State Street Global Advisors vient de lancer à la Bourse de Milan cinq ETF actions SPDR, rapporte Funds People Italia. Il s’agit d’un ETF sur les actions monde et de quatre ETF sectoriels offrant une exposition à l’énergie, aux financières, aux valeurs technologiques et à la santé à l’échelle internationale. «2019 a été une année record pour la collecte des ETF SPDR, en particulier sur le marché italien. La cotation de ces produits confirme notre intention de renforcer une présence déjà importante à l’échelle locale (…)», a affirmé Francesco Lomartire, responsable de SPDR pour l’Italie. Les cinq ETF cotés sur Borsa Italiana sont les suivants: - SPDR MSCI ACWI UCITS ETF - SPDR MSCI World Energy UCITS ETF - SPDR MSCI World Financials UCITS ETF - SPDR MSCI World Health Care UCITS ETF - SPDR MSCI World Technology UCITS ETF
Zencap Asset Management a obtenu le label «Transition énergétiqueet écologique pour le Climat» (TEEC) pour le fonds Zencap Energy Transition Debt III.Ce label a été obtenu à l’issue d’un audit mené par Novethic et s’inscrit dans la démarchede financements de projets européens d’infrastructure lancée en 2014 par ZencapAM. Créé dans la dynamique de la COP21 en décembre 2015, le label Transition énergétiqueet écologique vise à accroître les investissements au bénéfice de la croissance verte, enmettant en lumière les fonds d’investissement «verts». Zencap Energy Transition Debt III a réalisé son premier closing en décembre 2018. La levéede fonds se poursuit en 2019, auprès d’investisseurs institutionnels.
The Carlyle group, an alternative asset management firm, on Thursday31 January announced the first and final closing of its Carlyle Europe Technology Partners IV fund, with EUR1.35bn. The fund will invest in small and mid-sized tech companies in Europe and the United States. Fundraising began in October 2018, and has attracted sustained interest from subscribers, allowing the Carlyle group to virtually double its size compared with the previous edition in the fund series, and to reach its hard cap quickly. Investors worldwide have participated, including sovereign funds, public and private pension funds, insurance companies, funds of funds, foundations, family offices, and high net worth individuals. The transatlantic team at the fund, including 19 people, will pursue a strategy of investment in BtoB SMEs in Europe and the United States in the technology, media and telecommunications (TMT) sector. Since its creation, Carlyle has invested USD16.2bn through 193 investments in the sector by its venture capital activity, which represents a total of USD82bn in assets under management, with 294 professionals.
Bellevue Group annonce que ses encours sous gestion sont descendus juste en dessous de la barre des 11 milliards de francs suisses, compte tenu des conditions de marché. A la fin du premier semestre, ils avaient atteint un niveau record de 12,7 milliards de francs. Son bénéfice net devrait s’élever à près de 20 millions de francs suisses pour l’année 2018, selon des résultats provisoires. Des conditions de marché difficiles au second semestre 2018 ont diminué la performance opérationnelle du groupe, se traduisant par un bénéfice d’exploitation annuel estimé à environ 24,6 millions de francs suisses. Il était de 13,5 millions au 30 juin. Les résultats définitifs seront publiés le 26 février. Bellevue annonce par ailleurs que Veit de Maddalena, actuel administrateur, sera proposé en tant que nouveau président du conseil d’administration lors de l’assemblée générale de mars 2019. Il est le successeur désigné de Thomas von Planta, qui a décidé de ne pas se représenter. Mirjam Staub-Bisang ne se représente pas également. Katrin Wehr-Seiter et Urs Schenker seront proposés comme nouveaux membres du conseil d’administration. Katrin Wehr-Seiter est associée et managing director de BIP Capital Partners et BIP Investment Partners, tandis que Urs Schenker est avocat auprès de Walder Wyss à Zurich.
Subscriptions, redemptions and conversions of shares in the sub-fund ABN AMRO Multi-Manager Funds AQS Europe Long Short have been suspended, NewsManagers has learnt. The board of directors was of the opinion that in light of the current low level of assets under management in the sub-fund, it “cannot be managed efficiently.” The decision takes effect immediately from 25 January 2019. This decision would remain in effect pending a formal decision to liquidate the sub-fund, in the absence of any contrary decision by the board of directors meanwhile.
