Nos articles d’actualité et d’analyse sur le financement des entreprises par dette obligataire (marché primaire, DCM, obligations hybrides) ou bancaire.
Le Comité interministériel de restructuration industrielle vole discrètement depuis Bercy au secours d’entreprises en difficultés. Coup d’œil en coulisses, en cette période féconde en dossiers urgents.
Le tour de financement a été mené par la société de capital-risque Beringea, le fonds de capital-innovation à mission MAIF Avenir, et Axa Investment Managers.
Le président du conseil, Francis Meston, et Roger Bloxberg, administrateur, démissionnent. Cyrille Crocquevieille, le président d’AdaNova, avait déposé deux résolutions en ce sens. Il est aussi candidat au conseil d’administration.
Les actionnaires de la plus grande compagnie d’eau britannique refusent de recapitaliser l’entreprise à hauteur de 500 millions de livres avant le 31 mars.
La banque publique veut déployer 35 milliards d’euros supplémentaires d’ici à 2028, une enveloppe à mettre au service de la décarbonation de l’économie française.
La reprise des acquisitions par les grands laboratoires pharmaceutiques devrait revaloriser le secteur et encourager davantage les financements en amont.
Le groupe tricolore de services numériques essuie 3,44 milliards d’euros de pertes en 2023, et ne fournit plus d’objectifs chiffrés pour cette année. L'ouverture d'une procédure de conciliation avec ses prêteurs lui assure quatre mois pour restructurer son bilan. Avec le spectre d’une restructuration très dilutive pour les actionnaires.
Le groupe de maisons de retraite médicalisées et de cliniques espère lancer l’opération en juin ou en septembre, dans l’attente notamment des autorisations des autorités de concurrence.
Ils ont totalisé 73,7 millions d’euros en 2023, contre 63 millions d’euros un an plus tôt, selon des données France Angels. Les refinancements enregistrent un quasi-doublement.
La société porte à 190 millions d’euros sa capacité d’investissement pour accompagner l’accélération de la demande de recharge de véhicules électriques en habitat collectif.
Le groupe est entré en conciliation avec ses créanciers après avoir consommé 700 millions d'euros de trésorerie l'an dernier, portant sa dette nette à 2,2 milliards.