Allianz Capital Partners, agissant pour le compte des compagnies d’assurances d’Allianz, a annoncé, le 25 octobre, l’acquisition d’un projet de ferme solaire à Ourika au sud du Portugal, à 170 kilomètres de Lisbonne. Développé par WElink Group, ce parc est pleinement opérationnel et développe une capacité de 46 mégawatts. Le site peut fournir de l’électricité renouvelable pour environ 23.000 foyers par an dans la région. Il s’agit du premier investissement d’Allianz dans une ferme solaire au Portugal sans subventions publiques, indique la société dans un communiqué. Allianz signe surtout son huitième investissement dans une ferme solaire. Le groupe allemand dispose désormais d’un portefeuille de plus de 90 parcs solaires et éoliens en Europe.
Au troisième trimestre, le fonds norvégien Government Pension Fund Global a dégagé un rendement de 2,1 %, ce qui correspond à un gain de 174 milliards de couronnes norvégiennes (18,3 milliards d’euros). Au deuxième trimestre, le fonds avait affiché une hausse de 1,8 %.Cette performance a été tirée par les investissements en actions, qui représentent 67,6 % du portefeuille, et qui ont gagné 3,1 %, et par les investissements en immobilier non coté (2,7 % du portefeuille), qui ont enregistré une hausse de 1,9 %. En revanche, les investissements obligataires, qui représentent 29,7 % du portefeuille, ont cédé 0,3 %.NBIM, qui gère le fonds, note que la performance des actions est surtout liée aux valeurs nord-américaines.Les encours du fonds ont augmenté à 8.478 milliards de couronnes norvégiennes, soit 892 milliards d’euros. Cela s’explique par l’effet marché mentionné plus haut, mais aussi par des souscriptions dans le fonds de 12 milliard de couronnes. En revanche, l’appréciation de la couronne norvégienne face aux principales devises pendant le trimestre a conduit à une baisse des encours de 46 milliards de couronnes.Par ailleurs, Norges Bank Real Estate Management a annoncé avoir signé un accord pour acquérir 45 % d’un bureau situé à Boston pour 204,8 millions de dollars, dans le cadre d’une joint-venture avec un nouveau partenaire, American Realty Advisors. Ce dernier, qui détiendra les 55 % qui restent, sera la société de gestion pour la coentreprise. Le vendeur est Skanska USA Commercial Development. Enfin, NBIM a publié trois prises de position sur la gouvernance d’entreprise, expliquant pourquoi les conseils d’administration ont besoin de membres ayant une bonne connaissance du secteur, un président indépendant et des administrateurs qui aient suffisamment de temps.
Fideuram Investimenti élargit son offre dédiée à la clientèle fortunée avec un nouveau fonds Fideuram Alternative Investments Mercati Privati Globali, qui sera commercialisé entre le 5 octobre et jusqu’au 14 décembre, sur le réseau privé, rapporte Bluerating. Il s’agit d’un portefeuilles multi-classes d’actifs avec un focus sur les entreprises ou actifs de taille moyenne. Le fonds pourra être investi sur le non coté, la dette privée, l’immobilier privé et les infrastructures privées.
La banque privée italienne Banca Aletti (groupe Banco Bpm) a recruté Alessandro Varaldo en tant que nouvel administrateur délégué, rapporte Bluerating. L’intéressé dirigeait précédemment Amundi Sgr, la société de gestion du groupe Crédit Agricole.
