Vladimir Poutine à Séoul, anticipe le Financial Times. Le fonds, qui sera financé et géré par le Russian Direct Investment Fund et la Korea Investment Corporation, s’inscrit dans le cadre des efforts pour multiplier par trois les flux d’investissements directs entre les deux pays sur les deux prochaines années.
Le marché de l’investissement en immobilier d’entreprise en France est toujours aussi dynamique. Selon les chiffres de BNP Paribas Real Estate, au troisième trimestre, 4,9 milliards d’euros ont été engagés, soit une hausse de 41 % comparé à la même période de 2012. Sur les neuf premiers mois de l’année 2013, le marché français affiche 12,9 milliards d’euros investis (+27 % sur un an), soit un niveau supérieur à la moyenne des dix dernières années qui s’établit à 12 milliards d’euros.L’Île-de-France reste le marché privilégié des investisseurs. La région attire 77 % des investissements. De son côté, le marché de l’investissement en régions affiche de bon résultat, en hausse de 40 % par rapport aux neuf premiers mois de l’année 2012.L’actif préféré des investisseurs demeure le bureau avec 64 % des montants investis. Les services enregistrent 19 % des engagements en 2013. «Plusieurs transactions significatives sont recensées en hôtels, la dernière en date concerne l’acquisition par Blackstone du Concorde Opéra à Saint-Lazare pour un montant avoisinant les 250 millions d’euros», note BNP Paribas Real Estate.Concernant la typologie des acquéreurs, ce sont toujours les acteurs disposant d’importantes liquidités qui dominent le marché. Les compagnies d’assurances françaises et les SCPI progressent en 2013 pour atteindre 44 % des montants investis. Les fonds d’investissement représentent cette année 23 % des sommes investies sur le marché français. Par ailleurs, toujours selon la même étude,
La collecte nette des fonds actions est en bonne voie pour atteindre son plus haut niveau depuis l’année 2000, selon la dernière livraison du Pridham Report. Selon les statistiques de l’association britannique des gestionnaires d’actifs (IMA), la collecte nette des fonds actions a d’ores et déjà dépassé la barre des 8 milliards de livres sur les neuf premiers mois de l’année.Au troisième trimestre, Standard Life Investments arrive en tête des meilleures ventes avec une collecte nette de 819,9 millions de livres. Viennent ensuite Schroders avec un montant de 622,1 millions de livres, Artemis (498,5 millons de livres), Henderson (481,9 millions de livres) et BlackRock (471,8 millions de livres).
Les investisseurs ont retrouvé une certaine confiance dans l'économie mondiale dans le sillage de la résolution de la crise budgétaire aux Etats-Unis, selon le dernier sondage BofA Merrill Lynch réalisé entre le 1er et le 7 novembre auprès d’un échantillon de participants représentant 599 milliards de dollars d’actifs sous gestion.Avec la sortie de l’impasse budgétaire, les investisseurs sont 67% à estimer que l'économie mondiale va se renforcer au cours des douze prochains mois, une progression de 13 points de pourcentage par rapport au mois précédent. Interrrogés sur la fin de la politique accommadante de la Réserve fédérale, les investisseurs ont été 48% à estimer que le début du «tapering» interviendrait en mars 2014, 18% programmant ce resserrement de la politique monétaire américaine pour le deuxième trimestre de l’année prochaine.Les investisseurs ont revu leur allocation actions légèrement à la hausse avec une surpondération à 52%, alors qu’ils ont parallèlement augmenté leur sous-pondération sur les obligations. Le plus gros mouvement a été en faveur des actions émergentes globales, qui sont à nouveau surpondérées, alors que les surpondérations sur les actions de la zone euro et les actions japonaises ont été attenuées.Il est intéressant de noter que pour la première fois depuis 2004, les gestionnaires sont très légèrement majoritaires à considérer que les actions sont surévaluées. Au niveau régional toutefois, les actions européennes sont encore sous-valorisées dans des proportions considérables par rapport aux actions américaines.Du côté des marchés émergents, la perspective d’un atterrissage brutal de la Chine a fait figure de principal risque extrême, ce qui a poussé les professionnels à revoir leur surpondération sur le pays à seulement 11%, soit un recul de 45 points de pourcentage par rapport au mois précédent. La Chine a toutefois la préférence des investisseurs parmi les marchés BRIC pour les douze prochains mois et prend ainsi la place de la Russie. La désaffection vis-à-vis des actions chinoises a profité aux actions coréennes, qui affichent une surpondération de 56%, en progression de 34 points de pourcentage d’un mois sur l’autre.
