PGIM Investments étend son réseau de distribution européenavec l’ajout d’une équipe dédiée à l’Allemagne. Thiemo Volkholz et Cvjetko Zecevic, respectivement vice-président et assistant vice-président, seront basés à Francfort et auront à charge de promouvoir les expertises de gestion d’actifs de PGIM auprès des banques et des intermédiaires financiers allemands. Thiemo Volkholz et Cvjetko Zecevic travaillaient chez Capital Group, où le premier était directeur exécutif responsable des relations avec les banques, gestionnaires de fortunes et multi-family offices tandis que le second était associé au développement de l’activité de Capital Group en Allemagne auprès des intermédiaires financiers et des institutionnels. PGIM Investments est le distributeur de fonds de PGIM qui gère 1 000 milliards de dollars pour Prudential. La société envisage d’ajouter deux autres équipes régionales en Europe d’ici début 2019. Thiemo Volkholz et Cvjetko Zecevic rapporteront à Kimberly LaPointe, vice-présidente exécutive et responsable des comptes internationaux. La gamme de fonds Ucits domiciliée en Irlande de PGIM Investments, PGIM Funds, totalisait 3 milliards d’euros d’actifs sous gestion en date du 30 août 2018.
Résultats en demi-teinte pour Deutsche Bank. Dans ses activités d’asset management, logées chez DWS, les actifs sous gestion se sont accrus de 2 milliards d’euros pour atteindre 694 milliards d’euros, a indiqué ce matin le groupe bancaire allemand à l’occasion de la publication de ses résultats intérimaires. Cette évolution est due à la bonne tenue des marchés et à un effet devises positif qui ont permis de largement compenser les sorties nettes, indique un communiqué sans plus de précisions. Le groupe relève toutefois que sur les neuf premiers mois de l’année, DWS a enregistré la deuxième plus forte collecte d’ETF sur le marché européen et détient une part de marché de 14,5%, selon les données d’ETFGI. En outre, les trois fonds immobiliers ouverts de la gamme «Grundbesitz» ont pour la première fois passé la barre des 10 milliards d’euros.Cela dit, les revenus du troisième trimestre se sont inscrits en baisse de 10% sur un an à 567 millions d’euros, en raison pour l’essentiel d’indemnités d’assurance pour un montant de 52 millions d’euros liées à un fonds immobilier. Sans cette dépense exceptionnelle, les revenus sont stables tant par rapport au trimestre précédent que par rapport au troisième trimestre 2017. Le bénéfice avant impôts ressort à 143 millions d’euros, en fort recul par rapport à l’année précédente (197 millions d’euros) mais en hausse de quelque 50 millions d’euros par rapport au deuxième trimestre 2018.Au niveau du groupe, le bénéfice avant impôts s’est inscrit à 506 millions d’euros contre 933 millions d’euros un an plus tôt et le résultat net à 229 millions d’euros contre 649 millions d’euros, les revenus diminuant de 9% à 6,2 milliards d’euros. Sur les neuf premiers mois de l’année, les revenus ont reflué de 5% à 19,7 milliards d’euros et le résultat avant impôts recule de 1 milliard d’euros à 1,6 milliard d’euros tandis que le bénéfice net chute à 750 millions d’euros contre 1,7 milliard d’euros l’année précédente. La banque estime toutefois être sur la bonne voie pour atteindre ses objectifs à court terme de réduction des coûts et des effectifs.
La société de gestion espagnole Ibercaja Gestión a lancé un fonds d’obligations, Ibercaja Renta Fija2022, ciblant un rendement similaire à celui de la dette publique italienne, rapporte le site spécialisé Funds People.Le fonds investira au moins 70% de ses actifs dans la dette émise par le gouvernement italien arrivant à échéance le 15 septembre 2022 ou dans les six mois précédant cette date. La duration moyenne du portefeuille avoisinera les 3,9 ans et diminuera à l’approche de la date fatidique.Miguel López Ferrero, directeur technique à Ibercaja Gestión, indique que l'économie italienne ne se trouve pas dans une situation idéale actuellement, faisant référence aux politiques «populistes» de la coalition au pouvoir qui peut engendrer une augmentation du risque de détérioration des comptes publics italiens et peser sur le moral des investisseurs. Selon la firme espagnole, le marché réagit de manière excessive à la situation politique italienne.
