Le fabricant et distributeur de matériels de diagnostic in vitro aurait suscité plusieurs marques d’intérêt, notamment d’Agic Capital et de PAI Partners.
Cérélia poursuit son ouverture géographique. Après le néerlandais Bioderij et le britannique BakeAway, le spécialiste des pâtes à tarte et à pizza, passé en 2015 sous le contrôle du fonds IK, a annoncé le rachat du canadien English Bay Batter. Totalisant environ 90 millions d’euros de chiffre d’affaires, ce dernier fabrique des produits crus et surgelés pour cookies, muffins et autres spécialités boulangères. Cérélia a, pour cette opération, remis à plat sa dette financière pour augmenter son levier de 3,5 à 5,1 fois l’Ebitda. Cela lui donnera des moyens supplémentaires pour se développer en Amérique du Nord. La production de Cérélia y sera d’abord exportée puis à terme réalisée sur place. Dans le futur, Cérélia aimerait s’implanter en Italie, qui représente pour l’instant 20% de ses ventes.
Colisée poursuit la consolidation du secteur des maisons de retraite en France. Contrôlé par Eurazeo PME, le quatrième acteur hexagonal a repris 12 établissements à GDP Vendôme, la holding de Jean-François Gobertier, l’un des fondateurs de DomusVi. Ces actifs avaient fait l’objet d’une scission lors de la création du groupe, racheté en 2014 par PAI. Colisée, qui a réalisé un chiffre d’affaires de 265 millions d’euros en 2016, augmentera ainsi sa capacité d’un peu moins de 1.000 lits, à près de 7.000 places. Le groupe, qui s’est diversifié l’an dernier dans les soins à domicile avec le rachat de NHS et Bien à la Maison, a financé l’opération en tirant sur les lignes de crédit renégociées fin 2015. Ses actionnaires ont remis au pot pour anticiper les futures croissances externes en France et en Italie.
Activa Capital cède Findis à Naxicap Partners. Le distributeur d’électroménager et articles de maison pour les magasins indépendants et petites enseignes (Eureka, Blanc Brun, etc) clôt ainsi son troisième LBO. Valorisé 75 millions d’euros lors de son rachat par Activa en 2011, le groupe angevin a depuis doublé son chiffre d’affaires, à plus de 300 millions d’euros l’an dernier, malgré une croissance organique de 0 à 2% par an. Le rachat de Désamais en 2015 lui a apporté 75 millions d’euros de chiffre d’affaires dans l’entretien, le bricolage et le jardin. Entouré de Ouest Croissance, Sodero Gestion, Bpifrance et SG Capital Partenaires, Naxicap veut de nouveau doubler la taille de Findis en misant sur son maillage de proximité qui le démarque de la grande distribution et des acteurs internet.
Moins de six mois après le rachat d’Hypred au Groupe Roullier, Ardian marie ce spécialiste de la biosécurité avec l’allemand Anti-Germ pour créer le numéro trois mondial, derrière deux américains. L’ensemble atteindra 180 millions d’euros de chiffre d’affaires, principalement dans les solutions de désinfection et compléments alimentaires pour l’élevage. Ardian détiendra plus de 95% du capital du groupe, après la sortie de Paragon Partners, actionnaire majoritaire d’Anti-Germ. Concurrent d’Hypred en France, ce dernier lui permettra de se renforcer sur les segments volailles et porcs et en Europe de l’Est, et de mettre un pied dans la purification de l’eau. Ardian a identifié d’autres cibles pour atteindre 300 millions d’euros de chiffre d’affaires, en complétant l’offre et la couverture mondiale.
A quelques semaines de l’élection présidentielle, l’association française de la gestion financière plaide notamment pour un assouplissement de l’assurance vie et du PEA PME.
La deuxième banque publique russe a vendu ses 25% de l’aéroport de Saint-Pétersbourg à un consortium mené par Russian Direct Investment Fund (RDIF), un fonds souverain qui travaille avec des investisseurs étrangers, a révélé hier le Financial Times. RDIF va payer environ 250 millions d’euros pour cette participation dans l’aéroport Pulkovo, aux côtés de Baring Vostok, le premier fonds russe de capital-investissement, et d’investisseurs du Moyen-Orient et d’Asie. VTB continuera à détenir 25% de la holding qui contrôle l’aéroport de Saint-Pétersbourg.
Babilou accueille le fonds américain TA Associates à son capital. Celui-ci rejoint la société d’investissement belge Cobepa, la Société Générale et Raise. Rodolphe et Edouard Carle, les fondateurs, conservent le contrôle du premier groupe de crèches d’entreprises et de collectivités en France. Babilou ne communique pas les éléments financiers de la transaction. En début d’année, des sources évoquaient une valorisation totale de 500 millions d’euros et une part de 20% pour TA Associates. Rothschild, Acetis Finance et KPMG ont conseillé Babilou, KPMG ayant aussi conseillé TA Associates.
A quelques semaines de l'élection présidentielle, l’Association française de la gestion financière (AFG) a publié ce matin un livre blanc sur le financement des PME, élaboré dans le cadre de la mission confiée à Christophe Bavière, le président de son comité sur le capital-investissement. L’AFG y développe une vingtaine de propositions autour de quatre grands axes : réglementation, produits d’épargne, rôle de la gestion d’actifs et développement d’un écosystème.
