La société de gestion alternative britannique Trium Capital a nommé Angus Chiang en qualité de gérant de portefeuille, en charge de la gestion d’un nouveau portefeuille actions « long/short » axé sur l’Asie hors Japon, rapporte le site InvestmentEurope. L’intéressé, qui compte plus de 15 ans d’expérience dans la couverture des actions asiatiques, était précédemment co-gérant du Pelargos Asia Alpha Fund, un hedge fund actions fondamentales « long/short ». Avant cela, il a officié chez Inox Global Capital Management, Morgan Stanley et ACPI Investment Managers.
Le gestionnaire d’actifs américain State Street Global Advisors (SSGA) a recruté Jeremy Rideau en qualité de responsable de la gestion actif-passif et des investissements sous contrainte de passifs (« liability-driven investments » ou LDI) pour l’Europe, rapporte Financial News. Basé à Londres, il sera rattaché à Stephen Yates, responsable de l’obligataire, des devises et du cash pour la région. Jeremy Rideau arrive en provenance de Legal & General Investment Management où il a travaillé pendant sept ans, dernièrement en tant que responsable des solutions de gestion de fonds (« Head of Solutions Fund Management »).
La banque Sparebank 1 SMN, basée à Trondheim en Norvège et appartenant au groupe Sparebank 1 Alliance, a annoncé la nomination de Jan-Frode Janson comme directeur général avant 1er mai 2019. Il succédera à Finn Haugan qui a passé 28 ans à la tête de l'établissement bancaire norvégien. Jan-Frode Janson dirige la Sparebank 1 Nord-Norge depuis janvier 2013 et restera en poste jusqu'à la nomination du prochain directeur général.
Le dirigeant du plus grand fonds souverain du monde n’a pas de secrétaire, rapporte le Financial Times. Yngve Slyngstad, CEO du Norges Bank Investment Management, qui supervise les 1.000 milliards de dollars d’actifs du fonds pétrolier norvégien, réserve lui-même ses voyages et planifie ses réunions. Agé de 55 ans, il a gagné 800.000 dollars en 2017, un montant qu’il estime trop élevé « lorsqu’on fait le job le plus intéressant du monde ». Titulaire de 4 masters (en droit à Oslo, en gestion des entreprises en Norvège, en économie à l’université de Californie et en sciences politiques à l’Université de Paris), il a passé 4 ans après ses études à voyager à travers le monde. Le fonds pétrolier détient en moyenne 1,4% de chaque entreprise cotée dans le monde. Il est aussi géré de façon démocratique. Des discussions sont en cours en Norvège pour savoir si le fonds doit être sorti du giron de la Banque centrale. Une décision très importante sur laquelle les députés auront le dernier mot. Yngve Slyngstad estime dans son entretien avec le Financial Times qu’aujourd’hui, le fonds pétrolier est à la fois un fonds de réserve et un fonds générationel. Il se dit fasciné par le fait que le fonds soit à l’intersection de la finance et de la politique.
China Post Global, promoteur et distributeur des ETF Market Access, a annoncé la fusion du Market Access DAXglobal Russia Index Ucits ETF et du Market Access DAXglobal BRIC Index Ucits ETF avec le Market Access DAXglobal Asia Index Ucits ETF en date du 5 décembre 2018.Le compartiment absorbant sera renommé Market Access iSTOXX Asia Index Ucits ETF tandis que sa politique actuelle de réplicationsynthétique sera remplacée par une politique de réplication physique de l’indice iStoxx Asia.
Le gestionnaire d’actifs américain est sur le point de liquider le fonds Vanguard Ultra-Short-Term Bond, l’une de ses plus anciennes stratégies, a appris Citywire Selector. Selon une lettre adressée aux investisseurs, consultée par le site d’information anglais, le faible niveau d’encours du fonds a conduit à cette décision de le liquider définitivement. Lancé en mai 1999, le fonds affichait 138 millions de dollars d’actifs à la fin du mois de septembre 2018.
Tonn Family Office, basé à Hambourg, vient de recruter Kay Fischer en qualité de membre de son comité exécutif. Kay Fischer était dernièrement responsable adjoint de la division Marchés financiers à la banque publique régionale Norddeutsche Landesbank (Nord/LB) à Brême, en charge du trading propriétaire et des relations avec la clientèle. Il a plus de trente ans d’expérience dans la finance et il a commencé sa carrière chez Berenberg. Pendant plusieurs années, il a été membre du comité d’investissement d’une Landesbank et de plusieurs caisses d'épargne.