Julius Baer ferme son bureau au Panama après l’arrestation et la condamnation aux Etats-Unis d’un ancien employé de la banque dans le pays d’Amérique centrale pour blanchiment d’argent, rapporte le Financial Times. La banque privée, qui gère environ 40 milliards de dollars en Amérique latine, a indiqué de sortir du Panama et du Pérou. Il a décidé de se concentrer sur les marchés les plus gros et à plus forte croissance comme le Brésil où il a racheté Reliance ne début d’année.
Lombard Odier Investment Managers va procéder à la fusion de deux fonds actions européennes, LO Selection European Equities (91,57 millions d’euros d’encours à fin septembre 2018) et LO Funds - Europe All Cap Leaders, lancé en septembre dernier et dont le but est de surperformer le MSCI Europe en investissant au minimum 75% de ses actifs dans des sociétés dont le siège se situe au sein de l’espace économique européen. Le fonds est donc éligible au PEA en France.La fusion sera effective en date du 5 novembre. Dans une lettre aux actionnaires envoyé fin septembre, Lombard Odier Investment Managers explique que la décision de la fusion a été prise dans le contexte de larestructuration de la gamme des produits gérés par la société de gestion en vue d’assurer une rationalisation de l’offre de produits d’investissement en tenant compte des capacités de distribution des fonds en question. Le gérant argue que le réseau de distribution est bien plus important pour la gamme LO Funds que LO Selection. La société ajoute que «le potentiel de nouveaux investissements dans l’OPCVM absorbant devrait lui permettre de bénéficier d’une plus importante diversification des investisseurs et, par conséquent, d’un ratio de détention plus faible des clients, ce qui devrait améliorer la pérennité de l’OPCVM absorbant.»
Mardi 23 octobre, Credit Suisse a annoncé l’intégration au sein de son directoire d’Anke Bridge Haux, responsable digitalisation et produits, et Robert Wagner, nouveau COO des affaires suisses qui remplacera la COO actuelle, Dagmar Maria Kamber Borens. Cette dernière a décidé d’assumer de nouvelles responsabilités en dehors du Credit Suisse en raison du changement structurel dans le domaine COO annoncé aujourd’hui. Ces changements entreront en vigueur le 1er novembre prochain. Dans ses nouvelles fonctions, Robert Wagner assumera notamment la responsabilité des domaines IT et Opérations ainsi que d’autres fonctions d'état-major.Dans un communiqué, la banque privée suisse indique que «le domaine de la numérisation sera nouvellement représenté au sein du directoire compte tenu de son importance stratégique en Suisse». Anke Bridge Haux travaille pour Credit Suisse depuis 2011. Avant d’exercer sa fonction actuelle, elle a occupé différents postes dans le domaine trading & sales; elle a ensuite repris la direction de core banking solutions. Auparavant, elle a travaillé à différentes positions dans les affaires de gestion de fortune et de banque d’investissement sur la place financière suisse. Anke Bridge Haux est titulaire d’un Master en finance et économie de l’Université de Saint-Gall et a effectué le programme GMP Executive MBA de la Harvard Business School à Boston. Elle dirige en outre la Commission spécialisée numérisation de l’association suisse des banquiers.Robert Wagner a rejoint Credit Suisse en juin 2009, où il a d’abord été chief of staff et responsable advisory & sales pour le secteur d’activité private clients Switzerland. Avant sa carrière au Credit Suisse, il a travaillé 20 ans chez UBS, dont 10 ans en tant que relationship manager et responsable d'équipe dans le domaine international corporate banking à New York, et plus récemment en tant que chef d'état-major wealth management & business banking Suisse. Robert Wagner est titulaire d’un Master en droit de l’Université de Zurich. Il a effectué le Columbia senior executive program à l’Université de Columbia en 2003 ainsi que l’advanced management program à la Harvard Business School de Boston en 2014.