A l’occasion de la présentation de ses résultats trimestriels, ce 25 octobre, Kenneth Marc Jacobs, directeur général du groupe Lazard, n’a pas exclu une cession éventuelle de son activité de gestion d’actifs en cas d’offre attrayante. Lors d’une conférence téléphonique avec les analystes, le dirigeant a en effet fait un parallèle entre Lazard Asset Management et OppenheimerFunds, la filiale de gestion de MassMutual qu’Invesco va racheter pour 5,7 milliards de dollars. Un dossier que le groupe Lazard connait bien puisqu’il était le seul conseiller de MassMutual dans le cadre de cette transaction. « S’il y avait des marques d’intérêts à des niveaux de valorisation similaires, nous les prendrions bien sûr très au sérieux », a ainsi annoncé Kenneth Jacobs. Selon lui, « à première vue, Oppenheimer et Lazard Asset Management présentent de nombreuses similitudes, comme la taille des actifs sous gestion et le mix produits », a-t-il expliqué. Il a toutefois reconnu qu’il existait d’importantes différences entre les deux sociétés, en termes de distribution notamment puisque « OppenheimerFunds est principalement concentré sur les Etats-Unis et le segment retail tandis que Lazard Asset Management est principalement une entreprise mondiale axée sur les institutionnels ».A fin septembre 2018, Lazard Asset Management affichait 240 milliards de dollars, en hausse de 1% par rapport à fin juin 2018 et en croissance de 1% par rapport à fin septembre 2017. Au cours du troisième trimestre, cette activité a accusé 288 millions de dollars de décollecte nette. Depuis, la situation n’est guère brillante. « Au 19 octobre 2018, les actifs sous gestion s’élevaient à environ 230 milliards de dollars, a déclaré Evan Russo, directeur financier de Lazard lors de cette même conférence téléphonique. Cette diminution est principalement liée à un effet de marché négatif de 9,7 milliards de dollars et un effet de change négatif de 600 millions de dollars. La gestion d’actifs continue de naviguer sur des marchés difficiles. »
Bank of America a annoncé, vendredi 26 octobre, ladisparition de Terrence Laughlin, vice-président et responsable de la gestion de fortune et de la gestion d’actifs, à l’âge de 63 ans. Terrence Laughlin a été précédemment responsable du risque à Bank of America dont il a dirigé les activités de « legacy assets ». Il avait travaillé comme directeur général de la banque américaine OneWest avant de rejoindre Bank of America.
Bonnie Saynay, en charge de l’investissement responsable au niveau mondial chez Invesco depuis avril 2016, explique dans un entretien à NewsManagers l’approche de la société de gestion américaine en matière d’intégration des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG). Elle présente aussi la politique de vote originale mise en place par Invesco, dont les encours vont atteindre 1.200 milliards de dollars grâce à l’acquisition d’OppenheimerFunds.
Le fournisseur et gestionnaire d’ETF WisdomTree a enregistré au troisième trimestre des sorties nettes de 1,3 milliard de dollars, a annoncé la société ce 26 octobre. Les actifs sous gestion ont ainsi reflué à 59,1 milliards de dollars à fin septembre contre 60 milliards de dollars au 30 juin dernier. Les encours d’ETF cotés aux Etats-Unis s’inscrivaient à 41,6 milliards de dollars à fin septembre, en hausse de 0,5% par rapport à fin juin. Une évolution due à l’impact positif des marchés, largement effacée par des sorties nettes. Les encours d’ETP cotés à l’international (Europe,Canada) ressortaient à 17,6 milliards de dollars, en recul de 5,6% par rapport à fin juin 2018, sous l’impact de la baisse des marchés et des flux nets négatifs.Les revenus ont reculé de 2,9% d’un trimestre sur l’autre à 72,6 millions de dollars mais le bénéfice a malgré tout progressé de presque 32% à 22 millions de dollars. Cela dit, par rapport au troisième trimestre 2017, tous les indicateurs sont au vert en raison principalement de l’acquisition, bouclée le 11 avril 2018, de la société européenne ETFS.
Le fonds phare de Neil Woodford a perdu la moitié de ses actifs sou gestion en l’espace de dix-huit mois, rapporte Financial News. Les encours du Woodford Equity Income fund sont tombés à 5,1 milliards de livres après avoir culminé à 10,2 milliards de livres en mai 2017, selon les données de Morningstar. Le rendement du fonds s’est détérioré après une série d’investissements malheureux, dont plusieurs lignes parmi les plus importantes du portefeuille, Provident Financial, AstraZeneca et Capita, qui ont subi de fortes baisses. Le fonds affiche une perte de 5,84% contre 0,86% pour l’indice FTSE All-Share. Depuis le début de l’année, la décollecte du fonds s'élève à 2 milliards de livres et le fonds ne figure plus parmi les listes d’investissement recommandées par les plateformes de Charles Stanley et d’AJ Bell.
