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Industrie

avril 2019

04/04/2019

L’usine General Electric de Belfort serait menacée

Bercy suit de près le sort de l’usine General Electric (GE) à Belfort, l’un des principaux actifs d’Alstom Power, racheté en 2015 par le conglomérat américain. Selon plusieurs médias, dont Le Monde, les syndicats redoutent un plan de 800 à 900 suppressions d’emplois en 2019, sur un total de 1.900 dans l’activité concernée. Cela fait suite à la chute des commandes des plus puissantes turbines à gaz (60 hertz) pour centrales électriques. La semaine dernière, GE a signé avec les syndicats un accord qui prévoit 180 départs volontaires à Belfort dans la division Alstom Power Systems, qui emploie encore 1.100 salariés à Belfort. Damien Meslot, maire de Belfort, Florian Bouquet, président du conseil départemental, Ian Boucard, député du Territoire de Belfort, Michel Zumkeller, député, et Cédric Perrin, sénateur, ont écrit ce mercredi au président Emmanuel Macron, selon l’antenne locale de France 3.
04/04/2019

DowDuPont annonce un regroupement d'actions 

Le groupe de chimie DowDuPont a annoncé mercredi qu’il proposerait à ses actionnaires de valider un regroupement d’actions en assemblée générale extraordinaire, prévue le 23 mai. Le conseil d’administration envisage un ratio de conversion compris entre 2 actions nouvelles pour 5 actions existantes et 1 action nouvelle pour 3 existantes. L’opération vise à augmenter son cours de Bourse parallèlement au projet de distribution de l’ensemble des actions ordinaires de sa filiale agricole Corteva, selon le communiqué. La branche spécialisée dans les sciences des matériaux Dow Inc. cote depuis lundi comme entité séparée, et a été intégrée à l’indice Dow Jones.
03/04/2019

L’usine General Electric de Belfort pourrait être menacée

Bercy suit de près le sort de l’usine General electric (GE) à Belfort, l’un des principaux actifs d’Alstom Power, racheté en 2015 par le conglomérat américain. Selon plusieurs médias, dont Le Monde, les syndicats craignent l’annonce d’un plan de 800 à 900 suppressions d’emplois en 2019, sur un total de 1.900 dans l’activité concernée. Cela fait suite à la chute des commandes des plus puissantes turbines à gaz (60 hertz) pour centrales électriques. Larry Culp, son nouveau PDG, prévenait récemment dans un entretien à l’agence Bloomberg que le redressement du pôle «power» de GE nécessiterait «un effort de plusieurs années».
01/04/2019

Siemens intègre le projet de cloud industriel de Volkswagen

Volkswagen a annoncé que Siemens allait rejoindre la plate-forme de production numérique industrielle basée sur le cloud qu’il prévoit de développer avec Amazon. «Siemens jouera un rôle essentiel en garantissant que les équipements et machines des 122 usines de production de Volkswagen sont efficacement connectés au cloud», a indiqué le constructeur automobile allemand. VW et Amazon ont annoncé mercredi dernier un partenariat en vue de gérer les données des sites de production de Volkswagen afin d’optimiser les procédures et d’améliorer la productivité.

mars 2019

29/03/2019

Siemens rejoint le projet de cloud industriel de Volkswagen

Volkswagen a annoncé que Siemens allait rejoindre la plate-forme de production numérique industrielle basée sur le cloud qu’il prévoit de développer avec Amazon. « Siemens jouera un rôle essentiel en garantissant que les équipements et machines des 122 usines de production de Volkswagen sont efficacement connectés au cloud », a indiqué le constructeur automobile allemand.
29/03/2019

Eric Meurice est nommé président de Soitec

Le conseil d’administration de Soitec vient de nommer Eric Meurice à la présidence non-exécutive du groupe de matériaux semi-conducteurs innovants. Il succède à Thierry Sommelet, qui a assuré cette fonction pour une période de transition prolongée de 16 mois. Ce dernier continuera à contribuer aux travaux du conseil et des comités. Eric Meurice conserve ses fonctions de président du comité de la stratégie et de membre du comité des nominations.
29/03/2019

Osram avertit sur ses résultats, son titre chute 

Le spécialiste allemand de l'éclairage Osram a abaissé jeudi ses prévisions de résultats pour 2019, en citant notamment la faiblesse du secteur automobile, et le ralentissement général de l'économie. Osram s’attend désormais à une baisse de 11% à 14% du chiffre d’affaires des activités poursuivies en 2019. Il tablait auparavant sur une hausse de 3% maximum. Il prévoit une marge d’exploitation comprise entre 8% et 10% contre une précédente fourchette de 12% à 14%. Le groupe allemand - qui fut récemment la cible des groupes Carlyle et Bain - avait déjà prévenu sur un début d’exercice morose. L’action Osram perdait plus de 10% à la Bourse de Francfort suite à cet avertissement.
28/03/2019

Osram avertit sur ses résultats, le titre chute 

Le spécialiste allemand de l'éclairage Osram a abaissé jeudi ses prévisions de résultats pour 2019, en citant notamment la faiblesse du secteur automobile, et le ralentissement général de l'économie.
28/03/2019

Eric Meurice prend la présidence de Soitec

Le conseil d’administration de Soitec vient de nommer Eric Meurice à la présidence non-exécutive du groupe de matériaux semi-conducteurs innovants. Il succède à Thierry Sommelet qui a assuré cette fonction pour une période de transition prolongée de 16 mois. Ce dernier continuera à contribuer aux travaux du conseil et des comités dont il reste membre. Eric Meurice conserve ses fonctions de président du comité de la stratégie et de membre du comité des nominations.
22/03/2019

