A compter du 1er juin, la Bourse de Vienne publiera deux indices de 25 pays émergents* créé par Erste Bank sous l’appellation de «rising markets». Ils tiendront compte à la fois de la croissance économique, de l'évolution démographique et du niveau de vie, mais également de normes minimales en matière de lutte contre la corruption (Corruption Perception Index). Par ailleurs, l’autrichien Erste Sparinvest, filiale d’Erste Bank, va lancer le 1er juin deux fonds de droit autrichien, l’Espa Bond Rising Markets et l’Espa Stock Rising Markets qui répliqueront les indices rising markets. Caractéristiques des fonds : Droits d’entrée : 3,5 % pour l’Espa Bond Rising Markets/4% pour l’Espa Stock Rising Markets Souscription initiale close le 31 maiTaux de frais sur encours : 1,2 % pour l’Espa Bond Rising Markets/2 % pour l’Espa Stock Rising Markets * Chine, Inde, Brésil, Mexique, Indonésie, Russie, Turquie, Arabie saoudite, Egypte, Thaïlande, Malaisie, Argentine, Afrique du Sud, Colombie, Pologne, Vietnam, Philippines, Pérou, Algérie, Chili, Kazakhstan, Ukraine, Roumanie et Maroc.
Avec State Street Global Advisors (SSgA) la Bourse suisse SIX accueille un nouvel émetteur d’ETF. Le gestionnaire a fait en effet coter le 4 mai douze SPDR sur des indices régionaux et sectoriels, ce qui porte à 675 le nombre d’ETF cotés sur la place helvétique. Le teneur de marché pour ces nouveaux produit sera la Commezbank.Les ETF concernés sont les SPDR MSCI Europe Consumer Staples, Europe Energy, Europe Consumer Discretionary, Europe, Europe Financials, Europe Health Care, Europe Industrials, Europe Information Technology, Europe Materials, Europe Small Cap, Europe Telecommunication Services et Europe Utilities.Comme le précise un communiqué, «State Street Global Advisors envisage à l’avenir de renforcer son offre d’ETF à SIX Swiss Exchange».
La SPGP a lancé, lundi 2 mai, World Wide Commodities Convertibles, un fonds dont le portefeuille investit dans des obligations - convertibles ou non - de sociétés exerçant leur activité directement ou indirectement dans le secteur des matières premières. Ce dernier englobe ainsi les entreprises dont l’activité est liée aux produits énergétiques, aux métaux précieux et non précieux, aux minerais, aux matières premières transformées, aux produits agricoles et issus de la mer, au bétail et aux énergies renouvelables, etc. En poids, le secteur des matières premières représente 13% du gisement mondial et environ 20% des nouvelles émissions. Dans ce cadre, les investissements du fonds seront constitués pour au moins 60% d’obligations convertibles et autres instruments assimilables, et 40% maximum en obligations classiques d’entreprises liées au secteur des matières premières, au sens large du terme. Enfin, le solde pourra être investi en titres monétaires ou en actions (10% maximum).Dans tous les cas, l’exposition du fonds au risque action (delta) est limité à 65 % avec également une duration moyenne du portefeuille de 4,5 années. Caractéristiques:Code ISIN: FR0011022268 (part EUR libellée en euro)/FR0011022318 (part USD libellée en USD )Droits d’entrée: 1% maxCommission de gestion (Parts EUR et USD): 1.5% TTC fixe + intéressement à la surperformance : 18%TTC au-delà de 10% annuel.Montant de la part : 100 euros/100 dollars Part USD Montant minimum à la souscription : une part (achats et rachats de centièmes de parts possible ensuite) Indicateur de Référence: 70% Markit iBoxx USD Corporates BBB 1-5 Y et 30% Morgan Stanley Commodity Related Index (CRX) (sur longue période).Eligible à l’Assurance-Vie
Amundi ETF a annoncé le 4 mai la cotation de quatre nouveaux produits sur NYSE Euronext à Paris, portant le nombre total de produits disponibles à plus de 100.Amundi ETF complète sa gamme obligataire avec deux ETF indexés sur les obligations « corporate » . Amundi ETF Euro Corporate Financials iBoxx vise à répliquer au plus près la performance de l’indice obligataire Markit iBoxx EUR Liquid Financials, de type total return, à la hausse comme à la baisse. Celui-ci est constitué de titres obligataires libellés en euro, émis par des sociétés privées financières et sélectionnés notamment sur la base de critères de liquidité et d’une notation supérieure ou égale à BBB- (Standard & Poor’s). Le second, Amundi ETF