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Les investisseurs européens continuent de rechercher du rendement, selon les dernières statistiques de collecte en Europe de Morningstar. Les fonds de long terme (hors fonds de fonds et nourriciers) ont affiché une collecte record de 115,12 milliards d’euros au premier trimestre. Et les fonds monétaires ont connu des rachats sur les trois premiers mois de 2013, ce qui signifie que les investisseurs continuent de rechercher le rendement plutôt que la sécurité malgré la crise de la zone euro.Au cours du seul mois de mars, Les investisseurs ont continué de rechercher les fonds obligataires, qui ont affiché une collecte de 15,1 milliards d’euros en mars. Les fonds d’allocation ont enregistré une collecte nette de 8,8 milliards et les fonds actions ont engrangé 4,2 milliards d’argent frais.Les fonds obligataires diversifiés en dollars ou en euros et les fonds britanniques grandes capitalisations mixtes ont affiché les plus fortes décollectes en mars. Les rachats s'élèvent à plus de 2 milliards d’euros au total pour les fonds obligataires et à 843 millions d’euros pour les fonds britanniques.Templeton Global Total Return Fund grimpe sur la première marche des fonds long terme en Europe à la fois pour mars et pour le premier trimestre avec des collectes de respectivement 1,72 milliard et 4,29 milliards d’euros.Viennent ensuite pour le premier trimestre Pimco GIS Unconstrained Bd avec 2,538 milliards d’euros, JP Morgan Asia Pacific Income Fund (2,47 milliards d’euros) et Templeton Glb Bond (1,99 milliard d’euros).
La société de gestion danoise Carnegie Asset Management Fondsmaeglerselskab A/S, spécialisée dans les actions internationales, a annoncé l’ouverture d’un bureau de représentation au centre financier international de Dubai (DIFC), selon le bulletin hebdomadaire de Mena Fund Manager.Une décision qui s’inscrit dans le cadre de la stratégie de développement de la société au Moyen-Orient.
Quelques heures à peine avant le coup d’envoi de l’assemblée générale d’UBS, Eric Knight a diffusé un texte dans lequel il demande à ce que l'établissement suisse se scinde en deux, avec d’un côté sa banque d’investissement et de l’autre sa gestion de fortune, rapporte Les Echos.Le fondateur et directeur général de Knight Vinke juge que les activités du géant zurichois sur les marchés ont «presque détruit» le groupe. «La banque d’investissement est un business très risqué et ces risques représentent une menace sérieuse pour la gestion de fortune d’UBS et pour son réseau bancaire en Suisse», juge cet actionnaire qui possède moins de 1 % de la banque. Les actionnaires ont toutefois approuvé à 82,5% le rapport de rémunération des dirigeants.
Au premier trimestre 2013, les catégories de mutual funds affichant les plus fortes croissances ont été les actions sectorielles (14%), l’alternatif (12% et les actions américaines (10%), selon The Cerulli Edge-U.S. Monthly Product Trends du mois d’avril.Malgré les multiples évocations dans les publications spécialisées d’une «grande rotation» des obligations vers les actions, les fonds obligataires ont fait mieux que l’ensemble des autres catégories de mutual funds, avec une collecte nette de près de 70 milliards de dollars depuis le début de l’année.Toutes les classes d’actifs ont progressé au premier trimestre, à l’exception notables des obligations municipales qui ont enregistré une croissance proche de zéro.Les actifs des ETF ont augmenté de 8,8% à 1.400 milliards de dollars au premier trimestre. Les ETF les plus recherchés ont été les ETF sur les actions américaines qui ont enregistré une collecte nette de 16,3 milliards de dollars, les ETF sur les actions internationales (16 milliards de dollars) et les ETF dédiés aux actions sectorielles (15,7 milliards de dollars).A noter la forte croissance des fonds de prêts bancaires qui sont passés du neuvième rang en termes de collecte en 2012 à la quatrième place en février 2013. Les actifs de ces fonds de dette s'élèvent à plus de 97 milliards de dollars, à hauteur de 85,4% dans des mutual funds ouverts, le reliquat étant géré dans d’autres véhicules ou directement pour des clients institutionnels.