La société de gestion sud-africaine Prescient Investment Management a lancé le fonds Prescient China Equity. Le fonds, domicilié à Dublin et répondant à la réglementation Ucits, repose sur une approche quantitative systématique et investit dans les actions Achinoises cotées sur les bourses de Shanghai et Shenzhen. Les encours initiaux du fonds s'élèvent à 100 millions de dollars."Prescient investit en Chine depuis cinq ans sous le format Ucits. Ce nouveau fonds reflète la demande des investisseurs pour une exposition sur les actions de la Chine continentale, qui offre selon nous des valorisations attractives combinées à des opportunités d’alpha sur le moyen-long terme», a déclaré le directeur général de Prescient China Liang Du.Prescient gère plus de six milliards de dollars d’actifs.
Les Etats-Unis consultent leurs alliés européens au sujet du Traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire (FNI), a indiqué hier le secrétaire à la Défense James Mattis, en visite à Prague. Donald Trump a annoncé le 20 octobre son intention de dénoncer ce traité conclu en 1987. La Russie, qui dément, a annoncé hier que Moscou préparait des réponses aux questions américaines sur le traité. Les membres européens de l’Otan, qui considèrent le FNI comme une pièce maîtresse du contrôle des armements, ont invité jeudi les Etats-Unis à tenter de convaincre la Russie de s’y conformer plutôt que de le dénoncer.
L’agence de notation Fitch a annoncé vendredi qu’elle ne supposait plus que la Grande-Bretagne quitterait l’Union européenne dans le cadre d’une transition en douceur, ajoutant qu’un Brexit sans accord négocié avec l’Union européenne pourrait conduire à un abaissement de la note souveraine britannique. Jusqu'à présent, l’agence présumait que la Grande-Bretagne quitterait l’UE en mars prochain dans le cadre d’un accord de transition négocié. Mais la Première ministre, Theresa May, peine à conclure avec les institutions de l’UE un accord susceptible d’obtenir le soutien de son propre camp. Fitch attribue pour l’instant au Royaume-Uni une note AA assortie d’une perspective négative, ce qui implique une possible dégradation dans un avenir relativement proche.
La procureure générale de l’Etat de New York, Barbara Underwood, a décidé de poursuivre, le 24 octobre, Exxon Mobil Corp., en justice après l’ouverture d’une enquête en 2015, pour avoir trompé les investisseurs sur sa véritable exposition financière aux risques climatiques et aux risques réglementaires qui pèsent sur son activité. Le Fonds de retraite de l’État de New York et celui des enseignants de l’État totalisent un engagement de plus de 1,5 milliard de dollars dans Exxon, souligne la procureure. La plainte accuse Exxon d’avoir mis en place depuis longtemps un système de fausses allégations pour faire croire qu’il prenait effectivement en compte dans ses affaires le risque de changement climatique et les risques économiques inhérents. « Au lieu de gérer les risques comme il le prétendait face aux investisseurs, Exxon a continué ses pratiques en interne l’exposant à de plus grands risques face à la réglementation climatique, et à l’opposé de ses déclarations et de l’information donnée aux investisseurs », indique le procès. Selon la procureure, la compagnie pétrolière a assuré pendant des années aux investisseurs qu’il intégrait les risques d’un durcissement de la réglementation sur les émissions de gaz à effet de serre en appliquant des coûts plus élevés dans ses projets, ses investissements, l’évaluation des sociétés et le montant et la valeur de ses réserves et ressources. A contrario, la compagnie a fait nettement moins que ce qu’elle avançait, selon l’enquête. En outre, la procureur accuse Rex Tillerson, patron d’Exxon entre 2006 à 2016, d’avoir été au courant des faits. TV
