En marge du « One Planet Summit », organisé à Paris, Amundi a annoncé, hier, que son fonds Amundi Planet – Emerging Green One (anciennement Green Cornerstone) a reçu un « accueil très favorable de la part des investisseurs » avec plus de 1,2 milliard de dollars d’engagements. Fruit d’un partenariat avec l’International Finance Corporation (IFC), membre du groupe de la Banque Mondiale, ce véhicule investit dans des obligations vertes émises par des institutions financières actives sur les marchés émergents. « Lancé en octobre 2017, ce fonds de droit luxembourgeois* a déjà reçu des marques d’intérêts très fortes de la part d’investisseurs institutionnels », indique le gestionnaire d’actifs français dans un communiqué.De fait, des fonds de pension, des compagnies d’assurances, des gestionnaires d’actifs, des institutions financières internationales et autres institutions de financement du développement de nombreux pays ont d’ores et déjà signifiés leur engagement à participer à ce fonds. Dans un communiqué séparé, Proparco, filiale de l’Agence française de développement (AFD), a d’ailleurs annoncé avoir investit 100 millions de dollars dans le fonds Amundi Planet – Emerging Green One. « La période de levée de fonds devrait être terminée début 2018 pour un ‘closing’ prévu en février », précise Amundi.Le fonds Amundi Planet – Emerging Green One a pour objectif d’accélérer le développement des marchés de capitaux au service du financement de projets favorisant la transition vers une économie bas-carbone dans les économies émergentes. « Les montants déjà engagés en font le plus important fonds d’obligations vertes au monde, revendique la société de gestion. Il s’agit du premier fonds d’obligations vertes dédié aux pays émergents. » * Le fonds est autorisé à la commercialisation en Autriche, Belgique, République Tchèque, Danemark, Finlande, France, Allemagne, Italie, Norvège, Pologne, Pays-Bas, Suède et Royaume-Uni.
Scor Investment Partners (Scor IP), la société de gestion du réassureur Scor, a annoncé, ce 12 décembre, la finalisation du déploiement des 378 millions d’euros levés lors de la commercialisation du fonds Scor Infrastructure Loans II. En parallèle, la société a dévoilé le lancement de la troisième génération avec le fonds Scor Infrastructure Loans III.Lancé fin août 2015, le fonds Scor Infrastructure Loans II a été commercialisé auprès d’une dizaine d’investisseurs institutionnels européens investis aux côtés du groupe Scor. Déployé en deux ans pour un montant brut d’engagements de 381,9 millions d’euros (soit 101% du montant des actifs levés), le portefeuille est constitué de quatorze créances réparties sur huit secteurs et quatre pays de la zone euro. « Le rendement brut attendu s’établit à Euribor 6 mois + 2,10% avec une durée moyenne de vie du portefeuille de 7,8 ans », précise Scor IP dans un communiqué.Le fonds Scor Infrastructure Loans III succède au fonds de deuxième génération. « Ce nouveau millésime s’inscrit dans la volonté affichée de Scor IP de participer à la transition énergétique et écologique et à la lutte contre le changement climatique », indique la société de gestion. L’équipe de gestion, dirigée par Paola Basentini, va donc privilégier les projets « verts » et vise, à ce titre, l’obtention du label Transition Energétique et Ecologique pour le Climat (TEEC) porté par le Ministère de l’Environnement, de l’Energie et de la Mer. La société de gestion ambitionne de déployer les capitaux levés en deux ans. Le fonds est déjà engagé sur trois créances de plus de 90 millions d’euros. « Sur le marché de la dette infrastructure, notre stratégie consiste à proposer aux investisseurs des fonds de taille moyenne – entre 300 millions d’euros et 500 millions d’euros – avec une granularité de 10 à 15 créances », explique François de Varenne, président du directoire de Scor IP, cité dans un communiqué.
La société Gemway Assets, qui a passé récemment les 500 millions d’euros d’encours, contre 147 millions d’euros fin 2016, va lancer son deuxième fond, apprend-on à la lecture d’une invitation presse pour la semaine prochaine. Le fonds s’appellera GemAsia, «nouveau fonds actions investi sur les marchés d’Asie hors Japon» et est lancé à l’occasion d’un partenariat entre Gemway Assets et Meeschaert Asset Management, indique l’invitation. Gemway Asseta eu depuis son lancement il y a cinq ans, un positionnement unique sur les marchés émergents à travers un seul fonds, GemEquity.
