Le fonds d’investissement Motion Equity Partners est entré en négociations exclusives avec Azulis Capital (actionnaire majoritaire), Gimv et leurs co-investisseurs (Arkéa, BNP Développement et Croissance Nord Pas-de-Calais) en vue de l’acquisition du groupe Altaïr. Basé à Wasquehal dans le Nord, Altaïr, fondé en 1946 par les frères Brunel, est le leader français des produits d’entretien et de rénovation pour la maison, notamment avec sa marque Starwax, et des insecticides ménagers vendus sur les circuits de distribution spécialisés. A fin 2015, la société emploie 260 collaborateurs pour un chiffre d’affaires de 70 millions d’euros.
Le fonds d’investissement Motion Equity Partners est entré en négociations exclusives avec Azulis Capital (actionnaire majoritaire), Gimv et leurs co-investisseurs (Arkéa, BNP Développement et Croissance Nord Pas-de-Calais) en vue de l’acquisition du groupe Altaïr. Basé à Wasquehal dans le Nord, Altaïr, fondé en 1946 par les frères Brunel, est le leader français des produits d’entretien et de rénovation pour la maison, notamment avec sa marque Starwax, et des insecticides ménagers vendus sur les circuits de distribution spécialisés. A fin 2015, la société emploie 260 collaborateurs pour un chiffre d’affaires de 70 millions d’euros.
Sysco, le numéro un américain de la distribution de produits alimentaires, a annoncé l’acquisition de Brakes Group auprès de Bain Capital Private Equity. Le montant de la transaction s'élève à 3,1 milliards de dollars. Il inclut le refinancement d’environ 2,3 milliards de dollars de dette. Brakes est présent en Grande-Bretagne, en Irlande, en France, en Suède, en Espagne et au Benelux. Sysco met ainsi un pied en Europe alors que son projet d’acquisition de son concurrent américain US Foods avait été bloqué l’an dernier par la Federal Trade Commission. Bain Capital avait acquis Brakes en 2007 pour 1,83 milliard de dollars (1,3 milliard de livres). Deutsche Bank conseillait Sysco tandis que Brakes et son actionnaire étaient épaulés par Goldman Sachs.
Sysco, le numéro un américain de la distribution de produits alimentaires, a annoncé le rachat de Brakes Group auprès de Bain Capital Private Equity. Le montant de la transaction s'élève à 3,1 milliards de dollars. Il inclut le refinancement d’environ 2,3 milliards de dollars de dette. Brakes est présent en Grande-Bretagne, en Irlande, en France, en Suède, en Espagne et au Bénélux. Sysco met ainsi un pied en Europe alors que son projet de rachat de son concurrent américain US Foods avait été bloqué l’an dernier par la Federal Trade Commission. Bain Capital avait acquis Brakes en 2007 pour 1,83 milliard de dollars (1,3 milliard de livres). Deutsche Bank conseillait Sysco tandis que Brakes et son actionnaire étaient épaulés par Goldman Sachs.
Le changement de président, couplé au départ d'un des actionnaires de référence, annonce une évolution de stratégie après une phase de réductions des coûts tous azimuts.
Argos Soditic a annoncé l’ouverture d’un bureau à Francfort, en Allemagne. A partir du 1er mars 2016, une équipe de 5 personnes, dirigée par Frank Hermann, viendra s’ajouter à l’organisation existante au Benelux, en France, en Italie et en Suisse. « L’ouverture du bureau de Francfort a pour objectif de développer Argos Soditic en Allemagne, avec la même stratégie d’investissement axée sur des opérations de reprise d’entreprises à fort potentiel de transformation (MBI, spin-offs, carve-outs, etc.). Le nouveau bureau épaulera également les participations existantes dans leur développement sur le marché allemand », explique la société de gestion en capital-investissement.
Argos Soditic a annoncé l’ouverture d’un bureau à Francfort, en Allemagne. A partir du 1er mars 2016, une équipe de 5 personnes, dirigée par Frank Hermann, viendra s’ajouter à l’organisation existante au Benelux, en France, en Italie et en Suisse. « L’ouverture du bureau de Francfort a pour objectif de développer Argos Soditic en Allemagne, avec la même stratégie d’investissement axée sur des opérations de reprise d’entreprises à fort potentiel de transformation (MBI, spin-offs, carve-outs, tec.). Le nouveau bureau épaulera également les participations existantes dans leur développement sur le marché allemand », explique la société de gestion en capital-investissement.
Sur le segment «upper mid-market», les multiples d'acquisition ont grimpé à 10,6 fois l’Ebitda au quatrième trimestre 2015, selon l’indice Argos Mid-Market.
Villas Prisme reste dans la galaxie du Crédit Agricole. Amundi PEF et Bpifrance prennent le relais d’UI Gestion et Sofipaca (un ancien et un actuel fonds de la banque verte). Actionnaires majoritaires du constructeur de maisons individuelles depuis 2008, ces derniers ont subi la crise de l’immobilier de 2009. Depuis, Villas Prisme a presque retrouvé son niveau d’avant-crise, avec un chiffre d’affaires de 25 millions d’euros l’an dernier contre 30 millions en 2008. Avec un prix moyen de 110.000 euros par maison, la société espère tirer parti des taux très bas du crédit à l’habitat et de l’élargissement du prêt à taux zéro. Recentrée sur les Bouches-du-Rhône, Villas Prisme aimerait racheter en Paca un ou plusieurs petits constructeurs (5 à 10 millions d’euros de chiffre d’affaires).
Alors qu’Orolia voulait lever 25 millions d’euros, ce fabricant français d’applications GPS (horloges atomiques…) en obtient 43 millions (dont une partie de cash-out), tout en cédant son contrôle majoritaire à Eurazeo PME. Ce dernier débourse 20 euros par action, soit une prime de 22% sur le cours du 11 février, pour acquérir 50,1% d’une holding qui détient 88% des titres de la société, aux côtés du dirigeant (à 40%) et de cadres (9,9%). L’opération permet la sortie d’Isatis Capital et d’Euromezzanine. La répartition des forces au sein du nouveau bloc d’actionnaires restera la même, quelle que soit l’issue du retrait de cote des 12% d’actions restantes. Travaillant pour des banques, des compagnies aériennes ou encore des gouvernements, Orolia affiche 100 millions d’euros de chiffre d’affaires.
Aforge Degroof Family Office propose une Sicav luxembourgeoise gérée par Access Capital Partners, Le produit co-investira, avec des gérants de capital-investissement, à la fois sur la dette et au capital de PME non cotées
Idinvest Partners propose le FCPI Idinvest Patrimoine N°4 qui vise à sélectionner des sociétés européennes innovantes à différents stades de leur développement, intervenant essentiellement dans des secteurs technologiques à forte valeur ajoutée : information, télécommunications, électronique, santé et environnement.
Dans sa première édition du «Baromètre du capital-risque France», EY (anciennement Ernst & Young) fait le point sur l’activité du capital risque en France au second semestre 2013. Pendant cette période, 487 millions d’euros ont été levés en 177 opérations. La France se place ainsi en 3ème position, représentant 13 % des montants levés en Europe, derrière le Royaume-Uni (avec plus de 1,45 milliards d’euros levés) et l’Allemagne (près de 675 milliards d’euros levés).