Nos articles d’actualité et d’analyse sur les exchange trading funds (ETF), aussi appelés trackers ou fonds indiciels, qui répliquent les performances de différents actifs (indices boursiers, obligataires etc.).
Dans son rapport annuel, la banque allemande fait part de son intention de scinder sa division actions et matières premières, baptisée Equity Markets & Commodities (EMC), qui porte l’activité de fonds indiciels cotés (ETF) du groupe. Commerzbank entend ensuite «coter la nouvelle filiale sur le marché boursier». Le groupe avait déjà annoncé son intention de sortir d’EMC, évoquant à la fois l’hypothèse d’une vente ou d’une IPO, mais n’avait jusqu'à présent pas fait part de sa préférence pour cette deuxième solution. En février, le FT indiquait que la banque avait mandaté Rothschild.
Amundi ETF a annoncé hier avoir engrangé plus de 2,2 milliards d’euros de flux nets depuis le début de l’année. Cette performance place Amundi à la troisième place du segment avec plus de 10% des flux nets constatés depuis janvier, selon le dernier baromètre de Deutsche Bank sur les ETF européens. « Après avoir réalisé un résultat record de plus de 4 milliards d’euros de collecte nette en 2016, Amundi ETF confirme cette tendance positive », souligne Fannie Wurtz, directeur du métier ETF, indiciel et smart bêta d’Amundi. La collecte a été portée par la gamme d’ETF sur les actions européennes, qui a engrangé plus de 1 milliard d’euros, soit environ 45% des flux 2017 sur le compartiment. La gamme sur les obligations à taux variable a collecté 700 millions d’euros.
Amundi ETF a annoncé avoir engrangé plus de 2,2 milliards d’euros de flux nets depuis le début de l’année. Cette performance place Amundi à la troisième place du segment avec plus de 10% des flux nets constatés depuis janvier, selon le dernier baromètre de Deutsche Bank sur les ETF européens.
Le gendarme boursier a réalisé une étude centrée sur le marché français qui pointe aussi les bénéfices du coupe-circuit mis en place sur Euronext Paris.
La banque allemande aurait choisi Rothschild afin de mener à bien la vente ou l’introduction en Bourse d’EMC, son activité de produits indiciels cotés, rapportait hier le Financial Times. Commerzbank a répété au moment de la publication de ses résultats annuels jeudi dernier que les deux options étaient sur la table, même si, selon le FT, la piste d’une IPO serait privilégiée. La division ETF du groupe pointe au 11ème rang européen du secteur avec 6,4 milliards de dollars sous gestion à fin décembre, selon le fournisseur de données ETFGI, ce qui lui donne 1,3% du marché. EMC emploie 330 collaborateurs, dont 200 environ à Francfort et le reste à Londres.
La banque allemande aurait choisi Rothschild afin de mener à bien la vente ou l’introduction en Bourse d’EMC, son activité de produits indiciels cotés, indique lundi le Financial Times. Commerzbank a répété au moment de la publication de ses résultats annuels jeudi dernier que les deux options étaient sur la table, même si, selon le FT, la piste d’une IPO serait privilégiée. La division ETF du groupe pointe au 11ème rang européen du secteur avec 6,4 milliards de dollars sous gestion à fin décembre, selon le fournisseur de données ETFGI, ce qui lui donne 1,3% du marché. EMC emploie 330 collaborateurs, dont 200 environ à Francfort et le reste à Londres.
ETF Securities a annoncé hier que ses actifs sous gestion ont progressé de 5,86 milliards de dollars (5,48 milliards d’euros) en 2016, sa meilleure performance depuis 2009. Les flux nets ont notamment totalisé 4,2 milliards de dollars sur les ETF dédiés aux matières premières, avec des encours à fin décembre de 17,56 milliards. Après trois années de flux négatifs, l’or a attiré 3,44 milliards de dollars, alors que les ETF «énergie» ont décollecté 240 millions. Sur le compartiment actions, les véhicules cotés du groupe ont engrangé 246 millions de dollars, tandis que l’obligataire et les devises ont collecté respectivement 243 et 120 millions de dollars.
ETF Securities a annoncé lundi que ses actifs sous gestion ont progressé de 5,86 milliards de dollars (5,48 milliards d’euros) sur l’année 2016, sa meilleure performance depuis 2009. Les flux nets ont notamment totalisé 4,2 milliards de dollars sur les ETF dédiés aux matières premières, avec à la clef des encours à fin décembre de 17,56 milliards. Après trois années de flux négatifs, l’or a attiré 3,44 milliards de dollars, tandis que les ETF « énergie » ont décollecté 240 millions.
La division de gestion privée de Morgan Stanley aurait demandé à certains fournisseurs de produits indiciels coté de lui verser une commission pour qu’elle distribue leurs ETF, rapporte Bloomberg. Ces fees sont censées rémunérer la banque pour la fourniture de données sur les transactions réalisées, mais elles apparaissent surtout comme un moyen de compenser la baisse des commissions sur la gestion active, due à l’essor de la gestion passive. Morgan Stanley gère plus de 2.000 milliards de dollars et dispose d’un vaste réseau de 15.700 conseillers financiers qui en font un point de passage obligé pour les fournisseurs d’ETF.
