L’actualité (lancement, levée de fonds, nouveaux produits) des start-up qui utilisent les nouvelles technologies pour proposer des services innovants dans le domaine de la finance.
L’investissement en ligne dans les actions et les cryptomonnaies attire les fonds de capital-risque. L’application de courtage en ligne allemande Trade Republic a annoncé ce jeudi avoir bouclé un tour de table record de 900 millions de dollars (737 millions d’euros) en série C, mené par le fonds américain Sequoia, aux côtés de nouveaux investisseurs tels que TCV et Thrive Capital et de ses investisseurs historiques Accel, Founders Fund, Creandum et Project A. Trade Republic revendique désormais une valorisation de plus de 5 milliards de dollars, indique-t-elle dans son communiqué, devenant l’une des principales fintechs à capitaux privés d’Europe. Créée en 2015, elle a lancé une plateforme de courtage qui se veut «simple et accessible à tous». Elle revendique de ne facturer qu’un euro par transaction à ses clients, pour couvrir ses coûts externes. Trade Republic a lancé son service en France fin janvier. Actuellement, Trade Republic comptabiliserait plus de 6 milliards d’euros d’actifs clients.
L’investissement en ligne dans les actions et les cryptomonnaies attire les fonds de capital-risque. L’application de courtage en ligne allemande Trade Republic a annoncé ce jeudi avoir bouclé un tour de table record de 900 millions de dollars (737 millions d’euros) en série C, mené par le fonds américain Sequoia, aux côtés de nouveaux investisseurs tels que TCV et Thrive Capital, et de ses investisseurs historiques Accel, Founders Fund, Creandum et Project A. Trade Republic revendique désormais une valorisation de plus de 5 milliards de dollars, indique-t-elle dans son communiqué, devenant l’une des principales fintechs à capitaux privés d’Europe. Elle a franchi un cap, après sa levée de fonds précédente, de 67 millions de dollars, réalisée en avril 2020.
Veracash, la fintech bordelaise qui propose un compte en ligne adossé à des métaux précieux (or, argent), a annoncé lundi une levée de fonds de deux millions d’euros, en précisant que 80% du montant levé provenait de ses clients. Ces fonds permettront à la fintech d’accélérer sa croissance déjà très forte et d’assoir sa position de compte en ligne alternatif. En développant de nouveaux services, Veracash a pour ambition de devenir le moyen de paiement préféré de ses clients.
Alors que le paiement en trois ou quatre fois s’est largement répandu dans le commerce en ligne pour les particuliers, Franfinance (Groupe Société Générale) se distingue en proposant aux sites de e-commerce professionnels une interface (API) leur permettant de proposer un vrai crédit lors du paiement. Les acheteurs peuvent ainsi opter pour un crédit classique, une location longue durée ou un crédit bail. Le premier site partenaire de Franfinance pour ce service est Hexamed, spécialisé dans le matériel médical. Pour lancer cette offre, Franfinance s’est appuyé sur son large historique de crédit aux entreprises (la moitié de son activité) et sur sa filiale ITL de financement de matériel professionnel. Elle a automatisé ses processus d’interrogation de bases de données lui permettant d’évaluer en temps réel le risque de l’emprunteur et compte équiper rapidement de nouveaux sites marchands B2B.
Payer plus tard. L’institut Kaleido Intelligence prévoit que l’e-commerce doublera entre 2018 et 2025 pour atteindre les 7.200 milliards de dollars d’ici à quatre ans. Ce qui devrait tirer aussi le paiement fractionné ou différé, qui représentait 292 milliards de dollars en 2018, pour atteindre 760 milliards de dollars en 2025. Klarna, PayPal et AfterPay sont les leaders de ce marché. Visa, Mastercard et American Express proposent leur propre solution et les banques devraient profiter de l’open banking pour offrir également ce type d’outils, à condition de rénover leurs infrastructures informatiques. Les Britanniques sont 37 % à recourir au paiement différé/fractionné, contre 35 % d’utilisateurs recensés en Suède et en Allemagne, où opère Klarna, et devant les Etats-Unis et l’Australie (30 %) d’où est originaire AfterPay. En France, où ces paiements sont également très populaires grâce à Oney, Floa ou Alma, l’UFC-Que Choisir demande plus de transparence sur les tarifs et l’application des taux de l’usure.
La néobanque allemande Vivid Moneyannonce une levée de fonds de 60 millions d’euros en série B, auprès de Greenoaks et de Ribbit Capital, la valorisant désormais à 360 millions d’euros. Après s’être lancée en France et en Espagne, Vivid Money souhaite accélérer son développement en Europe. Elle compte notamment lancer une seule application qui regrouperait tous ses services (investissements, épargne, crypto-actifs…). Commercialisée en Allemagne depuis l’été dernier, la fintech revendique 100.000 clients et compte 200 employés. Elle dispose d’une licence d’établissement de crédit fournie par l’infrastructure bancaire banking-as-a-service de l’allemande SolarisBank, et s’appuie sur le réseau Visa.
La néobanque allemande Vivid Moneyannonce une levée de fonds de 60 millions d’euros en série B, auprès de Greenoaks et de Ribbit Capital, la valorisant désormais à 360 millions d’euros.
La banque mobile américaine Current, qui compte près de 3 millions d’utilisateurs, a annoncé mardi qu’elle avait levé 220 millions de dollars (182 millions d’euros) lors d’un tour de table en série D. Elle a presque triplé sa valorisation en cinq mois, à 2,2 milliards de dollars, rapporte le site spécialisé Techcrunch. Elle avait bouclé fin 2020 un tour de table de série C de 131 millions de dollars. Dans ce nouveau tour de table, mené par l’investisseur Andreessen Horowitz, d’autres investisseurs déjà présents au capital ont remis la main au pot: Tiger Global Management, TQ Ventures, Avenir, Sapphire Ventures, Foundation Capital, Wellington Management et EXPA. Une autre fintech qui cible les adolescents a annoncé une nouvelle levée de fonds mardi: Step, 1,5 million d’utilisateurs inscrits, a levé 100 millions de dollars. Elle a levé au total 175 millions de dollars.
La banque mobile américaine Current, qui compte près de 3 millions d’utilisateurs, a annoncé mardi qu’elle avait levé 220 millions de dollars (182 millions d’euros) lors d’un tour de table en série D. En conséquence, elle a presque triplé sa valorisation en cinq mois, à 2,2 milliards de dollars, rapporte le site spécialisé Techcrunch. Elle avait bouclé fin 2020 un tour de table de série C de 131 millions de dollars.