L’Université de Strasbourg a choisi un fonds de Meeschaert Asset Management devant permettre aux investisseurs «d’optimiser [leurs] placements par le biais d’une gestion active ISR sur l’ensemble des classes d’actif traditionnelles». Pour l’heure, la Fondation Recherche en Chimie, la Fondation Université de Strasbourg, et le Centre Européen d’Etude du Diabète ont souscrit des parts. Le montant minimal devant être apporté par chacun de ces trois investisseurs est de 200 000 euros. L’actif net du fonds comportera entre 0 et 40% d’actions, de 50 à 100% de titres de créance et instruments du marché monétaire. Il pourra également investir en actions et parts d’OPCVM et/ou de FIA européens ouverts à une clientèle non professionnelle entre 0 et 10 %. La stratégie d’investissement du fonds repose en amont de l’analyse financière sur la sélection de valeurs éligibles pour le fonds, dans une démarche de « best-in-class », et s’effectue à partir de données extra-financières provenant de prestataires spécialisés. Meeschaert utilise en complément d’études sectorielles et thématiques réalisées en interne, les prestations de Vigeo Eiris, Ethifinance, Sustainalytics, Proxinvest, et ECGS. Le fonds sélectionnera des entreprises respectant la dignité humaine et agissant pour un développement économique et humain durable (critères environnementaux, sociaux et de gouvernance). «Une attention particulière sera accordée aux critères de respect des Droits de l’Homme et des droits du travail, ainsi qu’aux engagements pris par les entreprises vis-à-vis des communautés locales», note Meeschaert.
The UBS group on 25 December announced the retirement of Kathy Shih, president of UBS Asia Pacific, and a member of the executive board at the group, at the end of this year, after 32 years at the firm. Edmund Koh, currently head of wealth management for the Asia-Pacific region and country head for Singapore, will succeed her from 1 January 2019, and will join the executive board at the group. Koh, who has over 30 years of experience in financial services, joined UBS in 2012, as head of wealth management for South-East Asia, from the Ta Chong Bank group, based in Taiwan, where he remained for four years as chairman and director. Shih joined UBS In 1987 from Citibank, as a client adviser based in Hong Kong. After serving in a variety of senior positions in the Asia-Pacific region, she became head of wealth management for the region from 2002 to 2015, during which period assets invested in the region increased from CHF60bn to nearly CHF300bn, and offices were opened in Japan, Taiwan, and China, a statement says. Shih then joined the executive board of the group in January 2016 as president of UBS Asia Pacific. The group has announced the appointment of Markus Ronner as head of deontology, regulation and governance from 1 November 2018. He also joins the executive board of the group at this time. Ronner has been working at UBS since 1981. In his 37 years at the group, he has served in various roles, including head of internal auditing for the group, chief operating officer (COO) for Asset Management, head of products and services, and head of regulatory affairs and governance at the group, a position he currently holds.
Bruno Dell’Oste, CEO of CGP Entrepreneurs, a wholly-owned subsidiary of the Union Financière de France (UFF) group, has left his job, Distrib Invest reports. When contacted by editorial personnel, the firm declined to comment on the reports. Dell’Oste will be replaced by Patrick Butteau, who on 23 October, 2018, was appointed as deputy CEO of UFF Banque, and who will also become director of the CGP group. For the moment, the future desgination of the former CEO of CGP Entrepreneurs is not known.Butteau will thus take over as director of CGP Entrepreneurs. Butteau was officially sworn in as deputy CEO of UFF Banque two days ago, and will also retain responsibility for distribution, customer services and experience at UFF.Butteau was appointed as director of sales and distribution for the Paris region at Axa in 2008, after serving in a variety of roles in sales, customer services and marketing departments. In 2009, he joined the Aviva group, where he was successively director of brokerage sales (2009-2013), and then CEO of Épargne Actuelle (2013-2018). He joined UFF in April 2018 as director of distribution development strategy.The board of directors has also appointed Franck Ziolkowski as a director representing employees. Ziolkowski joined UFF in April 2018 as director of strategy and development for distribution. Ziolkowski joined UFF in 1994 at the Lille branch, as a wealth management adviser. He was in 1995 appointed as head of sales for the Sambre-Hainaut region. From 1998 to 2007, he was head of sales for the Lille region. Since 2008, he had been business director for the Hauts de France region.
