Lors d’une phase de test effectuée fin 2017, BNP Paribas Asset Management (BNPP AM) a réalisé avec succès sa première transaction de souscription dans un fonds en utilisant la technologie blockchain tout au long de la chaîne de transaction. La filiale de gestion de BNP Paribas explique ainsi que ce test a été effectué en s’appuyant sur le programme blockchain de BNP Paribas Securities Services, Fund Link, et sur FundsDLT, une plateforme décentralisée qui utilise la blockchain pour le traitement des opérations de souscription et rachats de parts de fonds. FundsDLT est une initiative conjointe de Fundsquare (filiale de la Bourse de Luxembourg), InTech (filiale du Groupe POST) et KPMG Luxembourg. Le test a confirmé la capacité des plateformes à établir la connexion entre différentes blockchains et était le premier à s’appuyer sur l’interopérabilité entre des blockchains indépendantes. Il marque ainsi une étape clé pour la distribution de fonds, assure le communiqué. La transaction couvrait chaque étape du processus, de l’instruction de l’ordre jusqu’à l’exécution de l’opération. « Nous avons une opportunité unique de façonner l’avenir de l’industrie de la gestion d’actifs et de transformer en profondeur la distribution de fonds grâce aux technologies digitales. Ces innovations offrent aux investisseurs des délais de transaction bien plus rapides, tandis qu’elles nous permettront de disposer de systèmes plus fluides et efficaces dotés d’une technologie innovante et compatible avec tous les types de fonds et toutes les régions», a commenté pour sa part Fabrice Silberzan, chief operating officer de BNP Asset Management.
Le bitcoin a dopé les rendements de deux ETF ayant le mieux performé l’an dernier, ce qui montre que certaines sociétés de gestion n’attendent pas que les régulateurs approuvent un fonds américain entièrement dédié à la cryptomonnaie, rapporte le Wall Street Journal. Le bitcoin est la principale position de deux ETF d’Ark Investment Management, une société new yorkaise qui détient des parts dans un trust qui détient des bitcoins. Les deux fonds ont affiché des gains supérieurs à 97 % depuis la fin 2016, selon FactSet. Les fonds détenaient chacun environ 6 % de leurs actifs en bitcoin, lequel a bondi de 1.446 % depuis la fin 2016.
Le gestionnaire d’actifs britannique Alquity Investment Management, spécialisé dans l’investissement éthique sur les marchés émergents, a reçu le feu vert de l’Autorité des marchés financiers (AMF) pour commercialiser sa sicav en France, rapporte InvestmentEurope. Cette autorisation a été obtenue le 22 décembre 2017. Alquity Sicav comprend les compartiments suivants : Alquity Africa, Alquity Latin America, Alquity Asia, Alquity India Subcontinent et, enfin, Alquity Future World.