Euro Corporate Ex Financials iBoxx a pour objectif de répliquer l’évolution de l’indice Markit iBoxx EUR Liquid Non-Financials, de type total return, à la hausse comme à la baisse. Cet ETF offre aux investisseurs une exposition à un portefeuille de titres libellés en euro, émis par des sociétés privées non-financières. Par ailleurs, deux nouveaux produits actions viennent aussi étoffer la gamme émergente d’Amundi ETF, qui offre déjà des expositions aux principaux pays émergents et à certains pays ou régions phares. Ces produits, éligibles au PEA, sont offerts à des TER (« Total Expense Ratio ») plus bas que leurs concurrents équivalents européens. Amundi ETF MSCI EM Asia a pour objectif de répliquer la performance de l’indice MSCI Emerging Markets Asia, à la hausse comme à la baisse, dividendes nets réinvestis (net return), libellé en US dollar. Cet indice permet aux investisseurs de s’exposer à plus de 500 valeurs sur 8 pays (Chine, Inde, Indonésie, Corée, Malaisie, Philippines, Taiwan et Thaïlande). L’ETF est offert à un TER compétitif de 0,45 %, contre 0,65 % en moyenne pour des produits similaires des concurrents européens. Amundi ETF MSCI EM Latin America vise à répliquer l’évolution de l’indice MSCI Emerging Markets Latam, à la hausse comme à la baisse, dividendes nets réinvestis (net return), libellé en US dollar (USD). Cet indice est composé de plus de 100 actions de cinq pays d’Amérique Latine : Brésil, Mexique, Chili, Colombie, et Pérou. L’ETF affiche un TER de 0,45 % contre 0,68 % en moyenne pour des produits concurrents européens similaires.
Intech Investment Management, société de gestion du groupe américain Janus Capital, vient de lancer la stratégie «Alpha Capture Index» associant pour 75 % des portefeuilles basés sur des indices pondérés par la capitalisation boursière et pour 25 % des portefeuilles equi-pondérés. «La recherche d’Intech démontre mathématiquement que les stratégies basées uniquement sur les indices de capitalisation boursière n’offrent pas une performance optimale et que les portefeuilles équipondérés ont, eux, des ‘tracking errors’ importantes. Intech a donc décidé de développer une troisième voie dans le domaine des stratégies passives en associant les deux types d’approches afin de pouvoir surperformer un indice pondéré par la capitalisation boursière tout un ayant un portefeuille avec une ‘tracking error’ faible et des coûts opérationnels bas», indique un communiqué. Les objectifs sont ceux de générer (hors frais) un alpha de 50-60 points de base au dessus de l’indice de capitalisation choisi, une ‘tracking error’ de 1,5% à 2% par an, une rotation de portefeuille d’environ 8% sur le long terme ainsi que des frais opérationnels faibles. A ce stade, la stratégie, qui est brevetée par la société, peut être mise en place avec trois indices : le S&P 500, le Russell 1000 et le MSCI Monde. «Il n’est pas impossible que la stratégie soit étendue à d’autres indices, mais pour l’instant Intech considère que ceux choisis sont les plus représentatifs et les plus utilisés par les investisseurs», indique Sylvain Agar, responsable du développement de l’Europe francophone du Groupe Janus, à Newsmanagers. «Pour l’instant, cette stratégie sera disponible, y compris en France, sous forme de mandats pour les investisseurs institutionnels qui souhaitent rester dans les stratégies passives mais doper la génération de l’alpha de leurs investissements. Si la stratégie suscite un appétit grandissant de la part d’autres investisseurs professionnels (fonds de fonds, banques privées etc.), nous pourrons envisager de structurer un fonds qui s’inspire de cette stratégie, mais il est encore un peu prématuré pour le dire… Ce serait une étape de développement supplémentaire», poursuit Sylvain Agar.Ce dernier conclut en précisant que le lancement de cette stratégie ne reflète nullement un changement de philosophie chez Intech, avec un passage de la gestion active à la gestion passive. «Cette nouvelle offre vient simplement compléter la gamme actuelle de stratégie de gestion active des actions américaines à grandes capitalisations, des actions mondiales et internationales, des long/short equity ainsi que la plate-forme sur mesure de solutions adaptées aux besoins des investisseurs institutionnels».