Sequana: la procédure de sauvegarde transformée en redressement 

Le tribunal de commerce de Nanterre a décidé jeudi de convertir la procédure de sauvegarde ouverte pour Sequana en redressement judiciaire, a annoncé le groupe papetier. La période d’observation en cours se poursuivra jusqu’au 18 mai prochain. Le tribunal de commerce de Nanterre avait aussi ouvert le 8 janvier dernier une procédure de sauvegarde pour la filiale Arjowiggins de Sequana et les sociétés françaises Arjowiggins Papers et Arjowiggins Creative Papers, tandis que les filiales françaises Arjowiggins Papiers Couchés, Arjowiggins Le Bourray, Greenfield et Arjowiggins Rives ont été placées en redressement judiciaire. Au total, environ 900 salariés sont employés dans ces trois sites qui ont bénéficié, selon le gouvernement, de manifestations d’intérêt pour une reprise.
21/03/2019

Unis dans la faiblesse

S’entendre contre quelqu’un est souvent un bon moyen de se rapprocher d’autrui. Les menaces chinoises qui se précisent sur les données ou les technologies des Occidentaux pourraient au moins avoir l’intérêt de les aider à se tenir les coudes. Les alertes lancées contre les intentions d’espionnage d’Huawei trouvent un écho jusque dans l’Otan. Par ailleurs, le cabinet FireEye de conseil en cybersécurité vient de signaler une recrudescence d’attaques ciblant l’automobile. Les véhicules connectés à Internet feraient les choux gras des cyber-criminels. L’industrie automobile ferait dans son ensemble l’objet de campagnes de cyber-espionnage, en provenance de Chine, de Corée du Nord et du Vietnam, les démarches visant un avantage concurrentiel comme militaire… En Asie, pas besoin de marché unique, d’Union et autres projets d’association pour partager des objectifs communs !
13/03/2019

Safran va installer une usine 3D à Bordeaux 

Philippe Petitcolin, le directeur général de Safran, va créer une usine de fabrication 3D sur le site du Haillan, près de Bordeaux, avec 200 emplois à la clé, a indiqué Bercy, mardi. Safran s’est engagé à reclasser dans cette usine de 30 à 50 salariés de Ford Blanquefort, un site qui produit des boîtes de vitesse automatiques et qui doit fermer en août prochain. Le plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) présenté par Ford a été homologué le 4 mars par la Direccte (Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi).
12/03/2019

Groupama entre au capital de la holding de contrôle de Chargeurs

Colombus Holding, qui contrôle Chargeurs avec 27,8% du capital, a modifié sa structure capitalistique. Le Groupe Familial Fribourg est désormais l’actionnaire de contrôle de Colombus Holding. Parallèlement, Colombus Holding accueille à son capital Groupama, CM-CIC Investissement et BNP Paribas Développement, qui réinvestissent au capital de Groupe Familial Fribourg. Cette opération a été réalisée avec un très faible niveau d’endettement pour le Groupe Familial Fribourg, précise le communiqué.
11/03/2019

La justice indienne autorise ArcelorMittal à reprendre Essar Steel 

La justice indienne a approuvé vendredi la reprise par ArcelorMittal du sidérurgiste lourdement endetté Essar Steel. Le Tribunal national du droit des sociétés (NCLT) a approuvé l’offre conjointe d’ArcelorMittal et du japonais Nippon Steel & Sumitomo Metal sur l’usine d’Essar Steel. Le NCLT a préféré l’offre soumise en octobre, à celle des fondateurs d’Essar Steel, qui proposaient de verser 543,89 milliards de roupies aux créanciers du sidérurgiste indien. ArcelorMittal tente depuis plus de dix ans de pénétrer sur le marché indien de l’acier, dominé par des sociétés locales.
08/03/2019

Sequana demande à être placé en redressement judiciaire

Le groupe papetier français Sequana a demandé la conversion de la procédure de sauvegarde dont il fait l’objet en redressement judiciaire, compte tenu des incertitudes dans le litige qui l’oppose au groupe britannique BAT, a-t-il annoncé jeudi. Cette demande a été déposée au tribunal de commerce de Nanterre, qui avait donné au groupe jusqu’au 17 mai pour présenter un nouveau plan de sauvegarde, selon un communiqué. Sequana estime ne pas être en mesure de présenter un plan de sauvegarde, alors que la Cour d’appel de Londres l’a condamné à verser à BAT un dividende contesté de 135 millions d’euros. Selon Sequana, le tribunal de commerce de Nanterre devrait statuer sur sa requête dans les 15 jours. Le groupe a demandé la suspension de ses actions à la Bourse de Paris.
06/03/2019

La mise en examen d'Eric Olsen, ex-cadre de Lafarge, levée 

Les juges d’instruction chargés de l’affaire Lafarge ont levé la mise en examen de l’ex-directeur général du cimentier Eric Olsen, une décision rare, a annoncé mardi son avocat, Me Pierre Cornut-Gentille. La justice s’intéresse aux conditions dans lesquelles le groupe français, absorbé en 2015 par le Suisse Holcim pour former le géant du ciment LafargeHolcim, a maintenu en 2013-2014 ses activités en Syrie dans une zone de conflit tenue notamment par l’organisation de l’Etat islamique (Daech). Huit anciens dirigeants et cadres de Lafarge ont été mis en examen dans cette affaire de financement présumé du terrorisme. Lafarge SA a elle-même été mise en examen en tant que personne morale pour complicité de crimes contre l’humanité.

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