L’actualité du secteur immobilier, l'évolution des prix, de la production de crédits, des taux d’emprunt, les dynamiques de marché en France, en Europe et à l’international.
Le tribunal administratif de Paris a rejeté hier les recours déposés par des associations et conseillers de Paris contre la construction dans le 15e arrondissement de la Tour Triangle, un bâtiment pyramidal de bureaux décrié notamment pour son impact énergétique. Ces opposants demandaient l’annulation du permis de construire délivré il y a deux ans pour la tour de 180 mètres de haut qui comptera, outre des bureaux, un hôtel de luxe et des commerces, à proximité de la porte de Versailles. Ils sollicitaient en outre l’annulation de la promesse de bail à construction conclue entre la ville et la société civile immobilière Tour Triangle, détenue à parité par le groupe Unibail-Rodamco et la Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris. Les juges ont estimé que l'étude d’impact du projet était suffisamment précise. Concernant la promesse de bail, le tribunal a estimé qu’il n'était pas compétent pour trancher sur ce recours dirigé contre un «contrat de droit privé».
Han Dieperink, ancien responsable des investissements de Rabobank, a créésa société d’investissement, rapporte Citywire Selector ce vendredi 3 mai. Il avait quitté la banque néerlandaise en avril dernierd’un commun accord. Intitulée HD Capital, la société proposera dans un premier temps du conseil en investissement. L’ancien CIO prépare également le lancement d’un fonds qui investira dans les pays émergents d’Afrique, et plus particulièrement en Somalie, à Djibouti et en Erythrée. L’entrepreneur ne prévoit aucun recrutement pour l’instant. Il pourrait cependant y être amené si le lancement du fonds se concrétise.
Matthew Roberts, le nouveau directeur général d’Intu Properties, s’attend à une année 2019 encore plus difficile que prévu. Le groupe britannique de centres commerciaux a annoncé ce matin prévoir une baisse de 4% à 6% de ses loyers en 2019, contre une précédente estimation de -1% à -2%. Intu souffre des nombreuses défaillances parmi les enseignes de commerce et des incertitudes liées au Brexit. Le cours de l’action chutait de plus de 8% ce matin à la Bourse de Londres, entrainant avec les titres de ses concurrents Hammerson ou British Land.
La composition et les règles de fonctionnement du CNTGI viennent d’être précisées, C’est Hugues Périnet-Marquet qui en assurera la présidence, succédant à Bernard Vorms
Le crowdfunding immobilier a explosé ces 4 dernières années passant de 30 millions d’euros collectés en 2015[1] à 185 millions fin 2018. Au total, à ce jour, ce sont plus de 900 projets de promotion immobilière qui ont pu être financés[2]. Cette tendance de croissance exponentielle du marché s’explique bien entendu par un nombre croissant d’investisseurs mais également par une prise de conscience des promoteurs de l’opportunité de cette solution de financement en fonds propres. Au départ utilisé quasiment exclusivement par les PME ou TPE, le crowdfunding immobilier intéresse désormais les leaders de la promotion immobilière qui y voit l’opportunité d’augmenter leur cadence de développement.
The asset management firm Neuberger Berman on Wednesday 24 April announced final closing of its NB Private Debt Fund III LP with $1.7bn. The fund, launched in October 2017, has exceeded its target of $1.5bn, and follows the NB Private Debt Fund II LP, which raised $750m in engagements. The new vehicle invests in single-tranche first lien and second lien debt from US mid-sized companies supported by private equity companies. With this fund, Neuberger Berman Private Debt has about $4.2bn in engagements for concentrated strategic credit for debt origination and opportunistic investment in secondary private markets with $20m to $100m in cash flow. NB Private Debt Fund III LP has over 60 investors worldwide, including public and private pension regimes, insurance companies, and foundations in the United States, Canada, Europe, South Korea, Japan, and South America.