Estimant que la hausse du prix de l’or va se poursuivre, Schroders a modifié l’approche d’investissement et l’objectif de son fonds Schroder AS Gold & Metals Fund qui devient un fonds géré activement focalisé sur l’or. Dans ce cadre, le produit est renommé Schroder AS Gold and Precious Metals Fund. Le fonds «nouvelle génération» sera géré activement par Paula Bujia, gérante senior de l’équipe matières premières de Schroders, qui représente 12,5 milliards de dollars au 31 mars. Il pourra être investi sur des futures, des swaps, des ETF à réplication physique et des actions. Il se mesurera à un indice de référence composé à 75 % du prix de l’or spot et à 25 % d’actions aurifère (NYSE Gold Bugs Index). Le fonds a pour vocation d’être investi à hauteur de 50-100 % dans l’or, mais il peut détenir jusqu’à 50 % d’actions aurifère. Il peut aussi être investi jusqu’à 33 % de son actif dans d’autres métaux précieux comme l’argent et le platine ou dans des liquidités.
OPM Fund Management va fermer au 9 mai son fonds Balanced Management, qui pèse 17 millions de livres, rapporte Fundweb. Il sera remplacé par deux nouveux fonds, le EFA OPM Diversified Target return et le EFA OPM Worldwide Opportunities. Cette décision a été prise par la société de gestion britannique suite à la réforme Retail Distribution Review (RDR), qui poussera les conseillers financiers (IFA) à proposer des allocations par portefeuille à leurs clients. Ce qui, selon Tony Yousefian, chief investment officer d’OPM Fund Management, les empêchera d’investir dans un seul fonds à l’allocation «équilibré».
Le gestionnaire munichois KanAm a annoncé qu’il prolonge d’un an, jusqu’au 6 mai 2012, le gel des remboursements de son fonds immobilier offert au public KanAm grundinvest 3,94 milliards d’euros.Parallèlement, le gestionnaire munichois va procéder ce mois-ci et jusqu’en août à un sondage auprès des souscripteurs de ce fonds pour déterminer quelles sont leurs intentions en matière de rachats. Leurs réponses détemineront l’avenir du fonds.A titre indicatif, KanAm précise que le taux d’occupation des actifs du fonds au 31 décembre se situait à 99,2 %.
Une demande d’agrément a été déposée auprès de la CNMV par Abante Asesores pour un nouveau fonds de fonds, SmartISH Fondo de Gestores, qui investira dans des gérants talentueux dont les encours sont faibles. Ce produit dont la capacité est plafonnée à 20 millions d’euros, sera géré par Ángel Olea, associé et CIO d’Abante, précise Funds People. Le portefeuille sera investi dans une quinzaine de fonds prometteurs sur un univers d’environ 50 gérants.Le fonds est censé générer une performance supérieure à celle des marchés d’actions mais n’aura aucune contrainte d'écart de suivi. L'équipe de gestion évitera autant que possible les hedge funds de droit espagnol, pour des considérations de liquidité.
Le gestionnaire britannique Man Group (69 milliards de dollars) a annoncé le 3 mai avoir levé 1,5 milliard de dollars pour le Nomura Global Trend, le premier fonds japonais «onshore» de sa division AHL. Ce produit sera distribué au Japon par Nomura. Le fonds, ouvert et à gestion pilotée par ordinateur, investira dans plusieurs catégories d’actifs au travers de trois paniers de devises, dont un comprenant le yuan chinois.
47 % des gérants de hedge funds et 45 % des banquiers d’investissement pensent que les conditions de travail et les perspectives sont pires au Royaume-Uni que dans d’autres juridictions, selon un sondage de plus de 9.000 membres de la CFA Society du Royaume-Uni relayé par le Financial Times Fund Management.
Audley Capital, société de hedge funds londonienne dirigée par Julian Treger, va rouvrir son fonds vedette aux souscriptions après avoir subi des retraits de la part d’investisseurs de long terme, selon des informations du Financial Times. Il s’agit du European Opportunities fund, dont les encours s'élèvent à 750 millions de dollars, et qui a affiché une performance de 140 % en 2009 et de 100 % l’an dernier. Audley envisage aussi de modifier les conditions de liquidité du fonds.
