L’actualité de la gestion de fortune, ou wealth management, qu’elle soit intégrée à des banques généralistes, privées ou au sein de sociétés spécialisées.
Massena Partners, un spécialiste du conseil en investissement pour les groupes familiaux privés et les family offices, a annoncé la création de Essling Capital, un "spin-off" de ses activités de capital investissement. Lors d'une conférence de presse qui se tenait à Paris, Franck Noël-Vandenberghe, le fondateur de Massena Capital en 1989, a indiqué que le private equity était "un axe important de la stratégie de Massena Partners depuis de nombreuses années. Nous avons réalisé une soixantaine d'opérations au total". Ces opérations concernent autant le private equity en tant que tel que l'immobilier ou la dette cotée.
Devenu notaire par hasard et par nécessité, Bernard Monassier s’est pourtant distingué pendant plus de 50 ans comme étant le notaire de grandes fortunes françaises. Ayant quitté ses fonctions en janvier 2014, l’ancien confident et conseiller de grandes familles n’a pas pour autant quitter le monde professionnel. En créant BM Family Office, ce passionné d’histoire reste toujours l’homme clé d’une poignée de clients historiques.
Créé en février 2015 et issu de l’activité de l’étude notariale Monassier, ce family office gère le patrimoine de trois grandes familles françaises dont une partie appartenant à la célèbre famille Dassault, classée 3ème fortune de France avec un patrimoine estimé à 16,1 milliards d’euros. A la tête de la structure et seul actionnaire, Bernard Monassier, ancien notaire retraité, met en avant l’entière indépendance de son service et envisage de développer son activité sur les patrimoines de plus de 50 millions d’euros.
Les banques genevoises Union Bancaire Privée (UBP) et Edmond de Rothschild sont citées dans une affaire de délit d’initié au Québec. De l’argent ayant servi à acheter des titres grâce à des informations privilégiées aurait transité sur un compte UBP, avant que le solde soit transféré chez Edmond de Rothschild, rapporte le quotidien canadien La Presse. Les montants se chiffreraient en millions de dollars.L’Autorité des marchés financiers (AMF) du Québec aurait obtenu en novembre du Bureau de communication en matière de blanchiment d’argent de la Confédération (MROS) la confirmation de l’existence de certaines transactions effectuées depuis le compte UBP. Interrogé par l’agence de presse suisse AWP, le MROS se retranche derrière le secret officiel. La Finma, le régulateur suisse, ne fait aucun commentaire, tout comme les deux banques citées.
JPMorgan a repoussé le transfert de certains de ses clients de gestion privée vers une plate-forme auto-gérée, dans l’attente de précisions de l’administration Trump sur les règles s’appliquant aux courtiers américains, révèle Bloomberg. La banque avait annoncé à ces clients qu’ils seraient transférés ce mois-ci vers un système leur permettant de gérer eux-mêmes leurs comptes d'épargne retraite, en vertu d’une nouvelle disposition du département du Travail appelée «fiduciary rule». La nouvelle règle devait entrer en vigueur cette semaine mais le département du Travail a donné un délai supplémentaire de deux mois, après que le président américain a signé un décret demandant au régulateur de revoir la mesure.
JPMorgan a repoussé le transfert de certains de ses clients de gestion privée vers une plate-forme auto-gérée, dans l’attente de précisions de l’administration Trump sur les règles s’appliquant aux courtiers américains, révèle Bloomberg. La banque avait annoncé à ces clients qu’ils seraient transférés ce mois-ci vers un système leur permettant de gérer eux-mêmes leurs comptes d'épargne retraite, en vertu d’une nouvelle disposition du département du Travail appelée «fiduciary rule».
La banque genevoise a publié hier un bénéfice net consolidé de 9 millions de francs suisses (8,4 millions d’euros) pour 2016, après une perte de 38,5 millions en 2015. Les revenus de ce spécialiste de la gestion privée ont progressé de 16,8% à 216,6 millions de francs. Les charges opérationnelles ont reculé de 10,5% «grâce à la nette réduction des dépenses non récurrentes, et à la baisse des charges de personnel qui font suite à la fusion avec la filiale suisse de Royal Bank of Canada et à la déconsolidation du personnel de la coentreprise espagnole, vendue en mai 2016».