La souscription, le rachat et la conversion des actions du compartiment «ABN AMRO Multi-Manager Funds AQS Europe Long Short» sont suspendus, a appris NewsManagers. Le conseil d’administration a estimé, compte tenu du faible niveau actuel des actifs sous gestion du compartiment, que ce dernier «ne peut plus être géré efficacement». La décision a eu effet immédiat à compter du 25 janvier 2019. Une telle décision devrait rester en vigueur jusqu’à la décision formelle de liquider le compartiment, sauf décision contraire du conseil d’administration dans l’intervalle.
Les investisseurs immobiliers IvanhoéCambridge, filiale immobilière de la Caisse de dépôt et placement du Québec et Oxford, le bras immobilier d’OMERS, ont annoncé ce 30 janvierqu’ils ont conclu un partenariat à parts égales pour investir dans la société de logistique américaine IDI Logistics et la totalité de ses actifs, qui ont été acquis précédemment d’un fonds immobilier commandité par Brookfield, pour un montant qui n’a pas été divulgué. L’acquisition initiale par IvanhoéCambridge auprès de Brookfielda été effectuée le 30novembre2018. «Cette transaction illustre parfaitement notre stratégie qui consiste à miser sur la croissance de la demande pour des installations logistiques dans le monde, notamment par une augmentation notable de nos investissements dans ce secteur sur quatre continents. En un peu plus de deux ans, nos investissements engagés dans le secteur industriel et logistique sont passés de plus de 2 milliards de dollars canadiensà plus de 9 milliards de dollars canadiens», a commenté Mario D. Morroni, vice-président exécutif, Industriel, Amérique du Nord d’Ivanhoé Cambridge. «Cette acquisition en logistiques, la première d’Oxford aux États-Unis, s’ajoute aux actifs industriels que nous possédons au Canada et est conforme à notre stratégie d’investissement qui consiste à créer et à développer un portefeuille composé de ce qu’il y a de mieux en fait d’actifs logistiques à l’échelle du globe, a commenté KevinEgan, chef des investissements à NewYork et aux États-Unis, groupe immobilier Oxford. Elle met également en évidence l’évolution et l’essor de notre division américaine, qui s’occupe activement de faire des investissements et de la gestion dans les secteurs des bureaux, du commerce de détail, des résidences multifamiliales, de la logistique et du crédit, et qui possède environ 15,1 milliards de dollars USd’actifs sous gestion.» IDILogistics, qui est basée à Atlanta, est un des plus importants développeurs et gestionnaires d’immobilier logistique aux États-Unis, et une plateforme logistique entièrement intégrée.En 30ans d’existence, IDILogistics a développé plus de 100parcs industrielset 750entrepôts. Goldman, Sachs & Co. LLC et Cushman & Wakefield ont agi respectivement en qualité de conseiller financier et conseiller immobilier d’IvanhoéCambridge. Oxford a été conseillé par Morgan Stanley pour ce qui est des aspects financiers et a bénéficié des services-conseils immobiliers de CBRE National Partners.
L’activité ETF de SSGA, SPDR, a recruté trois spécialistes du développement produits pour la région Europe, Moyen-Orient et Afrique (EMEA), rapporte InvestmentEurope. Luca Zanoni et Antoine Boulet viennent d’Invesco ETF, tandis que Simon Hutcheson arrive en provenance de Citigroup. Luca Zanoni travaillait précédemment pour le pôle stratégie produits et ventes chez Invesco ETF, et s’occupait plus précisément des produits obligataires en Europe, Moyen-Orient et Afrique. Il était précédemment analyste produits chez Mediolanum International Funds en Irlande. Antoine Boulet travaillait aussi pour le pôle stratégie produits et ventes, en charge des ETP dans la zone EMEA. Avant cela, il travaillait pour Société Générale CIB et Lyxor ETF. Simon Hutcheson, de son côté, était «vice president, structurer, global markets» chez Citigroup.
Le pilotage automatique est-il réservé uniquement aux banquiers centraux, aux quantitative tightening et aux politiques monétaires ? A la sphère financière en quelque sorte. Car dans l’économie réelle, les véhicules dits autonomes, c’est-à-dire connectés et sans chauffeur, ne font pas rêver les foules. Un sondage de l’American Automobile Association (AAA) montre que les trois quarts des Américains ne croient absolument pas à l’avènement des véhicules autonomes. Perplexité face à une innovation ou scepticisme technologique plus profond… le consommateur serait-il déconnecté ?
La différence entre la démographie et l’économie, c’est que l’on peut se fier aux prévisions à long terme de la première. L’Allemagne compte 83 millions d’habitants aujourd’hui, +200.000 par rapport à 2017, grâce à un solde migratoire net de 380.000 personnes. La tendance de fond ne change pas avec un excédent des décès par rapport aux naissances de 180.000. En se projetant en 2030, la population allemande sera de 79 millions avec 28 % de plus de 65 ans... Plus de 22 millions de tempes grisonnantes.
