DWS a annoncé mercredi avoir enregistré la plus forte collecte sur le marché des ETP (Exchange-traded products) européens au cours des cinq premiers mois de 2018. Sa gamme Xtrackers a absorbé ainsi 20% de la collecte sur le marché européen, ce qui permet au gérant d’actifs de conserver sa deuxième place en termes d’actifs sous gestion.
Invesco a annoncé mardi le lancement du premier ETF en Europe offrant une exposition pure et passive à l’Arabie saoudite. Baptisé Invesco MSCI Saudi Arabia Ucits ETF, le véhicule est libellé en dollar et coté à la Bourse de Londres. Son lancement intervient alors que les réformes portées par le plan «Saudi Vision 2030» visent à réduire la dépendance de la première économie du Moyen-Orient vis-à-vis des financements publics et des exportations de pétrole. L’Arabie saoudite a ouvert ses marchés actions aux investisseurs étrangers en 2015 et a, depuis, assoupli les critères d’investissements, explique Invesco. Le MSCI a inclus l’Arabie saoudite dans son processus d’examen annuel et une annonce est attendue le 20 juin concernant l’obtention ou non du statut de marché émergent.
Invesco a annoncé mardi le lancement du premier ETF en Europe offrant une exposition pure et passive à l’Arabie Saoudite. Baptisé Invesco MSCI Saudi Arabia Ucits ETF, le véhicule est libellé en dollar et est côté à la Bourse de Londres. Son lancement intervient alors que les réformes portées par le plan « Saudi Vision 2030 » visent à réduire la dépendance de la première économie du Moyen-Orient vis-à-vis des financements publics et des exportations de pétrole.
BlackRock a annoncé hier la nomination d’Arnaud Gihan au poste de responsable d’iShares pour la France, son activité de fonds indiciels cotés (ETF). Il remplace Benoit Sorel qui devient responsable de l’offre produits pour la zone Europe, Moyen-Orient et Afrique (EMEA) d’iShares. Arnaud Gihan, qui a commencé sa carrière comme trader dérivés actions chez JPMorgan, a rejoint l’activité iShares de BlackRock en octobre 2010. Il est actuellement responsable de la distribution des solutions indicielles aux gestionnaires d’actifs en France.
BlackRock annonce mercredi la nomination Arnaud Gihan au poste de responsable d’iShares pour la France, son activité de fonds indiciels cotés (ETF). Il remplace Benoit Sorel qui devient responsable de l’offre produits pour la zone Europe, Moyen-Orient et Afrique (EMEA) d’iShares. Arnaud Gihan, qui a commencé sa carrière comme trader dérivés actions chez JPMorgan, a rejoint l’activité iShares de BlackRock en octobre 2010. Il est actuellement responsable de la distribution des solutions indicielles aux gestionnaires d’actifs en France.
Invesco, l’un des plus importants émetteurs de fonds indexés cotés (ETF), projette de lancer dix nouveaux ETF ciblant le marché des obligations municipales, selon Bloomberg qui se référait hier à un document enregistré auprès de la SEC, le gendarme boursier américain. Les nouveaux ETF émis par la société de gestion américaine privilégieront les obligations notées en catégorie «investissement» et dont la maturité sera étalée entre 2019 et 2028.
Aberdeen Standard Investments a annoncé l’acquisition des activités américaines d’ETF Securities. Le gérant d’actifs britannique, qui n’a pas dévoilé le montant de la transaction, indique que la plate-forme totalise environ 2,8 milliards de dollars d’actifs (2,3 milliards d’euros) sous gestion. « Les besoins de nos clients sont en pleine évolution et nous avons besoin de pourvoir leur offrir tout une palette de solutions », a indiqué dans un communiqué Chris Demetriou, le responsable de l’entité américaine d’Aberdeen Standard Investments.
La cérémonie des European ETF Awards 2018 s’est déroulée vendredi midi à Paris en clôture de la dixième édition annuelle de l’ETF, Indexing & Smart Beta Forum. Six prix s’appuyant sur la méthodologie élaborée par Trackinsight ont été décernés pour l’occasion. Par ailleurs, L’Agefi a décerné deux European ETF Innovation Awards, afin de récompenser les fonds indiciels cotés les plus remarquables par leur caractère innovant et par la valeur que cette innovation apporte au client. Pour ce faire, un jury d’experts s’est penché sur les dossiers de candidature envoyés par les promoteurs d’ETF. Cinq d’entre eux ont été pré-sélectionnés et ont fait l’objet d’une présentation orale devant le jury le 7 mars. Un vote à bulletin secret s’est tenu dans la foulée.