@page { size: 8.27in 11.69in; margin: 0.79in }p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; background: transparent }AxaInvestment Managers (Axa IM) on 25 October announced the appointmentof Yannig Loyer as global head of trading. Loyer will be based inParis, and will report to Daniel Léon, head of engineering andtrading. In his new role, Loyer will manage global trading of bonds,equities and currencies. He will also be responsible for steering,development, controlling and correct execution of the capacities ofthe firm.Loyerbegan his career at J.P. Morgan in London in 2002, and joined Bank ofAmerica Merrill Lynch in 2005, where he served in a variety ofpositions, including managing director responsible for key accountsfor global products in continental Europe, most recently, andprevious to that, as head of EMEA credit structuring.
@page { size: 8.27in 11.69in; margin: 0.79in }p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; background: transparent }TheSpanish asset management firm Ibercaja Gestion, an affiliate of thebanking group Ibercaja, has appointed Maria Lili Corredor as CEO,replacing Valeron Penon, who had been in the role since 2004, and hasbecome global director of risk at the bank, the specialist websiteFunds People reports. Corredor has served her entire career at theIbercaja group, in several senior roles in the area of assetmanagement and pension funds.
Sweden’s SEB will split its Life & Investment Management division in two. The change will be effective from 1 January 2019.The incoming head of Investment Management, to be recruited, will report to Johan Torgeby, while David Teare, head of the Life division, will report to Mats Torstendahl, head of the Corporate & Private Customers division. As reported earlier, Peter Brannner, formerly head of Investment Management, has left SEB for a job as CIO at APG Asset Management. Hans Ek is acting head of Investment Management until a new head is in place.
Mapfre Asset Management, the investment arm of the Spanish insurance group Mapfre, has launched a fund named Capital Responsable, which will be managed by the Spanish firm, and advised by La Financière Responsable (LFR), in which the firm controls a 25% stake.The fund will invest in European equities and corporate bonds on the basis of their ESG characteristics, and will work to preserve the capital of investors. Mapfre will rely on the expertise of LFR and its methodology to analysw over 120 ESG components at 160 publicly-traded companies in the euro zone, to take all ESG factors into account in stock-picking.The fund, based in Luxembourg, will be sold mainly in Spain and France. Mapfre AM already has another fund under management focused on governance (Good Governance fund), launched last year.The new fund brings changes to the pension regime offered by the insurer. Mapfre Renta Largo F.P. will be renamed as Mapfre Capital Responsable, with a focus on ESG criteria. The Spanish mutualist Mapfre Crecimiento will also see its name changed (Mapfre Crecimiento Responsable). Mapfre has recently signed the United Nations Principles for Responsible Investment (UN PRI). Its earnings are about EUR28m, while net profits stand at EUR701m.
@page { size: 8.27in 11.69in; margin: 0.79in }p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; background: transparent }CreditSuisse Asset Management has launched new equity tracker fundsreplicating the MSCI ECG Leaders index. The funds are CSIF (Lux)Equity US ESG Blue, CSIF (Lux) Equity Emerging Markets ESG Blue, CSIF(Lux) Equity EMU ESG Blue, for the United States, emerging markets,and the EU region, respectively. CSAM states that other funds willalso be launched in bonds.
