Rothschild HDF Investment Solutions enrichit sa gamme de solutions en gestion alternative. La société de gestion, filiale de Rothschild & Cie Gestion, a annoncé le 11 mars la création d’une Sicav de droit irlandais, InRIS UCITS Plc, qui offrira un accès à «des stratégies à fortes convictions» en abritant des fonds mono-gérant au format Ucits. Cette Sicav sera gérée par Innocap Investment Management.Dans ce cadre, la compagnie a lancé un premier compartiment, R Parus, dont la gestion financière a été déléguée à la société Parus Finance SA. Ce premier véhicule décline la stratégie long-short equity historique du gérant alternatif britannique Parus, précise Rothschild HDF Investments Solutions dans un communiqué. Cette stratégie se caractérise par un univers d’investissement global, mais aussi un biais croissance et une forte exposition aux marchés américains. Plusieurs dizaines de clients européens, investisseurs institutionnels et banques privées, ont souhaité accompagner son lancement et ont déjà souscrit un montant total de plus de 200 millions d’euros, avance la société de gestion.Avec cette nouvelle offre, l’objectif est également d’offrir aux investisseurs «les meilleures garanties en termes de contrôle des risques», précise Rothschild HDF Investment Solutions. C’est dans ce cadre que la société de gestion a noué un partenariat avec la plate-forme de comptes gérés Innocap qui abritera chacun des compartiments de la Sicav InRIS UCITS Plc.
Sycomore Asset Management lance le fonds Sycomore Sélection PME, éligible à l’enveloppe fiscale du PEA PME.Géré par Cyril Charlot, le nouveau produit sera investi dans les actions (60%-100%) et les obligations (0%-40%). Il pourra ainsi « saisir l’ensemble des opportunités offertes sur le segment des petites et moyennes capitalisations européennes », indique un communiqué. Sycomore AM gère déjà des petites et moyennes valeurs européennes au travers de deux fonds, Sycomore Francecap et Synergy Smaller Cies, lancés respectivement en 2001 et 2003.Caractéristiques de Sycomore Sélection PME- Dénomination : Sycomore Sélection PME- Code ISIN – Part R : FR0011707488- Classification AMF : Actions de l’Union Européenne- Frais de gestion : 2,40 % TTC + commission de surperformance- Frais d’entrée : 3% maximum- Frais de sortie : Néant- Minimum de souscription : 1 part
Pour son baptême du feu devant la presse, Andrea Rossi, directeur général d’Axa Investment Managers (Axa IM) depuis juillet 2013, n’a pas cherché à se distinguer de son prédécesseur Dominique Carrel-Billiard. Comme ce dernier, le nouveau patron d’Axa IM a en effet placé le développement international de la société de gestion au premier rang de ses objectifs stratégiques. «Nous avons accru nos parts de marché dans de nombreuses régions en 2013. Mais nous devons accélérer l’internationalisation de la société, a déclaré hier Andrea Rossi lors de la présentation des résultats 2013 d’Axa IM. Notre ambition est de devenir un véritable leader mondial de la gestion d’actifs», Pour y parvenir, la société de gestion s’est assignée un plan d’action en fonction de la typologie des marchés. Ainsi, dans les marchés matures où sa part de marché est forte – à savoir la France, l’Italie, l’Espagne voire la Suisse et l’Allemagne – «il faut désormais cibler les segments les plus profitables, et notamment la clientèle retail, et renforcer notre ciblage sur les investisseurs institutionnels», a avancé Andrea Rossi. Dans les marchés matures où sa présence est plus faible, «nous devons cibler en priorité les grands institutionnels et les marchés de consultants», a indiqué le directeur général, évoquant les Etats-Unis, le Canada, le Japon et l’Australie. Enfin, sur les marchés émergents, l’heure est aujourd’hui «au renforcement de notre dispositif», selon Andrea Rossi. Axa IM entend bien d’ailleurs se donner les moyens de son ambition. «Nous allons recruter 25 personnes en Asie et aux Etats-Unis en 2014, a annoncé Andrea Rossi, sans toutefois dévoiler le montant des investissements consacré à ce développement. Ce sera 50 ressources en plus sur les trois ans à venir. Nous allons aussi investir davantage sur le marketing.» Outre le développement à l’international, Axa IM entend bien en 2014 continuer à travailler à l’adaptation de son offre et, surtout, au renforcement de la relation client. Dans cette logique, la société