Le gestionnaire d’actifs britannique Hermes Investment Management (Hermes IM) enrichit sa gamme de fonds ESG avec le lancement de la stratégie Hermes Impact Opportunities, rapporte Investment Week. Ce nouveau fonds, lié aux objectifs de développement durable des Nations Unies, devrait être officiellement lancé en janvier 2018, sous réserve du feu vert des autorités de régulation. Géré par Tim Crockford, assisté d’une équipe de quatre personnes, ce nouveau fonds investira dans un portefeuille d’actions mondiales composé de 25 à 50 valeurs, généralement détenues sur une période de cinq à dix ans. L’indice de référence du fonds sera le MSCI All Country World IMI.Ce véhicule Ucits investira principalement dans des entreprises de moyennes capitalisations mais il pourra inclure quelques petites et grandes capitalisations. Chaque société sélectionnée doit être liée à au moins un des huit objectifs de développement durable des Nations Unies. Dans le cadre de son processus d’investissement, la société a retenu plusieurs grandes thématiques, à savoir la transition énergétique, l’économie circulaire, l’eau, la santé et le bien-être, l’éducation ou encore l’inclusion financière.
En juin dernier, Apicap annonçait le lancement d’une activité dédiée à la gestion immobilière, dirigée par Bernard Baret et Patrick Lenoël. Dans cette ligné, la société annonce la création de son premier fonds commun professionnel de capital investissement (FPCI) à destination d’une clientèle professionnelle : le FPCI Apicap Immo. Il investit en amont, dans des opérations de marchands de biens et accessoirement de promotion immobilière, sur des durées courtes, comprises entre 2 et 4 ans, pour viser des performances sensiblement plus élevées que celles classiquement dégagées par les investissements locatifs longs, assure un communiqué. Dans une logique de modération des risques, le fonds recherchera une diversification par typologies (habitations et immobilier tertiaire) et des localisations pérennes sur des zones dynamiques, à Paris, sur le périmètre du Grand Paris et dans les grandes métropoles régionales. Le communiqué assure que «dans la mesure où il investit dans des activités productives immobilières il n’est, de ce fait, pas intégré dans l’assiette du nouvel IFI instauré dans le Projet de Loi de Finances 2018". Le TRI estimé est de 9% à 12% mais l’objectif de TRI ne fait l’objet d’aucune garantie de la part de la société de gestion.
Sofiprotéol, société de financement et de développement dédiée aux entreprises agro-industrielles et agroalimentaire, et Tikehau Capital ont annoncé, ce 11 décembre, le « closing » final du fonds de prêt à l’économie « Sofiprotéol Dette Privée » à 205 millions d’euros d’engagements. Géré par Tikehau Investment Management (Tikehau IM), ce véhicule est dédié au financement des entreprises du secteur agro-industriel et agroalimentaire de toutes tailles à travers des dettes « in fine » ou via le financement d’acquisitions. « Ce fonds complète les outils de financement proposés par Sofiprotéol », indiquent les deux sociétés dans un communiqué commun. Depuis son lancement, le fonds a déjà investi dans 13 entreprises.
Deux sociétés de gestion ont déposé des dossiers auprès de la Securities & Exchange Commission (SEC) pour le lancement d’ETF sur le bitcoin, rapporte l’agence Reuters. Une nouvelle tentative alors que la SEC a jusqu’ici mis son veto à toutes les initiatives impliquant la monnaie virtuelle mais certains estiment qu’un lancement réussi des contrats de futures pourrait relancer l’intérêt de tels produits.REX Shares et Van Eck Associates proposent toutes deux le lancement d’ETF dédiés au bitcoin qui utiliseraient des contrats de futures pour accéder au marché plutôt que d’investir en direct. Les sociétés se sont refusé à tout commentaire pendant la période d'évaluation de leurs propositions.
