C’est via sa filiale Exaion que le groupe EDF opère plus de 150 nœuds de la blockchain Ethereum. L’entreprise précise qu’elle gère «10 de ces nœuds en propre et les autres pour le compte de ses clients». L’information avait d’abord été révélée mardi par le média spécialisé Web 3 The Big Whale. Concrètement, cela veut dire qu’Exaion est un validateur du réseau Ethereum et touche donc des rendements issus du staking pour cette activité, c’est-à-dire l’immobilisation d’au moins 32 ETH, la cryptomonnaie native du réseau, pour avoir le droit d’être validateur. «Ces activités de staking s’inscrivent dans le cadre du lancement prochain d’Exanode», explique la filiale d’EDF qui veut «fournir aux entreprises des centaines de nœuds professionnels garantissant performance et résilience». Récemment, Ethereum a changé sa méthode de consensus dans l’objectif de réduire sa consommation électrique de plus de 95% en abandonnant le minage.
L’une des plus importantes plateformes d’échanges de cryptoactifs Crypto.com qui revendique 50 millions d’utilisateurs à travers le monde a annoncé ce mercredi qu’elle allait installer son siège régional européen à Paris.
C’est via sa filiale Exaion que le groupe EDF opère plus de 150 nœuds de la blockchain Ethereum. L’entreprise précise qu’elle gère «10 de ces nœuds en propre et les autres pour le compte de ses clients». L’information avait d’abord été révélée mardi par le média spécialisé Web 3 The Big Whale.
Une harmonisation entre États membres promet d'être laborieuse. Notamment parce qu’il n’existe encore pas définition claire pour chaque catégorie de cryptoactifs.
La plateforme d’échange de cryptomonnaies la plus utilisée du monde qui revendique 120 millions d’utilisateurs va lancer via la BNB Chain, sa deuxième blockchain native, son incubateur européen pour l’innovation à Londres, Paris, Berlin, Barcelone, Lisbonne et Varsovie. Le programme est basé sur un accompagnement de trois semaines qui doit permettre aux start-ups «les plus innovantes» du Web 3 de se développer.
Notamment pressé par la baisse des rendements dans la finance décentralisée, MakerDAO a décidé de rogner sur ses principes de décentralisation pour diversifier ses revenus.
Associée à la fintech britannique Banked, Bank of America a annoncé lundi le déploiement d’une solution de paiements en ligne pour les transactions en euros. Ce service, baptisé Pay by Bank, repose sur le concept d’open banking et permet des transactions en temps réel, au profit des commerçants et des consommateurs. Disponible dans un premier temps en France, en Allemagne et en Espagne, la solution sera étendue à d’autres pays et devises en 2023. Pay by Bank a été lancé en février dernier au Royaume-Uni pour les paiements en livre sterling. «Son expansion à l’euro illustre la volonté de Bank of America d’apporter toujours plus de solutions innovantes bénéficiant aussi bien à ses clients e-commerçants qu’aux consommateurs finaux dans le monde entier», explique le groupe dans un communiqué. La banque américaine revendique un volume de traitement de 8,7 milliards de paiements en ligne ou en magasin en Amérique du Nord et en Europe, pour un montant proche de 440 milliards de dollars.
Associée à la fintech britannique Banked, Bank of America a annoncé lundi le déploiement d’une solution de paiements en ligne pour les transactions en euros. Ce service, baptisé Pay by Bank, repose sur le concept d’open banking et permet des transactions en temps réel, au profit des commerçants et des consommateurs. Disponible dans un premier temps en France, en Allemagne et en Espagne, la solution sera étendue à d’autres pays et devises en 2023.
Les professionnels de la finance célèbrent désormais le potentiel de la tokenisation et attendent l’émergence d’une monnaie digitale de banque centrale.
Un Psan ou prestataire de services sur actifs numériques vient d’être radié de la liste des établissement enregistrés par l’Autorité des marchés financiers. Il s’agit de ByKerp, anciennement Keplerk, auquel l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution reproche, suite à un contrôle sur place, des manquements dans ses procédures anti-blanchiment et lutte contre le financement du terrorisme, mais aussi des opérations réalisées sans le consentement des clients. En outre, ByKerp s’est fait dérober 300.000 euros de crypto-actifs le 8 septembre lors d’une attaque informatique.
Extension. Le marché des paiements est en pleine ébullition. Iliad, la maison mère de Free, vient d’annoncer l’ouverture de son établissement de paiement Stancer aux petits commerçants qui souhaitent encaisser en point de vente ou en ligne. Créée en 2018 pour servir Iliad et réduire les coûts liés au traitement des paiements, la fintech prépare de nouveaux services afin de faciliter la vie des commerçants et des professionnels. Par ailleurs, FDJ lance Nirio, un dispositif d’encaissement des espèces ou des paiements par carte chez les buralistes. Nirio est d’ores et déjà retenu par Seqens, un bailleur social francilien filiale d’Action Logement, pour le paiement des loyers. Pas moins de 10.000 commerçants ont accepté de proposer ce service, 5.000 sont déjà agréés par l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution.
Selon le World Payments Report 2022, les paiements innovants sont bien implantés dans le retail, mais l’enjeu pour les banques est désormais du côté des petites entreprises.