Amundi a dévoilé, hier, une nouvelle gamme de fonds actions suivant un processus d’allocation dynamique et multifactorielle au sein de sa sicav luxembourgeoise Amundi Funds. Les nouveaux fonds sont Amundi Funds Dynamic Multi Factors Euro Equity, Amundi Funds Dynamic Multi Factors Europe Equity et, enfin, Amundi Funds Dynamic Multi Factors Global Equity. Ces nouveaux compartiments visent « à capter les opportunités de croissance de capital à long terme grâce à l’application d’un processus d’allocation dynamique multifactorielle sur les univers zone euro, Europe et Monde », précise la société de gestion dans un communiqué. Ils offrent par ailleurs aux investisseurs « l’opportunité de bénéficier de la complémentarité des primes de risque de chaque facteur tout au long des cycles des marchés actions », poursuit Amundi.Le processus d’investissement de ces nouveaux fonds repose sur trois étapes, explique Amundi. Dans un premier temps, des portefeuilles factoriels sont construits avec l’appui des équipes de recherche quantitative d’Amundi. Les facteurs sont ensuite combinés selon une méthode d’allocation stratégique, dans laquelle chaque facteur contribue de manière égale au profil de risque du portefeuille. L’équipe de gestion met ensuite en place une combinaison des facteurs à long terme, en ligne avec les changements de régime observés sur les marchés. De plus, afin d’éviter les biais et de faire face au risque de valorisation, l’équipe réajuste tactiquement l’allocation entre les facteurs. Enfin, des contraintes de gestion sont appliquées aux portefeuilles pour éviter le risque de concentration et limiter les frais d’exécution.Ces solutions d’allocation dynamique multifactorielle sont gérées au sein d’une plateforme Smart Beta et Investissement Factoriel dédiée, avec le soutien de Thierry Roncalli, responsable de la recherche quantitative chez Amundi, et de ses équipes, indique la société de gestion. « En plus de ces fonds ouverts, les équipes sont en mesure d’adapter cette approche aux contraintes spécifiques des investisseurs afin de créer des solutions sur mesure, par exemple en intégrant des critères ISR, ESG ou low carbon qui peuvent être considérés comme des risques non rémunérés.La plateforme Smart Beta et Investissement Factoriel d’Amundi gère plus de 19 milliards d’euros d’encours à fin novembre 2017.
La fintech lausannoise SwissBorg a bouclé sa première ICO hier, rapporte L’Agefi suisse. La collecte par vente de jetons (tokens) sur la blockchain Ethereum (dont la technologie est utilisée par la majorité des ICOs) lui a permis de lever en l’espace d’un mois l’équivalent en crypto-monnaies (bitcoins, ethers et litecoins) de 50 millions de francs. Créée début 2017, la jeune start-up vise à devenir la première plateforme de wealth management sur la blockchain. La fintech va ainsi pouvoir lancer son premier produit, le «Crypto Fund», un fonds d’investissement en e-devises pour les banques. «Les banquiers comprennent l’intérêt de diversifier leurs portefeuilles en incluant des cryptodevises dedans. Ils n’ont cependant par l’architecture technique pour le faire. L’idée est donc de proposer un système de plug-in qui leur permettra d’inclure des cryptomonnaies dans leurs compte-titres.» Alors qu’une majorité des fonds en «tokens» se concentrent uniquement sur des stratégies dites «long only» ou sur les principales cryptodevises (ce qui présente un niveau de risque élevé en cas de chute du marché des cryptomonnaies), le «Crypto-Fund» vise à être matériellement couvert la plupart du temps pour limiter les risques de baisse des marchés, précise-t-on.
Liontrust a recruté Donald Phillips pour compléter sa nouvelle équipe obligataire mondiale. L’intéressé, qui rejoindra la société de gestion en février 2018, est actuellement gérant au sein de l’équipe crédit de Baillie Gifford. Précédemment, entre 2005 et 2008, il officiait chez Kames Capital où il a travaillé avec David Roberts et Phil Milburn qu’il va retrouver chez Liontrust au sein de l’équipe obligataire. Le duo doit en effet rejoindre Liontrust ce mois-ci. Donald Phillips est co-gérant du fonds Baillie Gifford High Yield Bond Fund depuis juin 2010 et de la stratégie US High Yield depuis son lancement en février 2017. David Roberts est quant à lui responsable de l’équipe obligataire au sein de Kames Capital et Phil Milburn est responsable de la stratégie d’investissement de l’équipe.Liontrust va profiter de l’arrivée de ce trio pour lancer trois fonds : Strategic Bond, High Yield Bond et Absolute Return Bond.
Le gestionnaire d’actifs britannique Royal London Asset Management (Royal London AM) vient de recruter Cathy Gibson, ancienne responsable du trading obligataire britannique chez Deutsche Asset Management, au nouveau poste de « head of dealing », rapporte Financial News. L’intéressée prendra officiellement ses fonctions le 19 février 2018 et elle dirigera une équipe de quatre traders investissant dans les actions et les obligations, a confirmé au site britannique une porte-parole de la société de gestion. Cathy Gibson avait décidé de quitter Deutsche AM avant Noël suite à la décision du groupe allemand de relocaliser le trading obligataire de Londres vers Francfort. Elle avait rejoint Deutsche AM en septembre 2015.