Retour à la normale pour le personnel d’UBS. Le groupe suisse autorise ses employés à voyager librement en Chine et les activités dans l’Empire du Milieu suivent normalement leurs cours, a indiqué ce 23 octobre UBS. Ces derniers jours, plusieurs médias avaient fait écho de restrictions au voyage dans ce pays suite à l’arrestation d’une employée à l’aéroport de Pékin pour avoir enfreint la réglementation chinoise interdisant la promotion et la vente auprès de clients chinois de produits financiers transfrontaliers. «Nous permettons à l’ensemble de nos employés de voyager librement vers et au départ du pays, et l’activité suit son cours normal en Chine», a précisé UBS dans une prise de position envoyée aux agences de presse.UBS ajoute disposer «depuis 30 ans d’une solide franchise en Chine et demeurer pleinement engagée à développer davantage (ses) activités en Chine continentale». Le groupe UBS dispose en Chine d’une licence bancaire complète et gère dans l’Empire du Milieu environ 380 milliards de dollars. Le numéro un bancaire helvétique est le premier gestionnaire de fortune en Chine, devant Citigroup, Credit Suisse, HSBC et Julius Bär, selon Reuters.
Le groupe Algebris vaut « au moins » 630 millions d’euros, rapporte Il Sole – 24 Ore. C’est le montant auquel Davide Serra a cédé à lui-même l’ensemble des actions d’Algebris Investments (Luxembourg) Sàrl, la holding luxembourgeoise qui contrôle le groupe fondé par le financier génois qui affiche 6 milliards d’euros d’actifs gérés par le biais de ses fonds d’investissement.L’opération, réalisée le 17 septembre, tourne autour d’une nouvelle société créée à Luxembourg le 19 juin dernier. N1 est une SARL à laquelle Davide Serra a donné les clés de son groupe financier et qui s’interpose désormais entre le financier et Algebris Investments (Luxembourg) Sàrl, holding de tête de ses fonds.
Le fonds d’investissement public saoudien (PIF) a acheté des actions par le biais d’institutions locales pour empêcher un krach de la Bourse de Ryad après la mise en cause du royaume dans la disparition du journaliste et opposant Jamal Khashoggi, ont indiqué à Reuters des sources au fait de la situation. Les investisseurs étrangers ont vendu 1,07 milliard d’actions saoudiennes la semaine dernière, soit l’un des plus importants mouvements vendeurs depuis que le marché boursier local s’est ouvert aux achats directs de non residents en 2015.Les investisseurs se désengagent dans la crainte d’une dégradation des relations entre l’Arabie saoudite et l’Occident après la disparition de Jamal Khashoggi à Istanbul le 2 octobre. Ryad a affirmé samedi que le journaliste avait été tué lors d’une bagarre dans l’enceinte du consulat saoudien d’Istanbul, reconnaissant pour la première fois sa mort après deux semaines de déni. Le Tadawul, l’indice boursier saoudien, a reculé de plus de 4% depuis le début octobre mais ses pertes auraient été bien plus lourdes si des fonds publics n'étaient pas montés au créneau pour soutenir le marché, ont dit des gérants et banquiers. Parmi eux, le PIF, dont les actifs sont estimés à plus de 250 milliards de dollars (218 milliards d’euros), est intervenu en achetant des actions via des fonds institutionnels, selon ces sources. Sur son instruction, ces fonds ont acheté pour environ cinq milliards de rials (1,33 milliard de dollars ou 1,16 milliard d’euros) d’actions pendant la seule semaine dernière, a dit un gérant de portefeuille régional.Le PIF, appelé à jouer un rôle majeur dans le développement d’industries non pétrolières en Arabie saoudite, s’est refusé à tout commentaire.