L’indice Lyxor des hegde funds affiche une progression de 1,58% au mois d’octobre, ce qui porte sa performance depuis le début de l’année à 4,80%.Toutes les stratégies ont terminé dans le vert, notamment les stratégies exposées aux actions. Les stratégies L/S Equity Long Bias ont ainsi dégagé un gain de 1,6% en octobre, ce qui a porté la performance depuis le début de l’année à 13%.Les stratégies CTA Long Term ont de leur côté enregistré une hausse de 4,03% en octobre mais accusent encore une baisse de 2,37% depuis le début de l’année.
En Europe de l’Ouest, l’immobilier d’entreprise prospère. Dans les neuf principaux marchés analysés par BNP Paribas Real Estate, «Central London», «Central Paris», Berlin, Munich, Francfort, Hambourg, Bruxelles, Madrid et Milan, le volume d’investissement atteint 35,4 milliards d’euros au cours des trois premiers trimestres de 2013, en hausse de 20 % par rapport à la même période de l’année précédente. «Central Paris» et les 4 principales villes allemandes se révèlent particulièrement dynamiques, avec des hausses moyennes de 27 % entre les neuf premiers mois de 2012 et 2013 grâce au dynamisme de l’investissement de bureaux. À l’inverse, «Central London» enregistre une légère baisse du volume d’investissement en bureaux. Malgré cela, le volume total reste positif et «Central London» continue de dominer les 8 autres principaux marchés,avec 14 milliards d’euros investis depuis le début de l’année 2013.
Un comité nommé par le gouvernement norvégien recommande que les décisions du fonds souverain norvégien (800 milliards de dollars d’encours) sur l’exclusion de sociétés ou de secteurs pour des raisons éthiques soient prises par la banque centrale du pays, rapporte le Financial Times. Aujourd’hui, c’est le ministre norvégien des Finances qui prend ces décisions, sur les conseils d’un comité d’éthique principalement composé de professeurs norvégiens. Ce système suscite des critiques, car il conduit à des processus de décisions très longs.
Le nombre de campagnes activistes d’actionnaires contre les entreprises a plus que doublé en trois ans, rapporte le Financial Times. Selon une nouvelle étude d’Activist Insight réalisée pour le compte de Linklaters, 415 campagnes activistes ont été recensées dans le monde sur les 12 derniers mois, contre 172 en 2010. Alors que les activistes se concentraient précédemment sur les banques et groupes de services financiers, leurs cibles sont désormais plus diversifiées.
Le fournisseur d’ETF alternatifs ProShares a annoncé le 7 novembre le lancement d’un nouvel ETF, le Proshares Investment Grade-Interest Rate Hedged qui est présenté comme le premier ETF d’obligations en catégorie d’investissement qui propose une couverture intégrée comme la remontée des taux d’intérêt.Le nouveau véhicule vise une duration de zéro par le biais de ventes à découvert sur les Treasury futures. ProShares a déjà lancé cette année une stratégie similaire de couverture sur les obligations high yield.
Gide et Clifford Chance conseillent respectivement le groupe Crédit Agricole SA et la Société Générale dans le cadre de leurs négociations exclusives en vue de la cession par Crédit Agricole CIB à Société Générale de sa participation de 50 % dans Newedge Group, leur joint-venture commune de courtage, pour un montant de 275 millions d’euros. Au terme de cette opération, Société Générale détiendrait 100 % de Newedge Group. Les deux cabinets conseillent également l’acquisition concomitante par Crédit Agricole S.A. auprès de Société Générale d’une participation de 5 % dans Amundi, leur filiale commune de gestion d’actifs, pour un montant de 337,5 millions d’euros. Au terme de cette opération, le Crédit Agricole détiendrait 80 % d’Amundi et Société Générale, 20 %. La réalisation du projet est soumise à un accord final entre les parties et à l’approbation des autorités réglementaires compétentes, et sera soumise par ailleurs à la consultation des instances représentatives du personnel.
