L’activité dans les services en France a renoué avec une légère croissance en avril après s'être repliée en mars, portée par le retour dans le vert des nouveaux contrats pour la première fois depuis cinq mois, selon les données publiées hier par IHS Markit. L’indice PMI d’activité des services s’est établi à 50,5, contre 49,1 en mars. L’indice composite, sur les services et le secteur manufacturier, s'établit à 50,1, en légère hausse par rapport au 48,9 de mars, alternant lui aussi phases de repli et de légère croissance depuis début 2019. Pour Eliot Kerr, économiste d’IHS Markit, cette reprise de la demande intérieure «suggère que l’impact économique des manifestations touche à sa fin».
L’activité dans le secteur des services en France a renoué avec une légère croissance en avril après s'être repliée en mars, portée par le retour dans le vert des nouveaux contrats pour la première fois depuis cinq mois, selon IHS Markit. L’indice PMI d’activité des services s’est établi à 50,5, contre 49,1 en mars. Il repasse ainsi au-dessus de la barre des 50 qui distingue croissance et contraction de l’activité, poursuivant une évolution en dents de scie constatée depuis janvier. L’indice composite, sur les services et le secteur manufacturier dont l’activité s’est stabilisée en avril, s'établit à 50,1, en légère hausse par rapport au 48,9 de mars, alternant lui aussi phases de repli et de légère croissance sur les quatre premiers mois de 2019.
L’activité du secteur manufacturier s’est contractée pour le troisième mois consécutif en avril dans la zone euro, affectée par l’affaiblissement de la demande mondiale, les tensions commerciales et les inquiétudes autour du Brexit, selon les enquêtes IHS Markit. L’indice PMI du secteur est ressorti à 47,9 en avril. Il remonte légèrement après son plus bas de six ans de 47,5 en mars, mais reste sous le niveau de 50 qui délimite contraction et croissance. Le sous-indice de la production manufacturière, qui entre dans le calcul de l’indice PMI composite publié lundi prochain, est remonté à 48,0 contre 47,2 tout en restant lui aussi sous la barre de 50.
L’activité du secteur manufacturier s’est contractée pour le troisième mois consécutif en avril dans la zone euro, affectée par l’affaiblissement de la demande mondiale, les tensions commerciales et les inquiétudes autour du Brexit, selon les résultats définitifs des enquêtes IHS Markit auprès des directeurs d’achat. L’indice PMI du secteur est ressorti à 47,9 en avril après avoir été estimé à 47,8. Il remonte légèrement après son plus bas de six ans de 47,5 en mars, mais reste sous le niveau de 50 qui délimite contraction et croissance. Le sous-indice de la production manufacturière, qui entre dans le calcul de l’indice PMI composite publié lundi prochain, est remonté à 48,0 contre 47,2 tout en restant lui aussi sous la barre de 50.
Legrand cédait plus de 4% en fin de matinée après la publication de ses résultats trimestriels, jugés décevants par le marché. «Les résultats de Legrand au premier trimestre sont décevants surtout au regard des bons chiffres affichés par ses pairs», note JP Morgan. Le groupe limougeaud a enregistré une hausse de 5,1% de son résultat opérationnel ajusté à 305 millions d’euros, soit une marge de 19,8% (avant acquisitions), en recul de 0,3 point. En effet, le chiffre d’affaires a crû de 7,3% (+2,9% en organique) à 1,55 milliard d’euros. Le bénéfice net progresse de 8,6% à 190 millions d’euros.
L’activité manufacturière chinoise a progressé à un rythme inférieur aux attentes en avril, sous l’effet notamment d’un nouveau repli des nouvelles commandes à l’exportation, montre l’enquête Caixin/Markit auprès des directeurs d’achats. L’indice PMI manufacturier ainsi calculé est tombé à 50,2 en avril, après son plus haut de huit mois en mars (50,8), alors que les économistes interrogés par Reuters attendaient une progression à 51,0. Les commandes à l’exportation ont reculé pour un onzième mois consécutif, mais à un rythme plus modéré.
L’activité manufacturière chinoise a progressé à un rythme inférieur aux attentes en avril, sous l’effet notamment d’un nouveau repli des nouvelles commandes à l’exportation, montre l’enquête Caixin/Markit auprès des directeurs d’achats. L’indice PMI manufacturier ainsi calculé est tombé à 50,2 en avril, après son plus haut de huit mois en mars (50,8), alors que les économistes interrogés par Reuters attendaient une progression à 51,0. Il reste toutefois au-dessus du seuil de 50 qui sépare expansion et contraction de l’activité.
