Toute l’actualité du secteur de l’assurance – assurance dommage, assurance vie, assurance cyber, assurance récolte, réglementation – et de ses acteurs qu’ils soient capitalistes (Axa, Allianz, Generali) ou mutualistes (Covea, MAIF, MACIF, Aéma, Groupama, AG2R). Nos analyses des dynamiques à l’œuvre dans l’industrie assurantielle.
L’ACP a continué son suivi des taux de revalorisation des fonds euros des contrats d’assurance vie dans un environnement financier où les taux d’intérêt à long terme ont continué de baisser en 2012 pour atteindre des niveaux historiquement bas (le taux à 10 ans des obligations d'État français est revenu de 3,2% en moyenne mensuelle en décembre 2011 à 2,0% en décembre 2012). Concernant les contrats individuels, ce mouvement a pesé sur les produits d’intérêt des actifs investis par les assureurs dans la période de taux bas et par conséquence sur les taux de revalorisation servis aux assurés. Dans ce contexte, le taux de revalorisation moyen des contrats (pondéré par les provisions mathématiques correspondantes), net des frais de gestion, a baissé légèrement entre 2011 et 2012, revenant de 3,0% à 2,9%. Cette baisse modérée fait suite au fort recul de 2011, qui avait été lui-même plus marqué que la moyenne des années précédentes (les taux de revalorisation sont revenus de 4,1% en 2007 à 3,9% en 2008, puis 3,6% en 2009 et 3,4% en 2010). Par rapport à 2011, les assureurs vie ont néanmoins pu intégrer dans leur politique de fixation des taux au titre de 2012 un environnement financier moins dégradé sur le marché des dettes souveraines et une remontée des cours boursiers. Même si la part des provisions mathématiques revalorisées à un taux inférieur à celui de l’année précédente reste prépondérante (66%), elle est néanmoins très inférieure à celle de 2011 (91%). Une analyse en termes de seuils montre qu’un peu moins de la moitié des provisions mathématiques, soit 46%, affichent en 2012 un taux de revalorisation supérieur à 3,0%. En 2011, 58% des provisions mathématiques avaient un taux de revalorisation qui dépassait ce seuil. La très grande majorité (83%) des provisions mathématiques est restée revalorisée à un taux supérieur à 2,5% en 2012. La dispersion des taux de rendement est stable d’une année sur l’autre. En 2012, le taux moyen pondéré des 25% de provisions mathématiques les moins rémunérées a été de 2,3% alors que les 25% de provisions les plus rémunérées l’ont été à un taux moyen de 3,6%. Ces taux étaient respectivement de 2,4% et 3,7% en 2011. Tout comme en 2011, une très grande majorité d’assureurs procède à une différenciation des taux entre les contrats en 2012 : seulement 8% des sociétés retenues pour l'étude (contre 6% en 2011) ont proposé un taux identique pour tous leurs contrats, ceux-ci représentant 0,3% du total des provisions mathématiques (contre moins de 0,1% en 2011). L'écart interquartile des taux de revalorisation des organismes sur leurs différentes lignes de contrats est inférieur à 30 points de base pour près de 65% des assureurs de l'échantillon. Ces contrats représentent 46% des provisions mathématiques totales, exprimant des écarts plus faibles pour les organismes de petite taille. Concernant les contrats collectifs, le taux de revalorisation moyen des contrats collectifs et PERP (pondéré par les provisions mathématiques correspondantes), net de frais de gestion, a légèrement augmenté entre 2011 et 2012, passant de 3,15% à 3,3% contrairement aux contrats individuels. Ainsi une grande partie des contrats, correspondant à 41% des provisions mathématiques (contre 14% pour les contrats individuels) et 53% du nombre de contrats, a été revalorisée en 2012 à un taux supérieur à celui de 2011. En effet, les fonds liés aux contrats collectifs sont souvent investis de manière plus diversifiée que dans le cas des contrats individuels. Leurs performances sont donc plus réactives aux évolutions de marché. Un certain nombre d’entre eux a bénéficié des conditions favorables en 2012 sur les marchés d’actions et d’obligations d’entreprise, après des performances au contraire en-dessous des attentes en 2011. 