Petite vitesse. Depuis le milieu de l’année 2018, l’indice Baltic Dry qui mesure le coût des transports maritimes en saisissant les tarifs des vraquiers (le transport de matières premières) a chuté de moitié. Le BDI est considéré comme un bon indicateur avancé de la croissance de l’économie mondiale. Avec cette baisse, le BDI signale un fort ralentissement de l’activité économique. Le conflit des tarifs commerciaux entre les Etats-Unis et la Chine, de même que la baisse de régime de l’économie chinoise, expliquent la brutalité de la baisse. « Le marché du transport maritime en vrac nous lance un vrai signal de détresse », estime Jeffrey Landsberg, analyste chez Commodore Research, cité par Reuters. Un autre indice, le Harpex Shipping, qui mesure les prix des transports de conteneurs, a diminué de 30 % depuis juin 2018, confirmant l’essoufflement des échanges commerciaux de par le monde comme la faiblesse des indicateurs de la production manufacturière en Asie, en Europe et en Amérique du Nord.
Idinvest est un changement important dans la stratégie d’Eurazeo. Cela nous apporte une part significative de gestion pour compte de tiers. Eurazeo, à l’origine, est un family office ou une société d’investissement. Nous développons cette activité de gestion pour compte de tiers de façon transversale à travers toutes nos stratégies d’investissements. Nous mettons en œuvre huit stratégies d’investissement, trois qui nous sont apportées par Idinvest, le venture, le fonds de fonds et l’investissement dans la dette privée. Historiquement le métier premier d’Eurazeo était d’investir dans l’equity. Eurazeo a un bilan, nos fonds propres sont investis aujourd’hui dans des sociétés d’investissement, mais peuvent aussi l’être dans des partenariats stratégiques ou dans des rachats de sociétés de gestion, comme avec Idinvest, en 2011 avec le rachat d’OFI Private Equity, aujourd’hui Eurazeo PME. Ainsi, nous avons cette capacité à arrimer au vaisseau amiral différentes sociétés de gestion. Il faut donc utiliser ce bilan pour continuer à se développer. C’est un accélérateur. Nos deux moteurs de croissance sont la capacité d’investissement à travers le bilan et la gestion pour compte de tiers.
Il s’agit du nombre d’opérations d’actionnariat salarié collectives menées en 2018, selon le baromètre réalisé par Eres. Pour comparaison, la moyenne de ces dix dernières années s’élève à trente opérations. Cette même étude précise par ailleurs que ces opérations concernent 31 entreprises du SBF 120, soit 26 % de l’indice. Un chiffre qui devrait grandir encore. La Loi Pacte qui sera votée ces prochains mois va améliorer le mécanisme.La première mesure, effective dès ce premier janvier,réduit le forfait social de 20 % à 10 % pour l’abondement des employeurs dans un dispositif d’actionnariat salarié dans les entreprises d’au moins 50 salariés.
Gorges chaudes sur les réseaux sociaux qui s’en sont donnés à cœur joie après une remise des prix pour la promotion de l’égalité entre les sexes par le cheikh Mohammed ben Rachid al Maktoum (photo), émir de Dubaï et premier ministre des Emirats arabes unis. Comme le veut l’usage, les récipiendaires ont posé pour une série de photos et là : cherchez la femme… Que des hommes. Après tout, sur un tel sujet, partir d’aussi loin est l’assurance de ne pouvoir que progresser.