Cathay Capital a annoncé ce 11 décembre la création et le premier closing de son fonds CarTech, nouveau véhicule d’investissement - et premier fonds RMB de Cathay Capital – dédié à l'écosystème chinois de l’automobile et de la mobilité. Lancé avec le soutien des investisseurs Valeo et Yangtze River Industry Fund, ce fonds s’appuiera sur la vision globale ainsi que la plateforme de Cathay Capital pour promouvoir le développement de technologies et business models innovants. Ce nouveau fonds investira 1,5 milliard de yuans (environ 200 millions d’euros) dans des sociétés jugées innovantes basées en Chine, au cours des quatre prochaines années.La société indique ainsi que la Chine est le premier marché automobile mondial, et est également leader dans le développement des nouvelles formes de mobilité. Elle poursuit une stratégie dans les trois révolutions du secteur automobile : l’électrification, les véhicules autonomes et connectés et la mobilité numérique. Le contexte particulier de la révolution des transports urbains en Chine, le taux de pénétration élevé de l’Internet mobile, conjugué à l’arrivée rapide de concepts alternatifs de mobilité et de partage, modifient le temps nécessaire à la commercialisation de technologies automobiles intelligentes et connectées, ainsi que des services connexes. Le fonds CarTech investira dans des sociétés à fort potentiel, se concentrant sur les compétences clés qui leur permettront de devenir des éléments indispensables de la révolution de la voiture autonome et de la chaîne de valeur du nouvel écosystème de mobilité. Cette nouvelle vision de l’innovation au service d’une industrie donnée et d’une géographie ciblée favorisera les partenariats entre les leaders de l’industrie automobile et les acteurs innovants de cet écosystème, conclut le communiqué.
La société de gestion Quaero Capital lance un fonds sur les énergies propres. Appelé « Accessible Clean Energy », ce nouveau compartiment de la Sicav luxembourgeoise Quaero Capital Funds (Lux) investit dans des sociétés cotées du monde entier actives à différentes étapes de la chaîne de valeur de l’énergie propre, telles que la production d’énergie, les technologies, le transport d’énergie et l’efficacité énergétique. Le fonds sera géré par Martina Turner et Zoë VanderWolk, qui ont rejoint Quaero Capital en septembre 2017.La nouvelle stratégie, qui compte déjà 30 millions d’euros d’encours, est gérée de façon active à travers un portefeuille concentré aux convictions marquées. Enregistré en France et dans plusieurs pays européens, le fonds sera distribué auprès d’investisseurs institutionnels et professionnels à travers l’Europe et au Royaume-Uni.Le fonds investit à travers toute la chaîne de valeur de l’énergie propre, puisant dans un univers de 650 sociétés cotées. Avec un portefeuille comptant typiquement de 28 à 35 positions choisies dans une perspective à trois ans, les principales pondérations concernent l’efficience énergétique et le stockage de l’énergie, qui constituent environ la moitié du portefeuille. Le reste est investi dans la production d’énergie éolienne, solaire et géothermique, ainsi que dans les fabricants d'équipement.
A l’occasion du « One Planet Summit », BNP Paribas Asset Management (BNP Paribas AM) a annoncé son intention de poursuivre le développement de sa gamme de fonds verts et le lancement prochain d’un fonds d’épargne visant notamment à contribuer au financement des PME / ETI européennes actives dans la transition énergétique. « Les clients particuliers de la banque de réseau France investissant leur épargne dans ce fonds, auquel BNP Paribas Cardif s’associe, auront la possibilité d’ajouter un impact environnemental à leur épargne », indique le groupe BNP Paribas dans un communiqué. Ce nouveau produit sera investi à 90% minimum dans les fonds thématiques Environnement existants de BNP Paribas AM (eau, climat, immobilier responsable…). Les 10% maximum restants seront placés dans une structure d’investissement dédiée au financement des PME / ETI françaises et européennes qui contribuent à la transition énergétique et écologique dans les domaines suivants : efficacité énergétique, énergie renouvelable, immobilier responsable, transport et agriculture durable, gestion de l’eau et des déchets et services environnementaux. « Cette structure sera ouverte aux investisseurs institutionnels et professionnels », précise le groupe bancaire.En parallèle, BNP Paribas Securities Services (BP2S) a dévoilé le lancement, en 2018 de « ClimatSeed », une plateforme dédiée à la compensation carbone volontaire. « Cette initiative s’inscrit dans l’engagement de long terme de BNP Paribas en matière de lutte contre le changement climatique et de promotion des objectifs de développement durable des Nations Unies », souligne la banque française. Concrètement, afin d’encourager les démarches des entreprises souhaitant devenir neutre en carbone, le groupe bancaire va mettre en place un mécanisme volontaire de compensation carbone à destination de ses clients et de porteurs de projets. Se présentant comme « un véritable réseau social réunissant ces deux catégories d’acteurs », ClimateSeed deviendra ainsi « la première plateforme centralisée, transparente et efficace pour acheter et vendre des crédits de carbone », veut croire BNP Paribas. Cette plateforme réinvestira 100% de ses profits dans son développement et des initiatives destinées à améliorer son impact. « Un comité d’éthique, comprenant des experts du marché carbone, des universitaires, des représentants des ONG et des auditeurs, approuvera les projets promus sur la plateforme », précise le groupe bancaire.