La société de gestion Wealthcap, filiale de HypoVereinsbank et UniCredit et spécialisée dans les actifs réels, vient de lancer une nouvelle offre de fonds de fonds, Wealthcap Spezial Portfolio 1, à destination des investisseurs institutionnels qui n’ont qu’un accès limité ou pas d’accès du tout à des fonds dédiés dans les secteurs du private equity et de l’immobilier. Le ticket d’entrée a été fixé à 1 million d’euros. Les deux premiers fonds de fonds proposés par Wealthcap investissent dans différentes stratégies dans le capital-investissement et l’immobilier privé avec une préférence pour l’Europe. Les fonds pourront compter jusqu'à six stratégies dans le private equity et jusqu'à dix stratégies dans l’immobilier. Les stratégies elles-mêmes pourront détenir entre 10 et 20 participations dans des entreprises ou des biens immobiliers. La priorité sera donnée aux grosses opérations de «buy-out» portant sur des montants d’au moins 1 milliard d’euros ainsi qu'à des fonds immobiliers visant des montants unitaires d’au moins 250 millions d’euros. Wealthcap affiche un objectif de taille de plus de 200 millions d’euros et s’adresse aux family offices, aux entreprises, aux fondations, aux compagnies d’assurance et aux instituts de prévoyance. Les rendements visés sont de 11% environ par an pour les participations dans le private equity et jusqu'à 9% par an environ pour les participations dans l’immobilier privé.
Chez BlackRock, les dirigeants ne sont jamais loin de la sphère politique. C’est le cas aux Etats-Unis avec Larry Fink qui est très écouté outre-Atlantique. C’est aussi le cas en Allemagne avec Friedrich Merz. Le patron du conseil de surveillance de BlackRock en Allemagne a indiqué ce 30 octobre qu’il était candidat à la succession d’Angela Merkel à la tête du parti chrétien démocrate, la CDU. Le quotidien populaire Bild avait évoqué cette hypothèse la veille, dans le sillage de la décision de la chancelière allemande de ne plus postuler pour la présidence du parti conservateur. L’ancien patron du groupe parlementaire de la CDU a confirmé l’information ce mardi. « Après un examen approfondi et de nombreuses discussions, j’ai décidé de proposer ma candidature pour la direction de l’Union chrétienne démocrate à l’occasion de la conférence fédérale du parti à Hambourg », a fait savoir le responsable. « Nous avons besoin d’un nouveau départ et de renouveau au sein de la CDU, avec des dirigeants expérimentés et plus jeunes. Je suis prêt à prendre des responsabilités », a ajouté Friedrich Merz. Agé de 62 ans, Friedrich Merz est déjà engagé depuis très longtemps dans la sphère politique. Membre du Bundestag de 1994 à 2009, il a notamment été président du groupe parlementaire CDU de 2000 à 2002. Après l’échec de la CDU aux élections de 2002 au Bundestag, il cède, contraint et forcé, la présidence à Angela Merkel mais conserve la vice-présidence du groupe parlementaire qu’il abandonne toutefois en 2004. Il décidé en 2009 de quitter l’arène politique et prend la présidence du réseau de personnalités politiques et de dirigeants d’entreprises « Atlantik-Brücke » qui milite pour le renforcement des liens entre les Etats-Unis et l’Allemagne. Il occupe la présidence du conseil de surveillance de BlackRock en Allemagne depuis 2016.Membre de l’aile conservatrice de la CDU, Friedrich Merz est un peu considéré comme un outsider dont la carrière politique a été pour le mois freinée par l’ascension fulgurante d’Angela Merkel. Il a adopté le concept allemand de «Leitkultur», ou culture directrice, qui exige des migrants qu’ils assimilent et adoptent les valeurs et traditions allemandes.