La société de gestion française Ivo Capital, dont les encours s’élèvent à 430 millions d’euros, a obtenu l’agrément de l’Autorité des marchés financiers (AMF) pour deux fonds de dette privée dédiée au financement de contentieux, rapporte le quotidien Les Echos. Concrètement, la société cherche à lever deux fonds fermés de 50 à 100 millions de dollars chacun, comme l’avait déjà indiqué NewsManagers le 24 novembre dernier. «Nous nous donnons deux ans pour investir entre 100 et 200 millions», explique Michael Israel, associé d’Ivo Capital. L’objectif de la société est de dégager un rendement d’au moins 15%. Ivo Capital n’en est pas à son coup d’essai. Elle a déjà investi directement 62 millions de dollars dans 18 cas, essentiellement aux Etats-Unis, au Royaume-Uni et au Canada.Selon un communiqué de la société de gestion, datée du 10 janvier, les deux fonds sont baptisés IVO Global Insured Litigation Fund 4 et IVO US Insured Litigation Fund 5. Ces fonds offrent aux investisseurs professionnels une solution de diversification et la possibilité aux entreprises d’externaliser les coûts et les frais liés à la conduite de procédures contentieuses ou de procédures d’arbitrage international.
Turgot Asset Management (Turgot AM) rationnalise sa gamme de fonds. Dans une lettre aux porteurs, la société de gestion a en effet annoncé sa décision de fusionner le fonds Turgot Multicaps Europe avec son FCP Rainbow Fund. Cette décision a été motivée par le « faible niveau d’encours observé » du fonds Turgot Multicaps Europe, explique la société. Cette opération s’inscrit également dans la volonté de Turgot AM « d’offrir aux porteurs de parts du fonds Turgot Multicaps Europe la possibilité d’accéder à un OPCVM disposant d’une exposition sur les marchés actions internationales et d’un actif net plus important qui permettra de saisir plus d’opportunités sur les marchés », poursuit la société.Cette opération de fusion s’effectuera le 10 janvier 2018, précise Turgot AM alors que l’agrément de l’Autorité des marchés financiers (AM) a été obtenu le 24 novembre 2017. Dans le cadre de cette fusion/absorption les parts du FCP Turgot Multicaps Europe seront échangés contre des parts du FCP Rainbow Fund.Le fonds absorbant Rainbow Fund, axé sur les actions internationales, a pour objectif de rechercher, sur une période de 5 ans, une performance nette de frais de gestion supérieure à celle de son indice de référence, 40% CAC 40 + 40% EUROSTOXX 50 + 10% S&P 500 + 10% EONIA capitalisé, par le biais d’une gestion active et discrétionnaire en sélectionnant un ensemble de valeurs, indique la société. L’indice de référence est calculé dividendes réinvestis. Pour répondre à son objectif de gestion, le gérant adopte une gestion active en sélectionnant des titres au sein d’un univers d’entreprises où sont mises en place des normes anti-discriminatoires, et qui prônent la diversité et l’inclusion. Le fonds est principalement exposé aux actions européennes et internationales via des titres en direct ou des instruments dérivés (exposition maximale 110% de l’actif net).Pour sa part, le fonds Turgot Multicaps Europe était un fonds diversifié, principalement exposé aux actions européennes via des titres en direct ou des instruments dérivés (exposition maximale 130% de l’actif net).A l’issue de la fusion des deux fonds, l’exposition maximum aux marchés actions diminuera, passant de 130% maximum de l’actif à 110% pour le fonds absorbant Rainbow Fund. « Toutefois, le fonds absorbant sera exposé a minima et à tout moment à 60% sur l’ensemble des marchés actions européens et internationaux, y compris dans des pays européens n’appartenant pas à l’Union européenne, précise Turgot AM. Les investissements pourront être dorénavant réalisés dans des pays non européens. »En date du 17 novembre 2017, le fonds Turgot Multicaps Europe affichait 3,32 millions d’euros d’encours tandis que le produit Rainbow Fund totalisait 3,22 millions d’euros d’actifs.