Nicolas Moreau, head of asset management at Deutsche Bank, will be leaving the German bank at the end fo this year, the firm announced on Thursday. The French director will have remained only slightly over two years at the group, which he joined in October 2016. He had signed an initial contract for a period of three years. The departure comes at a time when Deutsche Bank has released mixed results for third quarter for the asset management activities at DWS. The firm has seen outflows of EUR3bn in three months, and of EUR16bn since the start of the year.An article on the website Fondsprofessionell in late September reported that Moreau was under pressure.Moreau will be replaced in his group-wide role by Asoka Wöhrmann, an insider, who is appointed permanently as senior group director with immediate effect. In this role, Wöhrmann will report directly to Christian Sewing, CEO. Wöhrmann will replace Moreau as CEO of the DWS Group, effective immediately.Wöhrmann had previously been head of the private client activity at Deutsche Bank in Germany. He had served for several years at the asset management firm for Deutsche Bank, in a series of senior roles. Until 2015, he had been head of the fund management activity, as chief investment officer. Deutsche Bank has simultaneously appointed Frank Kuhnke, chief operating officer, to its board.
Le Fonds de réserve pour les retraites (FRR) a lancé le 19 octobre 2018 une procédure adaptée visant à sélectionner un prestataire de transparisation. Concrètement, le FRR souhaiterait sélectionner un prestataire spécialisé dans la mise en transparence des fonds dont le rôle consisterait notamment à collecter les positions des fonds sur la base d’un format de place (AMPERE), contrôler la qualité des données en les enrichissant le cas échéant pour au final consolider et homogénéiser les positions afin que le FRR puisse mesurer son exposition par émetteurs / contreparties, par zone géographique, par devises étrangères, par notations et par notations et types d’instruments, selon les critères réglementaires ou prudentiels internes. Le prestataire sélectionné aura pour but la production d’un reporting des détentions indirectes du FRR.Le marché, qui sera conclu pour une durée de trois ans, est passé selon une procédure adaptée et permettra de négocier les éléments de l’offre remise avec les candidats.
«On court plus vite que les autres». Yves Perrier l’a dit hier soir à l’occasion d’une conférence téléphonique et le patron d’Amundi a aussi les chiffres pour le dire. Les résultats du géant de la gestion d’actifs sur neuf mois affichent une forte croissance, grâce à un haut niveau d’activité et à la bonne maîtrise des charges d’exploitation, due notamment aux synergies liées à l’intégration de Pioneer. Malgré un environnement difficile depuis quelques mois, Amundi a réalisé une collecte de 48,5 milliards d’euros, parmi les plus élevées enregistrées en Europe sur la même période et en ligne avec l’objectif affiché d’une collecte de 50 milliards d’euros en moyenne par an. Au cours du seul troisième trimestre, la collecte ressort à 6,1 milliards d’euros et même 12,6 milliards d’euros hors réinternalisation d’un mandat de gestion de 6,5 milliards d’euros du distributeur italien Fineco, avec un haut niveau de collecte institutionnelle. Les encours gérés par Amundi atteignent ainsi 1.475 milliards d’euros à fin septembre, avec un effet marché légèrement positif de 0,6 milliard d’euros.Le segment Retail affiche une dynamique solide, avec une collecte nette élevée de 30,2 milliards d’euros, réalisée dans tous les canaux de distribution. L’activité réseaux France (+2,4 milliards d’euros et +3,8 milliards d’euros en actifs moyen/long terme ou MLT) est soutenue, portée par les Unités de Compte et la gestion sous mandat. Dans les réseaux internationaux, les flux demeurent élevés à +5,4 milliards d’euros (essentiellement en produits MLT), avec notamment en Italie une collecte nette de +5,1 milliards d’euros, ce qui illustre le succès du partenariat avec UniCredit. La collecte des distributeurs tiers est de 5,2 milliards d’euros (hors réinternalisation du mandat de gestion par Fineco), tirée par l’Europe (Italie, France, Espagne, Royaume Uni…) et l’Asie. Dans les Joint-Ventures asiatiques, l’activité est à nouveau élevée (+23,7 milliards d’euros), principalement en Chine et en Inde. Le segment des Institutionnels enregistre une collecte nette de 18,3 milliards d’euros sur les neuf