La banque suisse Syz a publié ce matin un bénéfice net consolidé de 9 millions de francs suisses (8,4 millions d’euros) pour 2016, après une perte de 38,5 millions en 2015, année marqué par l’intégration de Royal Bank of Canada (Suisse). Les revenus de ce spécialiste genevois de la gestion privée ont progressé de 16,8% sur un an, à 216,6 millions de francs. « Cette hausse résulte essentiellement de la forte croissance des revenus provenant des opérations de commissions et des prestations de service, ainsi que des bons résultats des opérations de négoce », précise Syz dans un communiqué. Les charges opérationnelles ont quant à elle reculé de 10,5% «grâce à la nette réduction des dépenses non récurrentes, et à la baisse des charges de personnel qui font suite à la fusion avec la filiale suisse de Royal Bank of Canada et à la déconsolidation du personnel de la joint-venture espagnole, vendue en mai 2016».
La division de gestion de fortune de HSBC France veut augmenter ses encours de 65% d'ici à 2021, grâce notamment à son offre de crédits et aux produits de marchés.
Luc Granger, associé fondateur d'Intuitae, nous explique à l'occasion de sa participation aux Coupoles Distrib Invest, son approche du développement et de la transmission des compétences au sein sa structure composée de 15 personnes.
« Les family offices réfléchissent en termes d’immobilier et d’internationalisation », a déclaré Jean-Marie Paluel-Marmont, président de France Participations, holding de tête de la famille Paluel-Marmont et président de l’Association Française du Family Office (AFFO), lors des Clubs Dates Invest, à Lyon, jeudi 23 mars
Le family office Agami a annoncé mercredi le rachat d’Entrepreneurs Factory, une structure d’accompagnement d’entreprises montée par Gilles Lioret. Le groupe en profite pour créer Agami Corporate, une offre de conseil dédiée aux entreprises. Celle-ci permettra «à tous les chefs d’entreprises de répondre très concrètement à la réflexion et à la mise en œuvre de leurs projets de structuration, de croissance ou de transmission».
Avec le rachat d'Entrepreneurs Factory, le multi-family office vient d'officialiser son ambition de proposer une offre complémentaire de conseil dédiée aux entreprises en instaurant un guichet unique au service du chef d’entreprise.
Le gestionnaire de fortune indépendant 1875 Finance, basé à Genève, envisage de renforcer ses effectifs tant en Suisse qu'à l'international, rapporte le site spécialisé finews.
A l’occasion du premier Face Aux Experts du Clubs Date Invest de Lyon, Fabrice Lombardo, membre du directoire de Swiss Life REIM, Jean-Rémy Roulet, directeur de la Caisse paritaire de prévoyance de l’industrie et de la construction à Genève, Francis Weber, membre de la Commission de gestion du Fonds de pension de la Principauté d'Andorre et Jean-Marie Paluel-Marmont, président de l’AFFO, ont échangé sur la thématique de l’immobilier et l’Europe.
La banque genevoise Mirabaud a annoncé hier une hausse de son bénéfice net de 16,7% sur un an pour l’exercice 2016, à 31,6 millions de francs suisses (30 millions d’euros). Le groupe a compensé la stabilité de ses revenus par une baisse de ses coûts. Les encours s’élèvent à 33,1 milliards de francs (incluant 3,2 milliards de prises en compte double), dont 8,1 milliards pour l’activité de gestion d’actifs et 25 milliards pour la gestion de fortune. L’encours était de 31,6 milliards au 30 juin 2016.
A l’occasion de son 15ème anniversaire, l’AFFO a présenté la 2ème édition du baromètre AFFO / Opinion Way et lancé son guide « A la découverte du Family Office ». L'association a également annoncé le lauréat de la 4ème édition du Prix de l’AFFO et présenté ses objectifs et perspectives pour 2017.
La banque genevoise Mirabaud annonce une hausse de son bénéfice net de 16,7% sur un an pour l’exercice 2016, à 31,6 millions de francs suisses (30 millions d’euros). Le groupe a compensé la stabilité de ses revenus par une baisse de ses coûts. Les encours s’élèvent à 33,1 milliards de francs (incluant 3,2 milliards de prises en compte double), dont 8,1 milliards pour l’activité de gestion d’actifs et 25 milliards pour la gestion de fortune. L’encours était de 31,6 milliards au 30 juin 2016.