Le fonds AHL Evolution de Man Group a gagné environ 18 % en 2017, ce qui constitue la meilleure année du hedge fund depuis 2014, rapporte Bloomberg. Le fonds de 3,4 milliards de dollars, qui utilise des algorithmes, était en hausse de 6,2 % en 2016.
Le spécialiste de l'épargne retraite Arca Patrimoine a annoncé ce 9 janvier la poursuite de son partenariat avec Aviva France et le lancement d’un nouveau contrat, Aviva Retraite Plurielle Madelin. Ce contrat d’assurance retraite reprend les particularités de l’ancien produit Aviva Retraite Madelin précédemment commercialisé en ajoutant la palette de solutions financières présentes sur les contrats de l’assureur. Il s’agit d’un contrat d’assurance-vie multisupport qui permet de se constituer un complément de retraite dans le cadre fiscal attractif de la loi Madelin. Ce contrat permet en effet de déduire les cotisations versées des revenus professionnels.Le contrat propose trois stratégies de gestion. Tout d’abord la gestion par compartiments, avec un ou plusieurs modes de gestion activables simultanément (gestion évolutive, sous mandat et gestion libre), ce qui constitue une innovation sur le marché de la retraite Madelin. Ensuite, la gestion évolutive différenciée par profil (prudent, équilibré, dynamique) qui constitue une approche plus centrée sur le client, avec un proposition adaptable. Enfin, la gestion sous mandat, un outil particulièrement adapté aux TNS (travailleurs non salariés) qui sont demandeurs d’un accompagnement soutenu dans la gestion de leur patrimoine.Dans le cadre de la stratégie de Gestion Libre, l’investisseur choisit librement de répartir son épargne retraite parmi une large gamme de supports d’investissement et récemment étoffée. Elle permet au client de définir lui-même la répartition de son investissement. sur un ou plusieurs supports proposés au contrat : - 3 fonds patrimoniaux : Aviva Sélection Patrimoine, Aviva Valorisation Patrimoine et Aviva Conviction Patrimoine. - 73 supports d’investissement dont des fonds actions – obligataires – des fonds diversifiés – des fonds monétaires - 7 fonds à horizon –– 2 SCPI et 1 fonds en euros : Aviva Actif Garanti.
Axiom Alternative Investments (Axiom AI) a annoncé, ce 9 janvier, le lancement du fonds Axiom Long Short Equity, un véhicule « market neutral » qui vise à générer une performance absolue en combinant des vues à long et moyen terme sur les actions financières européennes (banques, assurances et services financiers). Ce nouveau produit, qui dispose d’un an de track record, sera commercialisé à partir de janvier 2018, indique la société de gestion dans un communiqué. « Axiom Long Short Equity vient enrichir et élargir la gamme Axiom AI avec une stratégie qui combine approche fondamentale et outils quantitatifs », précise le gestionnaire d’actifs. L’équipe de gestion a pour mission d’identifier les banques, assureurs et sociétés de services financiers les mieux et moins bien positionnées dans l’environnement réglementaire, économique, monétaire et politique actuel.L’objectif du fonds est de délivrer une performance absolue de l’ordre de 5% à 7% par an avec une volatilité inférieure à 4%. L’univers d’investissement comprend les établissements inclus dans les trois principaux indices financiers européens, à savoir Stoxx Europe 600 Banks, Stoxx Europe 600 Insurance et Stoxx Europe 600 Financial Services, soit 123 valeurs aujourd’hui. Le portefeuille se compose d’environ 40% d’analyse fondamentale (8 longs et 8 shorts) et environ 60% d’analyse quantitative basée sur les changements du consensus des analystes (12 longs et 12 shorts). Chacune des positions n’excède pas 5%.
