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Publicis a annoncé hier la nomination d’Agathe Bousquet, jusqu’ici PDG de l’agence Havas Paris, à la présidence de Publicis Groupe en France, un poste nouvellement créé afin de décloisonner les différentes activités du groupe publicitaire sur son marché domestique. Havas avait annoncé le départ d’Agathe Bousquet quelques minutes auparavant en précisant que Yannick Bolloré, PDG du groupe publicitaire, assurerait la présidence de Havas Paris aux côtés de l'équipe de direction en place.
Publicis a annoncé la nomination d’Agathe Bousquet, jusqu’ici PDG de l’agence Havas Paris, à la présidence de Publicis Groupe en France, un poste nouvellement créé afin de décloisonner les différentes activités du groupe publicitaire sur son marché domestique. «Ce recrutement intervient dans le cadre de la transformation du groupe entreprise il y a dix-huit mois et de sa nouvelle organisation», souligne Publicis dans un communiqué. Havas avait annoncé le départ d’Agathe Bousquet quelques minutes auparavant en précisant que Yannick Bolloré, PDG du groupe publicitaire, assurerait la présidence de Havas Paris aux côtés de l'équipe de direction en place.
Déjà contestataire de la gestion suivie par le groupe et son actionnaire de référence, le fonds d’investissement CIAM estime mardi que le prix de rachat d’Euro Disney par sa maison mère Disney, de 2 euros par action, est inéquitable pour les actionnaires minoritaires du parc de loisirs de Marne-la-Vallée. Le fonds parisien, qui détient environ 1,4% des actions Euro Disney, ajoute dans un communiqué que le prix minimum acceptable est de 2,50 euros par action.
Afin d’éviter un tollé et sous la pression de ses actionnaires, la banque suisse a proposé de réduire de 40% les bonus de son comité exécutif, initialement fixés à 78 millions de francs suisses.
Fédérés par PhiTrust, 14 investisseurs représentant 2,3% du capital d’Accor ont déposé un projet de résolution, qui sera mis au vote de l’Assemblée Générale du 5 mai 2017, pour demander le respect du principe «une action-une voix» par l’adoption du droit de vote simple. L’avis de convocation modifiée de l’AG sera publié au Balo du 19 avril. Bien que cette résolution, baptisée «A», apparaisse comme «résolution non agréée par le conseil», PhiTrust souligne que le conseil d’Accor ne se prononcera que lors de sa réunion du 5 mai, juste avant l’AG.
Fédérés par PhiTrust, 14 investisseurs représentant 2,3% du capital d’Accor ont déposé un projet de résolution, qui sera mis au vote de l’Assemblée Générale du 5 mai 2017, pour demander le respect du principe «une action-une voix» par l’adoption du droit de vote simple. L’avis de convocation modifiée de l’AG sera publié au BALO du 19 avril. Bien que cette résolution, baptisée «A», apparaisse comme «résolution non agrée par le conseil», PhiTrust souligne que le conseil d’Accor ne s’est pas encore prononcé. Il ne se prononcera que lors de sa réunion du 5 mai, juste avant l’AG.
Le gérant alternatif et investisseur activiste John Paulson se prépare à quitter son siège au conseil d’administration de l’assureur américain AIG, selon le Financial Times. Son départ aurait été finalisé cette semaine et devrait être annoncé dans les prochains jours par le biais d’un communiqué aux actionnaires.
Le cabinet Institutional Shareholder Services (ISS) recommande à son tour de voter contre les rémunérations des dirigeants de Credit Suisse qui seront à l’ordre du jour de l’assemblée générale du 28 avril. L’américain Glass Lewis et le cabinet genevois Ethos ont déjà fait part de leur opposition aux propositions du groupe zurichois. ISS souhaite que les actionnaires de Credit Suisse rejettent l’enveloppe de 26 millions de francs (24,5 millions d’euros) de bonus à court terme et de 52 millions au maximum de primes de long terme réservés au comité exécutif. « Malgré une deuxième année consécutive de perte nette, les niveaux de rémunérations variables du comité exécutif sont restés elevés», pointe ISS.
Le cabinet Institutional Shareholder Services (ISS) recommande à son tour de voter contre les rémunérations des dirigeants de Credit Suisse qui seront à l’ordre du jour de l’assemblée générale du 28 avril. L’américain Glass Lewis et le cabinet genevois Ethos ont déjà fait part de son opposition aux propositions du groupe zurichois.
Olivier Legrain, ancien patron de Materis, remplacera Hervé Couffin à la présidence de Mersen à l’issue de l’assemblée générale annuelle du 18 mai 2017, a annoncé hier le groupe de spécialités électriques. «En quittant le conseil, je suis satisfait de constater que le groupe est sur le point de retrouver le chemin de la croissance et de voir sa rentabilité s’améliorer», commente Hervé Couffin dans un communiqué.
L’enquête interne menée par Wells Fargo, rendue public aujourd’hui, conclut que le scandale des ouvertures de comptes abusives est lié aux objectifs commerciaux agressifs de la banque et à l’obsession de la responsable des activités de détail, Carrie Tolstedt, à mettre un terme à la mauvaise réputation de son pôle en interne.
L’ancien dirigeant de Materis, Olivier Legrain, remplacera Hervé Couffin à la présidence de Mersen à l’issue de l’assemblée générale annuelle du 18 mai 2017, a annoncé lundi le groupe de spécialités électriques et de matériaux avancés. « En quittant le conseil, je suis satisfait de constater que le groupe est sur le point de retrouver le chemin de la croissance et de voir sa rentabilité s’améliorer », commente Hervé Couffin dans un communiqué.
Le titre BHP Billiton gagnait 4,8% en fin de matinée à Londres après la publication par le fonds activiste Elliott Advisors d’une lettre à la direction du géant des matières premières. Le courrier demande la suppression de la structure à deux têtes du groupe, la cession de la branche pétrolière américaine et une révision de la politique en matière de distribution aux actionnaires. Elliott évalue ainsi à quelque 22 milliards de dollars (20,8 milliards d’euros) les activités pétrolières américaines du groupe, dont il souhaite une cotation séparée sur le New York Stock Exchange.
Le premier investisseur mondial dévoile pour la première fois des recommandations pour limiter l'envolée des salaires des dirigeants et ses effets pervers.
Santander souhaite augmenter son dividende pour la deuxième année consécutive, estimant que la croissance économique va améliorer les rendements dans les dix pays qui génèrent l’essentiel de ses profits. La première banque espagnole veut porter la rémunération de ses actionnaires à 22 centimes par action, contre 21 centimes en 2016, a déclaré vendredi sa présidente Ana Botin, lors de l’assemblée générale annuelle. Le taux de distribution reste toutefois bien inférieur aux 60% pratiqués sous le règne de son père. En 2015, Ana Botin avait en effet raboté le dividende d’environ 65%, suscitant de vives critiques. En janvier dernier, elle avait indiqué que les dix premiers marchés du groupe seraient en croissance cette année, malgré la crise économique au Brésil et le vote du Brexit au Royaume-Uni.