VTB, la deuxième banque publique russe, a vendu ses 25% de l’aéroport de Saint-Pétersbourg à un consortium mené par Russian Direct Investment Fund (RDIF), un fonds souverain qui travaille avec des investisseurs étrangers, a révélé le Financial Times cet après-midi. RDIF va payer environ 250 millions d’euros pour cette participation dans l’aéroport Pulkovo, aux côtés de Baring Vostok, le premier fonds russe de capital-investissement, et d’investisseurs du Moyen-Orient et d’Asie.
Babilou accueille le fonds américain TA Associates à son capital. Celui-ci rejoint ainsi la société d’investissement belge Cobepa, la Société Générale et Raise. Rodolphe et Edouard Carle, les fondateurs, conservent le contrôle du premier groupe de crèches d’entreprises et de collectivités en France. Babilou ne communique pas les éléments financiers de la transaction. En début d’année, des sources évoquaient une valorisation totale de 500 millions d’euros et une part de 20% pour TA Associates.
La société britannique de capital-investissement a annoncé hier avoir conclu un accord en vue du rachat de Syneron Medical, fabricant israélien d’appareils médicaux à visées esthétiques, pour 397 millions de dollars (373 millions d’euros). Apax propose 11 dollars par action, en numéraire, pour chaque titre Syneron, soit une prime de 15% par rapport au cours de clôture moyen des 90 dernières séances sur le Nasdaq. L’accord comporte une clause dite de «go-shop» qui permet à Syneron de solliciter et d'évaluer, avec l’assistance de Barclays, des offres éventuelles d’autres parties.
La société britannique de capital-investissement a annoncé lundi avoir conclu un accord en vue du rachat de Syneron Medical, un fabricant israélien d’appareils médicaux à visées esthétiques, pour 397 millions de dollars (373 millions d’euros). Apax propose 11 dollars par action, en numéraire, pour chaque titre Syneron, soit une prime de 15% par rapport au cours de clôture moyen des 90 dernières séances sur le Nasdaq et de 33% par rapport au cours des 90 séances précédant le 10 février, quand ont commencé à circuler des informations de presse sur un possible rachat de la société israélienne. L’accord comporte une clause dite de «go-shop» qui permet à Syneron de solliciter et d'évaluer, avec l’assistance de Barclays, des offres éventuelles d’autres parties.
Le spécialiste des ingrédients alimentaires Solina, cible d’un LBO d’Ardian début 2016, est en passe de boucler la renégociation de ses financements bancaires. Le groupe augmentera de 65 millions d’euros sa dette senior «bullet» avec remboursement in fine dans sept ans, à 352 millions d’euros, indiquait LCDNews vendredi. La guidance a été arrêtée à une fourchette de 350 à 375 points de base (pb) au-dessus de l’Euribor, contre 475 pb pour le Term loan B précédent. Crédit Agricole CIB est la banque chef de file de l’opération, qui doit être bouclée d’ici au 13 avril.
Le spécialiste des ingrédients alimentaires Solina, cible d’un LBO d’Ardian début 2016, est en passe de boucler la renégociation de ses financements bancaires. Selon LCDNews, le groupe augmentera de 65 millions d’euros sa dette senior «bullet» avec remboursement in fine dans sept ans, à 352 millions d’euros. La guidance a été arrêtée à une fourchette de 350 à 375 points de base (pb) au-dessus de l’Euribor, contre 475 pb pour le Term loan B précédent.
Cap Vert Finance IB Remarketing, société française de tierce maintenance d’infrastructure IT, unifie ses marques. Fruit de plusieurs opérations de build-up, le groupe contrôlé par Eurazeo PME entre 2013 et 2015 puis par Carlyle a annoncé qu’IB-Remarketing et ses filiales changent de nom pour devenir Evernex. Le groupe a par ailleurs dévoilé que ses 24 filiales et son réseau de partenaires internationaux lui avaient permis de générer un chiffre d’affaires de 161 millions d’euros en 2016, en croissance de 79% sur deux ans.
Cap Vert Finance IB Remarketing, société française de tierce maintenance d’infrastructure IT, unifie ses marques. Fruit de plusieurs opérations de build-up, le groupe contrôlé par Eurazeo PME entre 2013 et 2015 puis par Carlyle a annoncé qu’IB-Remarketing et ses filiales changent de nom pour devenir Evernex. Le groupe a par ailleurs dévoilé que ses 24 filiales et son réseau de partenaires internationaux lui avaient permis de générer un chiffre d’affaires de 161 millions d’euros en 2016, en croissance de 79% sur deux ans.
Le fonds géré par Bpifrance dans le cadre du PIA a permis à 30% des sociétés soutenues entre 2011 et 2013 de dépasser le million d’euros de chiffre d’affaires.
L'éditeur de logiciels Oodrive a levé 65 millions d’euros auprès de Tikehau Capital, MI3 et NextStage, à l’occasion de la sortie des investisseurs Keensight Capital et TIME for Growth. La société est spécialiste du partage, de la protection et de la signature électronique de documents via des solutions de cloud (informatique dématérialisée). Elle affichait un chiffre d’affaires de 37 millions d’euros en 2015.