Federal Finance Gestion, filiale d’Arkéa Investment Services, a annoncé, ce 8 janvier 2018, le lancement du fonds Autofocus Rendement Janvier 2018. Ce nouveau produit vient ainsi enrichir sa gamme de fonds à formule composée à ce jour de 51 véhicules et dont la collecte représente 3,3 milliards d’euros. Autofocus Rendement Janvier 2018 est un produit financier à capital garanti d’une durée maximale de 9 ans et dont l’évolution est liée à l’indice EuroStoxx 50 hors dividendes. Ce fonds s’adresse principalement à des investisseurs avisés, cherchant une solution alternative à un investissement risqué de type « actions » pour diversifier leur portefeuille. A l’échéance, l’investisseur subit une perte de son capital investi à l’origine à hauteur de la baisse intégrale de l’indice (Euro Stoxx 50 calculé hors dividendes) si l’indice a baissé de plus de 40% par rapport à son niveau initial. Dans le cas de baisse de l’indice inférieure à 40%, l’investisseur obtient le remboursement de son capital net investi. Le fonds s’adresse également aux épargnants qui souhaitent bénéficier de gains fixes et plafonnés de 4% chaque année si l’indice est compris entre -20% et son niveau initial.Ce produit est éligible à l’assurance-vie (y compris Fourgous), au PERP et au compte-titres. La période de souscription s’étend du 8 janvier au 3 mars 2018 et jusqu’au 7 mars 2018 (avant 12h) en compte-titres. Le seuil d’accès du fonds est fixé à 1.000 euros. Ce véhicule est commercialisé dans les réseaux du Crédit Mutuel de Bretagne, Crédit Mutuel du Massif Central, Crédit Mutuel du Sud-Ouest, Fortunéo et Arkéa Banque Privée. Les frais d’entrée sont de 2% maximum tandis que les frais de sortie sont fixés à 2% maximum.
Candriam Investors Group obtient le premier label ISR (investissement socialement responsable) décerné à un fonds ISR High Yield pour son fonds Candriam SRI Bond Global High Yield, lancé en septembre 2017. Quatre autres fonds Candriam ont également reçu le label ISR d’Etat (Candriam SRI Bond Euro Corporate, Candriam SRI Equity North America, Candriam SRI Equity Pacific et Candriam SRI Equity World). Les labels ont été attribués par AFNOR Certification en décembre 2017. Aujourd’hui, l’ISR représente plus de 25 % du total des encours sous gestion de Candriam (111 milliards d’euros d’encours) qui dispose d’une équipe de 44 collaborateurs totalement dédiés à l’ISR.« La certification de cinq fonds ISR Candriam souligne à nouveau notre engagement pour une économie durable et responsable. Aujourd’hui, les investissements doivent davantage démontrer leur impact positif sur l’environnement et la société en général. Candriam tient à participer activement à cette évolution du marché. Le label ISR est donc une excellente initiative qui permet de garantir la qualité de la démarche ISR des fonds tout en les rendant plus accessibles et transparents aux yeux des investisseurs », a commenté Naïm Abou-Jaoudé, CEO de Candriam Investors Group et chairman de New York Life Investment Management International.
Invesco PowerShares a coté sur Borsa Italiana trois nouveaux ETF : PowerShares USD Corporate Bond UCITS ETF, PowerShares Euro Corporate Bond UCITS ETF et PowerShares Emerging Markets USD Bond UCITS ETF, rapporte Bluerating. Ils viennent s’ajouter aux neuf ETF obligataires de PowerShares gérés activement et passivement en collaboration avec Pimco et au PowerShares US High Yield Fallen Angels UCITS ETF.
