Retrouvez toute l’actualité en lien avec la hausse des prix (publications de l’Insee, d’Eurostat, de l’indice IPH, du PCE américain) et nos analyses sur les causes de l’inflation, ses conséquences sur l’économie, sur la politique monétaire (BCE, Fed) et sur les marchés (Bourses, marché de taux, devises).
L’indice moyen des prix à la consommation a augmenté de 2,79% au Vietnam en 2019, selon les données gouvernementales du General Statistics Office (GSO) publiées vendredi. Le coût des services de santé et des médicaments a augmenté de 3,84%, tandis que les services d'éducation ont coûté 4,24% de plus. Les coûts des aliments et des services alimentaires ont augmenté de 5,78%. La hausse des prix à la consommation s’est accélérée en décembre : +5,23% par rapport à l’année précédente, +1,40% par rapport à novembre. L’inflation sous-jacente – hors aliments, énergie, santé et éducation - a augmenté de 2,01% en moyenne en 2019.
Le monde à l’envers, les banquiers centraux qui luttaient depuis 30 ans contre l’inflation se désespèrent aujourd’hui de ne pourvoir reflatter l’économie, Le problème d’une inflation trop faible, voire d’une déflation, c'est qu'elle entraine des taux à des niveaux bas, voire négatifs et leur remontée passe obligatoirement par une phase de baisse des actifs
L’inflation dans la zone euro a ralenti en octobre à +0,7% sur un an, après +0,8% en septembre, en raison de la baisse des prix de l'énergie, s'éloignant un peu plus de l’objectif de la Banque centrale européenne (BCE), selon Eurostat. En excluant l'énergie et les produits alimentaires non-transformés, le taux d’inflation reste inchangé à +1,2% en rythme annuel. La France affiche un indice des prix harmonisés IPCH en hausse de +0,9% sur un an, après +1,1% en septembre. L’indice des prix à la consommation (IPC) s’inscrit en hausse de +0,7% sur les douze mois fin octobre, contre +0,9% fin septembre.
L’inflation dans la zone euro a ralenti en octobre à +0,7% sur un an, après +0,8% en septembre, en raison de la baisse des prix de l'énergie, s'éloignant un peu plus de l’objectif de la Banque centrale européenne (BCE), montre la première estimation publiée jeudi par Eurostat. En excluant l'énergie et les produits alimentaires non-transformés, le taux d’inflation reste inchangé à +1,2% en rythme annuel.
Robert Holzmann, le gouverneur de la Banque d’Autriche, a estimé le 18 octobre que la Banque centrale européenne devrait abaisser son objectif d’inflation, aujourd’hui proche de 2%, dans le cadre d’une révision de sa politique. «Il devient trop coûteux et difficile d’atteindre la cible, vous avez besoin de trop de liquidités pour le faire», a indiqué le banquier central à Reuters, en marge des rencontres du FMI à Washington. S’agissant de la nouvelle cible d’inflation, «1,5% est ma préférence mais si quelqu’un disait 1,2%, je ne dirais pas non», a ajouté Robert Holzmann, qui a critiqué publiquement les dernières mesures de relance annoncées par la BCE en septembre.
L’inflation en zone euro a ralenti en septembre en rythme annuel, à +0,9% après +1,0% en août, selon la première estimation publiée mardi par Eurostat. Les prix à la consommation des 19 pays ont augmenté de 0,2% sur un mois.
Les prix à la production dans la zone euro ont légèrement augmenté en juillet, de +0,2% après quatre mois de recul, mais uniquement à cause de la hausse des prix de l'énergie. Ces prix, conformes aux estimations du marché selon Eurostat, avaient notamment connu un repli de -0,6% en juin. La hausse de juillet s’explique par une augmentation de 1% des prix de l'énergie, très volatils, qui avaient reculé de 2,2% le mois précédent. Hors énergie, les prix à la production dans la zone euro ont baissé de -0,1% en juillet, ce qui témoigne de la faiblesse persistante des pressions inflationnistes au sein de la zone euro.