Daniel Koller, l’actuel directeur financier du groupe Bellevue, va quitter la société après plus de dix années passées à la direction financière, selon un communiqué publié ce 30 octobre. L’intéressé a décidé de donner une nouvelle orientation à sa carrière et abandonnera ses fonctions fin février 2019. Son successeur sur une base intérimaire sera Michael Hutter, actuellement directeur financier de Bellevue Asset Management. Michael Hutter prendra ses fonctions le 1er mars 2019.A noter également que Patrick Gilli prendra la direction financière de Bank am Bellevue à compter du 1er janvier prochain. Il a été directeur financier chez Rothschild Trust et chez Rothschild Bank.
UBS chercherait des acquisitions ou des coopérations dans le domaine de la gestion d’actifs, a indiqué Bloomberg hier soir, citant «deux personnes informées». La banque veut gagner en taille dans ce secteur afin de continuer de faire le poids dans la concurrence internationale. Une grosse acquisition paraît toutefois peu vraisemblable. Des cibles potentielles se trouvent aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne selon l’agence. Ce sont des gestionnaires d’actifs focalisés sur la clientèle privée et aussi dans des domaines comme l’immobilier. Contactée par Bloomberg, UBS s’est refusé à tout commentaire. Le patron de la division, Ulrich Körner, avait déclaré la semaine passée lors d’une journée investisseurs que la banque pourrait à nouveau envisager des acquisitions dans la gestion d’actifs.
Vontobel souhaite développer ses activités asiatiques auprès des gestionnaires d’actifs externes et des family offices. Dans cette perspective, le groupe de gestion suisse a annoncé, ce 30 octobre, la nomination de Georg von Wattenwyl qui sera chargé de développer cette activité et qui prend également la responsabilité de la vente des produits EAM (external asset managers) aux family offices. Georg von Wattenwyl, pendant onze ans responsable de la division Financial Products Advisory & Distribution, prendra ses fonctions le 1er janvier prochain avec une nouvelle équipe basée à Singapour. Il continuera de présider l’association suisse des produits structurés (SVSP).Selon Vontobel, le marché asiatique des EAM et des family offices connaît actuellement une progression de 30% par an. Sur les seules places financières de Singapour et Hong Kong, on compte environ 150 EAM et Multi Family Offices (MFO), qui offrent à leurs clients finaux fortunés des services de banque d’investissement, de gestion d’actifs et de gestion de fortune et qui gèrent au total environ 100 milliards de francs suisses. Parallèlement, les Single Family Offices (SFO) gèrent également autour de 100 milliards de francs suisses. Le segment des clients très fortunés (UHNWI) progresse très rapidement, et avec lui, la demande de diversification internationale. Autrement dit, un vecteur de croissance dont Vontobel entend tirer bien tirer parti.
Les actifs sous gestion de la banque finlandaise Evli ont atteint un record à 12,3 milliards d’euros au 30 septembre 2018 d’après les résultats du groupe pour le troisième trimestre de l’année. Depuis janvier 2018, ses encours ont augmenté d'1,2 milliard d’euros. Le montant des actifs sous gestion d’Evli a grimpé de 500 millions d’euros entre le 30 juin et le 30 septembre 2018.Quelque 952,7 millions d’euros ont été récoltés sur les fonds traditionnels actions et obligataires au cours du troisième trimestre contre 485,1 millions d’euros au cours du deuxième trimestre. Ce sont au total 8,67 milliards d’euros - 2,4 milliards d’euros sur les actions, 6,15 milliards d’euros sur les obligations et 104 millions d’euros sur les fonds équilibrés - qui étaient gérés dans cette catégorie de fonds par Evli en date du 30 septembre 2018. Si les encours côté actions sont en légère baisse d’une centaine de millions d’euros en comparaison avec le deuxième trimestre 2018, les actifs sous gestion côté obligataire ont engrangé 800 millions d’euros en plus. Evli a également collecté environ 200 millions d’euros sur les fonds alternatifs au cours du troisième trimestre. Le bénéfice d’exploitation du groupe finlandais avoisinait 4,9 millions d’euros sur le troisième trimestre 2018 et s'élevait à 15,3 millions d’euros sur les neuf premiers mois de l’année.
Le groupe financier finlandais Mandatum Life va lancer un service de trading, Mandatum Trader, s’appuyant sur la technologie de Saxo Bank au cours de la première moitié de 2019. Ce service donnera aux investisseurs finnois un accès à plus de 35 000 instruments financiers dont des actions, des obligations, des ETFs et des dérivés.Petri Niemisvirta, directeur général de Mandatum Life, a déclaré que la Finlande était en retard sur les autres pays nordiques en matière d’investissement et que Mandatum Life offrait de nouvelles options pour les investisseurs finlandais.