A KPMG survey has found outthat 65% of the UK’s population would not consider taking a role in financial services, the main reason being the perception that finance is boring. However, people working in finance are happier than average, with 87% of bank, insurance or asset management employees saying they like their job compared to 82% of workers in different sectors. Whilst people working in financial services are on the whole happier, the main driver for working in their current role is salary. When asked their motivation for being in their current role, over a third (31%) of financial services employees said salary, which was followed by ‘it’s interesting’ (16%) and ‘it has good progression opportunities’ (16%). These motivations are very different with those in other sectors, just 16% of whom listed salary as a key driver. KPMG’s study also highlighted that two fifths (41%) of financial services employees had parents who worked in the same industry, by contrast, across non-finance employees the figure stood at 12%. Commenting, Tim Howarth, Head of FS consulting, KPMG, says: “There’s clearly a gap between what the public think, and the realities of working in financial services. That has to be addressed if we are to attract the diverse mix of skills and experiences needed to navigate the changes going on in financial services and society. Technology and customer engagement is a priority for most of my clients right now, so people working in retail, leisure or IT could have a huge amount to offer. But, the sector has an image problem that’s putting off that talent.”
Le groupe immobilier Covivio a annoncé ce mardi avoir signé un accord pour la cession d’un portefeuille d’actifs en Italie, pour un montant de 263,5 millions d’euros. Le prix de cette cession est légèrement supérieur aux valeurs d’expertise des biens calculées fin 2018, et la transaction fait ressortir un rendement net d’environ 4,9%, précise le communiqué. Le transfert de ces actifs sera effectif en décembre 2019.
Le groupe immobilier Covivio a annoncé ce mardi avoir signé un accord pour la cession d’un portefeuille d’actifs matures et non stratégiques situés en Italie, pour un montant de 263,5 millions d’euros. Le prix de cette cession est légèrement supérieur aux valeurs d’expertise des biens calculées à la fin de l’année dernière et la transaction fait ressortir un rendement net d’environ 4,9%, précise le communiqué de presse. Le transfert de ces actifs sera effectif en décembre 2019.
Les mises en chantier aux Etats-Unis ont reculé à un plus bas de près de deux ans en mars, pénalisées par la faiblesse du secteur des maisons individuelles, ce qui suggère que le marché immobilier continue de souffrir malgré la baisse des taux d’intérêt. Elles ont reculé de 0,3% en rythme annuel ajusté des variations saisonnières, à 1,139 million d’unités le mois dernier, le niveau le plus faible observé depuis mai 2017. Les permis de construire ont reculé de 1,7% à 1,269 million d’unités en mars, leur niveau le plus faible en cinq mois et leur troisième mois de repli consécutif.
Les mises en chantier aux Etats-Unis ont reculé à un plus bas de près de deux ans en mars, pénalisées par la faiblesse persistante du secteur des maisons individuelles, ce qui suggère que le marché immobilier continue de souffrir en dépit de la baisse des taux d’intérêt. Elles ont reculé de 0,3% en rythme annuel ajusté des variations saisonnières, à 1,139 million d’unités le mois dernier, le niveau le plus faible observé depuis mai 2017, a indiqué vendredi le département du Commerce.
IWG a annoncé la vente de ses activités japonaises à TKP Corp pour 320 millions de livres (370 millions d’euros), ce qui a entraîné une hausse de près de 20% du cours de l’action du groupe britannique de location de bureaux. Exploitant notamment le réseau Regus, IWG s’est engagé dans une politique de cessions d’actifs notamment pour contrer les effets négatifs du Brexit sur son activité. Les activités japonaises représentent environ 4% des résultats d’IWG.
La firme d’investissement Bex Capital, spécialisée sur le marché secondaire du private equity, a annoncé ce matin avoir bouclé la levée de fonds pour son dernier véhicule, BEX Fund III, avec des engagements de 365 millions de dollars. La levée de fonds a été réalisée enl’espace de quatre mois, avec une très forte participation des investisseurs historiques et un closing très supérieur à l’objectif de taille initial (280 millions de dollars), souligne un communiqué. Comme ses prédécesseurs, le fonds prendra des participations dans des fonds de fonds de private equity, des fonds secondaires et des fonds de co-investissements, avec une priorité aux marchés et aux actifs matures. Les tickets unitaires pourront aller de 1 million de dollars à 500 millions de dollars. La société d’investissement a introduit à l’occasion de cette levée le concept de «X shares», une classe d’actions réservée aux organisations non gouvernementales (ONG) et aux fondations sans but lucratif. Ces catégories d’investisseurs sont exemptées de commissions et de carried interest, si bien qu’elles peuvent bénéficier à plein de la performance du fonds et réinvestir les rendements dans leurs projets.