Directeur de la gestion diversifiée chez CPR AM, Malik Haddouk rappelle dans l’Agefi Hebdo de cette semaine que CPR AM est investi à hauteur de 800 millions d’euros (dans le cadre de la gestion diversifiée) dans des ETF au travers de ses différents portefeuilles. «En fait, nous ne regardons pas un, mais plusieurs critères : la performance de l’ETF, les actifs sous gestion, la tracking error. Nous voulons des ETF ayant des tracking errors faibles, c’est-à-dire collant à l’indice de référence - c’est la première fonction de ces produits -, mais également des ETF dont la performance est bien entendu en ligne avec l’indice qu’ils sont censés répliquer, quelle que soit la période retenue», souligne-t-il dans un entretien.
Au premier trimestre 2013, l’indicateur de marché Market Regime Indicator (MRI) publié par State Street Global Advisors est passé d’un régime de « faible aversion au risque » à un « mode normal ». Cet indicateur macroéconomique développé par l’équipe Investment solutions de SSgA est utilisé pour identifier le niveau d’aversion au risque sur plusieurs marchés, et ses niveaux aident à déterminer le degré d’appétit pour le risque des investisseurs. Le niveau du MRI est calculé à partir de la volatilité implicite des actions, la volatilité des devises et des spreads sur le fixed income."Le 1er trimestre 2013 a vu se dérouler une succession d’événements politiques et économiques majeurs. En effet, la dévaluation du Yen japonais , la crise chypriote ou encore, le manque de stabilité politique en Italie ont eu un impact direct sur les marchés», a commenté SSgA.
Les investisseurs dans les ETP, qui ont récemment délaissé le métal jaune, ont investi dans d’autres métaux précieux comme le platine ou le palladium, selon le dernier bulletin hebdomadaire publié par ETF Securities. La décollecte des ETP dédiés à l’or s'élève à 419 millions de dollars depuis le début du mois, précise ETF Securities qui précise que les détenteurs d’ETP sur l’or continuent de vendre alors que la demande de pièces, de lingots ou de bijoux reste soutenue. Les investisseurs passifs s’intéressent à d’autres métaux précieux. Le ETFS Palladium Trust a ainsi enregistré la semaine dernière une collecte de 19,8 millions de dollars, alors que ETFS Physical Platinum a drainé 8,7 millions de dollars. Selon des prévisions récentes de Capital Economics, l’or devrait terminer l’année 2013 à environ 1.700 dollars l’once, soit son niveau de fin 2012, alors que le platine pourrait progresser à 1.700 dollars l’once d’ici à fin 2013 contre 1.527 dollars fin 2012, et que le palladium pourrait atteindre 800 dollars l’once contre 704 dollars un an plus tôt.
L’indice mondial de la confiance des investisseurs, publié par State Street, a augmenté de 5,5 points en avril pour terminer à 93,6 par rapport au niveau de 88,1 (en données corrigées) enregistré en mars.C’est le bond de 10,2 points de l’indice régional de la confiance des investisseurs institutionnels en Amérique du Nord, passé de 95,6 en mars (en données corrigées) à 105,8, qui est à l’origine de cette hausse. Pour sa part, la confiance des institutions européennes et asiatiques affiche un léger repli, l’indice européen de la confiance des investisseurs reculant de 3,9 points pour s’établir à 87,8 tandis que l’indice asiatique termine à 85,2, en baisse de 2,1 points."L’indice de la confiance en Amérique du Nord est désormais à son niveau le plus élevé depuis mai 2011. On notera également que sur le plan sectoriel, les flux se sont orientés de préférence vers les secteurs défensifs comme les services d’utilité publique, ce qui peut signaler une certaine circonspection vis-à-vis du secteur des ressources naturelles et plus généralement des perspectives de croissance mondiale», commentent les auteurs de l'étude.