38% des provisions mathématiques ont enregistré un repli de leur taux de revalorisation net sur la période (contre 66% pour les contrats individuels), tandis que 21% des provisions mathématiques ont été revalorisés au même taux en 2012 et 2011. Sur les contrats collectifs en cas de vie (notamment les contrats « article 83 » et contrats retraite « Madelin »), le taux de revalorisation médian est de 3,4%. Le taux moyen pondéré des 25% de provisions mathématiques les moins rémunérées (i.e. le taux moyen du 1er quartile) a été de 2,2% alors que les 25% de provisions les mieux rémunérées l’ont été à un taux moyen de 4,4 %. La dispersion est donc plus forte que pour les contrats individuels. En outre, elle croit légèrement entre 2011 et 2012. Sur les PERP, le taux de revalorisation médian est de 2,4%. Le taux moyen pondéré des 25% de provisions mathématiques les moins rémunérées (i.e. le taux moyen du 1er quartile) a été de 2,3% alors que les 25% de provisions les mieux rémunérées l’ont été à un taux moyen de 3,4%. La dispersion est donc plus limitée.
Cependant, les solutions avancées ne résolvent pas certains points essentiels, en particulier la volatilité des ratios de solvabilité. La FFSA et le GDV ne tirent donc pas les mêmes conclusions de cette étude qu’EIOPA et souhaitent faire connaitre leur position. Pour stabiliser le modèle Solvabilité 2, la FFSA et le GDV soutiennent que : Premièrement, il est indispensable d’avoir un ajustement permanent de la courbe des taux d’actualisation établi sur la base d’une formule, quel que soit le mécanisme retenu : prime d’adossement, prime contra cyclique ou stabilisateur de volatilité, sans ajout d’exigence prudentielle spécifique. Cet ajustement devrait être complété par une composante nationale reflétant les conditions particulières d’un marché. Toutefois, contrairement à ce que propose EIOPA, cet ajustement devrait s’appliquer tant pour le calcul des provisions techniques que pour l'évaluation des exigences en capital et ne devra en aucun cas être présenté comme un élément de fonds propres ad hoc. En outre, l’ajustement devrait être élaboré dès à présent avec un calibrage approprié qui permette de lisser efficacement les ratios de solvabilité. Deuxièmement, l’extrapolation de la courbe d’actualisation devrait commencer à 20 ans et converger sur une période de 10 ans vers le taux forward ultime (UFR), et non pas sur une période de 40 ans comme proposée par EIOPA. L'étude d’impact (LTGA) a en effet clairement montré qu’une extrapolation débutant suffisamment tôt associée à une convergence rapide réduit la volatilité du modèle. Troisièmement, pour un passage progressif de Solvabilité 1 vers Solvabilité 2, une clause de transition doit être mise en place. Elle devrait refléter à la fois les évolutions de l’environnement économique apparues depuis l’initiation du modèle Solvabilité 2 mais aussi les évolutions à venir. La clause de transition devrait donc tenir compte des évolutions futures des taux d’intérêts. La période de transition devrait être suffisamment longue, et en tous cas, bien supérieure aux sept ans testés. Contrairement aux propositions d’EIOPA, cette solution transitoire devrait être pleinement compatible avec les principes de Solvabilité 2. En conséquence, la transition devrait porter sur la courbe des taux d’actualisation, et ne pas constituer un élément ad hoc des fonds propres. Quatrièmement, la prime d’adossement devrait s’appliquer sur la base de critères adaptés aux produits éligibles à ce mécanisme, et ne devrait pas être contrainte par des restrictions abusives, à la différence de ce que propose EIOPA. Ce mécanisme devrait pouvoir s’appliquer pour tous les marchés européens d’assurance. La FFSA et le GDV soulignent que le paquet de mesures précitées constitue un ensemble indissociable qui doit faire partie intégrante du cadre prudentiel Solvabilité 2. En particulier, il est important que les assureurs ne soient pas contraints d’effectuer plusieurs calculs prudentiels parallèles comme le propose EIOPA. L’ensemble de ces mesures est indispensable pour permettre aux assureurs de continuer à couvrir des risques longs, à offrir des garanties de long terme et à financer l'économie réelle.