Les activités de gestion d’actifs se portent comme un charme au sein des banques espagnoles. A l’occasion de la publication de leurs résultats trimestriels, les groupes ibériques ont en effet publié des croissances significatives de leurs actifs sous gestion. Hier, BBVA a ainsi annoncé que les encours de ses fonds communs de placements ont atteint 64,1 milliards d’euros à fin septembre 2018, en croissance de 5,2% depuis fin décembre 2017. La situation est plus délicate pour son activité de fonds de pensions, les encours reculant de 0,8% pour s’inscrire à 33,7 milliards d’euros.Quelques jours plus tôt, Bankia a fait état d’une croissance de 3,8% des actifs sous gestion de ses fonds communs de placement à 19,9 milliards d’euros à fin septembre 2018 contre 19,2 à fin décembre 2017. Ses fonds de pensions ont, pour leur part, vu leurs encours progresser de 0,7% sur les neuf premiers mois de l’année pour atteindre 8,15 milliards d’euros contre 8,1 milliards d’euros à fin décembre 2017.Bankinter n’est pas en reste. Ses actifs sous gestion – regroupant les fonds de pension, les fonds communs de placements et les sicavs et la gestion de patrimoine – totalisent 28,5 milliards d’euros à fin septembre 2018, en hausse de 6,7% par rapport à fin décembre 2017 et en croissance de 11% par rapport à fin septembre 2017. Dans le détail, au cours des neuf premiers mois de l’année 2018, les encours des fonds communs de placement ont atteint 20,7 milliards d’euros contre 20 milliards d’euros à fin septembre 2017, soit une hausse de 3,5%. Sur la même période, les fonds de pension ont vu leurs encours passer de 2,5 à 3 milliards d’euros. Enfin, les encours des sicavs ressortent à 4,9 milliards d’euros à fin septembre 2018 contre 4,2 milliards d’euros à fin décembre 2017.Enfin, Sabadell est un peu moins en réussite par rapport à ces homologues. A fin septembre 2018, les actifs sous gestion de ses fonds communs de placement s’inscrivent à 28,8 milliards d’euros au 30 septembre 2018, en hausse de 0,9% par rapport à fin juin 2018 et en progression de 7,3% par rapport à fin septembre 2017. En revanche, les encours de ses fonds de pension s’affichent à 3,8 milliards d’euros, en repli de 1,8% par rapport à fin juin 2018 et en recul de 5,8% par rapport à fin septembre 2017.
La boutique de gestion espagnole Buy & Hold a nommé Christian Parrado comme nouveau directeur des opérations, rapporte le site spécialisé Funds People. L’intéressé, qui compte plus de 10 ans d’expérience, a précédemment travaillé chez Allfunds Bank, Accelerando Associates ou encore Amundi.
Flossbach von Storch Invest, filiale luxembourgeoise de la société de gestion allemande Flossbach von Storch (36 milliards d’euros d’encours), a ouvert une succursale en Espagne, rapporte le site Expansion.com. Cette nouvelle structure se concentrera sur le développement des canaux de distribution locaux, en ciblant en particulier les distributeurs institutionnels et principalement les entités bancaires. Son objectif est d’offrir un service complet à ses clients. Cette succursale sera dirigée par Javier Ruiz Villabrille, qui a rejoint Flossbach von Storch en 2016 en qualité de directeur commercial pour l’Espagne. L’équipe commerciale est également composée de Luis Beltrami et Fernando Urculo.
The British Standard Life Aberdeen group is appointing the former chairman of HSBC as its chairman. The group on 30 October announced the appointment of Sir Douglas Flint as non-executive director and designate chairman, with effect from 1 November, 2018. “Sir Douglas Flint will succeed Sir Gerry Grimstone as chairman of the group from 1 January 2019, when Sir Gerry Grimstone will be leaving the board of directors,” the firm says in a statement. Sir Gerry Grimstone had been on the board of directors at Standard Life since 2003. Sir Douglas Flint will also become a member of the nomination and governance board, which he will chair following the departure of Sir Gerry Grimstone. To ensure a smooth transition, Sir Gerry Grimstone will continue to serve as adviser to the company for a period of six months, starting from his departure from the board of directors.After 18 years of work at KPMG, Sir Douglas Flint then spent the next part of his career at the HSBC group, where he served as chief financial officer, and then as chairman from 2010 until September 2017.Following the appointment, the board of directors at Standard Life Aberdeen will include four executive directors, ten non-executive directors, and one chairman. These will include three women and 12 men.