Rexel gagnait plus de 4%, en tête du SBF 120, en fin de matinée après la publication de son chiffre d’affaires trimestriel. Le groupe industriel signe son dixième trimestre consécutif de hausse des ventes. Sur les trois premiers mois de l’année, son chiffre d’affaires a progressé de 4,2% (+3,1% en comparable et à jours constants) à 3,3 milliards d’euros. Une activité tirée par l’Amérique du Nord (+8,5%), dont +9,8% aux Etats-Unis. Les ventes digitales progressent de 13,8% et représentent désormais 17,2% du chiffre d’affaires du groupe, et même près d’un quart (24,8%) des ventes en Europe.
Le ministre de l’Economie et des Finances, Bruno Le Maire, vient de nommer Guy Maugis à la présidence du Comité de pilotage du dispositif de soutien aux projets de développement industriel constitué par General Electric (GE).
Le sucrier français Cristal Union, connu notamment pour la marque Daddy, va fermer deux sucreries en France d’ici fin 2020, celles de Bourdon (Puy-de-Dôme), et de Toury (Eure-et-Loir). Elles emploient respectivement 83 et 141 personnes. La coopérative, deuxième producteur français de sucre, va en outre réduire l’activité de son site de conditionnement d’Erstein, en Alsace. Le secteur du sucre a été ébranlé par la suppression en 2017 des quotas de production et d’exportation de l’Union européenne. Le groupe a enregistré une perte de 99 millions d’euros sur son exercice annuel clos le 31 janvier.
Ulrich Spiesshofer quitte le groupe suisse qu’il a dirigé pendant cinq ans, faisant face depuis plusieurs années à la pression du fonds activiste Cevian.
ABB a annoncé la démission de son directeur général Ulrich Spiesshofer, un départ qui intervient alors que les actionnaires expriment depuis plusieurs mois leurs doutes concernant la stratégie du groupe industriel suisse. Le président du conseil d’administration Peter Voser va prendre la direction générale, le temps de trouver un successeur à Ulrich Spiesshofer. Ce dernier étant en poste depuis cinq ans et demi. ABB n’a pas précisé les raisons de ce départ.
Le gouvernement de Nouvelle-Calédonie a donné son feu vert aux exportations de minerai de nickel de la Société Le Nickel, filiale d’Eramet. Dans la foulée, l’action Eramet gagnait plus de 10% en Bourse à Paris.
Schneider Electric a annoncé aujourd’hui avoir signé avec le pétrolier BP un accord-cadre mondial de cinq ans par lequel l'équipementier électrique français deviendra l’un de ses principaux fournisseurs du groupe britannique. Aucun détail financier n’a été communiqué. Selon les termes de l’accord, Schneider fournira notamment des services de conception et d’ingénierie, ainsi que des fonctions de support après le démarrage du système de distribution électrique des projets amont de BP attribués à Schneider Electric, a expliqué ce dernier dans un communiqué.
Leur coentreprise, AlphaStruxure, concevra et développera des projets d’infrastructures plus intelligentes et de réseaux de distribution d’énergie plus fiables.
Monsanto, déjà condamné aux Etats-Unis, a subi jeudi un nouveau revers judiciaire, cette fois en France. La multinationale a été reconnue responsable, par la cour d’appel de Lyon, des problèmes de santé dont se plaint un agriculteur charentais, Paul François, qui a inhalé accidentellement en 2004 de l’herbicide Lasso - interdit en France depuis 2007, et dans d’autres pays. Le groupe Bayer réfléchit à la possibilité d’un nouveau pourvoi en cassation.
Monsanto, déjà condamné aux Etats-Unis, a subi jeudi un nouveau revers judiciaire, cette fois en France. La multinationale a été reconnue responsable, par la cour d’appel de Lyon, des problèmes de santé dont se plaint un agriculteur charentais, Paul François, qui a inhalé accidentellement en 2004 de l’herbicide Lasso - interdit en France depuis 2007, et dans d’autres pays.
Sodexo rachète The Good Care Group. Le groupe britannique fournit des services de soins avec hébergement du soignant au domicile. Le groupe français est déjà présent outre-Manche avec Prestige Nursing + Care. Sodexo occupe désormais la deuxième place sur ce marché au niveau national. Suite à cette acquisition, Jonathan Bruce, actuel directeur général de Prestige Nursing + Care, devient le directeur général de l’activité soins à domicile de Sodexo au Royaume-Uni, Belinda Berkeley, actuelle directrice générale de The Good Care Group, étant directrice générale.
Sodexo rachète The Good Care Group. Le groupe britannique fournit des services de soins avec hébergement du soignant au domicile des personnes ayant besoin d’une assistance au quotidien, ou de soins complexes, notamment pour les personnes atteintes de démence.
Dans un entretien accordé à deux médias, dont L'Agefi-Dow Jones, Christopher Guérin, le directeur général de Nexans, dit aborder 2019 dans un esprit de reconquête.