Nos articles d’actualité et d’analyse sur les projets d’investissement d’un point de vue macro comme micro, au niveau des entreprises comme des acteurs financiers.
Russell Investments a annoncé la conclusion d’un accord de partenariat avec Distribution Technology pour la fourniture d’analyses de profils de risque indépendantes pour 16 de ses fonds et portefeuilles de référence.L’analyse des profils de risque prend en compte des facteurs tels que la volatilité, la performance, ainsi que les allocations tactiques et stratégiques afin d'évaluer le niveau de risque des différentes stratégies pour les investisseurs. Les profils de risque seront revus sur une base trimestrielle.Les stratégies concernées par l’analyse sont les suivantes:Russell Defensive Assets FundSecure Model PortfolioCautious Model PortfolioConservative Model PortfolioRussell Multi Asset Income FundModerate Model PortfolioBalanced Model PortfolioRussell Multi Asset Growth FundRussell Real Assets FundProgressive Model PortfolioAdventurous Model PortfolioGrowth Model PortfolioAggressive Model PortfolioAggressive Plus Model PortfolioRussell International Growth Assets Fund etRussell UK Growth Assets Fund
Pour la 9ème année d’affilée, Deutsche Bank est numéro un mondial sur les changes, avec une part de marché de 15,18 % selon l’enquête annuelle d'« Euromoney », rapporte Les Echos. La banque Citi est deuxième avec 14,9 % de part de marché contre 12,26 % en 2012, et obtient même deux places de leader, l’une sur les transactions au comptant et l’autre sur les devises émergentes avec 15,6 % de part de marché. Barclays (3 ème), UBS (4 ème) et JP Morgan (6 ème), enregistrent une modeste baisse de leur part de marché mais conservent leur rang. HSBC (5 ème) enregistre un gain de 6,7 % à 6,9 % de sa part de marché.Dans un contexte de légère décrue des volumes de transactions mondiaux, de 3 %, l’Asie s’est avérée la zone la plus dynamique devant l’Europe : son poids est passé de 21 % à 26 % alors que celui de l’Europe a baissé de 49 % à 44 % sous l’effet notamment du repli de l’activité des « hedge funds » sur le Vieux Continent.
Malgré la très bonne tenue de plusieurs grands marchés actions, les investisseurs ont continué de favoriser l’obligataire début mai. Les deux classes d’actifs ont toutefois réalisé des collectes hebdomadaires supérieures à 10 milliards de dollars. Les fonds obligataires ont ainsi enregistré une collecte nette de 13,07 milliards de dollars durant la semaine au 8 mai, selon les statistiques communiquées par EPFR Global.La société de recherche souligne que les fonds obligataires associés à une prise de risque plus élevée ont encore été très recherchés. Les stratégies high yield, Europe, marchés émergents en devises locales ou encore total return ont toutes enregistré des collectes nettes supérieures au milliard de dollars durant la semaine sous revue.Les fonds actions, soutenus pour la première fois depuis trois semaines par le regain d’intérêt des investisseurs retail, ont terminé la semaine au 8 mai sur une collecte nette de 10,49 milliards de dollars. EPFR Global relève que les fonds dédiés aux Etats-Unis ont représenté plus de 50% de tous les flux dans les fonds obligataires et plus de 70% de tous les flux dans les fonds actions.Les fonds monétaires ont enregistré une collecte de 21,67 milliards de dollars, un niveau jamais vu depuis début janvier.
D’ici à 2020, le nombre de millionnaires chinois devrait doubler, positionnant le pays juste derrière les Etats-Unis, selon les prévisions de WealthInside publiées par Asian Investor. Leur nombre devrait ainsi passer de 1,3 million en 2012 à 3,3 millions. Les millionnaires indiens devraient être plus d’un million en 2020. Selon une enquête de HSBC auprès de clients de Chine continentale, 70 % prévoient à l’avenir de confier la gestion de leurs avoir financiers à un professionnel et d’investir hors des frontières chinoises.
Le spécialiste obligataire Bill Gross a réduit ses positions cash dans son portefeuille phare, le Pimco GIS Total Return Bond dont les actifs sous gestion s'élèvent à 292 milliards de dollars, à 3% dernièrement contre 8% à fin mars, rapporte Citywire. Le gestionnaire a également ramené son exposition au crédit en catégorie d’investissement de 9% fin mars à 7%.Bill Gross ainsi renforcé son exposition aux Treasuries, de 28% en février à 33% fin mars et 39% à fin avril. Bill Gross a également redéployé des liquidités sur les MBS et la dette émergente. L’exposition aux MBS atteint désormais 34% contre 1% à fin mars tandis que la dette émergente pèse 8% contre 1% à fin mars.