La cérémonie des European ETF Awards 2018 s’est déroulée vendredi midi à Paris en clôture de la dixième édition annuelle de l’ETF, Indexing & Smart Beta Forum.
Il est toujours tentant d’opposer radicalement gestions active et passive. La première se vivrait en citadelle assiégée, incapable de dégager sur la durée une rentabilité supérieure à celle des grands indices mondiaux, et donc de justifier auprès de ses clients et des régulateurs les juteuses commissions qu’elle prélève. Elle serait condamnée à voir fondre comme neige au soleil, année après année, sa pelote. Il n’est pas jusqu’à Warren Buffett qui n’ait conseillé aux investisseurs privés de s’en tenir à des produits indiciels à bas coûts. La seconde aurait déjà gagné la bataille du low-cost auprès du grand public et des institutionnels, et se contenterait d’observer l’inexorable croissance de ses encours. La symétrie quasi parfaite des flux de collecte cumulés vers les fonds actions actifs et passifs, que l’on ne retrouve pas dans la sphère obligataire, corrobore cette vision.
Des investisseurs ont porté plainte hier aux Etats-Unis contre Credit Suisse, accusant la banque helvétique de les avoir trompés dans les caractérisations de son ETN lié à la volatilité. Le VelocityShares Daily Inverse VIX, un ETN (exchange-traded note) vendeur de volatilité conçu par Credit Suisse, a perdu plus de 90% de sa valeur lors du brusque épisode de rebond de la volatilité début février, poussant la banque à le retirer du marché.
La banque américaine JPMorgan étudierait ses options pour se renforcer dans le secteur des ETF, notamment via une acquisition, rapportait ce week-end Bloomberg de sources proches du dossier. La division de gestion d’actifs de la banque a déjà approché la branche américaine d’ETF Securities. JPMorgan aurait également discuté avec Global X avant que ce dernier n’accepte d’être racheté par le sud-coréen Mirae Asset Management.
N’écoutant que son courage, Fidelity a tranché : ses clients particuliers ne pourront plus « shorter » la volatilité au travers d’un ETF, a annoncé le gestionnaire d’actifs le 9 février. Oui, le 9 février, soit quatre jours après que lesdits fonds eurent explosé… en vol. Voilà pourtant des mois que tous les acteurs de la finance – banques d’investissement, Bourses comme le CBoE, fournisseurs de produits indiciels cotés – savaient, parlant même du problème ouvertement. L’investisseur individuel ne comprend pas le fonctionnement de ces produits purement spéculatifs, basés sur un sous-jacent artificiel, et sa stratégie « short » devait inéluctablement le laisser en string le jour où le marché se retournerait. Mais chacun a laissé faire, pendant que les régulateurs mettaient la dernière main aux réformes censées traiter la crise de 2008.
Le cap symbolique des 5.000 milliards de dollars d’encours a été allègrement franchi fin janvier par le marché des fonds indiciels cotés (ETF) et produits indiciels cotés (ETP). Selon le pointage du cabinet ETFGI, les actifs gérés par le secteur ont progressé de 313 milliards de dollars dans le monde en janvier (+6,5%), un record, portant leur total à 5.150 milliards (4.210 milliards d’euros). La collecte nette mensuelle a atteint 106 milliards et les fonds passifs ont également bénéficié de la forte croissance des marchés actions sur la période. Une performance qui risque de ne pas se renouveler en février compte tenu de la correction brutale intervenue sur les indices actions. Celle-ci a d’ailleurs fait exploser en vol des produits structurés (ETN) liés à la volatilité.
Le cap symbolique des 5.000 milliards de dollars d’encours a été allègrement franchi fin janvier par le marché des fonds indiciels cotés (ETF) et produits indiciels cotés (ETP). Selon le pointage du cabinet ETFGI, les actifs gérés par le secteur ont progressé de 313 milliards de dollars dans le monde en janvier (+6,5%), un record, portant leur total à 5.150 milliards (4.210 milliards d’euros). La collecte nette mensuelle a atteint 106 milliards et les fonds passifs ont également bénéficié de la forte croissance des marchés actions sur la période. Une performance qui risque de ne pas se renouveler en février compte tenu de la correction brutale intervenue sur les indices actions. Celle-ci a d’ailleurs fait exploser en vol des produits structurés (ETN) liés à la volatilité.