de gestion a créé, début mars, un département «Client Group». Cette division, dirigée par Laurent Seyer (ex-responsable mondial de la distribution chez Axa IM), rassemble quelque 250 spécialistes dédiés à la clientèle hors Axa. Sa mission sera de développer l’offre de la société selon une approche plus segmentée par typologie de clientèle: institutionnels, particuliers, distributeurs. «Nous devons améliorer notre expérience client et nous coordonner davantage, a expliqué Andrea Rossi. Nous devons également nous assurer que nos process soient bien alignés avec les besoins de nos clients.» Dans le cadre de cette nouvelle organisation, Tim Gardener, jusque-là responsable des relations avec les consultants, a été nommé responsable du segment institutionnel. De même, Bettina Ducat, ancienne responsable de la distribution en France, en Europe du Sud et Moyen-Orient, a pris la responsabilité du segment particuliers et distributeurs tout en ayant la charge du développement marketing d’Axa IM.Ces multiples initiatives interviennent après une année 2013 marquée par de «très bons résultats», selon les propos d’Andrea Rossi. En excluant la contribution d’Axa Private Equity (Axa PE) en 2012 et 2013 – la société de capital investissement a quitté le giron du groupe mi-2013 -, le chiffre d’affaires d’Axa IM progresse en effet de 7%, à 1 milliard d’euros. Son résultat d’exploitation progresse de 11 %, à 433 millions d’euros, tandis que son résultat opérationnel augmente de 5 %, à 172 millions d’euros. A fin 2013, Axa IM accuse en revanche un repli de 1,3 % de ses actifs sous gestion, à 547 milliards d’euros contre 554 milliards d’euros fin 2012. La faute en grande partie à la cession d’Axa PE qui prive Axa IM de 22 milliards d’euros d’encours. «Hors effet de la vente d’Axa PE, les actifs sous gestion augmentent de 15 milliards d’euros par rapport à 2012», a tenu à préciser Axa IM. A contrario, la société de gestion peut s’enorgueillir d’avoir engrangé 12,2 milliards d’euros de collecte nette. Un chiffre qui inclut toutefois la contribution d’Axa PE jusqu’au 30 septembre 2013. Hors Axa PE, la collecte nette s’établit à 10,5 milliards d’euros.
Kempen Capital Management enrichit sa gamme de fonds en France. Le gestionnaire d’actifs néerlandais a annoncé, le 11 mars, avoir l’obtenu l’agrément de l’Autorité des marchés financiers (AMF) pour deux nouveaux fonds obligataires désormais autorisés à la commercialisation dans l’Hexagone. Baptisés Kempen (Lux) Euro Sustainable Credit Fund (classe J destinée aux investisseurs institutionnels) et Kempen (Lux) Euro Credit Fund Plus (classe I et ID destinées aux investisseurs institutionnels, ces deux véhicules offrent «l’opportunité aux investisseurs français d’accéder à des produits de niche sur le segment obligataire», explique Kempen Capital Management dans un communiqué.Affichant 90 millions d’euros d’encours au 31 janvier 2014, le fonds Kempen (Lux) Euro Sustainable Credit Fund a pour objectif de générer un rendement à long terme supérieur à l’indice Markit iBoxx Euro Corporates en investissant en priorité dans des obligations libellées en euro d’entreprises «investment grade» qui se conforment aux critères de développement durable. Pour sa part, le fonds Kempen (Lux) Euro Credit Fund Plus, dont l’indice de référence est également le Markit iBoxx Euro Corporates, investira exclusivement dans des obligations d’entreprises cotées en euros, ayant une notation d’au moins BB- à la date d’achat. Ses encours atteignent 70 millions d’euros au 31 janvier 2014.
Benoit Valentin, directeur général pour la France depuis 2006 pour le fonds d’investissement Cinven, négocie actuellement son départ et envisage un retour à Londres, révèle Les Echos. Aucun horizon de temps précis n’a été arrêté à ce stade ni un schéma de remplacement à terme, selon plusieurs sources citées par le quotidien économique.
SAC Capital Advisors change de nom et devient Point72 Asset Management, un clin d’œil à l’adresse du siège de la société situé 72 Cummings Point Road à Stamford, rapporte The Wall Street Journal. Avec ce changement, le fondateur de la société Steven A. Cohen cherche à prendre ses distances avec l’enquête sur les délits d’initiés qui touche SAC. Parallèlement, SAC se transforme en family office qui gérera pour l’essentiel la fortune personnelle de Steve Cohen (8 milliards de dollars).