Les prix à la production dans la zone euro ont légèrement augmenté en juillet, de +0,2% après quatre mois de recul, mais uniquement à cause de la hausse des prix de l'énergie. Ces prix, conformes aux estimations du marché selon Eurostat, avaient notamment connu un repli de -0,6% en juin. La hausse de juillet s’explique par une augmentation de 1% des prix de l'énergie, très volatils, qui avaient reculé de 2,2% le mois précédent. Hors énergie, les prix à la production dans la zone euro ont baissé de -0,1% en juillet, ce qui témoigne de la faiblesse persistante des pressions inflationnistes au sein de la zone euro.
Les prix à la consommation dans la zone euro ont augmenté de 1% en août sur un an, comme en juillet, selon la première estimation publiée vendredi par Eurostat, l’agence européenne de la statistique. Le taux annuel d’inflation est conforme aux attentes des économistes sondés par le Wall Street Journal.
L’inflation dans la zone euro a ralenti plus qu’attendu en juillet, selon les statistiques définitives publiées lundi par Eurostat. Les prix à la consommation dans les 19 pays ont augmenté de +1,0% seulement en rythme annuel le mois dernier, après +1,3% en juin, alors que le consensus Reuters prévoyait un ralentissement moins marqué à +1,1%. Les prix des produits industriels (hors énergie) ont reculé de 3,3% d’un mois sur l’autre, et ceux de l'énergie de 0,6%. L’inflation de base, hors énergie et aliments non transformés, ressort à +1,1% sur un an et -0,5% sur un mois.
La faiblesse de l’inflation, restée stable en juin à 1,2% sur un an selon Eurostat, ainsi que la persistance d’incertitudes pour l’avenir justifient la poursuite d’une politique monétaire active par la Banque centrale européenne, a déclaré vendredi François Villeroy de Galhau, membre du conseil des gouverneurs de l’institution de Francfort. «Aujourd’hui, l’inflation reste trop faible à 1,2% par rapport à notre objectif de 2%, et trop d’incertitudes demeurent pour l’avenir», a déclaré le gouverneur de la Banque de France, lors d’un discours prononcé à Berlin lors de la journée des entreprises familiales allemandes. L’inflation sous-jacente, hors alimentation et énergie, est néanmoins remontée à 1,2% après 1,0% en mai, alors que le marché l’attendait inchangée.
La faiblesse de l’inflation ainsi que la persistance d’incertitudes pour l’avenir justifient la poursuite d’une politique monétaire active par la Banque centrale européenne, a déclaré vendredi François Villeroy de Galhau, membre du conseil des gouverneurs de l’institution de Francfort. «Aujourd’hui, l’inflation reste trop faible à 1,2% par rapport à notre objectif de 2%, et trop d’incertitudes demeurent pour l’avenir», a déclaré le gouverneur de la Banque de France, lors d’un discours prononcé à Berlin à l’occasion de la journée des entreprises familiales allemandes.
L’inflation en Espagne, calculée aux normes européennes, est tombée en juin à son plus bas en rythme annuel depuis novembre 2016, selon l’Institut national de la statistique (INE). L’indice des prix calculé aux normes harmonisées en vigueur dans l’Union européenne (IPCH) affiche une hausse de 0,6% seulement sur un an, d’après les premières estimations. Le consensus Reuters prévoyait une inflation de 0,8% après une hausse de 0,9% en mai. La chute des prix du carburant et de l’électricité explique cet écart. La croissance de l'économie espagnole a atteint 0,6% au deuxième trimestre. Le produit intérieur brut (PIB) espagnol a augmenté de 0,7% au premier trimestre.
L’inflation en Espagne, calculée aux normes européennes, est tombée en juin à son plus bas niveau en rythme annuel depuis novembre 2016, a annoncé jeudi l’Institut national de la statistique (INE). L’indice des prix calculé aux normes harmonisées en vigueur dans l’Union européenne (IPCH) affiche une hausse de 0,6% seulement sur un an d’après les premières estimations. Les économistes interrogeaient par Reuters prévoyaient une inflation de 0,8% après une hausse de 0,9% en mai. La chute des prix du carburant et de l’électricité explique cet écart. L’inflation est même de 0,4% en la calculant aux normes nationales, précise l’INE, au plus bas depuis septembre 2016.
Le président de la Banque centrale européenne (BCE), Mario Draghi, a déclaré mardi que de nouvelles mesures de soutien monétaire seraient nécessaires si les perspectives de la zone euro ne s’amélioraient pas. Il a notamment évoqué de nouvelles baisses des taux d’intérêt et une reprise du programme d’achat d’actifs de la BCE.