Fidelity International, via sa société chinoise de gestion de fonds privés « wholly foreign-owned enterprise », a annoncé le lancement de deux nouveaux fonds en Chine. Le premier sera investi principalement sur le marché chinois des actions A et sera le premier fonds actions onshore en Chine de Fidelity. Le second est un fonds obligataire. La WFOE de Fidelity International a été établie en septembre 2015. Et le groupe a été la première société internationale à s’enregistrer auprès de l’Asset Management Association of China en tant que société de gestion de fonds privés en janvier 2017. Cela lui permet de gérer des fonds privés en Chine.
UBS Asset Management (UBS AM) étoffe sa gamme d’ETF avec le lancement d’un fonds axé sur l’égalité des sexes, a annoncé ce 8 janvier la fondation spécialisée Equileap. Baptisé UBS (Irl) ETF plc – Global Gender Equality Ucits ETF, ce nouveau véhicule fait partie de la gamme de produits d’investissement d’impact. Cet ETF investira dans l’indice Solactive Equileap Global Gender Equality 100 Leaders, qui suit les 100 plus grandes sociétés mondiales ayant un bilan solide en matière de diversité hommes-femmes et de développement durable. Le fonds, coté ce 8 janvier sur Swiss Exchange SIX, est le fruit d’une collaboration entre UBS AM et UBS Wealth Management. La société de gestion a décidé de dédier 5% des frais de gestion de cet ETF à des projets philanthropiques.
Le gestionnaire d’actifs américain AllianceBernstein (AB) vient de lancer un nouveau fonds axé sur les primes de risque alternatives, baptisé AB Alternative Risk Premia Portfolio, a appris Citywire Selector. Cette nouvelle stratégie est conçue pour offrir une faible corrélation avec les actifs traditionnels tout en offrant des rendements relativement attractifs. La gestion du fonds sera assurée par Stuart Davies et Vikas Kapoor, qui compte 23 ans d’expérience notamment dans la gestion de fonds centré sur les primes de risques. Tous deux étaient d’ailleurs co-directeur général de RASL, une société spécialisée dans les solutions d’investissements alternatives et acquise par AB fin 2016. Les deux gérants adopteront une approche multi-stratégie et utiliseront environ 50 stratégies de primes de risque alternatives.Domicilié au Luxembourg, ce fonds est initialement enregistré pour commercialisation en Allemagne et en Autriche. AB a toutefois déposé des demandes d’enregistrement dans tous les principaux pays européens.
Le groupe canadien Fiera Capital, dont les actifs sous gestion s'élèvent à quelque 123 milliards de dollars, vient de lancer deux stratégies actions qui visent à profiter des opportunités offertes actuellement par le marché, rapporte le site Citywire. Le fonds Fiera Capital Global Equity, domicilié à Dublin, investira dans 35 à 45 sociétés jugées de qualité, affichant un avantage concurrentiel durable et une valorisation attractive. Ce fonds de conviction, avec un horizon d’investissement de cinq ans, sera géré par son affiliée Charlemagne Capital.Fiera Capital a également lancé le fonds Fiera Capital US Equity, qui comprendra entre 25 et 35 lignes tout au plus.
La société de gestion française Comgest a modifié la dénomination de deux de ses fonds. Le fonds Comgest Growth Greater China devient Comgest Growth China tandis que le fonds Comgest Growth Mid-Caps Europe devient Comgest Growth Europe Smaller Companies, indique le site spécialisé Investment Europe. Ces modifications sont effectives depuis le 22 décembre. Elles n’entraînent aucun changement en ce qui concerne l’objectif, la politique d’investissement et la composition du portefeuille. Comgest a procédé à ces modifications pour des raisons de clarification, indique-t-on.A fin décembre 2016, les actifs sous gestion de Comgest s’inscrivaient à 21,8 milliards d’euros.