@page { size: 8.27in 11.69in; margin: 0.79in }p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; background: transparent }Assetsunder management by asset management firms based in Singapore lastyear increased 19% to a total of SGD2.390trn, or USD3.300trn, as ofthe end of December 2017, compared with SGD1.950trn (USD2.700trn) theprevious year, according to statistics released by the MonetaryAuthority of Singapore (MAS). This increase is far higher than theaverage annual gains of 1% in the previous five years, the MASreports.Bothtraditional and alternative assets have contributed to this growth.Conventional assets under management are up 20%, while alternativeassets are up 17%, driven by private equity and hedge funds. The MASreports that 78% of assets under management in 2017 were of foreignorigin. 67% of total assets were invested in the Asia-Pacific region,with investments in Asean countries representing 39% of the total.On1 October, the Singapore parliament has approved a draft law whichwould create a format for variable capital companies, or VCC. “TheVCC framework will facilitate domicile of investment funds inSingapore both for traditional and alternative vehicles, both foropen and closed funds,” the regulator says.
Commonwealth Bank of Australia (CBA) announced that it has entered into an agreement to sell its global asset management business, Colonial First State Global Asset Management (CFSGAM), also known outside of Australia as First State Investments, to Mitsubishi UFJ Trust and Banking Corporation (MUTB) for total cash consideration of $4.13 billion. As at 30 June 2018, CFSGAM managed $213 billion of assets. The Transaction follows CBA’s announcement in June 2018 regarding its intention to demerge its wealth management and mortgage broking businesses. Subsequent to that announcement, MUTB approached CBA in relation to CFSGAM and the CBA Board determined that it would be in the best interests of clients, employees and shareholders to explore a potential sale of CFSGAM, said the press release.CBA Chief Executive Officer Matt Comyn said: “CFSGAM is a high quality business that has achieved strong growth under CBA’s ownership for over 18 years. MUTB is one of the largest asset managers in Japan, with a long history and deep capabilities. We believe that CFSGAM’s clients and employees will benefit from MUTB’s supportive long-term ownership”.“Today’s announcement represents another important milestone in CBA’s strategy to focus on its core banking businesses and to create a simpler, better bank. The sale of CFSGAM to MUTB represents significant value for CBA shareholders and is a positive outcome for CFSGAM clients and employees,” Mr Comyn said.The total cash consideration represents a multiple of 17.5x CFSGAM’s pro forma FY18 net profit after tax of $236 million. The estimated total proceeds imply a post-tax gain on sale of approximately $1.5 billion, which includes estimated post-tax separation and transaction costs of approximately $100 million.As a result of the Transaction, CFSGAM will not be included in the previously announced demerger of CBA’s wealth management and mortgage broking businesses.
@page { size: 8.27in 11.69in; margin: 0.79in }p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; background: transparent }Theindex provider Solactive on 30 October announced the launch of a newglobal bond index, the Solactive Broad Global Developed GovernementBond TR EUR Index, which replicates the performance of sovereign debtmarkets in local currencies in developed countries. With this newrange, Solactive is extending its coverage of the sovereign debtuniverse, and offers asset managers exposure to a market worth overUSD20.5trn.Theindex offers an initial universe which can then be used to createmultiple custom solutions and special approaches for variousmaturities, weightings, and ESG biases.“Theindex can be adapted to the specific needs of our clients, accordingto their strategic needs and country focus. We are also offeringseveral regional sub-indices of the global index, which coverspecific regions, such as the Scandinavian countries and the eurozone,” says Tim Pfeiffer, head of research at Solactive, in astatement.
@page { size: 8.27in 11.69in; margin: 0.79in }p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; background: transparent }Flossbachvon Storch Invest, the Luxembourg-based affiliate of the German assetmanagement firm Flossbach von Storch (EUR36bn in assets), has openeda branch office in Spain, the website Expansion.com reports. The newstructure will concentrate on developing local distribution channels,targeting institutional distributors, and especially bankingentities. Its goal is to offer a complete service to its clients. Thebranch office will be led by Javier Ruiz Villabrille, who joinedFlossbach von Storch in 2016 as director of sales for Spain. Thesales team also includes Luis Beltrami and Fernando Urculo.