Le gérant d’actifs britannique Merian Global Investors (anciennement Old Mutual Global Investors) a signé un protocole d’accord avec Ping An Asset Management (Hong Kong) détenue par l’assureur chinois China Ping An Insurance Overseas.Le mémorandum marque le début d’un nouveau partenariat stratégique entre les deux acteurs, qui collaborent déjà depuis mars 2018 avec la délégation par Merian Global Investors de la gestion du fonds Merian China Equity à Ping An Asset Management (Hong Kong).Les deux sociétés exploreront ensemble les opportunités de distribution et de marketing de fonds ainsi que dans le conseil en investissements.Richard Buxton, directeur général de Merian Global Investors, a déclaré qu’accroître la présence de l’entreprise en Asie faisait partie des objectifs stratégiques. Hoi Tung, président de Ping An Insurance Overseas, a déclaré que ce partenariat était le commencement d’une transformation de la société en un réel tiers gérant.
La Banque Postale Asset Management a décidé d’amender l’objectifde gestion du fonds LBPAM Actions Euro Large Cap, qui devra à partir du 25 octobre, respecter un écart de suivi de 4% maximum avec son indice – MSCI EMU Net Return EUR – sur un horizon annuel. Des stratégies quantitatives seront implémentées et les décisions prises par le gérant s’appuyant sur les résultats de ce modèle quantitatif. Ces stratégies s’apparentent à des moteurs de performances pour LBPAM qui les regroupe en trois catégories: l’allocation des valeurs via une approche multi-critères qui tend à favoriser les titres avec des caractéristiques financières et fondamentales solides; le niveau d’exposition aux actions de la zone euro via un ajustement systématique reposant sur un modèle de suivi de tendance et le niveau d’exposition du fonds aux marchés actions européennes. Par ailleurs, la prise en compte de critères ESG sera supprimée de la stratégie d’investissement.
Tikehau Capital rachète le fonds de référence du secteur aéronautique français, ACE Management, et en confie la présidence à Marwan Lahoud, l’ex-directeur de la stratégie d’Airbus, rapporte le quotidien Les Echos. Le mariage a été scellé début 2018 lorsque ACE – qui gère 440 millions d’euros d’actifs – a levé un nouveau fonds de cybersécurité. Parti avec 50 millions de francs il y a vingt-cinq ans, ACE Management a largement contribué à remodeler et renforcer le tissu industriel aéronautique français. Ses trois véhicules d’investissement ont accompagné le développement d’une centaine de PME et d’ETI aéronautiques. ACE est également très actif dans la défense, le maritime et la cyerbersécurité. « Le secteur aéronautique, qui concentre les deux tiers de nos fonds, double de taille tous les quinze ans et les PME croissent à une vitesse encore plus rapide. D’ici cinq ans, ACE Management devrait avoir doublé, voire triplé, de taille », annonce aux Echos Marwan Lahoud, qui prend la présidence du conseil de surveillance. Dans un premier temps, ACE va poursuivre la levée de fonds dans la cybersécurité (150 millions d’euros, dont 40 millions apportés par Tikehau) et de fonds régionaux dédiés à la transformation digitale des entreprises de l’aéronautique et de la défense. Tikehau Capital n’aura eu à débourser pour ACE que 6,5 millions d’euros, dont une partie en titres.
LaBanque Postale Asset Management hasdecided to alter the management objective for the BPAMActions Euro Large Cap fund,which from 25 October will remain within a 4% tracking error of itsbenchmark, the MSCI EMU Net Return ENR, on an annual basis.Quantitative strategies will be implemented, and decisions will betaken by the manager on the basis of the results of this quantitativemodel.@page { size: 8.27in 11.69in; margin: 0.79in }p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; background: transparent }Thesestrategies represent drivers of performance for LBPAM, which groupsthem into three categories: allocation of stocks with amulti-criteria approach, which tends to favour stocks with solidfinancial and fundamental characteristics; a level of exposure toeuro zone equities via a systematic adjustment based on atrend-monitoring model and the level of exposure of the fund toEuropean equities. ESG criteria will also be removed from theinvestment strategy.