Selon une étude de The Economist relayée par Fondsnieuws, le taux de rotation moyen des fonds d’investissement est passé de 15 % en 1950 à environ 100 % en 2011, ce qui se traduit par une hausse des coûts de transaction.Le taux de frais sur encours se situe à respectivement 1,39 % et 1,07 % pour les fonds américains de petites et de grandes capitalisations, mais les coûts moyens de transactions ressortent en moyenne à 3,17 % et 0,84 %.Et les fonds avec les coûts de transactions les plus élevés sont aussi ceux qui ont les performances les plus basses.
Le Fonds stratégique d’investissement (FSI) a bouclé hier l’acquisition pour environ 45 millions d’euros d’une participation de près de 5,5 % dans Technicolor. Cette opération lui permet de détenir, conjointement avec la Caisse des Dépôts, 7,5 % du capital et des droits de vote du groupe. Le FSI, qui avait fait une première déclaration de franchissement de seuil (5 %) le 26 mars, n’exclut pas d’accroître encore sa participation. Mais cette opération lui permet déjà de « contribuer au renforcement et à la stabilisation de l’actionnariat de cet acteur important du secteur des médias et du divertissement », souligne Jean d’Arthuys, membre du comité exécutif du fonds. Avec 7,5 % des actions, le FSI devient le deuxième actionnaire de Technicolor, derrière le fonds Vector Capital (20,7 %).
BNP Paribas REIM France vient de finaliser l’acquisition de 4 cliniques pour le compte de l’OPCI Health Property Fund 1 (HPF1) auprès de Gecimed, filiale deGecina dédiée à l’immobilier de santé. Le montant de la transaction s'élève à 80 millions d’euros. L’OPCI RFA EL (avec effet de levier) poursuit la constitution de son patrimoine avec un objectif de 500 millions d’euros d’actifs sous gestion au terme de sa période d’investissement, indique un communiqué. En 2012, HPF1 a réalisé un volume d’investissement de plus de 120 millions d’euros avec l’acquisition de 9 EHPAD et de 4 cliniques et établissements psychiatriques. Ces établissements exploitent un total de 1251 lits et places.
La Fondation Rockefeller (3,6 milliards de dollars d’encours) s’est lancé dans l’impact investing, rapporte le Financial Times fund management, qui a interviewé sa présidente Judith Rodin. Elle a déjà investi 140 millions de dollars dans ce domaine. Et Judith Rodin prédit que cela représentera 5-10 % du portefeuille moyen dans dix ans.
Les fonds de pension japonais envisagent de modifier leur politique d’allocation en privilégiant les classes d’actifs alternatives et l’obligataire étranger, rapporte Asian Investor qui évoque une étude annuelle de JP Morgan («Japan Pensions Industry Database).Selon cette étude, les projets d’allocation aux classes d’actifs alternatives, entre autres les marchés émergents, progressent sur un an de 1,9 point de pourcentage à 10,6%. Egalement en hausse, les allocations envisagées sur les obligations étrangères couvertes (3,6% contre 3,5%) et non couvertes (8,8% contre 8,2%). L'étude propose un examen plus détaillé des allocations dans les classes d’actifs alternatives qui signalent notamment une exposition inédite aux stratégies multi-classes d’actifs ainsi qu'à la dette immobilière. Par ailleurs, on observe des allocations plus importantes dans la performance absolue, le capital investissement, l’immobilier et les Reits. A noter que les Reits japonais ont dégagé au premier trimestre un rendement de 35,8%.
Un fonds immobilier d’UBS a vendu pour environ 300 millions d’euros la tour de bureaux Skyper de Francfort (39 étages, 41.000 mètres carrés) à Allianz Real Estate, qui l’a acquise pour plusieurs sociétés du groupe Allianz. Les principaux locataires du Skyper sont la Bundesbank, la société de gestion Deka Investmentfonds, HSBC et le cabinet d’avocats Bird & Bird & Weil Gotshal & Manges.UBS avait acheté cet actif à Deka-Immobilien en 2006. Le coût de la construction de cet immeuble livré en 2005 est estimé à 480 millions d’euros.