Jusqu’au 24 juin, Union Investment commercialise en Allemagne le fonds UniGarant: Emerging Markets (2018) qui sera lancé le 30 juin et dont l'échéance est fixée au 22 juin 2018.Comme son nom l’indique, ce produit est un fonds qui garantit à l'échéance 100 % du capital initial, hors droit d’entrée de 4 %, ainsi qu’une participation à l'évolution moyenne d’un panier d’indices d’actions des pays BRIC (Brésil, Russie, Inde, Chine), d’Amérique latine et d’Asie. Union Investment est le leader allemand des fonds garantis, avec environ 80 fonds et un encours à fin février de 16,6 milliards d’euros dans ce segment.Caractéristiques : Dénomination : UniGarant: Emerging Markets (2018)Code Isin : LU0595487439Droit d’entrée : 4 %Commission de gestion : 1 % (maximum 1,5 %)Pénalités en cas de remboursement anticipé : 2 % acquise au fonds
Durant la semaine au 27 avril, le ralentissement de la croissance américaine et les problèmes récurrents des emprunteurs périphériques de la zone euro n’ont pas beaucoup freiné l’activité des investisseurs. Selon EPFR Global, la plupart des différentes catégories de fonds ont enregistré des souscriptions nettes, avec notamment 3,04 milliards de dollars à destination des fonds obligataires, 7,89 milliards pour les fonds actions et près de 21 milliards de dollars –du jamais depuis vingt semaines- pour les fonds monétaires.Les fonds dédiés aux actions émergentes ont encore drainé 1,8 milliard de dollars fin avril si bien que la décollecte nette depuis le début de l’année a été ramenée à 7,4 milliards de dollars. La collecte nette des seuls fonds actions asiatiques hors Japon ont attiré près de 3 milliards de dollars. Parmi les pays des BRIC, l’intérêt pour la Russie ne se dément pas si bien que la collecte nette des fonds d’actions russes depuis le début de l’année atteint plus de 4,5 milliards de dollars. Les inquiétudes relatives au dollar et à l’inflation ont continué d’influencer les flux, avec un intérêt tout particulier pour les fonds dédiés à l’or et aux métaux précieux au sein des fonds du secteur des matières premières qui, sur la base du rythme de souscriptions enregistrées depuis le début de l’année, pourraient battre cette année le record enregistré l’an dernier de 32 milliards de dollars. On observe en outre que les fonds obligataires des marchés émergents investis en devises locales ont enregistré une collecte nette de 403,7 millions de dollars, soit plus de dix fois le montant de la collecte des fonds obligataires en devises fortes. L’encours de ces fonds s’inscrit désormais à 52,8 milliards de dollars, dépassant ainsi le montant des actifs obligataires invesetis dans les devises fortes (49,2 milliards de dollars).
Dow Jones Indexes a annoncé que son indice The Global Dow, qui mesure la performance des 150 plus grandes capitalisations au monde, sera l’indice de référence de l’ETF SPDR® Global Dow de State Street Global Advisors.
La succursale française d’ING Investment Management (ING IM) a fait état pour le premier trimestre d’une collecte nette de quelque 300 millions d’euros. Les actifs commercialisés en France se sont ainsi inscrits à 2,9 milliards d’euros au 31 mars dernier contre 2,7 milliards d’euros à fin décembre. La différence est à mettre sur le compte d’un effet marché négatif d’une centaine de millions. Un résultat «très satisfaisant» selon Thierry Rigoulet, le directeur général d’ING Investment Management en France, qui continue à viser un encours de l’ordre de 5 milliards d’euros à moyen terme.Les investisseurs français, à 50% fonds de fonds et banques privées et 50% investisseurs institutionnels, se sont notamment portés, pour un montant de 150 millions d’euros, sur la stratégie High Dividend dédiées aux actions de la zone euro. Les obligations des marchés émergents libellées en devises fortes et en devises locales ont drainé 50 millions d’euros au travers des fonds ING (L) Renta Fund Emerging Markets Debt Hard Currency et ING (L) Renta Fund Emerging Markets Debt Local Currency & Local Bonds. Le reste de la collecte (100 millions d’euros) a été réalisé pour l’essentiel sur la stratégie actions Europe opportuniste ainsi que sur un fonds dédié diversifié. Dans un contexte où les investisseurs continuent de privilégier la recherche de rendement, ING IM France va continuer de mettre en avant sa gestion High Yield. lNG IM France a d’ailleurs récemment obtenu l’agrément de l’AMF pour la commercialisation d’une stratégie dédiée aux obligations européennes à haut rendement (ING (L) Renta Fund Europe High Yield)
La société de gestion belge Petercam vient de faire agréer en France le compartiment Real Estate Europe Dividend de sa sicav de droit belge Petercam B Fund, qui est investi sur les actions du secteur de l’immobilier offrant un dividende supérieur à la moyenne, l’objectif étant de générer une performance brute de 6,75 %.Quelques mois après son lancement fin 2010, le compartiment «non benchmarké», co-géré par Olivier Hertoghe et Damien Marichal, affiche un encours de 75 millions d’euros. Il sera fermé aux nouvelles souscriptions à 150 millions d’euros, l’univers d’investissement étant limité. Initialement, les gérants visaient principalement les marchés «prometteurs» en matière de dividendes que sont la France, la Belgique et les Pays-Bas, mais ils ont finalement aussi trouvé des idées d’investissement en Allemagne, devenu un pays important dans le fonds, mais aussi en Italie et en Suisse. Le portefeuille se compose aujourd’hui d’une trentaine de titres, sachant qu’il n’est pas totalement investi puisque la part de liquidités, même si elle a été réduite, demeure élevée à 10 %.