Bill Gross, le patron de Pimco, a promis d’accorder à ses gérants davantage de liberté pour exprimer leurs désaccords, alors qu’il est confronté à des questions et critiques croissantes de la part des investisseurs, des analystes et même d’un membre de son conseil de trustees, rapporte le Financial Times. Morningstar, dont les recommandations sont très suivies par les investisseurs particuliers, a émis des inquiétudes concernant les problèmes au sein de la société. Les clients institutionnels et les consultants ont ajouté Pimco à leur « liste de surveillance ».
La société de gestion suédoise IKC Fonder, qui a ouvert un bureau à Manille à l’automne dernier, lance un fonds investi sur les Philippines, le premier fonds du genre en Suède.Le fonds, IKC Filippinerna Flexibel, sera géré par Inge Knutsson, responsable de la gestion et fondateur d’IKC, également responsable du bureau de Manille, et Rosel Ponce.« Les Philippines est un pays que nombre de Suédois négligent », commente Hans Andersson, directeur général d’IKC Fonder. « Mais en réalité, il s’agit de l’un des pays d’Asie les plus intéressants et il a obtenu pas plus tard que l’an dernier l’appréciation « investment grade » de la part de Standard & Poor’s et Fitch », poursuit-il.IKC Fonder investit déjà dans les Philippines via d’autres fonds.
La société de gestion Algebris a fait référencer deux fonds Ucits sur la plate-forme italienne Online Sim, rapporte Bluerating. Il s’agit des fonds Algebris Financial Credit Fund et Algebris Financial Income.
UniCredit a confirmé les indiscrétions selon lesquelles le réseau de conseillers financiers du groupe, FinecoBank, serait introduit à la Bourse de Milan courant 2014, rapporte Bluerating. La structure enregistrait à fin décembre des actifs financiers totaux de 44 milliards d’euros.
La banque privée italienne Banca Esperia a terminé l’année 2013 avec des encours sous gestion de 15,3 milliards d’euros, soit une croissance de 15 % par rapport à 2012, rapporte Funds People Italia.
Les fonds et les gestions de Banca Mediolanum ont enregistré des souscriptions nettes de 240 millions d’euros fin février, portant le total depuis le début de l’année à 413 millions d’euros, rapporte Funds People Italia.
Le groupe néerlandais Van Lanschot, notamment présent dans la banque privée et la gestion d’actifs a fait état pour l’exercice 2013 d’un bénéfice net de 33,5 millions d’euros qui marque le redressement de la situation financière du groupe qui avait terminé l’année 2012 sur une perte de 147,3 millions d’euros, selon un communiqué publié le 11 mars. Van Lanschot a augmenté ses revenus à 529,8 millions d’euros contre 525,3 millions d’euros tout en réduisant parallèlement ses coûts de 6% à 374,9 millions d’euros. Les actifs sous gestion se sont accrus à 43,3 milliards d’euros à fin décembre 2013 contre 40,9 milliards d’euros à fin 2012, grâce à la bonne tenue des marchés et à une collecte nette inchangée d’une année sur l’autre à 0,4 milliard d’euros.
