En charge du suivi des technologies appliquées au monde bancaire, Alexandra s’est plongée avec enthousiasme dans le monde des fintechs, ces start-up qui sont en train de transformer profondément les métiers de la finance pour les rendre plus accessibles, plus utiles et plus inclusifs. A commencer par les paiements qui sont en pleine effervescence depuis plus d’une décennie. Auparavant, Alexandra a passé plusieurs années dans quelques titres de presse professionnelle : L’Argus de l’assurance, Banque & Informatique et Le Moniteur des Pharmacies.
La fintech spécialisée dans le financement basé sur l’activité des e-commerçants obtient également une enveloppe de 100 millions d’euros pour se développer.
La plateforme, dont l’activité connaît un fort rebond en cette fin d’année, annonce une baisse significative de ses tarifs dès maintenant et de nouvelles offres pour 2024.
Dans «L’Année de la fintech 2023», l'Observatoire signale les éléments d’une transformation accélérée dans tous les métiers, prouvant la capacité d’adaptation des start-up.
Une première transaction d'une carte allemande Girocard a eu lieu sur un TPE tricolore. Grâce à l’adoption d’un nouveau standard, les terminaux de paiement français pourront accepter davantage de cartes étrangères, dont celles émises en Allemagne.
Le portefeuille électronique d’EPI fonctionne : des transactions ont été réalisées entre la Sparkasse Elbe-Elster et BPCE, une première étape avant le lancement commercial prévu en 2024.
Avec moins d’argent, les fintechs hexagonales ont réussi à poursuivre leur croissance tout en rationalisant leurs activités. Malgré l’essoufflement des investisseurs, les échecs restent limités.
Au-delà de la création d’entreprises innovantes, le start-up studio Hexa veut aussi accompagner des entreprises sur la voie de la croissance dynamisée.
Deux mois après sa première levée de fonds, la start-up poussée par ses actionnaires accélère le développement de son offre et son déploiement commercial.
La plateforme issue de La Fabrique du Crédit Agricole a réussi à attirer toutes les banques françaises. Elle souhaite désormais s’imposer comme une place de marché pour la dette bancaire.
La fintech de paiement avait déjà collecté 590 millions d’euros l’année dernière et compte poursuivre son développement géographique et fonctionnel auprès des commerçants.