It does not happen so often. Carmignac is launching a new fund. The asset management firm on 23 October announced at a press conference that it has registered the Carmignac Portfolio Patrimoine Europe fund, an extension to its range of products aimed at long-term savings investors. The fund relies on a flexible, multi-asset investment philosophy which is decorrelated from benchmark indicators, which it shares with the funds of the Patrimoine range. This aims to generate long-term performance over a wide range of investment environments, and represents a diversification resource for investors.The launch comes at a time when Carmignac has had mixed results in third quarter. Fixed income strategies overall have done well, while the Patrimoine range has finished the quarter with losses ranging from 0.50% (Carmignac Long Short European Equities) and 3.28% (Carmignac Portfolio Emerging Patrimoine). The result is that the quarter is bringing net outflows totalling about 7% of assets, or about EUR4bn, says Didier Saint-Georges, managing director and member of the investment board. Assets under management totalled EUR51bn as of the end of September.Carmignac Porfolio Patrimone Europe will invest at least half of its assets in bonds, while the next exposure to equities may vary from 0% to 50%. The flexibility of the strategy means that it will be possible for fund managers to follow a conviction strategy, with the objective of generating positive returns over the long term, whie reducing the potential risks of loss. The fund is able to have negative sensitivity to interest rates, and to profit from the current context of rising interest rates, within a wide sensitivity range from -4 to +10.The fund stands out for its investment universe, focused on European equities and bonds, and its rigorous bottom-up approach, associated with an active equity and interest rate strategy. The fund will be co-managed by Mark Denham, head of European equity management and co-manager of the Carmignac Portfolio Grande Europe fund, and Keith Ney, manager of the Carmignac Sécurité fund.The fund, aimed at professional investors, is registered for sale in France, Luxembourg, Austria, Belgium, Spain, Germany, and Italy.
@page { size: 8.27in 11.69in; margin: 0.79in }p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; background: transparent }TheParef Gestion company has announced the acquisition of an officeproperty entitled “Le Vermeer,” in Villeneuved’Ascq, onbehalf of its SCPI Interpierre France. The sale price is EUR9m, fora building with a total area of 4,088 m².Paref Gestion was advised by Arthur Lloyd on the operation.The“Le Vermeer” complex, designed in 2001 by the architectPaindavoine, is a divisible complex with 104 parking spaces, which isfully leased by EDF.“Viathis acquisition, the SCPI Interpierre France continues itsdevelopment, and strengthens its strategy to construct real estateassets composed of high quality tertiary properties (office,industrial, etc.),” the asset management firm says in a statement.
@page { size: 8.27in 11.69in; margin: 0.79in }p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; background: transparent }Thefintech Setl, a specialist in the financial blockchain, on Tuesdayannounced the arrival of Philippe Morel as CEO and a member of theboard of directors. Peter Randall, co-founder and former CEO of Setl,becomes chairman, and remains alongside Morel for internationalactivities, investor relationships and marketing.Morel,55, a graduate of HEC and Harvard university, has spent most of hiscareer (28 years) at the Boston Consulting Group as managingdirector. He is based in London, and has advised sell-side andbuy-side asset management firms on their development strategy. In2010, he founded BCG Capital Markets Practice, which has since becomea global leader in its field. He has also been chairman of Expand, acomparative analysis and research affiliate of BCG with offices inNew York, London and Singapore. He has also sat as chairman of theauditing and risk committee at BCG for six years.Setl operates market infrastructure such as Iznes, the largestpan-European platform for the purchase and sale of blockchain funds,which currently includes 25 asset management firms.
Swiss asset manager Lombard Odier Investment Managers (LOIM) is to merge the LO Selection European Equities fund - which had assets under management of €91.57m as of end September 2018 - into the LO Funds - Europe All Cap Leaders fund launched last month and whose aim is to outperform the MSCI Europe index by investing at least 75% of its assets in stocks of EEA-headquartered companies.The merger will be effective on 5 November 2018. In a shareholder letter seen by NewsManagers, LOIM says it is streamlining its fund range while taking into account the firm’s fund distribution capabilities. It argues the distribution network for its LO Funds range remains more established than that of the LO Selection range. In addition, the Swiss manager outlines that the investment potential of the LO Funds - Europe All Cap Leaders fund will enable a greater diversification among investors. Consequently shareholders’ holding ratios in the fund will be lower and make it more durable.