@page { size: 8.27in 11.69in; margin: 0.79in }p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; background: transparent }Assetmanagement activities are under a lucky charm at Spanish banks. Atpresentations of their quarterly results, Spanish groups haveannounced significant growth in their assets under management. BBVAyesterday announced assets in its mutual funds totalling EUR64.1bn asof the end of September 2018, up 5.2% since the end of December 2017.The situation is more delicate for its pension fund activity, whereassets are down 0.8% to EUR33.7bn.Afew days earlier, Bankia announced growth of 3.8% in assets undermanagement in its mutual funds, to EUR19.9bn as of the end ofSeptember 2018, compared with EUR19.2bn as of the end of December2017. Pension funds saw a 0.7% increase in assets in the first ninemonths of the year, to a total of EUR8.15bn, compared with EUR8.1bnas of the end of December 2017.Bankinterhas not missed out, as its assets under management, including pensionfunds, mutual funds and wealth management Sicav funds, totalledEUR28.5bn as of the end of September 2018, up 6.7% compared with theend of December 2017, and up 11% compared with the end of September2017. In the first nine months of 2018, assets in mutual fundstotalled EUR20.7bn, compared with EUR20bn as of the end of September2017, up 3.5%. In the same period, pension funds saw their assetsincrease from EUR2.5bn to EUR3bn. Assets in Sicavs totalled EUR4.9bnas of the end of September 2018, compared with EUR4.2bn as of the endof December 2017.Sabadellhas been marginally less successful than its counterparts. As of theend of September 2018, its assets under management in mutual fundstotalled EUR28.8bn, up 0.9% compared with the end of June 2018, andup 7.3% compared with the end of September 2017. However, assets inpension funds total EUR3.8bn, down 1.8% compared with the end of June2018, and down 5.8% compared with the end of September 2017.
Finnish financial group Evli has reported record assets under management of €12.3bn as of 30 September 2018. Since the start of the year, Evli’s AUM have increased by €1.2bn including a €500m rise between end June and end September 2018.Some €952.7m net new inflows have been boarded in traditional equity and fixed income funds in Q3 2018 in comparison with inflows of €485.1m in Q2 2018. A total of €8.67bn of assets were managed by Evli in traditional equity, fixed income and balanced funds as of 30 September 2018. Equity assets have slightly dropped over the quarter to €2.4bn (-€100m) while fixed income assets stood at €6.1bn (+€800m quarter-over-quarter). In addition, Evli has recorded €200m in net new cash on alternative strategies during the third quarter of the year. Its operating profit amounted to €4.9m as of end September 2018 and €15.3m over the first nine months of 2018.
Belgian financial market authority FSMA together with theNational Bank of Belgium (NBB) have updated a study on asset management and non-bank financial intermediation businesses in Belgium which formed a €147bn market as at the end of 2017 according to the report.Last year, a local financial expert group that drew recommendations on the future of the Belgian financial sector, the High Level Expert Group, recommended improving the monitoring of risks associated to these activities and their interconnections with other sectors. FSMA stated that currently no substantial systemic risks have been identified in relation to asset management and non-bank financial intermediation but that the developments in both areas and the links with other economic sectors do, however, require careful monitoring, including for potential reputational risks to financial service groups."The latter include the so-called ‘step-in’ risk, namely, the risk that these groups may de facto feel obliged to compensate clients for the risks associated, for example, with the investment funds sold by these groups, even where they are not contractually bound to do so. The FSMA and the NBB consider it very important to collect hitherto unavailable data on asset management and non-bank financial intermediation. It is for this reason that the FSMA has adjusted and expanded the statistical information which investment funds are required to submit,» the regulator explained.A royal decree providing investment funds with tools to face any liquidity issue will be published soon.Commenting on the study, the Belgian minister of Finance, Johan Van Overtveldt, said : «The report illustrates the important progress observed in the development of capital markets in Belgium and Europe, which should better shield taxpayers’ money from financial calamities, while at the same time providing more direct funding to the Belgian economy. It also helps to satisfy my concerns over the lack of transparency and supervision of these non-bank funding channels. Regarding the evolution in “shadow banking” we must remain vigilant. There is still a lot of work to be done."NBB’s governor Jan Smets said the risks associated with asset management and non-bank financial intermediation are a priority for the NBB from the perspective of financial stability, adding that international developments also have to be closely monitored.
