Le fonds de private equity CM-CIC Investissement a annoncé vendredi avoir réinvesti 85 millions d’euros en fonds propres dans le spécialiste de la location de chariots élévateurs Manuloc. Déjà présent au capital depuis 16 ans, la filiale du groupe Crédit Mutuel CM11 devient ainsi l’unique actionnaire minoritaire aux côtés de la famille Barthélémy. «Cette opération permet à Manuloc de se doter d’une capacité d’investissement significative et d’envisager des opérations de croissance externe d’envergure», souligne Catherine Barthélemy, fondatrice du groupe messin en 1985. «Après avoir étudié des sollicitations de nouveaux partenaires financiers, il nous est apparu naturel de choisir de poursuivre avec CM-CIC», ajoute-t-elle. Manuloc réalise 300 millions d’euros de chiffre d’affaires.
Amundi vient de proposer Megatendance AV, un fonds qui investit dans les PME et ETI européennes, Cette unité de compte est accessible à partir de 100 euros mais elle est réservée pour l’heure aux contrats patrimoniaux
Le fonds de private equity CM-CIC Investissement a annoncé vendredi avoir réinvesti 85 millions d’euros en fonds propres dans le spécialiste de la location de chariots élévateurs Manuloc. Déjà présent au capital depuis 16 ans, la filiale du groupe Crédit Mutuel CM11 devient ainsi l’unique actionnaire minoritaire aux côtés de la famille Barthélémy.
La société d’investissement cotée NextStage a annoncé hier une hausse de 2,3% de son actif net réévalué (ANR) par action au deuxième trimestre, à 110,55 euros. Sur un an, l’ANR grimpe de 9,2%. Introduit en Bourse en décembre dernier, le groupe créé en 2015 précise que son ANR global ressort à 160,4 millions d’euros et se compose de 10 participations valorisées 77,4 millions et de 83 millions de trésorerie nette. Le groupe entend atteindre 500 millions d’euros d’actifs à moyen terme.
La société d’investissement cotée NextStage a annoncé mercredi une hausse de 2,3% de son actif net réévalué (ANR) par action au deuxième trimestre, à 110,55 euros. Sur un an, l’ANR grimpe de 9,2%. Introduit en Bourse en décembre dernier, le groupe créé en 2015 précise que son ANR global ressort à 160,4 millions d’euros et se compose de 10 participations valorisées 77,4 millions et de 83 millions de trésorerie nette. Le groupe entend atteindre 500 millions d’euros d’actifs à moyen terme.
La holding Louvre Bidco, contrôlée par BC Partners, a annoncé hier le lancement d’une émission d’obligations senior sécurisées à échéance 2024 de 270 millions d’euros. Son produit servira en partie à payer l’acquisition du groupe MCS, spécialisé dans l’acquisition et la gestion de créances bancaires, ainsi qu’à rembourser 200 millions d’euros d’obligations à taux variable d’échéance 2021 émises par MCS. Les teneurs de livre sont Credit Suisse, KKR, et la Société Générale. Avant son rachat ce été par BC Partners, MCS était contrôlé depuis 2014 par le fonds Cerberus.
Evergreen Coast Capital Partners, le fonds de capital-investissement d’Elliott Management, a soumis une offre d’achat sur Gigamon, un spécialiste californien des logiciels de réseaux, indiquait hier soir Reuters de sources proches du dossier. L’agence n’a pu confimer le prix de l’offre sur Gigamon, dont la capitalisation est de l’ordre de 1,6 milliard de dollars (1,3 milliard d’euros) sur la base du cours de clôture de vendredi. Evergreen s’est assuré des financements auprès de deux banques d’investissement et a soumis une offre officielle ces derniers jours, ont ajouté ces sources. La branche activiste d’Elliott avait acquis en avril dernier 15,3% du capital de Gigamon et le poussait à étudier une mise en vente.
Edmond de Rothschild Investment Partners (EdRIP) a annoncé hier que son fonds Cabestan Capital 2 s’est associé à l’équipe de direction d’Allodiagnostic, menée par son président et cofondateur Edouard Carvallo, pour reprendre cette société de 250 personnes qui a réalisé l’an dernier plus de 20 millions d’euros de chiffre d’affaires. Elle représente le premier réseau intégré de diagnostics immobiliers en France. Fondée en 2002, elle était depuis 2009 filiale à 100% du groupe Texa, leader de l’expertise d’assurance. Allodiagnostic réalise annuellement plus de 400.000 diagnostics pour les particuliers et les professionnels, grâce à une plate-forme en ligne et à un réseau de 35 agences couvrant le territoire national.
Henri de Castries rejoint le fonds américain General Atlantic, dont il dirigera le bureau parisien, nouvellement créé. Le fonds dispose déjà en Europe d’implantations à Munich, Amsterdam et Londres, mais n’en avait pas ouvert jusqu’à maintenant dans la capitale française. L’ancien PDG d’Axa -formellement jusqu’en septembre 2016- aidera le fonds à saisir des opportunités d’investissement dans toute l’Europe.
Le fonds de pension californien CalPers serait en discussion avec BlackRock pour lui sous-traiter la gestion de tout en partie de son portefeuille d’investissement dans le private equity. Les pourparlers en seraient encore à un stade préliminaire, indiquait Bloomberg en citant plusieurs sources. L’institutionnel aurait convié plusieurs gestionnaires d’actifs, dont BlackRock et Carlyle, lors d’une réunion en juillet, pour discuter de son modèle d’activité dans le non coté. CalPers détient plus de 26 milliards de dollars d’investissements en private equity. Le fonds de pension américain se plaint de l’opacité de l’industrie et des frais élevés de cette classe d’actifs, comme il l’a aussi fait pour les hedge funds.