Le fonds souverain norvégien a décidé de réduire significativement son exposition aux obligations indexées sur l’inflation en raison de l'étroitesse de ce marché, rapporte le Financial Times.Le fonds, qui affichait un encours d’obligations indexées de 95,7 milliards de couronnes norvégiennes en juin 2012, l’a ramené à un peu plus de 42 milliards à la fin de 2012 pour le faire tomber à 26,1 milliards de couronnes au terme du premier trimestre. Les perspectives d’inflation ont diminué aux Etats-Unis et en Europe où les inquiétudes sur les risques dé déflation ont pris le dessus.
Les actifs des hedge funds spécialisés sur l’Asie ont progressé au premier trimestre de 7,6% pour s'établir à près de 95 milliards de dollars, leur plus haut niveau depuis les sommets atteints en 2007, selon les statistiques communiquées par HFR dans son dernier bulletin asiatique HFR Asian GHedge Fund Industry Report.La collecte nette du trimestre s’est élevée à plus de 1,3 milliard de dollars, son plus haut niveau depuis le troisième trimestre 2011.L’indice HFRX Japan a enregistré un gain de 11,7% au premier trimestre, le plus élevé depuis le quatrième trimestre 2005, en retrait toutefois par rapport au bond de 19% du Nikkei 225. HFR estime que, sur un total d’un peu plus de 1.150 fonds, près de 370 hedge funds investissent en priorité sur les marchés japonais, en actions, obligations et devises, alors que quelque 270 fonds investissent par ailleurs dans les pays asiatiques développés et émergents, plus de 500 fonds investissant uniquement dans l’Asie émergente.HFR souligne que plus de 70% des actifs sous gestion dans les hedge funds asiatiques sont dédiés à des stratégies Equity Hedge, contre seulement 27% pour le secteur des hedge funds au niveau mondial. Seulement 5% des hedge funds asiatiques déclinent des stratégies macro.
Le fournisseru d’indices S&P Dow Jones Indices a annoncé le 6 mai le lancement du S&P 500 Buyback Index, un indice permettant de mesurer la performance des 100 premiers titres affichant les ratios de rachat les plus élevés au sein du S&P 500 au cours des douze dernier mois."Les rachats peuvent être considérés comme un indicateur important de la santé des entreprises. Tout comme les dividendes, les rachats sont un autre moyen pour les entreprises de rendre de la valeur aux actionnaires. En 2012, les sociétés du S&P 500 ont racheté pour 399 milliards de dollars de titres, et continuent de détenir des montants records de cash».
Selon une étude réalisée par Greenwich Associates et parrainée par iShares, les investisseurs institutionnels utilisent toujours davantage les ETF de diverses manières pour résoudre leurs problèmes d’investissement et plus de la moitié d’entre eux comptent recourir davantage à ces instruments d’ici à la fin de l’année.Cette quatrième étude annuelle a porté sur l’allocation des entreprises, des fonds de pension publics, des fondations et, pour la première fois, des consultants en investissement, des compagnies d’assurances et des registered investment advisors (RIA) aux Etats-Unis.D’après Greenwich Associates, 58 % des responsables interrogés (contre 57 % en 2012) utilisent les ETF avec une approche stratégique (pour un an ou davantage), mais 70 % d’entre eux s’en servent de manière tactique (contre 48 % l’an dernier), a rapporté Daniel Gamba, head of iShares Americas Institutional Business.L'étude montre que l’utilisation la plus commune des ETF par les investisseurs institutionnels s’inscrit dans le cadre des cœurs de portefeuille, ce qui vaut pour 72 % des assureurs et 67 % des fonds de pension et fondations. Environ 80 % des RIA se servent des ETF comme d’exposition passive cœur de portefeuille et 90 % des consultants en investissement recommandent à leur clients des placements dans ce type de produits pour une exposition passive de leurs portefeuilles cœur/satellite.Enfin, Greenwich constate que 90 % des investisseurs institutionnels utilisent des ETF pour leur exposition aux actions américaines et 74 % pour leur portefeuille d’actions étrangères. Les ETF gagnent également du terrain dans le domaine obligataire, puisque 55 % des responsables interrogés sont exposés à ce type de produits pour l’obligataire américain, avec une proportion de 78 % chez les assureurs et de 74 % chez les RIA.