PGIM Investments has hired Thiemo Volkholz and Cvjetko Zecevic as vice-president and president respectively to boost the firm’s presence in Germany.Based in Frankfurt and reporting to Kimberly LaPointe, executive vice president and head of Global Accounts, they will market PGIM’s asset management expertise that includes PGIM Funds towards German financial entities and intermediaries. PGIM, which is Prudential’s $1trn investment arm, runs a Ucits product range domiciled in Ireland since 2013, totalling $3bn in assets under management as of 30 August 2018. This duo forms PGIM Investments’ second dedicated team in Europe, with plans to add two additional regional teams in Europe by early 2019. Both Volkholz and Zecevic join the firm from Capital Group, where Volkholz was a managing director responsible for relationships with banks, wealth managers and multi-family offices. Zecevic served as a business development associate covering financial intermediaries, global financial institutions, banks, multi-family offices, independent asset managers and IFAs.
DWS, the asset management arm of Deutsche Bank, and the Italian insurer Generali have signed an agreement which will strengthen their cooperation in the area of unit-linked accounts. The two firms will develop their partnership in several key European markets, making DWS one of the asset management firms which will be eligible for selection by affiliates of Generali for the major European markets. The agreement follows a selection process implemented by Generali via its asset, wealth and investment management division. By the terms of the agreement, DWS and Generali will provide unit-linked solutions in the French, Swiss, Italian and German markets, as well as other potential markets.
@page { size: 8.27in 11.69in; margin: 0.79in }p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; background: transparent }TheA-type savings packet in September has seen net outflows of EUR410m,according to statistics released on 23 October by the Caissedes dépôts (CDC). Theoutflows are at a level equivalent to those for the sustainable andsolidaristic savings packet. The two vehicles show negative net flowsof EUR0.82bn for the period.Forthe first nine months of the year, cumulative net inflows to the twosavings packets total EUR12.73bn, compared with EUR13.99bn one yearearlier, with EUR10.93bn for the A packet, and EUR1.8bn for thesustainable development packet. Assets in the two packets totalledEUR388.7m as of the end of September, compared witH EUR374.9bn as ofthe end of September 2017, with EUR282.6bn in the A packet, andEUR106.1bn in the sustainable development packet.
London-headquartered financial groups Schroders and Lloydshave entered into a strategic partnership to establish a wealth management proposition that will see Schroders’ investment and wealth management expertise and technology capabilities combined with Lloyds’ client base, multi-channel distribution and digital capabilities. According to the terms of the deal, Lloyds and Schroders will form a new financial planning joint venture company for affluent customers. Lloyds will own 50.1% of the share capital and Schroders the remaining 49.9%. The joint venture aims to address the gap in the advisory market. The partnership will also see Lloyds transfering around £13bn of assets and associated advisers from its existing wealth management business to the joint venture. There will also be a referral agreement in place to enable Lloyds’ customers to benefit from this enhanced proposition. The new business will kick off by the end of H1 2019 with the aim of becoming a top three UK financial planning business within five years. It will be led by a management team comprising representatives from both partners. From completion, Antonio Lorenzo, chief executive of Scottish Widows and group director of insurance & wealth will be chairman and James Rainbow, Schroders’ co-head of UK Intermediary, will be chief executive. Both appointments are subject to regulatory approval. The partnership tied between Schroders and Lloyds will also encompass other segments such as high net worth wealth management and investment management. Lloyds will receive up to a 19.9% financial investment in the holding company of Schroders’ UK wealth management business (subject to regulatory approval) in order to provide the company’s high net worth customers with access to Cazenove Capital’s wealth management propositions. Cazenove Capital’s services will therefore be proposed to charities and family offices with whom Lloyds has established relationships. Moreover, Lloyds will transfer approximately £400m of existing private client assets under management to Schroders’ UK wealth management business. Lastly, Schroders will oversee £80bn of assets from the Scottish Widows and Lloyds insurance and wealth activities as active investment manager for at least five years. The management of £67bn of Scottish Widows insurance related assets will start as soon as the current arbitration process with Standard Life Aberdeen will terminate and no later than the date at which the existing contract ends (March 2022). The companies specify that the management of the £13bn of wealth related assets and the £400m of existing private client assets will be transferred to Schroders as soon as possible following the arbitration process, irrespective of the outcome. Lloyds and Schroders have also agreed to potentially develop other strategic opportunities together, including investment propositions and advice for Lloyds’ retail customers, for which Schroders would provide active asset management services.