Le fonds de pension californien CalPers serait en discussion avec BlackRock pour lui sous-traiter la gestion de tout en partie de son portefeuille d’investissement dans le private equity. Les pourparlers en seraient encore à un stade préliminaire, indique Bloomberg en citant plusieurs sources. L’institutionnel aurait convié plusieurs gestionnaires d’actifs, dont BlackRock et Carlyle, lors d’une réunion en juillet, pour discuter de son modèle d’activité dans le non coté.
Scalian enrichit sa palette d’expertises. L’ex-Eurogiciel a bouclé l’acquisition du cabinet CMT+, spécialiste de l’organisation des achats et du contrôle en gestion de projets. Contrôlé depuis 2015 par Edrip, le groupe va ainsi renforcer son pôle de performance opérationnelle tout en réalisant des ventes croisées auprès des clients de systèmes numériques. Totalisant 100 des 170 millions d’euros de chiffre d’affaires du nouveau périmètre, ce dernier pôle a été renforcé en 2016 grâce à l’acquisition d’Alyotech. Grâce à une croissance organique qui atteint 17% sur 2017, le chiffre d’affaires du groupe devrait rapidement toucher les 250 millions d’euros. L’opération a été intégralement financée par une dette unitranche de 45 millions d’euros qui a aussi permis de refinancer les dettes existantes.
iXO Private Equity réalise une partie de son investissement dans Loubat. Entré en majoritaire en 2006, lors de la vente de la société par ses fondateurs, le fonds de private equity a réinvesti aux côtés d’un nouvel entrant, Sodero Gestion, dans le cadre de la reprise du groupe par son dirigeant, Jean-Luc Rivat, accompagné de quatre cadres. Ce dernier a intégré l’équipe de direction en 2009 pour insuffler une nouvelle dynamique commerciale au spécialiste des volets, persiennes et portes de garage sur mesure, grâce notamment au développement d’un bureau d’étude visant à monter en gamme. Confronté à une conjoncture difficile dans le secteur de la construction, le groupe s’est relancé et a enregistré une croissance de 30% lors du dernier exercice, pour porter son chiffre d’affaires à 20 millions d’euros.
Mecadaq poursuit sa stratégie de consolidation du secteur de l’usinage de pièces mécaniques de précision. Après avoir racheté en août 2016 la société RBDH Marignier, le groupe vient d’absorber Armoa, un spécialiste des pièces aéronautiques en aluminium de petite et moyenne dimension. Grâce à cette opération, qui a mobilisé une partie des financements de 35 millions d’euros négociés l’été dernier avec la Société Générale, le groupe met la main sur deux sites industriels en région parisienne et en Tunisie. Mecadaq atteint ainsi une masse critique sur le marché français avec 50 millions d’euros de chiffre d’affaires. Egalement implanté en Californie, le groupe entend accélérer son déploiement à l’international, qui génère 15% de ses facturations. Les Etats-Unis et l’Asie sont ses cibles prioritaires.
LBO France a acquis 56% du capital de Piex, distributeur de produits pharmaceutiques et parapharmaceutiques en Afrique, à l’occasion du départ en retraite du fondateur et président Robert Jamain. AfricInvest a pris 16%, BNP Paribas Développement 15%, Bpifrance 8% et Trocadéro Capital 2,5%. Une nouvelle équipe dirigeante, emmenée par le nouveau président Bertrand Talbotier, ancien de Sanofi reconverti dans le conseil, a pris 2,5% du capital. L’investissement a été réalisé grâce à de la dette mezzanine ainsi qu’une dette senior fournie par le Crédit du Nord. Le chiffre d’affaires de Piex était de 80 millions d’euros en 2016, en hausse annuelle d’environ 12% depuis 2005. L’Ebitda s’est établi à 6 millions d’euros. Piex souhaite agrandir sa clientèle, s’étendre vers des géographies en croissance et étoffer son offre.
Le cours de l’action Wendel a chuté jusqu'à 7,4% jeudi matin à la Bourse de Paris à la suite de l’annonce du départ surprise de Frédéric Lemoine de la présidence du directoire de la société d’investissement. En fin de matinée, le cours avait réduit ses pertes: -3,14% à 130,90 euros.
Wendel a annoncé jeudi le départ de son président du directoire Frédéric Lemoine, la société d’investissement confirmant cependant ses nouvelles orientations stratégiques. «Le conseil [de surveillance] - en accord avec Frédéric Lemoine (...) - a estimé qu’il convenait de renouveler la gouvernance exécutive du groupe pour aborder cette nouvelle étape», a expliqué Wendel dans un communiqué, précisant que le dirigeant quitterait la société le 31 décembre 2017. Wendel a dans la même temps «chaleureusement» remercié Frédéric Lemoine et souligné que sous sa présidence, pendant près de neuf ans et dans un période «particulièrement mouvementée de son histoire», le groupe avait «retrouvé une situation financière équilibrée (...) et continué de développer ses sociétés avec de nombreuses opérations créatrices de valeur». La société lui a en outre demandé de rester son unique représentant au conseil d’administration de Saint-Gobain jusqu’en 2020, date de la fin de son mandat d’administrateur.