Les conseillers en investissement enregistrés (RIA) intéressent de plus en plus les gestionnaires d’actifs. Selon une étude du cabinet de recherche Cerulli Associates, les actifs de ces conseillers en investissement assermentés devraient représenter environ un quart des actifs totaux d’ici à la fin 2014 contre moins de 19% en 2010."Le segment des RIA a enregistré une croissance plus importante que celle du marché et suscite un intérêt de plus en plus marqué de la part des gestionnaires d’actifs», selon Tyler Cloherty, associate director chez Cerulli Associates.
Le 22 avril, l’Edhec-Risk Institute a démarré son activité de conception et de production d’indices de beta intelligent, ERI Scientific Beta, qui met en œuvre des produits destinés à l’investissement Smart Beta 2.0, annonce l’Edhec le 29 avril.L’information sur ces indices sera distribuée gratuitement. La mise au point de cette infrastructure, disponible sur la plate-forme stratégique scientificbeta.com, a coûté plus de 6 millions d’euros. Elle a occupé une trentaine de personnes pendant ces deux dernières années et il est prévu de doubler cet effectif sur les deux ans qui viennent.Depuis le 22 avril, la plate-forme Scientific Beta propose 30 indices vedettes destinés aux stratégies de beta intelligent dans le domaine de la diversification. Ultérieurement, ERI Scientific Beta lancera des indices pour d’autres stratégies (style, pondération fondamentale, réplication de facteurs, liquidité optimale). L’objectif est d’avoir d’ici un an une gamme d’une centaine d’indices flagship gratuits couvrant tous les choix possibles de beta intelligent. L’information sera transparente sur une base journalière et permet aux investisseurs de répliquer gratuitement ces indices. A terme, l’offre comportera 2.242 indices sur mesure.Le chiffre d’affaires de la plate-forme ERI Scientific Beta proviendra de la fourniture de moyens d’analyse avancés permettant à l’investisseur d’effectuer une analyse en profondeur des risques et des performances des indices de beta intelligent. Ces outils sont uniques sur le marché, selon l’Edhec, parce qu’ils sont dynamiques et permettent aux investisseurs de tester la qualité et la robustesse de l’indice qu’ils ont choisi avant toute décision sur le modèle de pondération ou des facteurs de risque.En tant qu’organisation à but non lucratif, l’ERI Scientific Beta facturera un montant raisonnable de 10.000 euros (13.000 dollars) annuels pour la possibilité de personaliser un indice en fonction des risques choisis par l’investisseur Smart Beta 2.0 et pour l’accès aux outils d’analyse avancés qui permettront aux investisseurs d’effectuer une analyse en profondeur à la fois des risques que comportent les indices de beta intelligent et les conséquence de leurs choix en matière de personalisation des indices sur la performance et le risque de l’indice.
L’assureur Ageas, héritier de la banque Fortis, démantelée en 2010 à la suite de la crise financière de 2008, a annoncé le 27 avril dans un communiqué la cession de Royal Park Investment, la structure qui regroupait les actifs pourris de Fortis. Ageas détenait 44,7% de cette «band bank», et l’Etat belge 43,5%, le reste étant détenu par BNP Paribas.Elle a été cédée à Credit Suisse et Lone Star pour un montant total de 6,7 milliards d’euros. «Après remboursement de la dette, on s’attend finalement à ce que cela se traduise par un paiement en espèces à Ageas de 1,04 milliard d’euros», précise un communiqué."Un prix total de 2,3 milliards d’euros, dont 1,2 milliard reviennent à l’Etat belge», a précisé le ministre belge des Finances, Koen Geens, à la RTBF. Cette somme devrait servir à réduire le niveau d’endettement du pays, conformément aux exigences de la Commission européenne.