Le brusque rebond de la volatilité a fait exploser certains produits indiciels cotés qui jouaient la baisse de l’indice VIX. Victime de choix, le VelocityShares Daily Inverse VIX, un ETN (exchange-traded note) vendeur de volatilité conçu par Credit Suisse. La banque suisse a annoncé la liquidation de ce produit d’ici au 21 février, sa valeur ayant perdu plus de 80% en un jour. Le 11 janvier, à son plus haut, la valeur de cet ETN atteignait 2,2 milliards de dollars. Credit Suisse, dont l’action a perdu jusqu'à 8,45% en séance, assure qu’il n’a enregistré aucune perte sur cet instrument. Les investisseurs, en revanche, en seront pour leurs frais.
Les valorisations élevées des marchés actions ne freinent pas la croissance de la gestion passive. Le mois de janvier a vu un nouveau record d’investissements dans les ETF avec 78,5 milliards de dollars, battant le précédent record de près de 30%, d’après des données compilées par Bloomberg. Même durant les derniers jours de janvier, marqués par une légère correction boursière, les flux sont restés positifs avec près de 4 milliards de dollars par jour.
L’activité d’ETF d’Amundi a annoncé mardi que sa collecte nette avait dépassé les 10 milliards d’euros en 2017. Cette performance porte les encours gérés en fin d’année à 38 milliards d’euros. «L’augmentation des encours représente un doublement de la collecte en comparaison à celle de 2016, et repose sur le succès des stratégies d’investissement mises en place et une forte innovation produits», indique Amundi ETF dans un communiqué.
State Street Global Advisors (SSGA), la division de gestion d’actifs de State Street Corporation, a annoncé hier la nomination de Ludovic Djebali au poste de directeur SPDR ETF France. Il remplace Olivier Paquier, qui vient d’être nommé responsable des ETF de JPMorgan pour l’Europe continentale. Basé à Paris, Ludovic Djebali sera sous la direction de Rory Tobin, président de SSGA et co-directeur mondial de l’activité SPDR ETF. Avant de rejoindre SSGA, il avait occupé pendant sept ans la co-direction de la région EMEA et des comptes stratégiques chez Source. Il avait quitté ce fournisseur d’ETF en 2016, avant son rachat au printemps dernier par l’américain Invesco.
L’activité d’ETF d’Amundi a annoncé mardi que sa collecte nette avait dépassé les 10 milliards d’euros en 2017. Cette performance porte les encours gérés en fin d’année à 38 milliards d’euros. «L’augmentation des encours représente un doublement de la collecte en comparaison à celle de 2016, et repose sur le succès des stratégies d’investissement mises en place et une forte innovation produits», indique Amundi ETF dans un communiqué.
State Street Global Advisors, la division de gestion d’actifs de State Street Corporation, a annoncé aujourd’hui la nomination de Ludovic Djebali au poste de directeur SPDR ETF France. Il remplace Olivier Paquier, qui vient d’être nommé responsable des ETF de JPMorgan pour l’Europe continentale.
BlackRock a annoncé hier qu’iShares, son activité dédiée aux ETF et fonds indiciels, a enregistré en 2017 une collecte inédite de 246 milliards de dollars (205 milliards d’euros). Soit une croissance organique de 19% en nette accélération par rapport à celle de 13% enregistrée en 2016, quand le groupe avait collecté 140 milliards de dollars. Les actifs sous gestion d’iShares, leader mondial, s’établissent désormais à 1.754 milliards.
BlackRock a annoncé mercredi qu’iShares, son activité dédiée aux ETF et fonds indiciels, a enregistré en 2007 une collecte inédite de 246 milliards de dollars (205 milliards d’euros). Ce montant correspond à une croissance organique de 19% en nette accélération par rapport à celle de 13% enregistrée en 2016, quand le groupe avait collecté 140 milliards de dollars. Les actifs sous gestion d’iShares, leader mondial, s’établissent désormais à 1.754 milliards de dollars.
L’introduction de contrats à terme sur le bitcoin a laissé de marbre la Securities and Exchange Commission (SEC). Plusieurs sociétés ont retiré hier leurs demandes d’autorisation de cotation d’ETF sur le bitcoin à la demande du régulateur américain. Direxion Shares ETF Trust a ainsi indiqué que la SEC avait «exprimé des inquiétudes concernant la liquidité et l’estimation de la valeur des instruments sous-jacents». Exchange Listed Funds Trust, ProShares Trust et VanEck Vectors ETF Trust ont également renoncé à leurs demandes respectives depuis lundi.