Nos articles d’actualité et d’analyse sur le secteur de l’assurance vie, évolution de la collecte, rendements des fonds en euros, unités de compte, investissement...
Le numéro un suisse de l’assurance vie, Swiss Life, a publié aujourd’hui un bénéfice net en hausse de 9,2% à 1,007 milliard de francs (872 millions d’euros) au titre de 2017, contre 983 millions attendus par les analystes interrogés par Reuters. Swiss Life a atteint avec un an d’avance son objectif 2018 de revenus tirés des frais et commissions. Deux autres objectifs financiers - la valeur des affaires nouvelles et le transfert de liquidités - ont également été atteints plus rapidement que prévu, a précisé la compagnie. Les primes ont augmenté de 6% à 18,6 milliards de francs. Le groupe zurichois a proposé un dividende relevé à 13,50 francs, contre 11 francs auparavant.
L’assureur britannique Aviva a annoncé vendredi qu’il allait vendre, au deuxième trimestre, la totalité de sa participation dans ses co-entreprises espagnoles d’assurance vie et de retraite, Cajamurcia Vida et Caja Granada Vida, à la banque espagnole Bankia, pour 202 millions d’euros. Cela représente 2,1 fois la part de la valeur des actifs nets détenue par Aviva et 22,5 fois sa part des bénéfices après impôt pour les deux joint-ventures. L’opération augmentera de 150 millions les fonds propres Solvabilité 2 d’Aviva. Il aura encore, en Espagne, une participation dans la compagnie d’assurance vie Pelayo Vida et une petite équipe support.
Le gouvernement chinois a pris vendredi le contrôle de l’assureur Anbang, signe de la volonté de Pékin de mettre au pas les conglomérats de grande envergure qui représentent un risque financier. « Les opérations d’Anbang violent la loi sur les provisions d’assurance et pourraient mettre sérieusement en danger la solvabilité de l’entreprise », indique la Commission de régulation des assurances de Chine (CIRC) dans un communiqué. La CIRC a déclaré que le président et actionnaire principal d’Anbang, Wu Xiaohui, arrêté en juin, était également poursuivi pour crimes économiques.
L’assureur britannique Aviva a annoncé aujourd’hui qu’il allait vendre, au deuxième trimestre, la totalité de sa participation dans ses co-entreprises espagnoles d’assurance vie et de retraite, Cajamurcia Vida et Caja Granada Vida, à la banque espagnole Bankia, pour 202 millions d’euros. Cela représente 2,1 fois la part de la valeur des actifs nets détenue par Aviva et 22,5 fois sa part des bénéfices après impôt pour les deux joint-ventures, a précisé le groupe. L’opération fera augmenter de 150 millions les fonds propres Solvabilité 2 d’Aviva.
Sans surprise, les assureurs ont annoncé des taux de rendements plutôt en baisse pour leurs fonds en euros. Désormais, sur quels produits compter ? Comment les assureurs s’organisent-ils, et surtout quels sont les enjeux du secteur cetteannée ?
À quoi pense notre ministre de l’Économie et des Finances devant une retransmission des Jeux olympiques de Pyeongchang ? Sans doute à cette valeur temps si précieuse dans de nombreuses disciplines, et à ce peu de chose qui fait les exploits ou les déroutes des champions. De telles pensées doivent inévitablement ramener Bruno Le Maire à sa condition de responsable de l’un des chantiers les plus complexes en la matière : la réforme de l’assurance vie. Il n’est pas question d’une n-ième mesurette. Ni même de flat tax. Le sujet, cette fois, porte sur le cœur du réacteur, ce sur quoi le succès du placement s’est fondé : le fonds en euros et sa garantie permanente sur les montants investis. Sur le papier, Bercy veut faire évoluer lesdits fonds – et leur effet de cliquet sur les gains engrangés – vers des fonds en euros bonifiés dont la garantie du capital devrait être assurée seulement après huit ans. Une telle évolution a pour objectif de laisser entre-temps les coudées franches aux assureurs pour gérer comme ils l’entendent. Notamment en actions potentiellement synonymes de meilleures performances. Cette stratégie doit aussi permettre de répondre aux besoins de financement des entreprises françaises. Limpide, la feuille de route exige néanmoins d’importants efforts de la part de Bercy, dont celui de convaincre les assureurs de tirer un trait sur les fonds en euros sous leur forme actuelle et ce à partir de la mise en œuvre de la loi Pacte.