Les investisseurs tablent en grande majorité sur une progression des performances boursières en 2013, selon une enquête mondiale de Franklin Templeton sur le sentiment des investisseurs. Dans les marchés émergents, 66 % anticipent une amélioration de leur marché boursier local, contre 58 % dans les pays développés. Mais cet optimisme ne pousse pas les investisseurs à prendre plus de risques. 57 % des personnes sondées envisagent de poursuivre une stratégie d’investissement plus prudente cette année, note l’enquête. En tête des prudents, les jeunes investisseurs entre 25 et 34 ans. Ils indiquent massivement que les actions ne sont pas essentielles pour atteindre leurs objectifs d’investissement à long terme. «Par rapport aux autres tranches d'âges sondées, ce sont également les moins susceptibles de penser que les actions surperformeront les autres classes d’actifs et les plus susceptibles d'être prudents en 2013", souligne Franklin Templeton. Cela posé, c’est parmi cette classe d'âge que l’on trouve le plus grand nombre d’actifs actuellement investis à l'étranger (en moyenne 38 %) et qui semblent les plus disposés à investir à l'étranger à l’avenir.Cette tendance se retrouve sur l’ensemble des investisseurs. 66 % ont le sentiment que de meilleures opportunités en termes d’actions et d’obligations pourront être décelées en dehors de leur marché local en 2013. Sur une base géographique, la majorité des investisseurs (28 %) considère que les marchés actions asiatiques présentent les meilleures opportunités en termes de rendement .Même s’ils ne sont pas encore prêts à investir la plupart de leurs actifs à l'étranger en 2013, les investisseurs envisagent d’en placer près de 40 % sur des marchés étrangers au cours des 10 années à venir, à parts égales entre les marchés développés et émergents. En France, trois quarts des investisseurs locaux projettent d’investir dans l’Hexagone au cours des 12 prochains mois, contre un quart dans d’autres parties d’Europe et en Asie. Même s’ils ont le sentiment que les opportunités de performances sont meilleures à l'étranger, près de la moitié (46 %) pense n’investir qu’en France.
Les actifs sous gestion outre-Manche ont atteint au mois de mars le niveau record de 718,5 milliards de livres, contre 706,6 milliards de livres en février 2013 et 615 milliards de livres en mars 2012, selon les statistiques publiées par l’association britannique des gestionnaires d’actifs (IMA).La collecte nette retail s’est élevée en mars dernier à 787 millions de livres contre 1,4 milliard de livres en février et 1,5 milliard de livres en mars 2013. Au cours des cinq premiers jours d’avril, la collecte nette a totalisé 347 millions de livres, un montant plus élevé que la collecte mensuelle moyenne des onze derniers mois.La collecte nette auprès des investisseurs isntitutionnels s’est inscrite à 391 millions de livres contre 1,64 milliard de livres le mois précédent.Le secteur IMA de la performance absolue, qui doit être renommé «Targeted Absolute Return», a enregistré en mars une collecte nette retail de 334 millions de livres, la plus élevée depuis décembre 2009. Viennent les fonds diversifiés 20-60% actions avec une collecte nette de 245 millions de livres, les obligations globales (220 millions de livres et le secteur «Global Equity Income» (150 millions de livres).
Comme annoncé il y a un peu plus de deux semaines (lire Newsmanagers du 18 avril), le britannique Schroders vient de compléter son offre institutionnelle dans le domaine des «insurance linked securities» en prenant une participation de 30 % dans le suisse Secquaero Advisors (215 millions d’euros d’encours fin mars). Et, avant la fin de l’année, le gestionnaire britannique compte proposer aux investisseurs institutionnels allemands un véhicule transparent et coordonné, investi en instruments cotés, notamment des emprunts catastrophe (cat bonds) mais également dans des assurances couvrant les risques de pandémie et des assurances automobiles.
Le spécialiste des ETF Christian Magoon lance une nouvelle société dédiée à l’univers des ETF, YieldShares, qui va se concentrer sur le développement et la commercialisation de fonds avec une orientation marquée sur les revenus, une niche de marché de son point de vue sous-exploitée, rapporte IndexUniverse.Son premier ETF, en cours d’enregistrement, est le YieldShares High Income ETF, un fonds qui sera investi dans quelque 30 fonds fermés spécialisés sur les actions.