L’indice de confiance des institutionnels français progresse et passe de 4,97 en 2013 (sur une échelle de 10, soit légèrement en dessous de la moyenne) à 5,86 en 2014, selon l’enquête exclusive réalisée fin février/début mars 2014 par Morningstar en partenariat avec ForumGi et Infopro, auprès d’un panel représentatif du marché institutionnel français représentant plus de 1.000 milliards d’euros d’actifs gérés.Le niveau de confiance des institutionnels, encore mitigé début 2013 sur l'évolution de l’environnement financier des douze prochains mois, devient donc nettement positif en ce début 2014. Les institutionnels semblent avoir retrouvé une certaine sérénité qui se retrouve dans leur volonté de reprendre du risque, notamment actions, dans les allocations d’actifs.Les risques systémiques semblent désormais appartenir au passé. Le risque d’une crise bancaire est passé de 20% à seulement 4% en 2014. La crise des dettes souveraines en zone euro, qui était le risque majeur pour 35% des institutionnels, est désormais remisé au second plan et ne compte que pour 10%. Pour les institutionnels français, les deux risques majeurs en 2014 sont la crise économique (19%) et le risque de déflation (20%). Les actions des banques centrales figurent également au cœur des préoccupations des institutionnels (19%). Après une période prolongée de politiques ultra accommodantes, la fin de ces soutiens «artificiels» à l'économie semble inquiéter les investisseurs de long terme.Mais globalement, l’environnement semble plus porteur et on observe ainsi une véritable inflexion en ce début d’année. Les institutionnels ne sont plus que 5% à souhaiter diminuer le poids des actifs risqués au sein de leurs allocations alors qu’ils étaient encore 26% à l’envisager début 2013 et même 41% en 2012.Cette quasi-disparition de l’aversion au risque, encore forte début 2013, se traduit par une augmentation à 31% contre 24% précédemment du camp des optimistes qui souhaitent augmenter les actifs risqués. La situation est toutefois loin de virer à l’euphorie puisque la majorité des institutionnels compte maintenir leur allocation d’actifs en l'état (63%).Si l’on observe plus précisément les choix d’investissement, il apparaît que les stratégies les plus prudentes et les moins rémunératrices sont presque toutes en perte de vitesse, du monétaire aux emprunts d’Etat en passant par le crédit en catégorie d’investissement. Au sein des actifs de rendement, les stratégies les plus risquées sont privilégiées, les convertibles notamment, comme une excellente option sur la reprise. Signe de leur confiance retrouvée, les institutionnels souhaitent, au sein des emprunts d’Etat de la zone euro, augmenter le poids des périphériques sur des maturités plus longues.Mais les actions apparaissent sans conteste comme la grande gagnante en ce début d’année. Au sein de la classe d’actifs, le pourcentage d’institutionnels souhaitant privilégier la stratégie Actions zone euro passe d’un poids satellite (5% en 2012) à 21% aujourd’hui, soit la première stratégie en 2014 loin devant les actions internationales (12%) et les convertibles (12% également). A noter que les résultats exhaustifs de cette enquête seront présentés le 20 mars prochain, à l’occasion de la dixième édition du Forum Gi qui, outre les conférences plénières et les ateliers habituels, proposera également deux études inédites, l’une réalisée par l’IEIF («10 ans d’immobilier dans l’allocation d’actifs») , l’autre par Forum Gi-Périclès Actuarial sur «les besoins des mutuelles en matière de stratégie d’investissement sous Solvabilité II».
Le groupe 3i a annoncé le 11 mars le closing d’une fonds de CLO, le COA Summit, à 416 millions de dollars. Il s’agit du quatrième fonds de CLO levé par 3i Debt Management US, l’entité spécialisée dans la gestion de fonds investissant dans de la dette corporate émise par de grandes et moyennes sociétés américaines.Depuis sa création en 2012, 3i Debt Management US a levé au travers de quatre fonds de CLO un total 1,9 milliard de dollars alors que la demande pour ce type de véhicule reste forte, précise un communiqué.
Neuflize OBC, filiale du groupe ABN Amro, a dégagé un bénéfice net de 48,2 millions d’euros en 2013, en croissance de 7,6 % sur un an, grâce en partie à la vitalité de son activité de gestion d’actifs, rapporte Les Echos. De fait, sur le terrain de la gestion, la banque privée a vu passer ses actifs sous gestion à 46,4 milliards, soit une hausse 8,6 milliards d’euros sur un an dont 5,025 milliards de collecte nette. En 2013, Neuflize OBC a enregistré un produit net bancaire en hausse de 4%, à 320,5 millions d’euros.