At BlackRock, directors are never far from the political arena. Take the case of Larry Fink in the United States, who has the ear of many American politicians. In Germany, there is Friedrich Merz, the chairman of the supervisory board at BlackRock Germany, who on 30 October threw his hat into the ring to succeed Angela Merkel as head of the Christian Democratic Union party (CDU). The daily newspaper Bild had suggested the possibility the night before, in the wake of the Chancellor’s decision to step down from the leadership of the conservative party. The former leader of the CDU parliamentary group confirmed the reports on Tuesday.“After a profound examination and numerous conversations, I have decided to present myself as a candidate to lead the Christian Democratic Union at its federal party conference in Hamburg,” the head has announced. “We need a new start and renewal in the CDU, with experienced and younger leaders. I am ready to assume responsibility,” says Merz.Merz, 62, has already been involved in politics for some time. He served as a member of the Bundestag from 1994 to 2009, and was chairman of the CDU parliamentary group from 2000 to 2002. After a loss for the CDU in the 2002 Bundestag elections, he was obliged to hand leadership of the party to Merkel, but retained the vice-chairman seat in the parliamentary group, which he later gave up in 2004. In 2009, he decided to step back from politics to become president of a network of political personalities and political leaders entitled “Atlantik-Brücke,” which is active in seeking to strengthen ties between the United States and Germany. He has been chairman of the supervisory board at BlackRock in Germany since 2016.Merz, a member of the conservative wing of the CDU, is considered something of an outsider, whose political career has been eclipsed by the meteoric ascent of Merkel. He has advocated the German concept of “Leitkultur,” or ‘guiding culture,’ which demands that migrants assimilate and adopt German values and traditions.
La FCA et le Trésor vont consulter sur la vente de produits dérivés, les ICO, le traitement fiscal des cryptoactifs et l’application des règles antiblanchiment.
Un Français mis en état d’arrestation par des policiers britanniques au motif d’avoir « perturbé l’activité de la City ». Non, cela n’a rien à voir le hard Brexit ou la délocalisation des chambres de compensation. Alain Robert, 56 ans, décrit comme le « french Spider-Man », a escaladé, le 25 octobre en varappe, les 230 mètres de la Heron Tower, une des plus hautes tours de Londres. Il n’en est pas à son coup d’essai puisqu’il a escaladé plus de 150 gratte-ciel de par le monde… la plupart du temps sans autorisation. Comme quoi, passer au-dessus de la City n’est pas un obstacle insurmontable.
La dernière étude Cushman & Wakefield annuelle fait état d’une hausse de 18 % des flux d’investissement en immobilier à fin juin sur an glissant. Ils ont atteint un volume record de 1.800 milliards de dollars, contre 1.500 milliards mi-2017. A l’origine de cette hausse, l’Asie. Les investissements dans la région représentent 52 % du volume mondial et les acquéreurs asiatiques pèsent 45 % des investissements mondiaux. Dans le palmarès des villes les plus « actives » pour l’investissement, malgré le Brexit, Londres conserve sa position de premier marché européen, notamment grâce à plusieurs transactions de bureaux.
L’Europe a l’habitude des marathons, beaucoup moins des sprints. A considérer les dossiers que l’Union doit tenter de résoudre, c’est pourtant une course de vitesse qui est engagée et doit, sur plusieurs aspects clés de sa politique financière, être gagnée avant la fin de l’année. Le rendez-vous est fixé au Sommet européen de mi-décembre. Après quoi, en 2019, les élections européennes et le changement de personnel qui en résulteront à tous les étages de la maison Europe seront trop proches pour que la Commission, dont le mandat expire en octobre prochain, ait encore le temps d’agir. Sans même parler du Brexit, énorme point d’interrogation posé sur le continent tout entier et dont les conséquences la concerneront aussi, la finance attend essentiellement de savoir dans quel état d’avancement deux projets-phares de la présente Commission sortiront de 2018 : l’Union des marchés de capitaux (CMU) et l’Union bancaire.