Les actifs sous gestion des fonds alternatifs au format Ucits s'établissaient à la fin du premier trimestre 2013 à 96,1 milliards d’euros contre 82,4 milliards d’euros à fin décembre 2012, selon les dernières statistiques communiquées par MondoAlternative. Sur ce total, 93,4 milliards d’euros sont gérés par des single managers, 2,7 milliards par des fonds de fonds. Compte tenu de 19 nouveaux fonds proposés sur le marché et de 22 liquidations, le nombre de fonds s’inscrivait fin mars à 499 contre 502 à fin décembre 2012.Durant le trimestre sous revue, la collecte des single managers s’est élevée à 7,3 milliards de d’euros, la collecte des fonds de fonds représentant 24 millions d’euros. Les boutiques de hedge funds, qui pilotent 18,5% de l’encours, ont collecté 256 millions d’euros au premier trimestre contre 643 millions d’euros sur l’ensemble de 2012 tandis que les gestionnaires d’actifs globaux attiraient 7 milliards d’euros.contre 6,8 milliards d’euros pour l’année 2012.L’indice global des fonds alternatifs Ucits a progressé de 1,44% au premier trimestre, l’indice des fonds de fonds affichant pour sa part une hausse de 2,18%. Les stratégies les plus performantes du trimestre ont été le Long/Short Equity, avec un gain de 3,82%, devant le Relative Value (+1,79%), les managed futures (+1,75%) et les Gtaa ou Global Tactical Asset Allocation (1,61%).
«Actuellement, le marché est redevenu propice aux actions européennes. Depuis six mois, c’est le fondamental qui a repris le dessus sur la macro au jour le jour. Maintenant, c’est le «stock-picking» qui nous aide beaucoup, parce que la tendance sera plus sélective, les titres ne progressant plus uniformément», a indiqué lundi lors d’un passage à Paris Philippe Brugère-Trélat, gérant du compartiment Franlin Mutual European Fund*. Ce fonds de droit luxembourgeois spécialiste des titres value affichait fin mars un encours de 2,35 milliards d’euros répartis sur 73 lignes, avec des souscriptions nettes depuis le début de l’année («mais nous n’avons pas encore pas ressenti la fameuse Grande Rotation») et quelques sorties nettes en 2012.Interrogé sur ses préférences actuelles, le gérant-vedette de Franklin Mutual Series souligne que les valeurs européennes très internationales «ont été le grand thème de 2012, mais [que] tout le monde est monté dans le train, désormais, de sorte qu’il est plus difficile de trouver les bons».En ce qui le concerne, Philippe Brugère-Trélat a pris ses bénéfices au quatrième trimestre 2012 sur les alimentaires et les tabac (Nestlé, Ricard, Imperial Tobacco), parce que «les défensives sont devenues très chères». Il s’est recentré sur les industrielles et exportatrices comme Kingfisher, Metro ou Safran, et surpondère les financières (Axa) ainsi que certaines banques très épouvées l’an dernier comme HSBC.* LU0140363002
Le patron du fonds souverain norvégien, Yngve Slyngstad, a indiqué qu’il lui faudra plusieurs années pour augmenter dans des propositions significatives son exposition à l’immobilier. Yngve Slyngstad a récemment confirmé sa stratégie de développement dans l’immobilier, à l’occasion d’une audition devant la commission permanente des affaires économiques et financières du Parlement norvégien mais ajouté qu’il faudra quelques années pour atteindre l’objectif d’une allocation de 5% dans l’immobilier». Actuellement, malgré les efforts d’investissement engagés l’an dernier, la poche immobilière représente seulement 0,9% des encours. Les investissements ont pour l’essentiel été réalisés en Europe (Suisse, France, Allemagne et Royaume-Uni), mais le fonds a eu le feu vert en février pour investir sur le marché américain."Le rendement attendu à long terme sur les actifs réels est plus élevé que les obligations nominales», a souligné devant la même commission le gouverneur de la banque centrale de Norvège, Oystein Olsen. «Le risque est aussi plus élevé», a-t-il ajouté, «mais l’horizon d’investissement de long terme nous met dans une position très solide pour porter ce risque».