Le courtier indépendant Epargnissimo complète sa gamme de produits en partenariat avec Suravenir, filiale d’assurance vie et de prévoyance du Crédit Mutuel Arkea, en intégrant une offre de gestion pilotée, gérée par Carmignac. Les contrats d’assurance vie Croissance Avenir et de capitalisation Croissance Avenir Capitalisation, déjà accessibles en gestion libre et profilée, seront dès ce mois de décembre accessibles en gestion pilotée.Les contrats Epargnissimo proposeront donc dès cette fin d’année la gestion libre, profilée et pilotée au sein d’un seul et même contrat.
La fintech britannique WordlRemit, leader du transfert d’argent international sur mobile, a levé 40 millions de dollars (34 millions d’euros) pour viser 10 millions de clients des pays émergents à horizon 2020, dont 50% en Afrique. Ce tour de table (série C) porte à 220 millions de dollars le total des investissements dont a bénéficié WorldRemit à ce jour. Il a été orchestré par LeapFrog Investments, avec le concours des investisseurs historiques Accel et TCV.
Le gestionnaire d’actifs américain BlackRock vient de lancer le fonds BlackRock Emerging Markets Short Duration Bond, un véhicule axé sur les dettes émergentes à maturité courte, rapporte Citywire Selector. Ce nouveau produit est géré par Sergio Trigo Paz, assisté par Michal Katrencik et Michal Wozniak en tant que cogérants.
Yu’e Bao, le plus gros fonds monétaire au monde avec 235 milliards de dollars, va limiter à 20.000 yuan (3.022 dollars) le montant quotidien que les individus peuvent investir, rapporte le Wall Street Journal. Le fonds prend ainsi des mesures supplémentaires pour ralentir les flux après que le régulateur chinois a émis des inquiétudes concernant sa croissance rapide. Le gestionnaire, Tianhong Asset Management, a imposé une limite de 100.000 yuan sur la taille des nouveaux comptes individuels dans le fonds, abaissant cette limite deux fois cette année. La limitation va débuter vendredi. Le fonds est géré par une filiale d’Alibaba Group Holding.
Bankinter Gestion de Activos, la filiale de gestion d’actifs du groupe espagnol Bankinter, vient d’enregistrer le fonds Bankinter Multiselección Defensivo, le troisième produit de sa gamme Multiselección, rapporte le site spécialisé Funds People. Selon Morningstar, cette gamme totalise actuellement 120 millions d’euros d’actifs sous gestion. Le véhicule Bankinter Multiselección Defensivo pourra investir jusqu’à 10 % de ses encours dans les actions. A ce titre, ce fonds offre un profil plus défensif que ses deux prédécesseurs. De fait, le fonds Bankinter Multiselección 25 peut investir entre 0% et 30% en actions tandis que le fonds Bankinter Multiselección Dinamica peut y investir entre 15% et 75% de ses encours. Outre les actions, le nouveau véhicule investira dans des obligations publiques et privées ainsi que dans les matières premières. Il ciblera principalement les marchés développés et les pays de l’Union européenne.
Le gestionnaire d’actifs espagnol Cobas Asset Management (Cobas AM), fondé par Francisco Garcia Paramès, a étoffé sa gamme de fonds avec le lancement de Cobas Concentrados. Ce nouveau véhicule d’investissement a été enregistré le 1er décembre 2017 auprès du régulateur espagnol, la CNMV. Investi en actions internationales, ce nouveau produit se présente comme une version concentrée de Cobas Seleccion, le fonds phare de Cobas AM. Selon son prospectus, son indice de référence est le MSCI Europe Total Return Net. Son objectif est « d’obtenir un rendement satisfaisant et durable en sélectionnant des actifs sous-évalués par le marché », explique Cobas AM. A ce titre, la société de gestion reste fidèle à sa philosophie « value », chère à Francisco Garcia Paramès. Le fonds investira plus de 75% de ses actifs dans des actions, le solde étant investi en obligations publiques et/ou privées. « Le risque devise oscillera entre 0% et 100% de son exposition totale », souligne le gestionnaire d’actifs. Sur les actions, le produit investira principalement dans des émetteurs et des marchés européens et, de manière minoritaire, dans d’autres pays de l’OCDE. Il pourra également avoir une exposition à des émetteurs des marchés émergents.Sa politique d’investissement est globalement similaire à celle du fonds Cobas Seleccion, ajoute Cobas AM. Toutefois, à l’inverse de Cobas Seleccion, Cobas Concentrados aura une plus grande concentration du portefeuille, avec un maximum de 20% d’exposition sur une seule valeur et un effet de levier financier jusqu’à 100% de l’encours.