Les investisseurs institutionnels sont de plus en plus nombreux à considérer l’allocation dans des indices alternatifs comme une nouvelle approche active dans la gestion du beta, selon une étude réalisée par Northern Trust auprès de 51 investisseurs institutionnels représentant un encours cumulé de 800 milliards de dollars d’actifs sous gestion."Plutôt que de considérer les options de stratégie d’investissement comme actives ou passives, les investisseurs estiment aujourd’hui qu’il existe un continuum d’options au sein des solutions beta, avec les indices traditionnels pondérés par la capitalisation d’un côté, et les stratégies actives à 100% de l’autre», explique John Krief, managing director de la gestion d’actifs pour la région Europe, Moyen Orient et Afrique (EMOA) chez Northern Trust. Parmi les institutionnels interrogés par Northern Trust, trois sur dix investissent dans des indices alternatifs et 32% envisagent d’utiliser ces indices. Parmi ceux qui les utilisent déjà, six sur dix indiquent qu’ils ont accru leur allocation au cours des deux dernières années. Les indices alternatifs intéressent les investisseurs car ils permettent d’avoir accès à du rendement en captant l’exposition à des facteurs spécifiques comme la valeur, le momentum et la volatilité. Mais l'étude souligne que prendre la décision d’investir dans un indice alternatif, choisir dans quel indice investir constituent des décisions actives : 60% des investisseurs interrogés estiment que la décision d’allocation dans un indice alternatif est bien équivalente à une prise de décision active, qui exige le même niveau de due diligence. L'étude relève que la valeur et la basse volatilité sont les deux facteurs les plus recherchés par les investisseurs (plus de 50% de l'échantillon) et que la grande majorité d’entre eux (plus de 92%) indiquent qu’ils cherchent à réduire leur risque à travers leurs expositions aux indices alternatifs. La diversification est également évoquée par 84,6% des investisseurs qui ne sont que 54% à mentionner le rendement. Cela dit, près de la moitié des investisseurs estiment que la complexité de ces indices, souvent nouveaux, peut freiner leur intérêt d’autant plus que les plus récents n’ont pas d’historique de performance à faire valoir.
Les hedge funds long/short figurent en tête des stratégies les plus performantes au premier trimestre, selon le cabinet de recherche Preqin. Le rendement net cumulé de ces stratégies s’inscrivent à 4,43%, indique le dernier Hedge Fund Spotlight de Preqin.Les stratégies long/short sont aussi les plus recherchées par les investisseurs, 43% de ceux prévoyant de se tourner vers les hedge funds dans les douze prochains mois ayant prévu de favoriser le long/short. Et les fonds long/short ont aussi représenté 58% de l’ensemble des lancements du premier trimestre 2013, contre 36% au premier trimestre 2012.Les stratégies macro ont enregistré des rendements de seulement 1,17% au premier trimestre, mais les lancements dédiés à cette stratégie sont passés de 32% du total au quatrième trimestre 2012 à seulement 14% au premier trimestre. L’appétit des investisseurs pour cette stratégie reste pourtant à son plus haut niveau depuis le deuxième trimestre 2012. Les investisseurs sont encore 29% à rechercher de tels fonds, contre 37% au deuxième trimestre 2012.Les CTA affichent la plus mauvaise performance, avec un gain de seulement 0,21%, si bien l’appétit des investisseurs pour cette stratégie est en net recul. Ils ne sont plus que 17% à s’intéresser à ces stratégies contre 25% au deuxième trimestre 2012.
La recherche des termes du vocabulaire financier sur Google peut être utilisée pour prévoir la tendance des marchés, selon une analyse du moteur de recherche sur une période près de dix ans, rapporte le Financial Times.L'étude publiée dans Scientific Reports montre la recherche accrue de termes tels que «titres», «portefeuille» et «économie» signale une inquiétude accrue sur l'état des marchés qui est généralement suivie par des baisses de marché. En revanche, une diminution des recherches de tels termes est souvent le signe d’un optimisme accru des investisseurs qui se traduit par un meilleur comportement des marchés.