« Notre portefeuille devrait très peu évoluer en 2013 car nous sommes dans une situation d'attente par rapport à l'évolution des marchés et des taux, déclare Jean-Sébastien Lyonnaz, Directeur Trésorerie Financement et Gestion d'Actifs.
Lors de la conférence de presse FFSA du 26 juin 2013, Bernard Spitz, président de la FFSA, et Jean-François Lequoy, délégué général, ont présenté les chiffres 2012 et les premières tendances 2013 de l’assurance française. Pour télécharger le diaporama : cliquez ici Pour télécharger le rapport annuel : cliquez ici
Le groupe MGEN gère au total 3,5 milliards d'euros d'encours. « Nous avons pour caractéristique d'avoir une poche immobilière importante puisqu'elle représente 27% de notre portefeuille, ce qui est atypique par rapport aux institutions comparables et qui est liée à l'histoire de la MGEN », explique Fabrice Henry, Trésorier général de l'institution.
Comme presque tous les membres du Bureau national de la MGEN, Fabrice Henry est enseignant de formation. Il a été professeur en collège, dans des établissements spécialisés et dans des zones prioritaires, et enseignait principalement en français et en mathématiques. « J'ai une formation très éclectique puisque j'ai travaillé dans le bâtiment avant d'intégrer l'Education nationale, nous confie Fabrice Henry. Je suis en effet diplômé en Génie civil et en Travaux Publics».
Conférence animée par Cyril Roux, premier secrétaire général adjoint de l’ACP Introduction Engagements réglementés Placements admissibles : nature et modalités d'évaluation Actifs techniques admissibles Opérations particulières Congruence, limitation par catégorie et limitation par émetteur
En tant que directeur financier, Grégory Erphelin a la responsabilité de la gestion actif-passif au niveau du groupe, du corporate finance et rend compte également de la rentabilité de Crédit Agricole Assurances à travers la production des comptes consolidés. A ce titre, il assure la relation avec Crédit Agricole SA.
Diplômé de l'X (promotion 1996) et ingénieur des Ponts, des Eaux et des Forêts en 2001, Grégory Erphelin a ensuite suivi un MBA au Collège des Ingénieurs. « Deux choses m'ont toujours intéressé : être utile à la société, en ayant le sens de l'intérêt général et du service public, et par ailleurs, les problématiques financières et de financement de l'économie », nous confie-t-il.
Dans un contexte marqué par des mouvements de décollecte en assurance vie, le Secrétariat général de l’Autorité de contrôle prudentiel a complété les outils de suivi rapproché des flux mis en place à des fins prudentielles, par une collecte d’informations auprès des 12 principaux assureurs-vie. Les analyses mettent notamment en évidence le ralentissement en 2012 du phénomène de décollecte observé depuis la fin d’année 2011. La collecte nette cumulée, négative sur les neuf premiers mois de l’année, se redresse toutefois en fin d’année avec des rachats qui se stabilisent à des niveaux plus faibles que ceux de l’année 2011. Une atténuation sensible des arbitrages de contrats en UC vers les contrats en euros est en outre observée, portée par la remontée des indices boursiers au second semestre. La structure des placements, en termes de nature de titres, évolue peu. Quelques assureurs accroissent cependant légèrement la part de leurs placements en obligations privées non bancaires tandis que d’autres réduisent leur exposition aux actions. La diminution très sensible (-30 %) et continue au cours de l’année 2012, des expositions des assureurs vie aux titres souverains des États périphériques de la zone euro constitue le principal fait marquant pour ne plus représenter que 4,4 % des encours. Les plus-values latentes sur les portefeuilles détenus par les assureurs, qui reflètent les évolutions des marchés financiers, ont fortement augmenté au cours de l’année 2012, notamment à partir du troisième trimestre, en lien avec la baisse des taux obligataires, pour atteindre un niveau élevé (plus de 85 milliards d’euros), supérieur à celui observé avant la crise des dettes souveraines.