A quoi sert amLeague pour les multigérants et autres sélectionneurs de fonds ? Sur le grill dans le studio de Newsmanagers TV (voir la vidéo), Cédric Fouché, responsable de la sélection d’OPCVM chez Agicam – groupe AG2R-La Mondiale, a indiqué, en présence d’Antoine Briant, CEO de la plateforme, que cette dernière lui permettait de disposer d’un outil complémentaire à ses bases de données et ses études quantitatives et qualitatives. Et, de fait, d’observer précisément 25 gérants présents dont 23 sur l’Europe et une vingtaine sur la zone euro...De là à en profiter pour faire tourner rapidement sa sélection de pilotes, il y a un pas à ne pas franchir, y compris dans ces périodes tourmentées en Europe de l’Est où certains professionnels peuvent être encore assez nettement investis. «En étant allocataire d’actifs», indique Cédric Fouché, «nous regardons les gérants sur le court, le moyen et le long terme pour juger de la nécessité d’en changer». Cela étant, ajoute-t-il, «nous pouvons procéder à des ajustements, mais nous attendons surtout que ce soit les gérants eux-mêmes qui procèdent à ces modifications compte tenu de leur zone d’investissement.» Pour le reste, actuellement, l’effet d’aubaine joue à plein et, tout en ayant recours à des couvertures, la gestion d’Agicam a plutôt augmenté son exposition aux actions. Plus en détail, le multigérant accorde également de l’importance aux données mises à sa disposition sur le site d’amLeague qui concernent la gestion des différents portefeuilles. «Ces ratios et autres informations nous permettent d’effectuer des contrôles de cohérence dans le cadre de notre analyse de risques», explique le gérant, sachant que dans son approche cœur/satellite, la gestion active représente 40 % à 50 % - sous forme de fonds. Quoi qu’il en soit, selon le responsable, gestion indicielle et gestion active n’ont pas fini de s’affronter pour juger de la sur ou sous performance des uns ou des autres. A ce titre, remarquant le très bon résultat de la gestion indicielle sur une année, Antoine Briant a insisté sur le trompe l'œil d’un tel résultat. «Tout d’abord, sur trois ou cinq ans, la gestion active retrouve la première place,» explique-t-il. Par ailleurs, quand on mesure la moyenne des performances des portefeuilles pour les consolider en un seul portefeuille, il ressort que même sur un an, ce dernier bat l’indice de référence de près de deux points de pourcentage.» Impossible cependant de dire si ce bon résultat est dû aux meilleurs qui tirent l’ensemble ou si l’ensemble s’est montré vraiment performant…
KBL European Private Bankers (KBL epb) announced on March 11 the appointment of Carlo Friob – a financial services professional with over two decades of experience in increasingly senior roles – as CEO, Private Banking, based in Luxembourg. He will also join the executive committee of the group.Friob will commence his new role at KBL epb in May 2014, subject to the approval of the Commission de Surveillance du Secteur Financier (CSSF). Stepping into the role earlier held by Yves Stein, who was recently promoted to Group CEO, Friob will lead the ongoing growth of KBL epb’s private banking operations in Europe, further strengthening the group’s nine-country network. He earlier served at BGL BNP Paribas as director of products & services, wealth management Luxembourg, and global head of discretionary portfolio management, BNP Wealth Management. Previously, he served as general manager, private banking, at the Luxembourg-based bank.
P { margin-bottom: 0.08in; direction: ltr; color: rgb(0, 0, 0); }P.western { font-family: «Times New Roman»,serif; font-size: 12pt; }P.cjk { font-family: «WenQuanYi Micro Hei"; font-size: 12pt; }P.ctl { font-family: «Lohit Hindi"; font-size: 12pt; } The Norwegian sovereign fund regrets having invested in Formula 1, now that the sport is facing allegatios of corruption, Yngve Slyngstad, its director, has told the Norwegian business newspaper Dagena Naeringsliv. With BlackRock and Waddel & Reed Financial, the Norwegian public fund spent USD1.6bn in May 2012 to buy 21.3% of Formula One Group. The firm, responsible for the promotion and operation of commercial rights for F1, is led by the British billionaire Bernie Ecclestone, who, at 83, is facing corruption charges in Munich on 24 April. Ecclestone is accused to paying EUR35m in bribes to a German banker in 2006 and 2007 when his rights in F1 were sold to the investment fund CVC Partners, the largest shareholder in Delta Topco, a holding company based in Jersey which controls Formula One Group. A part of the Norwegian political class was astonished when an article appeared describing the fund’s investment. Due to its zero tolerance for corruption, the sovereign fund will sell its stake in Formula One.