Le secret était déjà largement éventé. Ce mardi 23 octobre, le gestionnaire d’actifs britannique Schroders et Lloyds Banking Group ont officiellement annoncé la conclusion d’un partenariat stratégique en vue de créer une coentreprise « de premier plan dans la gestion de fortune ». Le nouvel ensemble associera l’expertise de Schroders en matière d’investissement et de gestion de fortune et ses compétences technologiques à l’importante base de clients de Lloyds, sa distribution multicanal et ses compétences numériques, selon un communiqué.Dans le cadre de l’accord conclu, Lloyds détiendra 50,1% du capital de la coentreprise, le solde de 49,9% restant dans les mains de Schroders. En outre, Lloyds va transférer dans cette structure environ 13 milliards de livres d’actifs ainsi que des conseillers associés provenant de ses activités existantes de gestion de patrimoine. « Un accord de parrainage sera également mis en place pour permettre aux clients de Lloyds de bénéficier de l’offre de cette nouvelle entité », précisent les deux partenaires. Lloyds recevra également un investissement financier pouvant aller jusqu’à 19,9% dans la « holding » chapeautant l’activité de gestion de fortune britannique de Schroders. « Cela permettra aux clients très forutnés de Lloyds d’avoir accès aux principales solutions de gestion de patrimoine de Cazenove Capital », filiale de Schroders, selon un communiqué. De fait, « ce partenariat permettra à Lloyds d’offrir les services spécialisés de gestion des investissements de Cazenove Capital aux organisations caritatives et aux family offices », ajoutent les deux partenaires. Enfin, Lloyds apportera environ 400 millions de livres d’actifs sous gestion provenant de ses clients privés existants à l’activité de gestion de fortune de Schroders au Royaume-Uni.En parallèle, Schroders sera chargé de gérer activement environ 80 milliards de dollars d’actifs liés à Scottish Widows aux activité d’assurances et de gestion de fortune de Lloyds. Ce montant inclut les 13 millions de livres qui seront transférés à la coentreprise ainsi que les 400 millions de livres qui seront apportés à l’activité de gestion de fortune britannique de Schroders, soulignent les deux sociétés. Ce mandat est attribué pour une période d’au moins cinq ans. « La gestion des 67 milliards de livres d’actifs liés aux activités d’assurance de Scottish Widows commencera à la conclusion du processus d’arbitrage en cours avec Standard Life Aberdeen ou, au plus tard, à l’expiration du contrat prévu en mars 2022 », précisent Schroders et Lloyds.Les deux partenaires se sont également mis d’accord pour travailler ensemble et « développer éventuellement d’autres opportunités stratégiques, dont des services d’investissement et de conseil à destination des clients particuliers de Lloyds, pour lesquels Schroders pourrait fournir des services de gestion active », annoncent les deux partenaires. La nouvelle coentreprise devrait démarrer ses activités d’ici à la fin du premier semestre 2019, sous réserve de l’obtention des autorisations nécessaires. Elle sera dirigée par une équipe constituée de membres des deux sociétés. Antonio Lorenzo, directeur général de Scottish Widows et directeur de l’assurance et de la gestion de fortune de Lloyds, occupera le fauteuil de président de la structure. James Rainbow, co-responsable des intermédiaires britanniques chez Schroders, officiera en tant que directeur général.
London boutique Fulcrum Asset Management has appointed Akio Ohtsuka assenior adviser. Ohtsuka, currently executive adviser of Sumitomo Mitsui Trust Bank, will provide the company with strategic insight into the Japanese asset management landscape. Ohtsuka has been with Sumitomo Mitsui Trust Bank since April 1976. From 2012 to 2015, he was executive deputy president and CEO of the fiduciary business division of the bank and, between 2015 and 2017 he served as executive director and chairman of Sumitomo Mitsui Trust Asset Management. Fulcrum’s chief executive Andrew Stevens said Ohtsuka’s experience and understanding of the AM business in Japan will be invaluable as the company seeks to serve clients in the country. Fulcrum has £5.1bn in assets under management.