Un grand nombre de hedge funds lancent actuellement des fonds long-only en pariant qu’au moins certaines actions conservent un potentiel de hausse, constate The Wall Street Journal.Ainsi Tiger Capital a-t-il déjà collecté 1,3 milliard de dollars pour un fonds long-only lancé le 1er octobre. Coatue Management a lancé lui aussi un fonds long-only en mai et Craig McBeth prévoit d’en lancer un avec une commission de gestion de 1 % et une commission de performance de 25 %, mais souvent les nouveaux fonds sont moins chers que les hedge funds traditionnels affichant des commissions de gestion de 2 % et de performance de 20 %.Quant à Bill Fleckenstein, il prévoit de lancer un nouveau fonds short-only au début de l’an prochain.
Le hedge fund américain Fintech Advisory spécialiste de la dette distressed, achète pour 960 millions de dollars Telecom Argentina et des actifs connexes auprès de Telecom Italia, qui vend sa filiale pour se désendetter, rapporte The Wall Street Journal. David Martinez, le CEO de Fintech, a confirmé cette acquisition vendredi.
The Wall Street Journal rapporte que les hedge funds américains sont de plus en plus nombreux à investir dans les obligations municipales, introduisant des tactiques agressives sur un marché de 3.700 milliards de dollars. Parmi les noms de fonds cités figurent ceux de Scoggin Capital Management, Brigade Capital Management, Claren Road Asset Management, Rosemawr Management, Avenue Capital Group, Pine River Capital Management, Capital Research & Management et Farallon Capital Management.
Dans une interview à Bloomberg Radio relayée par le Handelsblatt, Bill Gross, gérant du Pimco Total Return Fund (248 milliards de dollars), a indiqué avoir investi au moins 10 milliards de dollars sur le Markit CDX North American Investment Grade Index, un indice de CDS qui couvre 125 obligations d’entreprises américaines de catégorie investissement, depuis Ford Motor jusqu’à Staples : cela ne représente après tout que moins de 0,5 % des encours totaux de Pimco.Sur le fond, Pimco parie que ces titres vont monter tandis que la Fed poursuivra sa politique accommodante jusque dans le courant de 2014.
Franklin Templeton a acheté des obligations ukrainiennes internationales pour un montant de près de 5 milliards de dollars fin août, soit un cinquième du total de la dette gouvernementale internationale du pays en circulation, rapporte le Financial Times. Les investissements ont été pilotés par Michael Hasenstab, qui a aussi été l’architecte des achats massifs de dette irlandaise, ce qui avait aidé à calmer les marchés du pays dans le sillage de la crise financière. Ce pari irlandais a été payant pour la société de gestion. Mais l’investissement ukrainien est potentiellement plus risqué, commente le FT.
Le fonds Perceva Capital se dit prêt à étudier le dossier Hédiard placé en redressement judiciaire fin octobre, rapporte L’Agefi. Selon Jean-Louis Grevet, le président de Perceva Capital, spécialisé dans le retournement d’entreprises et propriétaire depuis 2010 de Dalloyau aux côtés de la famille Bernardé, «cela permettrait de profiter des spécialités de chaque société, le traiteur et la pâtisserie-chocolaterie pour Dalloyau, l'épicerie pour Hédiard, afin de développer les canaux de distribution et le chiffre d’affaires». Le chiffre d’affaires d’Hédiard s'élève à environ 20 millions d’euros. Sa perte opérationnelle représenterait environ la moitié de son chiffre d’affaires annuel, soit 10 millions d’euros.
Dans l’Agefi, Maud Minuit, responsable directionnel taux et aggregate chez Groupama AM, revient notamment sur la baisse du taux refi à 0,5%, «une décision que nous n’attendions pas, et dont la probabilité s'était fortement accrue avec la publication de chiffres d’inflation en forte baisse en zone euro», indique-t-elle. Par ailleurs, Maud Minuit indique qu’un nouveau LTRO lui paraît probable en 2014 pour continuer d’assurer la liquidité à plus d’un an des banques les plus dépendantes de la BCE. Une action est toujours envisageable sur l'éligibilité des collatéraux, précise la responsable.
Plusieurs grands gérants de hedge funds parmi les plus connus ont pris des participations ces dernières semaines dans des distributeurs ou leurs fournisseurs, rapporte le site institutionnel alpha. Parmi les hedge funds cités figurent notamment Citadel, Tiger Cubs, Lone Pine Capital et Tiger Global Management. Lone Pine a par exemple fait état de l’acquisition d’une part de 5,4% dans GAP. Lone Pine a également acquis 5,4% du discompteur Dollar General et 5,6% de DSW (chaussures).