Désensibilisation. La SDA Bocconi School of Management a réalisé pour l’Efama (Association européenne des gestionnaires d’actifs) une étude sur les meilleures solutions d’investissement pour le futur produit d’épargne retraite paneuropéen (PEPP). L’idée : faire le tri entre les solutions figées avec garantie du capital et les solutions prévoyant une réduction progressive des risques dans le temps. L’étude, qui a porté sur une période « normale » (1969-2012) et sur une période récente de taux et d’inflation en baisse (1992-2012), conclut que la stratégie de réduction progressive des risques offre une bien meilleure protection : avec un taux de rendement réel de 5,9 % (contre 3,3 % pour le produit avec garantie) sur quarante ans, et de 5,1 % (contre 1,2 %) sur la période réduite. Le nouveau paysage économique et les contraintes de solvabilité auraient un impact négatif sur les produits d’assurance-vie avec garantie.
BNP Paribas a annoncé ce mardi la signature d’un accord en vue de l’acquisition, par sa filiale luxembourgeoise BGL BNP Paribas, d’ABN Amro Bank Luxembourg et de sa filiale à 100% ABN Amro Life SA auprès du groupe néerlandais ABN Amro. Dans un communiqué, BNP Paribas précise que BGL rétrocédera ABN Amro Life dès l’acquisition à Cardif Lux Vie, la compagnie d’assurance vie luxembourgeoise du groupe.
Le géant écossais de la gestion va perdre un mandat de Lloyds qui représente 19% de ses encours. Il concurrençait l'assurance vie et la gestion de fortune de la banque britannique.
WeSave annonce la suppression des frais de mandat d’arbitrage sur la part composée de fonds en euros de ses profils de gestion et l’ouverture d’un profil 100 % fonds en euros.
La prise en compte de la directive sur la distribution s’annonce éprouvante , Les indications des pouvoirs publics ne sauraient cacher une laborieuse transposition
Vincent Dubois, directeur général de Nortia a annoncé le 7 février la création du groupe DLPK et l’entrée au capital du fonds d’investissementBlackfin Capital Partners, par ailleurs actionnaire de Cyrus. Les sociétés Nortia, Nortia Invest Et Haas Gestion sont désormais réunies dans DLPK dontBlackFin détient 34 %. Ce dernier a pour objectif d’accompagner DLPK dans sa croissance organique (lancement de nouveaux produits et services, extension de la distribution…) ainsi que dans l’identification et l’exécution d’opérations de croissance externe. Pascal Vêtu, associé historique de Nortia, a, de son côté, cédé la majorité de ses parts. L’Agefi Quotidien relève en outre que Nortia est cité parmi les candidats au rachat de Sélection 1818, la plate-forme de fonds pour les CGPI mise en vente à l’automne par Natixis Wealth Management (ex-Banque Privée 1818).
Le courtier en assurance vie accueille le fonds de private equity à l'occasion du départ de son fondateur. Il est cité parmi les candidats au rachat de Sélection 1818.
A l’avenir, la rémunération de certains contrats d’assurance vie pourrait dépendre de la durée d’investissement des épargnants, a fait valoir la Fédération française de l’assurance (FFA) dans sa réponse à la consultation organisée par Bercy en vue du prochain projet de loi sur les entreprises (Pacte), rapporte le quotidien Les Echos. Afin d’orienter l'épargne des Français vers « les placements longs et productifs », Bercy a soumis à discussion l’idée de moduler en fonction de la durée de détention « la garantie des nouveaux contrats d’assurance vie en fonds euros ».Le mécanisme évoqué par les pouvoirs publics dans la consultation reposerait notamment sur une garantie « bonifiée » en cas de détention longue, « autour d’une durée pivot de 8 à 10 ans ».
Spécialiste de l’épargne en ligne,Assurancevie.com vient d’annoncer le lancement d’une gestion pilotée dans le cadre de son contrat d’assurance vie Puissance Avenir et de son contrat de capitalisation Puissance Avenir Capitalisation. Les deux placements sont assurés par Suravenir. Cette gestion pilotée qui s’appuie sur les 500 unités de compte que référencent les contrats est confiée à Fidelity International. Accessible dès 1 000 euros, elle est composée de quatre profils distincts, du moins risqué « Profil Modéré », au plus risqué « Profil Audacieux » :