Kevin Brady, législateur-clé du Parti Républicain spécialisé dans la politique fiscale américaine, a déclaré hier devant la Chambre des représentants, qu’il travaillait pour la Maison-Blanche et le Trésor à développer un nouveau plan de réduction d’impôt de 10% destiné aux classes moyennes, que le président Trump a commencé à vanter ce week-end. Il a indiqué que ce plan devrait être présenté ces prochaines semaines, voire avant si les Républicains conservent la majorité à la Chambre et au Sénat à l’issue des élections de mi-mandat, qui se tiennent le 6 novembre.
Au troisième trimestre, les encours en gestion directe ont fondu de 21% après l’arrêt des fonds ARBF et une décollecte de 5,3 milliards de francs suisses.
Le fonds d’investissement public saoudien (PIF) a acheté hier des actions via des institutions locales, pour empêcher un krach de la Bourse de Riyad, selon Reuters. Ses actifs sont estimés à plus de 250 milliards de dollars (218 milliards d’euros). Les investisseurs se désengagent dans la crainte d’une dégradation des relations entre l’Arabie saoudite et l’Occident, après la disparition du journaliste et opposant Jamal Khashoggi à Istanbul le 2 octobre, reconnue par Riyad samedi dernier, après deux semaines de déni. Le Tadawul, l’indice boursier saoudien, a reculé de plus de 4% depuis le début octobre. Des fonds institutionnels, sur instruction du PIF, ont acheté pour environ cinq milliards de riyals (1,16 milliard d’euros) d’actions pendant la seule semaine dernière. L’indice saoudien a perdu jusqu'à 7% pendant la séance du 14 octobre.
La filiale de gestion d'Axa veut supprimer 90 postes. Elle propose une indemnité de rupture de contrat pouvant aller jusqu'à 21 mois de salaire et bonus.
Carmignac lance le fonds Carmignac Portfolio Patrimoine Europe qui élargit son offre de produits destinés aux épargnants de long terme. Ce fonds «investit au moins la moitié de ses actifs dans les obligations» européennes, et «entre 0 et 50%» en actions du continent. Il sera co-géré par Mark Denham, responsable de la gestion actions européennes et gérant de Carmignac Portfolio Grande Europe, et Keith Ney, gérant du fond amiral Carmignac Sécurité. A ce jour, il est enregistré en France, au Luxembourg, en Autriche, en Belgique, en Espagne, en Allemagne et en Italie. Première boutique indépendante française de gestion d’actifs, Carmignac gérait 54 milliards d’euros d’actifs au 31 juillet.
La première ministre britannique Theresa May, qui cherche à apaiser les tensions concernant sa stratégie pour le Brexit, rencontrera aujourd’hui les députés de son Parti conservateur à la Chambre des communes. Elle participera à une réunion du Comité 1922, le groupe parlementaire du Parti conservateur aux Communes. A un peu plus de cinq mois du départ de la Grande-Bretagne de l’UE, les négociations sur le Brexit se sont enlisées en raison d’un désaccord sur la question de la frontière entre Irlande et Irlande du Nord. La Première ministre britannique pense pouvoir décrocher un accord sur le Brexit qui obtiendra le soutien du parlement.
Les entreprises du secteur industriel français ont consacré 1,4 milliard d’euros à des investissements ou des études pour protéger l’environnement en 2016, soit 13% de moins qu’en 2015, selon une étude publiée hier par l’Insee. Les investissements, qui constituent l’essentiel de la dépense (80%) ont chuté de 17%, après des baisses de 2% en 2015 et 3% en 2014. Or les financements consacrés aux études ont augmenté de 5% d’une année sur l’autre. Quatre secteurs concentrent 69% des dépenses: l'énergie (397 millions d’euros), la chimie (219 millions), l’agroalimentaire (206 millions) et la métallurgie (133 millions). Ce repli pourrait en partie s’expliquer par la fin de cycles d’investissement antipollution dans certaines grandes entreprises, dans un contexte de législation environnementale inchangée.