P { margin-bottom: 0.08in; direction: ltr; color: rgb(0, 0, 0); }P.western { font-family: «Times New Roman»,serif; font-size: 12pt; }P.cjk { font-family: «WenQuanYi Micro Hei"; font-size: 12pt; }P.ctl { font-family: «Lohit Hindi"; font-size: 12pt; } The German index provider Solactive has launched two new indices, the Solactive Guru International Index and the Solactive Guru Small Cap Index, which are to be used as the underlying indices for two ETFs listed today by Global X Funds on the New York Stock Exchange. These Indices are part of the same family as the Solactive Guru Index, which was launched in June 2012 and is tracked by the Global X Guru Index ETF (GURU). It has over USD500 million in assets. The Solactive Guru International Index tracks the price movements of the top U.S. listed international equity holdings of a select group of Hedge Funds and Institutional Investors based on quarterly regulatory filings from the SEC (13F Filings). This Index will be used as an underlying for the Global X Guru International Index ETF (GURI). The Solactive Guru Small Cap Index tracks the price movements of the top U.S. listed small cap equity holdings of a select group of Hedge Funds and Institutional Investors based on quarterly regulatory filings from the SEC. To be included in the Index, companies must have a market capitalization between USD 100 million and USD 3 billion. This index will be used as an underlying for the Global X Guru Small Cap Index ETF (GURX).
P { margin-bottom: 0.08in; direction: ltr; color: rgb(0, 0, 0); }P.western { font-family: «Times New Roman»,serif; font-size: 12pt; }P.cjk { font-family: «WenQuanYi Micro Hei"; font-size: 12pt; }P.ctl { font-family: «Lohit Hindi"; font-size: 12pt; } Ted Scott of F&C is retiring after a 30-year career at the firm, Investment Week reports. He had been director of global strategy.
P { margin-bottom: 0.08in; direction: ltr; color: rgb(0, 0, 0); }P.western { font-family: «Times New Roman»,serif; font-size: 12pt; }P.cjk { font-family: «WenQuanYi Micro Hei"; font-size: 12pt; }P.ctl { font-family: «Lohit Hindi"; font-size: 12pt; } George Dallas, who had been co-head of corporate governance at F&C Investments, has left the asset management firm to “pursue other opportunities,” Financial News reports, citing a spokesperson for the firm. According to his LinkedIn profile, he is now working as an independent adviser. His role will be taken over by Eugenia Jackston, the other co-head of governance, while the team will be strengthened.
P { margin-bottom: 0.08in; direction: ltr; color: rgb(0, 0, 0); }P.western { font-family: «Times New Roman»,serif; font-size: 12pt; }P.cjk { font-family: «WenQuanYi Micro Hei"; font-size: 12pt; }P.ctl { font-family: «Lohit Hindi"; font-size: 12pt; } It has been a strong start to the year for Close Brothers Asset Management. At the end of its first half, which ended on 31 January 2014, the asset management branch of Close Brothers has almost tripled its profits, to GBP3.2m, compared with GBP1.1m in first half 2013. In the same period, its earnings have increased 9% to a total of GBP40.5m, compared with GBP37.2m in first half 2013. Over the first six months of its fiscal year overall, Close Brothers AM has posted a 2% increase in its assets under management and advised to a total of nearly GBP9.3bn as of 31 January 2014. This development is largely driven by net inflows, which totalled GBP190m in first half, while market effects played in modestly for GBP25m.
P { margin-bottom: 0.08in; direction: ltr; color: rgb(0, 0, 0); }P.western { font-family: «Times New Roman»,serif; font-size: 12pt; }P.cjk { font-family: «WenQuanYi Micro Hei"; font-size: 12pt; }P.ctl { font-family: «Lohit Hindi"; font-size: 12pt; } Neuflize OBC, an affliate of the ABN Amro group, earned a net profit of EUR48.2m in 2013, up 7.6% year on year, due to the vitality of its asset management activity, Les Echos reports. In the area of asset management, the private bank has seen its assets under management increase to EUR46.4bn, up by EUR8.6bn year on year, of which EUR5.025bn were net inflows. In 2013, Neuflize OBC earned net banking proceeds up 4% to EUR320.5m.
P { margin-bottom: 0.08in; direction: ltr; color: rgb(0, 0, 0); }P.western { font-family: «Times New Roman»,serif; font-size: 12pt; }P.cjk { font-family: «WenQuanYi Micro Hei"; font-size: 12pt; }P.ctl { font-family: «Lohit Hindi"; font-size: 12pt; } Bill Gross, the head of Pimco, has promised to give his managers more freedom to express differences of opinion, as he has been facing growing criticism from investors, analysts and even a member of his board of trustees, the Financial Times reports. Morningstar, whose recommendatins are closely watched by retail investors, has expressed concerns concerning problems at the firm. Institutional clients and consultants have added Pimco to their “watchlists.”