Des baisses... mais à quel prix ? Le gouvernement justifie son projet de loi sur la résiliation à tout moment des contrats d’assurance par la nécessité de renforcer la concurrence pour faire baisser les prix. Les mutuelles du GEMA peuvent témoigner que la concurrence est d’autant plus rude entre assureurs que la crise touche les ménages au portefeuille et qu'à moins de vendre à perte, elles ne peuvent plus guère baisser leurs tarifs. Elles veulent également rappeler que depuis trente ans, l’Etat a poussé à la hausse des prix de l’assurance auto ou habitation chaque fois qu’il a forcé les assureurs à étendre leurs garanties : catastrophes naturelles, attentats, protection juridique, recours des organismes sociaux, dernièrement prise en charge de la revalorisation des rentes servies aux victimes de la circulation... Pour faire baisser le prix des assurances aujourd’hui, il ne reste plus aux assureurs qu'à mettre des produits moins protecteurs sur le marché ou à sélectionner de bons risques et à laisser tomber les autres. Autant dire que les mutuelles du GEMA ne s’engageront pas à la légère dans ces voies-là.
Tout au long de ma carrière, j'ai toujours cherché à développer des activités, créer de nouveaux produits, déclare Bernard Le Bras, Président du directoire de Suravenir. L'année 2012 lui a donné l'occasion de continuer à exploiter ce savoir-faire. Il a, en effet, été amené à créer deux fonds euros dynamiques.
Le montant des cotisations collectées par les sociétés d’assurances au cours des quatre premiers mois de 2013 est de 44,8 milliards d’euros (40,7 milliards sur les quatre premiers mois de 2012). Les prestations versées par les sociétés d’assurances au cours des quatre premiers mois de 2013 s'élèvent à 35,8 milliards d’euros (42,8 milliards au cours des quatre premiers mois de 2012). La collecte nette s'établit à 9 milliards d’euros depuis le début de l’année. Pour le mois d’avril, l’assurance-vie enregistre une collecte nette positive de 1,9 milliard d’euros. L’encours des contrats d’assurance vie (provisions mathématiques + provisions pour participation aux bénéfices) s'élève à 1416,2 milliards d’euros soit une progression de 4% sur un an.
« Nous avons de grandes ambitions en matière d'investissement dans la dette infrastructures tels que le financement de routes, ponts, actifs régulés, universités, prisons, centres culturels, etc. puisqu'Allianz France a prévu d'investir environ 2 milliards d'euros dans cette classe d'actifs d'ici 4 ans », annonce Martine Legendre-Kaloustian, Responsable des investissements long terme chez Allianz France.
Diplômée en 1981 d'une Maîtrise de Sciences Economiques à l'université Panthéon-Assas à Paris, Martine Legendre-Kaloustian intègre, l'année suivante, la Banque de France sur concours. « Je me retrouve au service dédié au contrôle des bilans, se souvient-elle. Je devais récupérer des informations financières sur les entreprises et les analyser afin de les conseiller et également aider à la production d'études sectorielles ».