La division de gestion privée de Morgan Stanley aurait demandé à certains fournisseurs de produits indiciels coté de lui verser une commission pour qu’elle distribue leurs ETF, rapporte Bloomberg. Ces fees sont censées rémunérer la banque pour la fourniture de données sur les transactions réalisées, mais elles apparaissent surtout comme un moyen de compenser la baisse des commissions sur la gestion active, due à l’essor de la gestion passive. Morgan Stanley gère plus de 2.000 milliards de dollars et dispose d’un vaste réseau de 15.700 conseillers financiers qui en font un point de passage obligé pour les fournisseurs d’ETF.
Suite au succès rencontré par les ETF de matières premières diversifiées en 2016, avec près de 2 milliards de dollars investis, Source a annoncé hier le lancement d’un nouvel ETF conçu pour suivre l’indice Bloomberg Commodity, lancé en 1998 et qui couvre 20 matières premières. L’ETF Source Bloomberg Commodity UCITS affiche des frais de 0,40% par an (0,19% de frais courants et 0,21% de frais de swap). «Ces fonds sont totalement transparents et ils offrent une qualité de réplication rarement égalée», avance Chris Mellor de Source. A l’instar des autres ETF de Source, il sera coté à Londres et domicilié en Irlande.
Suite au succès rencontré par les ETF de matières premières diversifiées en 2016, avec près de 2 milliards de dollars investis, Source a annoncé aujourd’hui le lancement d’un nouvel ETF conçu pour suivre l’indice Bloomberg Commodity, lancé en 1998 et qui couvre 20 matières premières. L’ETF Source Bloomberg Commodity UCITS affiche des frais de 0,40% par an (0,19% de frais courants et 0,21% de frais de swap). «Ces fonds sont totalement transparents et ils offrent une qualité de réplication rarement égalée», avance Chris Mellor de Source. A l’instar des autres ETF de Source, il sera coté à Londres et domicilié en Irlande.
Les ETF européens ont enregistré une collecte nette de 4,7 milliards d’euros au mois de décembre, selon le baromètre de Lyxor Asset Management. « Si les ETF indexés sur les actions des marchés développés ont continué à attirer les capitaux, l’hémorragie s’est arrêtée du côté des ETF obligataires », souligne le gérant d’actifs. L’encours total a au final enregistré une hausse de 14% en 2016, dont un effet marché positif de 5%, pour atteindre un record de 516 milliards d’euros.
Deutsche Bank a annoncé vendredi que sa division de courtage Global Markets allait rompre ses relations avec quelque 3.400 clients, la première banque allemande ayant dit fin octobre qu’elle allait redoubler d’efforts pour se restructurer. L'établissement va cesser avec effet immédiat tous ses services de courtage obligataire pour certains institutions financières et fonds alternatifs, ainsi que toute opération de courtage sur actions pour certains clients. Il y a plus d’un an, le président du directoire John Cryan, avait annoncé que les divisions Global Markets et Corporate & Investment Banking allait réduire de moitié le nombre de leurs clients.
Pimco a accepté de payer une pénalité de 18,3 millions de dollars (17 millions d’euros) et des intérêts de plus de 1,5 million de dollars pour clore une enquête de la Securities and Exchange Commission (SEC) sur l’un de ses fonds indiciels cotés (ETF), précédemment géré par son ancien patron Bill Gross. La filiale américaine d’Allianz a trompé les investisseurs sur la performance de son ETF Total Return Active et n’a pas correctement valorisé certains actifs adossés à des créances hypothécaire non-garanties par les agences de crédit. Le gestionnaire d’actifs a surévalué la valeur de son fonds en utilisant les prix fixés pour des achats de grandes obligations, alors qu’il investissait en réalisé dans des lots « irréguliers » (odd lot) ou dans des actifs de plus petit taille à des prix inférieurs.
Les acteurs de la Fintech, les sociétés de gestion d’épargne en ligne qui préparent leur arrivée sur le marché de l’assurance vie misent tout sur la gestion passive. C’est entre autres le modèle suivi par Yomoni. Voir l’article ICI.
Selon le baromètre Lyxor, le marché européen des Exchange traded funds (ETF) a enregistré unfort ralentissement des flux entrants au mois de mars, en raison d’une importante décollecte sur les OPCVM indiciels d’actions. Les flux entrants globaux ont ainsi atteint 896 millions d’euros le mois dernier, soit 40% de moins que la moyenne sur un an.«Le marché a été impacté par les craintes de déflation en zone euro, les mauvaises nouvelles en provenance des Etats-Unis et de la Chine, ainsi que les doutes sur le succès des ‘Abenomics’ au Japon», souligne Lyxor. Les ETF obligataires ont naturellement profité de ce regain d’aversion pour le risque, avec des flux entrants de 1,9 milliards d’euros proches du record inscrit en février. Les ETF actions ont pour leur part enregistré une décollecte de 943 millions d’euros, qui a mis fin à près d’un an de flux entrants.Grâce à la hausse des marchés, les actifs sous gestion globaux demeurent en hausse de 4% par rapport à la fin 2013, à 299 milliards d’euros.