La cryptobanque annonce relever les taux de ses livrets crypto «dans un contexte inflationniste pour favoriser l’investissement à long terme». Ainsi, le Livret Bitcoin passe de 2% à 2,5% et le Livret crypto flexible USDT [le stablecoin émis par Tether] passe de 4,5% à 5,5%. En juillet, Coinhouse avait déjà rendu accessibles ses livrets crypto dès un euro. Coinhouse a fait de la démocratisation de l’investissement crypto comme un objectif majeur et un argument de vente. Comme le confiait son PDG Nicolas Louvet à L’Agefi, l’avenir des services financiers, des paiements et du Web 3 passe par «le développement des cryptos et d’acteurs comme Coinhouse qui les rendent accessibles et utilisables pour tous».
Le géant du paiement va mettre à disposition Crypto Secure qui doit permettre de répondre à une préoccupation majeure pour les acteurs traditionnels: mieux identifier les transactions crypto illicites.
Le géant du paiement a annoncé mardi le lancement de Crypto Secure, un logiciel permettant aux banques et aux émetteurs de cartes de repérer et bloquer les transactions suspectes en lien avec les plateformes d’échanges de cryptoactifs. Avec cet outil, MasterCard revendique vouloir «combler le fossé entre la finance traditionnelle et le monde de la crypto», la capacité à suivre les flux illicites étant l’une des préoccupations majeures souvent mise en avant par les acteurs financiers traditionnels pour se lancer pleinement en crypto.
La cryptobanque annonce relever les taux de ses livrets crypto «dans un contexte inflationniste pour favoriser l’investissement à long terme». Ainsi, le Livret Bitcoin passe de 2% à 2,5% et le Livret crypto flexible USDT [le stablecoin émis par Tether] passe de 4,5% à 5,5%. En juillet, Coinhouse avait déjà rendu accessibles ses livrets crypto dès un euro.
Un an après le lancement de ses opérations en Amérique du Nord, Sidetrade, plateforme d’intelligence artificielle dédiée à la sécurisation et la génération du cashflow des entreprises, a annoncé mardi l’accélération de son expansion dans la région avec un plan d’investissement de 24 millions de dollars et la création de 110 emplois à temps plein dans la ville canadienne de Calgary au cours des trois prochaines années. Ces recrutements concerneront des profils variés dans la vente, le marketing, les services professionnels le support informatique et la R&D. Dans le cadre de son engagement continu pour développer ses talents, la société cotée sur Euronext Growth offrira à ses nouveaux salariés un accès à la ‘Sidetrade Academy’, un programme de formation pour réussir son intégration et son évolution professionnelle.
Après une belle progression depuis la chute de l’écosystème Terra-Luna en mai, le stablecoin de Circle est revenu à sa capitalisation de janvier, perdant quasiment 8 milliards de dollars.
Le spécialiste des paiements Worldline a annoncé lundi avoir bouclé la cession de son activité Terminaux, Solutions & Services à des fonds d’investissement gérés par Apollo. L’activité cédée opérera dorénavant «exclusivement sous le nom Ingenico», a précisé Worldline. Worldline a terminé la cession et l’apport d’environ 85% des actions Ingenico aux fonds Apollo, «la cession d’environ 15% restants devant avoir lieu le 1er janvier 2023, conformément au calendrier prévu», a indiqué le groupe. «Le prix de cession pour Worldline repose sur une juste valeur d’entreprise actuelle de l’ordre de 2,3 milliards d’euros, incluant environ 1,7 milliard d’euros de valeur initiale et jusqu'à 0,9 milliard d’euros d’actions de préférence», a rappelé le groupe.
Le spécialiste des paiements Worldline a annoncé lundi avoir bouclé la cession de son activité Terminaux, Solutions & Services à des fonds d’investissement gérés par Apollo.
Alors qu’Interpol a émis une notice rouge à son encontre et qu’il est visé par un mandat d’arrêt d’un tribunal de Séoul, Do Kwon l’un des cofondateurs de l’écosystème Terra-Luna qui s’est effondré courant mai, aurait déplacé 3.313 bitcoins, l’équivalent d’environ 67 millions de dollars selon la branche coréenne du média CoinDesk. Le transfert aurait eu lieu «peu après» le 14 septembre, le jour où un tribunal de Séoul a émis un mandat d’arrêt à son encontre. Les autorités de Corée du Sud ont demandé aux plateformes d’échanges de cryptoactifs de geler les bitcoins liés à Do Kwon. Ce dernier a nié en bloc sur Twitter.
Le système de messagerie interbancaire va travailler avec la société Chainlink pour permettre aux entreprises financières de réaliser des transactions sur différentes blockchains.
L’entreprise américaine a annoncé le 28 septembre avoir bouclé un tour de table de 80 millions de dollars. Une levée de fonds qui doit permettre à Strike de continuer à développer le réseau de paiement pour les commerçants et les consommateurs basé sur le Lightning Network, une surcouche du réseau Bitcoin promettant d’augmenter le nombre de transactions par seconde qui se situe actuellement entre trois et sept. Fondée par le jeune entrepreneur Jack Mallers qui a fait partie de la liste des «30 under 30» de Forbes en 2021, Strike est notamment utilisée par de grandes entreprises du commerce en ligne comme Shopify ou NCR. L’entreprise ambitionne également de devenir un acteur majeur du paiement transfrontalier.
L’entreprise américaine a annoncé le 28 septembre avoir bouclé un tour de table de 80 millions de dollars. Une levée de fonds qui doit permettre à Strike de continuer à développer le réseau de paiement pour les commerçants et les consommateurs basé sur le Lightning Network, une surcouche du réseau Bitcoin promettant d’augmenter le nombre de transactions par seconde qui se situe actuellement entre trois et sept.