Nos articles d’actualité et d’analyse sur le financement des entreprises par dette obligataire (marché primaire, DCM, obligations hybrides) ou bancaire.
Le régulateur chinois des secteurs bancaire et de l’assurance a dit lundi avoir exhorté toutes les banques du pays à accroître leurs prêts au secteur privé, pour contrer le ralentissement de l'économie. Les grandes banques commerciales contrôlées par l’Etat doivent augmenter leurs prêts aux PME de plus de 30% cette année, écrit la Commission chinoise de régulation bancaire (CBRC) dans un communiqué. Le secteur privé représente plus de la moitié de la croissance économique chinoise, mais les entreprises sont confrontées à une hausse des coûts d’emprunt, et ont plus de difficultés à obtenir des prêts en raison de la campagne des pouvoirs publics contre la finance parallèle.
Le régulateur chinois des secteurs bancaire et de l’assurance a dit lundi avoir exhorté toutes les banques du pays à accroître leurs prêts au secteur privé, dans le cadre des efforts du gouvernement pour contrer le ralentissement de l'économie.
La Financière Apsys, le Groupe Madar et la Financière Saint James, actionnaires de Beaugrenelle Paris à hauteur respectivement de 40%, 40% et 20%, ont annoncé avoir finalisé le refinancement du centre commercial parisien pour un montant de 660 millions d’euros. BNP Paribas et Crédit Agricole CIB étaient co-arrangeurs de l’opération. Les actionnaires de Beaugrenelle Paris ont été conseillés par De Pardieu Brocas Maffei et C&C Notaires. Les banques étaient pour leur part épaulées par Gide Loyrette Nouel et Wargny Katz.
La Financière Apsys, le Groupe Madar et la Financière Saint James, actionnaires de Beaugrenelle Paris à hauteur respectivement de 40%, 40% et 20%, ont annoncé avoir finalisé le refinancement du centre commercial parisien pour un montant de 660 millions d’euros. BNP Paribas et Crédit Agricole CIB étaient co-arrangeurs de l’opération.
Reezocar, start-up spécialisée dans la vente en ligne de voitures d’occasion, annonce un partenariat stratégique avec CGI Finance, filiale de Société Générale et financeur indépendant en concession automobile. Cette dernière investit 10 millions d’euros dans la place de marché. La part du capital de Reezocar acquise par CGI Finance n’a pas été communiquée. Avant cette opération, Reezocar avait levé plus de 3,5 millions d’euros. La société de 50 salariés, créée en 2014, ne communique pas son chiffre d’affaires.
Dans un avis transmis à l’Autorité des marchés financiers, Foncière Euris a annoncé avoir conclu le 31 janvier 2019 avec un établissement financier un emprunt nanti sur des actions de sa filiale Rallye. Cet emprunt, d’un montant de 50 millions d’euros, refinance une opération existante, précise l’avis.
Le distributeur spécialisé a signé un contrat de crédit de 100 millions d’euros avec la Banque européenne d’investissement (BEI). Réalisé dans le cadre du «Plan Juncker», cet emprunt sera destiné à «financer les investissements de transformation digitale de Fnac Darty», en soutien du déploiement de son plan stratégique de moyen terme. Il lui permet de saisir une opportunité de mise en place de dette long terme, avec une maturité maximale de 9 ans. Le groupe dispose de 18 mois pour tirer cette ligne. Fnac Darty a annoncé en parallèle avoir reçu la notation «BBB-» de la part de Scope Ratings, après les notations «BB» (perspective positive) et «Ba2» (stable), respectivement de S&P Global Ratings et Moody’s.
Tereos annonce son intention de procéder en mars 2019 au remboursement avec un an d’avance de la moitié de son emprunt obligataire à maturité mars 2020, soit 250 millions d’euros en principal. Ce rachat est intégralement financé par un crédit bancaire souscrit auprès de BNP Paribas, Natixis et Rabobank, précise le groupe sucrier. « Le nouveau prêt, d’une maturité de 3,5 ans (septembre 2022), participe à l’optimisation de la structure de financement du groupe, en permettant d’une part un allongement de la maturité, et d’autre part une optimisation de son coût de financement », explique Tereos.
Le distributeur spécialisé a annoncé ce matin avoir signé un contrat de crédit d’un montant de 100 millions d’euros avec la Banque européenne d’investissement (BEI). Réalisé dans le cadre du «Plan Juncker», cet emprunt sera destiné à «financer les investissements de transformation digitale de Fnac Darty», en soutien du déploiement de son plan stratégique de moyen terme. Ce financement lui permet de saisir une opportunité de mise en place de dette long terme, avec une maturité maximale de 9 ans, à des conditions très avantageuses. Il dispose de 18 mois pour tirer cette ligne.
Standard Chartered et BNP Paribas figurent parmi la dizaine de banques qui vont probablement co-gérer la vente d’obligations de la compagnie nationale saoudienne d’hydrocarbures, selon l’agence Bloomberg. Elle pourrait lever 10 milliards de dollars (8,85 milliards d’euros). Les banques Mitsubishi UFJ Financial Group, Mizuho, Samba Financial Group et Gulf International Bank ont aussi été sélectionnées. Saudi Aramco a retenu JPMorgan Chase et Morgan Stanley pour diriger sa première offre d’obligations internationale en dollars, destinée à financer l’acquisition du géant en pétrochimie Saudi Basic Industries.
La société de gestion italienne Fineco Asset Management a choisi Société Générale Securities Services (SGSS) comme seul agent payeur en Italie pour ses fonds étrangers et pour les services de banque dépositaire, administration de fonds et agent de transfert au Luxembourg. Cela concerne ses OPCVM de droit luxembourgeois de la gamme CoreSeries et ses OPCVM de droit irlandais «Fam Series UCITS ICAV» et «FAM EVOLUTION SICAV». Au Luxembourg, Fineco AM s’appuiera pour les fonds CoreSeries à SFSS pour la fourniture de services de banque dépositaire, d’administration de fonds et d’agent de transfert pour un montant de plus de 6 milliards d’euros d’encours sous gestion.
C’est, en millions d’euros, le montant investi par Bpifrance et Sanofi dans le fonds Innobio 2, dédié aux sciences de la vie, accompagnés par Boehringer Ingelheim, Takeda, Ipsen et Servier. La taille finale visée est de 200 à 250 millions d’euros, contre 173 millions pour son prédécesseur de 2009. Sanofi a apporté 50 millions et Bpifrance contribuera à hauteur de 49 % de l’ensemble du fonds. Ciblant des entreprises françaises ou européennes ayant une importante activité en France, Innobio 2 financera le développement de produits thérapeutiques, de technologies liées à l’usage de médicaments, son champ d’action élargi à la santé numérique en lien avec le médicament.