Le Secrétariat général de l’Autorité de contrôle prudentiel a souhaité mettre en place une trajectoire de préparation à Solvabilité II en 2013 et 2014. L’objectif est d’utiliser au mieux les années précédant l’entrée en vigueur pour capitaliser sur les efforts déjà accomplis et permettre aux organismes de se préparer aux futures exigences réglementaires. De cette perspective, il est demandé aux organismes concernés par Solvabilité II de remettre pour le 6 septembre 2013 quelques états quantitatifs de base et un questionnaire qualitatif. Cet exercice ne concerne que les entités sur base sociale qui seraient, dans l'état actuel des textes, concernés par la directive Solvabilité II. Un courrier du Secrétaire Général de l’Autorité de contrôle prudentiel a été envoyé aux organismes concernés par cet exercice le 28 mars 2013. Vous trouverez sur cette page une note technique, également envoyée aux organismes, qui indique le périmètre des états à remplir et détaille les modalités de réalisation de l’exercice. Les spécifications techniques à utiliser, à savoir les spécifications techniques dites Part I de l'étude d’impact sur le paquet branches longues, sont accessibles sur le site d’EIOPA. Lire la suite : cliquez ici
L’onde de choc de l’ANI Alors que le Parlement statue sur le projet de loi validant l’ANI du 11 janvier 2013, les professionnels de l’assurance continuent de mesurer l’onde de choc provoquée par la généralisation de la complémentaire santé à tous les salariés de branche ou d’entreprise. Avec l’ANI, les assureurs santé vont voir se réduire le marché des contrats individuels et se développer celui des contrats collectifs, qui obligeront les assureurs à présenter des offres groupées, dans le cadre de contrats de coassurance plus ou moins étendue. Les mutuelles de la FNMF et du GEMA peuvent en témoigner : en assurances de personnes, les coassurances sont beaucoup plus faciles à monter entre sociétés régies par un même code qu’entre sociétés régies par différents codes, pour des raisons plus formalistes et historiques que logiques. Aussi ont-elles saisi leurs ministres de tutelle pour leur demander de modifier sans tarder les règles existantes pour permettre à toutes les familles d’assureurs de participer ensemble à la mise en place de l’ANI.
Le montant des cotisations collectées par les sociétés d’assurances au cours des trois premiers mois de 2013 est de 33,5 milliards d’euros (31,5 sur les trois premiers mois de 2012). Les prestations versées par les sociétés d’assurances au cours des trois premiers mois de 2013 s'élèvent à 26,8 milliards d’euros (33,3 milliards au cours des trois premiers mois de 2012). La collecte nette s'établit à 6,7 milliards d’euros depuis le début de l’année. Pour le mois de mars, l’assurance-vie enregistre une collecte nette positive de 600 millions d’euros. L’encours des contrats d’assurance vie (provisions mathématiques + provisions pour participation aux bénéfices) s'élève à 1409 milliards d’euros soit une progression de 3% sur un an.
L’encours des placements financiers des sociétés d’assurance vie et mixtes s'établit à 1 653,6 milliards d’euros à fin décembre 2012, soit une hausse de 40 milliards par rapport au 30 septembre 2012. Cette augmentation s’explique en partie par le placement de l’excédent des cotisations d’assurances vie sur les prestations (environ 3 milliards d’euros sur le trimestre) et par le réinvestissement des revenus encaissés, mais elle résulte principalement de la revalorisation de titres de différentes catégories. En montant, l’augmentation la plus importante (+25 milliards) est imputable aux obligations détenues directement dont l’encours atteint près de 1 109 milliards d’euros. Contrairement au trimestre précédent, la revalorisation est plus forte pour les titres d'émetteurs non-résidents (+15,8 milliards contre +17,4 milliards au 3ème trimestre) que pour les émetteurs résidents (+9,2 milliards contre +28,2 milliards au 3ème trimestre). L’encours des titres d’OPCVM non monétaires est également en augmentation (+8,9 milliards), tandis que celui des titres d’OPCVM monétaires diminue assez sensiblement (-3,8 milliards). Au total, l’encours des placements financiers des sociétés d’assurance vie et mixtes, qui avait très légèrement diminué (-0,6%) en 2011, augmente en valeur de 11,8% en 2012.
« Pour la gestion financière, nous faisons appel en grande partie à des ressources externes, déclare Gilles Dupin, Président et Directeur Général de Monceau Assurances. Cette organisation a été mise en place en 2005 ».