premiers mois de 2018, avec une composante moyen et long terme significative, et une activité commerciale dynamique pour les clients Souverains et autres Institutionnels. Amundi a remporté récemment un mandat smart beta auprès d’un grand fonds souverain. L’activité du segment Corporates (-5,4 milliards d’euros) résulte de sorties de fonds monétaires au deuxième trimestre. En revanche la collecte en actifs MLT demeure positive, en particulier pour l’Epargne Entreprises Par classe d’actifs, la collecte nette est composée principalement d’actifs MLT (+42,2 milliards d’euros, soit 87% du total), notamment en Diversifiés et en Actions. Amundi a souligné la poursuite de gains de parts de marché en ETF : la collecte en ETF demeure soutenue sur 9 mois 2018 à +5,1 milliards d’euros, portant les encours à 43,5 milliards d’euros au 30 septembre 2018 en Europe. Amundi se place ainsi au cinquième rang en termes d’encours mais il est aussi le deuxième meilleur collecteur européen. Au total, les encours de la gestion ETF, passive et Smart beta s’élèvent à 104 milliards d’euros au 30 septembre 2018, soit +24% sur 12 mois. Dans les actifs réels, l’Immobilier enregistre une collecte nette de 2 milliards d’euros sur les 9 premiers mois de 2018, portant les encours à 30 milliards d’euros à fin septembre 2018. D’un point de vue géographique, la collecte nette est toujours tirée par l’international avec une contribution importante de l’Asie (+30,8 milliards d’euros) portée par les JVs (Chine et Inde), le Japon, Hong Kong et Taiwan, mais aussi de l’Italie (+9,2 milliards d’euros hors réinternalisation du mandat de gestion par Fineco) où le partenariat avec UniCredit porte ses fruits. La France affiche un bon niveau d’activité en actifs MLT (+ 9,5 milliards d’euros), compensé par des sorties en produits de trésorerie. Sur un an, les encours sous gestion à l’international augmentent ainsi de +13,4%, représentant 43% du total d’Amundi, et 58% des encours hors assureurs Crédit Agricole et Société Générale. Les résultats financiers sont à la hauteur de cette forte dynamique commerciale. Le résultat net comptable à fin septembre 2018 s’élève à 663 millions d’euros, en forte hausse de 40,5% par rapport aux neuf premiers mois de 2017, bénéficiant à la fois des effets de l’intégration de Pioneer (consolidé à partir du 1er juillet 2017), de la dynamique de développement et de la réalisation des synergies prévues lors de l’acquisition de Pioneer. Les revenus nets de gestion atteignent 1 968 millions d’euros (+3,2%), grâce à des commissions nettes de gestion à 1 874 millions d’euros (soit +3,5%), en lien avec la croissance des encours sur 12 mois, ainsi que des commissions de surperformance quasi stables (94 millions d’euros), dans un environnement de marché plus difficile à partir du deuxième trimestre 2018. Il est rappelé que les commissions de performances sont comptabilisées à la date anniversaire des fonds, en prenant en compte la performance des 12 mois précédents. Les charges d’exploitation sont en diminution sensible (1 005 millions d’euros soit -4,0%), grâce à l’exécution rapide du plan d’intégration de Pioneer (71 millions d’euros de synergies de coûts réalisées sur 9 mois), et malgré la prise en compte des frais de recherche externe liés à la règlementation MiFID (Markets in Financial Instruments Directive). Grâce à cet effet de ciseaux positif, le coefficient d’exploitation s’établit à 51,2% (un des plus bas de l’industrie), en diminution de 1,9 point de pourcentage par rapport aux neuf premiers mois de 2017, et le Résultat Brut d’Exploitation atteint 957 millions d’euros, soit +3,5%. Compte tenu de la contribution en hausse (+55%) des sociétés mises en équivalence (Joint-Ventures asiatiques essentiellement), et d’une charge d’impôt de 275 millions d’euros, le résultat net ajusté part du Groupe ressort au total à 721 millions d’euros, en progression de 11% par rapport aux neuf premiers mois de 2017. Une hausse supérieure à l’objectif annoncé de +7% par an. «Ces résultats sont très satisfaisant», a commenté Yves Perrier. " Ces bonnes performances traduisent la solidité du business model d’Amundi, fondé sur la diversité de ses lignes métiers (clientèles, expertises et géographies). Celui-ci est encore renforcé par l’intégration réussie de Pioneer Grâce à une gamme d’expertises complète et à un réseau international étendu, Amundi dispose d’atouts puissants pour poursuivre sa croissance rentable», a-t-il souligné.