Extendam indique avoir bouclé plus tôt que prévu la levée de son nouveau fonds dédié à l’activité immobilière au Portugal. Ce fonds investira dans des biens immobiliers situés à «des emplacements de première qualité, principalement à Lisbonne». Les opérations sont destinées à un public large d’acheteurs, aussi bien portugais qu'étrangers.Extendam a déjà participé au financement de 20 programmes immobiliers au ¨Portugal (dont 6 à Lisbonne) au cours des 5 dernières années, soit plus de 30.000 m2 déployés à ce jour dans le résidentiel."Ce fonds se positionne comme une offre alternative et complémentaire aux offres disponibles en gestion immobilière ou financière et qui, par ailleurs, dispose d’une fiscalité allégée», assure un communiqué.
Eiffel Investment Group, gérant d’actifs spécialiste du financement en dette et en fonds propres des entreprises, a annoncé ce 7 décembre que son fonds Eiffel Energy Transition vient d’atteindre l’objectif initial de 200 millions d’euros d’engagements. Après 8 mois d’activité, Eiffel Energy Transition a déployé 100 millions d’euros dans 272 projets dans les énergies renouvelables.Le fonds Eiffel Energy Transition intervient sous forme de prêts à court-terme permettant de passer la phase délicate de construction d’un projet avant que les financements de long-terme ne prennent le relais. «Il permet ainsi aux développeurs d’énergies renouvelables (solaire, éolien, biogaz, biomasse, ...) et aux opérateurs d’efficacité énergétique (rénovation thermique des bâtiments, éclairage basse consommation, ...) d’accélérer leur croissance en allouant leurs fonds propres vers davantage de projets», assure le communiqué. Eiffel précise que «les besoins de la filière sont considérables : plus de 200 millions d’euros de besoins de financements additionnels ont d’ores et déjà été exprimés par une vingtaine de développeurs partenaires d’Eiffel Investment Group, garantissant la poursuite du déploiement rapide du fonds».
Le taux d’automatisation des ordres passés par les fonds transfrontières au Luxembourg et en Irlande a atteint 86,6 % au deuxième trimestre 2017, selon des données communiquées par l’association européenne des gestionnaires d’actifs (Efama), en coopération avec Swift. L’an passé à la même époque, ce taux ressortait à 84,4 %.L’utilisation des standards de messagerie ISO a augmenté de 53,4 % au quatrième trimestre 2016 à 54,2 % au deuxième trimestre 2017. Parallèlement, le traitement manuel est resté stable à 13,4 %. L’automatisation est un peu plus avancée en Irlande, avec un taux de 90,6 % contre 84 % au Luxembourg.Le volume total des ordres des fonds transfrontières a augmenté de 13,3 % à 19,5 millions au premier semestre 2017, contre 17,2 millions d’ordres au second semestre 2016.
Ashburton Investments, la division de gestion d’actifs du groupe FirstRand et de IIFL Asset Management (IIFL AMC), a décidé de fusionner son fonds India Equity Opportunities (120 millions de dollars d’encours) avec le fonds IIFL India Equity Opportunities, rapporte Investment Week. Le nouveau véhicule ainsi fusionné continuera d’être géré par Jonathan Schiessl, directeur des investissements d’Ashburton, qui est en charge du fonds Ashburton India Equities Opportunities depuis son lancement en 2012. Il rejoindra IIFL AMC en qualité de directeur des investissements et gérant principal du fonds. Pour sa part, Swati Jain intégrera également IIFL AMC en qualité de responsable des ventes institutionnelles afin de poursuivre la distribution de la stratégie auprès des investisseurs internationaux.