Le SPDR Gold Trust ETF est l’ETF préféré des hedge funds, selon le dernier classement réalisé par Insider Monkey. Paulson & Co, First Eagle Investment Management ou encore Empyrean Capital Partners font partie des principaux hedge funds qui ont jeté leur dévolu sur cet ETF. Malheureusement pour eux, le fonds accuse un recul de quelque 12% depuis le début de l’année.Le numéro deux parmi les ETF préférés des hedge funds est le Financial Select Sector SPDR qui lui affiche une progression de près de 14% depuis le début de l’année et a été sélectionné par entre autres Renaissance Technologies, Moore Global ou encore Tudor Investment.iShares MSCI Emerging Markets Indx, le numéro trois sur la liste, est le favori notamment de Duquesne Capital et d’Arrowstreet Capital, Il accuse un recul de près de 3% depuis le début de l’année. En quatrième position, iShares FTSE/Xinshua China 25 index marque une baisse de plus de 7% depuis le début de l’année alors que le iShares Russell 2000 Index, sélectionné par Dreman Value Management et D.E. Shaw & Co, affiche une performance de plus de 11% depuis le début de l’année.SAC Capital et Caxton Associates peuvent se réjouir d’avoir jeté leur dévolu sur le iShares MSCI Japan Index, qui arrive en sixième position et qui a progressé de 19,64% depuis le début de l’année. En revanche, le Market Vectors Junior Gold Miners ETF, retenu par Soros Fund Management ou encore Tiger Management, accuse une baisse de plus de 36% depuis le début de l’année.
Des statistiques macroéconomiques ternes et l’approche de réunions de politique monétaire des deux côtés de l’Atlantique ont poussé fin avril les investisseurs vers les placements obligataires. Durant la semaine au 1er mai, les fonds obligataires ont ainsi enregistré une collecte record de 10,3 milliards de dollars, dont il est vrai 2 milliards de dollars liés au lancement d’un fonds, selon les statistiques communiquées par EPFR Global.Les fonds actions ont de leur côté enregistré des souscriptions pour un montant net de 2,24 milliards de dollars. Depuis leurs plus-bas de juin 2012, les fonds d’actions européennes ont progressé en moyenne de quelque 25%. Les investisseurs institutionnels ont depuis investi près de 10 milliards de dollars dans ces fonds européens. Toutefois, durant la même période, les investisseurs retail sont restés très réservés et sont à l’origine de rachats pour un montant net de 8 milliards de dollars.A noter l’intérêt des investisseurs pour les fonds sectoriels, entre autres les fonds dédiés aux financières, aux biens de consommation et aux télécommunications. Les fonds immobiliers ont encore enregistré une collecte nette de 833 millions de dollars durant la semaine au 1er mai.Les fonds monétaires ont affiché une décollecte de plus de 21 milliards de dollars, seuls les fonds monétaires japonais s’inscrivant à contre-courant avec une collecte nette de 1,4 milliard de dollars.
Les investisseurs européens continuent de rechercher du rendement, selon les dernières statistiques de collecte en Europe de Morningstar. Les fonds de long terme (hors fonds de fonds et nourriciers) ont affiché une collecte record de 115,12 milliards d’euros au premier trimestre. Et les fonds monétaires ont connu des rachats sur les trois premiers mois de 2013, ce qui signifie que les investisseurs continuent de rechercher le rendement plutôt que la sécurité malgré la crise de la zone euro.Au cours du seul mois de mars, Les investisseurs ont continué de rechercher les fonds obligataires, qui ont affiché une collecte de 15,1 milliards d’euros en mars. Les fonds d’allocation ont enregistré une collecte nette de 8,8 milliards et les fonds actions ont engrangé 4,2 milliards d’argent frais.Les fonds obligataires diversifiés en dollars ou en euros et les fonds britanniques grandes capitalisations mixtes ont affiché les plus fortes décollectes en mars. Les rachats s'élèvent à plus de 2 milliards d’euros au total pour les fonds obligataires et à 843 millions d’euros pour les fonds britanniques.Templeton Global Total Return Fund grimpe sur la première marche des fonds long terme en Europe à la fois pour mars et pour le premier trimestre avec des collectes de respectivement 1,72 milliard et 4,29 milliards d’euros.Viennent ensuite pour le premier trimestre Pimco GIS Unconstrained Bd avec 2,538 milliards d’euros, JP Morgan Asia Pacific Income Fund (2,47 milliards d’euros) et Templeton Glb Bond (1,99 milliard d’euros).
L’an dernier, Legal & General Investment Management (LGIM) a intensifié ses efforts pour combattre des rémunérations excessives en votant contre 126 politiques de rémunérations et 22 présidents des comités de rémunérations dans les société où elle avait investi, rapporte le Financial Times Fund Management (FTfm).Parmi les sociétés concernées figurent WPP, Barclays, Pendragon, novartis, UBS, Credit Suisse et UniCredit.LGIM indique aussi avoir étendu sa pratique du droit de vote aux pays émergents, maintenant qu’elle est plus exposée à ces pays.