La société de gestion Aganola, basée à Pfäffikon et spécialisée dans les convertibles, a annoncé ce 25 octobre, la nomination de Sebastian Steib en qualité de chief operating officer (COO), à compter du 1er novembre. Sebastian Steib a une trentaine d’années d’expérience dans la gestion de fortune et la gestion d’actifs. Il a notamment travaillé chez UBS pendant de nombreuses années, entre 1988 et 2014. Au sein du groupe suisse, il a été responsable de la clientèle fortunée latino-américaine et il a aussi dirigé une équipe de gestion dédiée aux investisseurs institutionnels.Aganola gère actuellement plus de 1,3 milliard de francs.
Le Régime de retraite des enseignantes et des enseignants de l’Ontario (RREO ou OTPP) a annoncé, ce 23 octobre, la promotion de Gillian Brown en qualité de « managing director » au sein de sa division Marchés Financiers (« Capital Markets »). L’intéressée dirige cette division qui gère l’exposition globale de la caisse aux différentes classes d’actifs : actions, obligations, crédit, titres indexés à l’inflation et actifs « absolute return ». Elle est également responsable de la mise en œuvre d’une stratégie de négociation centralisée. Gillian Brown, qui compte plus de 20 ans d’expérience, a intégré le RREO en 1995 et a occupé différents postes à responsabilité. Dernièrement, elle était « managing director » en charge des produits actions, crédit et des titrisations assurantielles (insurance linked securities). Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, elle est directement rattachée à Ziad Hindo, directeur des investissements du fonds de pension.En parallèle, Danilo Simonelli a été promu au titre de « managing director » en charge des investissements alternatifs. Il est directement rattaché à Gillian Brown et est responsable de la gestion de l’allocation aux hedge funds mondiaux dans le cadre de différentes stratégies au sein de la divisions Marchés Financiers. Danilo Simonelli a rejoint RREO en 2005 et occupé depuis cette date plusieurs postes au sein de la division Marchés Financiers, notamment au sein de l’équipe dédié aux obligations, aux devises et aux matières premières.Enfin, Saurabh Rastogi a été nommé « managing director » en charge de la gestion des liquidités et du risque de contrepartie crédit. A ce titre, il est rattaché à Barbara Zvan, directrice des risques et de la stratégie.
La situation financière des caisses de pension suisses s’est légèrement dégradée au troisième trimestre 2018. Pour les institutions de prévoyance de droit privé, le taux de couverture pondéré en fonction de la fortune a fléchi en l’espace de trois mois de 0,2 point de pourcentage pour s'établir à 112,3%. A fin septembre, le taux de couverture des caisses de pension de droit public à capitalisation complète présentait une évolution semblable, en baisse de 0,6 point à 105,9%, le Moniteur des caisses de pension publié par Swisscanto. De son côté, le taux des institutions de prévoyance de droit public à capitalisation partielle demeure stable à 82,1%. Actuellement, 96,7% des caisses de droit privé et 90,7% des caisses de droit public à capitalisation complète présentent un excédent de couverture. Un excédent qui dépasse les 110% pour 32,6% des institutions publiques avec capitalisation totale et 65,6% des entités soumises au droit public. Cela dit, le léger repli du taux de couverture au troisième trimestre reflète un rendement moyen inférieur à la valeur cible requise, indique Swisscanto qui précise les 535 institutions de prévoyance passées au crible et affichant des encours cumulés de 680 milliards de francs ont dégagé un rendement pondéré en fonction des actifs estimé à 0,41%. Sur les trois premiers trimestres de l’année, le rendement estimé s'élève à 0,03%.