Suite à l’accord conclu entre les sociétés de gestion américaine Brandes Investment Partners et danoise Sparinvest en début d’année (voir NewsManagers du 13/01/2011), un nouveau fonds vient de voir le jour ce lundi 2 mai : Sparinvest - Corporate Value Bonds. Il s’agit d’un OPCVM d’obligations d’entreprises value géré conjointement par les deux entités. Les émetteurs nord-américains sont sélectionnés par Brandes, basée à San Diego, alors que Sparinvest choisit les émetteurs du reste du monde. Le portefeuille du fonds compte entre 80 et 120 titres de toutes catégories.Caractéristiques : Code ISIN (classe R) : LU0620744002Code ISIN classe EUR I : LU0620744770 Frais de gestion classe R (client privé): 1 % Frais de gestion classe I (client institutionnel): 0,55%Droits d’entrée : jusque 2 % pour la classe R %, 0% pour la classe IDroits de sortie : 0% pour les deux classes
Les classements fournis par amLeague concernant ses deux mandats de gestion lancés le 30 juin 2010 – Europe equity fully invested et Euro equity fully invested – consacrent, sur le vieux Continent, Mandarine Gestion. Sur le mois d’avril, depuis le début de l’année (*) et depuis l’origine du championnat, la société de Marc Renaud occupe systématiquement la première place avec un gain de 4,95 %, 8,65 % et 24,65 % respectivement. A l’opposé, la dernière place est occupée par OFI AM sur le mois dernier (-0,73 %), ainsi que depuis le 30 juin 2010 (+16,72 %) tandis que sur l’année 2011, c’est Aberdeen AM qui figure dans le bas du classement (+3,59 %). Compte tenu de ces données, il ressort que l'écart entre les sociétés de gestion les plus et les moins performantes restent assez proches sur avril et depuis le début de l’année – de l’ordre de 5 points de pourcentage . En revanche, depuis le 30 juin 2010, la différence est plus proche des 8 points de pourcentage. Dans ce cadre, sur un mois, cinq sociétés de gestion ne réussissent pas à battre l’indice de référence (le MSCI Europe TR) tandis qu’une seule d’entre elles n’y parvient pas sur 2011 (Aberdeen AM) et sur les dix derniers mois (OFI AM). Sur le mandat de la zone euro, la situation est différente. En avril, Allianz GI affiche la progression la plus forte (+4,60 %) tandis que sur 2011 et depuis l’origine, la palme revient à CCR AM avec un gain de 11,76 % et 27,87 % respectivement. A l’autre extrémité, le «turn over» a été plus important. Trois établissements différents ont occupé la dernière place : Invesco AM sur le mois (+1,25 %), Somangest sur l’année 2011 (+4,65 %) et Barclays (+16,25 %) sur les dix derniers mois. Avec des écarts de 3,35, 7,11 et 11,29 points de pourcentage sur un mois, depuis le début de l’année et sur dix mois, le mandat sur la zone euro est plus différenciant. Et l’indice (l’Eurostoxx NR) est également plus difficile à battre pour la gestion active. Sur un mois, huit sociétés de gestion n’y parviennent pas (sur 13) et elles sont neuf dans ce cas sur 2011. En revanche, elles sont cinq à ne pas y parvenir depuis le 30 juin 2010 (sur 10). (*) Chiffres arrêtés au 29 avril 2011
Lors de la grand-messe de Berkshire Hataway qui s’est tenu samedi 30 avril devant ses 40 000 actionnaires, rapporte L’Agefi, il a été question du nom du futur patron de Berkshire Hataway, après l'épisode David Sokol, l’ancien lieutenant de Warren Buffett (voir éditions précédentes). Les débats ont également porté sur l’appétit de la holding en matière d’acquisitions.A ce titre, Warren Buffett a indiqué viser au moins deux opérations de la taille de Lubrizol. Il a également fait un point sur l’activité d’assurance, affectée par les événements au Japon et en Nouvelle-Zélande. Cette situation exceptionnelle pourrait déboucher sur la première perte annuelle en neuf ans dans ce segment, précise le quotidien.