For his baptism of fire before the press, Andrea Rossi, CEO of Axa Investment Managers (Axa IM) since July 2013, did not seek to stand out from his predecessor, Dominique Carrel-Billiard. Like him, the new head of Axa IM put the international development of the firm at the top of the list of strategic objectives. “We have increased our market share in many regions in 2013. But we need to accelerate the internationalisation of the firm,” Rossi said at a presentation of results for 2013 at Axa IM. “Our ambition is to become a real global leader in asset management,” he says.To achieve that, the asset management firm has formed an action plan according to the type of market. In mature markets where market share is strong, such as France, Italy, Spain, Switzerland and Italy, “we now need to target more profitable segments, especially retail clients, and strengthen our targeting of institutional investors,” says Rossi. In mature markets where the firm’s presence is weaker, “we need to target large institutionals and consultant markets as a priority,” says the CEO, citing the United States, Canada, Japan and Australia. Lastly, in emerging markets, the time is now “to strengthen our teams,” says Rossi.Axa IM is also planning to give some impetus to its ambition. “We are going to recruit 25 people in Asia and the United States in 2014,” says Rossi, without revealing the scale of investment dedicated to this development. “That will make 50 more people in the next three years. We are also going to invest more in marketing.”
P { margin-bottom: 0.08in; direction: ltr; color: rgb(0, 0, 0); }P.western { font-family: «Times New Roman»,serif; font-size: 12pt; }P.cjk { font-family: «WenQuanYi Micro Hei"; font-size: 12pt; }P.ctl { font-family: «Lohit Hindi"; font-size: 12pt; } SAC Capital Advisor is changing names to becomme Point72 Asset Management, a nod at the headquarters of the firm at 72 Cummings Point Road in Stamford, Connecticut, the Wall Street Journal reports. With the change, the founder of the firm, Steven A. Cohen, is seeking to distance himself from the insider trading investigation which is affecting SAC. Meanwhile, SAC is being converted into a family office to manage mostly the personal wealth of Cohen (USD8bn).
P { margin-bottom: 0.08in; direction: ltr; color: rgb(0, 0, 0); }P.western { font-family: «Times New Roman»,serif; font-size: 12pt; }P.cjk { font-family: «WenQuanYi Micro Hei"; font-size: 12pt; }P.ctl { font-family: «Lohit Hindi"; font-size: 12pt; } The German asset management boutique has launched its first fund, the Peacock European Alpha Builder fund, Citywire Global reports. The fund based in Luxembourg is an absolute return fund which will be aimed primarily at small and midcaps which will use a market neutral strategy. It will be co-managed by René Assion and Mark Siebel, an equity value manager who founded the firm in 2012. The firm on 26 February launched a partnership with Universal Investment.
P { margin-bottom: 0.08in; direction: ltr; color: rgb(0, 0, 0); }P.western { font-family: «Times New Roman»,serif; font-size: 12pt; }P.cjk { font-family: «WenQuanYi Micro Hei"; font-size: 12pt; }P.ctl { font-family: «Lohit Hindi"; font-size: 12pt; } The Swedish asset management firm IKC Fonder, which opened an office in Manilla last year, is launching a fund which will invest in the Philippines, the first of its type in Sweden. The fund, IKC Filippinerna Flexibel, will be managed by Inge Knutsson, head of management and founder of IKC, also head of the Manilla office, and Rosel Ponce. “The Philippines are a country which many Swedes overlook,” says Hans Andersoon, CEO of IKC Fonder. “But in reality, it is one of the most interesting countries in Asia, and it received ‘investment grade’ rating last year from Standard & Poor’s and Fitch,” he says. IKC Fonder already invests in the Philippines via other funds.
P { margin-bottom: 0.08in; direction: ltr; color: rgb(0, 0, 0); }P.western { font-family: «Times New Roman»,serif; font-size: 12pt; }P.cjk { font-family: «WenQuanYi Micro Hei"; font-size: 12pt; }P.ctl { font-family: «Lohit Hindi"; font-size: 12pt; } Assogestioni, the Italian association of asset management professionals, has decided to create a working group for Emir an MiFid 2. The association notes that the two new regulations will have an impact on asset management firms. The group is entitled Gruppo di Lavoro Mercati.