Places financières. Nomura Alternative IM France a reçu le 10 janvier l’agrément de l’Autorité des marchés financiers (AMF) pour la gestion d’OPCVM, de mandats et de FIA. En deux ans, une petite dizaine de sociétés de gestion a choisi de faire de Paris une base européenne post-Brexit : Eleva Capital (OPCVM, mandats), Smart Lenders AM (FIA, mandats), Schroders (FIA), Polar Capital (OPCVM, FIA), BlackRock (FIA), tandis que Stanhope Capital et Park Square y ont ouvert un bureau. H2O, Chenavari IM et Wells Fargo AM ont aussi fait des annonces dans ce sens. En parallèle, 23 sociétés de gestion ont obtenu ou étendu leurs agréments au Luxembourg, notamment Blackstone, Columbia Threadneedle, Fidelity, M&G, T. Rowe Price et aussi Wells Fargo AM. Plusieurs autres ont préféré Dublin : ASI, Ashmore, Baillie Gifford, First State, Hermès IM, Legg Mason, Merian GI, Vanguard, Winton Capital…
Consolidation. Le fonds de private equity Bridgepoint, actionnaire à hauteur de 56,23 % de Primonial, aux cotés de Crédit Mutuel Arkea (29,85 %), aurait mandaté les banques Rothschild et JPMorgan dans l’objectif de vendre le groupe Primonial. L’information donnée par nos confrères des Echos avance une valorisation autour de 2 milliards d’euros. Pour s’assurer les ressources nécessaires à ses opérations de croissance externe, Primonial avait restructuré son capital en mars 2017 avec l’entrée du fonds de private equity. L’an passé, l’acteur qui était essentiellement connu pour sa plate-forme de distribution d’offres patrimoniales, remaniait son pôle de gestion d’actifs. Délaissant le modèle multiboutiques construit autour de marques telles qu’AltaRocca, Stamina AM... pour un modèle intégré le groupe cédait son nouveau périmètre de gestion à La Financière de l’Echiquier, avant d’en prendre 40 % du capital. Au 31 décembre 2018, Primonial comptabilisait 36,8 milliards d’euros d’encours gérés ou conseillés.
Avenir. C’est devant un parterre comble que Bruno Le Maire (photo), ministre de l’Economie et des Finances, a détaillé les priorités de son ministère pour l’année 2019. « Le capitalisme crée des tensions partout dans le monde. Il doit être dépassé et refondu. La croissance doit irriguer tous les territoires ; elle doit être durable, sinon ce ne sont pas seulement les économies qui seront touchées, mais les démocraties », a-t-il déclaré. Le secteur financier est appelé à jouer un rôle central dans cette transformation. « La finance sera verte ou ne sera pas », a martelé Bruno Le Maire. Au cours des trois prochaines semaines, des objectifs chiffrés, des outils de comparaison internationaux et un calendrier devraient être rendus publics. Les tensions sociales des derniers mois ont largement été évoquées. Le ministre a rappelé les mesures « exceptionnelles » en faveur du pouvoir d’achat annoncées par le président de la République en décembre dernier. « La France a un problème de travail, car celui-ci ne paie pas assez. Malgré l’augmentation des salaires, les conditions de vie des Français se sont dégradées », a-t-il constaté.
Le centre national de la recherche scientifique (CNRS) veut sélectionner une société de gestion pour le montage et la gestion opérationnelle d’un fonds en capital d’amorçage qui financera des start-up issues ou en lien, mais pas exclusivement, avec les technologies développées au sein des laboratoires de l'établissement public, dès le stade d’ultra-amorçage. La procédure est un appel à manifestation d’intérêt. L’objectif cible du fonds d’amorçage est de 100 millions d’euros et la durée de 12 ans minimum, renouvelable pour deux périodes d’un an chacune maximum. Date limite de réception des offres ou des demandes de participation : 25 février 2019 - 12:00 Lire l’avis ici
«The place to be!» Le rendez-vous annuel de Mannheim, qui réunit pendant deux jours, les 30 et 31 janvier, les professionnels de l’investissement engagés sur le marché allemand est un événement incontournable. Tous les participants à ce grand rassemblement, -déjà le dix-huitième-, vous le diront. Les nouveaux comme les anciens. Du côté des sociétés de gestion françaises, tous les calibres sont présents chez les habitués qui viennent depuis plusieurs années, entre autres Amundi, Candriam, Natixis, Lyxor, BNP Paribas, Oddo BHF, OFI, Carmignac, La Financière de l’Echiquier, Rouvier associés, Mandarine, ou encore Sycomore. Et cette année, une nouvelle société de gestion a décidé de rejoindre la cohorte des acteurs français présents à Mannheim, à savoir La Française. Il faut dire aussi que la société de gestion a de très bonnes raisons d’être désormais présente au rendez-vous annuel des professionnels de la gestion. Après avoir lancé une activité immobilière sur le marché allemand, La Française a en effet annoncé en septembredernier avoir racheté l’allemand Veritas. Plus précisément, Veritas Investment GmbH, spécialisée sur les particuliers et basée à Francfort, d’une part; Veritas Institutional GmbH, dédiée aux institutionnels et basée à Hambourg, d’autre part. Au total, un peu plus de 7 milliards d’euros, si bien qu’avec l’immobilier, le total des encours gérés sur le marché allemand s’élève à environ 8 milliards d’euros. L’autorité allemande des marchés, la BaFin, a donné son feu vert à l’acquisition en décembre et La Française travaille désormais surun changement de dénomination qui pourrait faire l’objet d’une communicationdans les prochaines semaines. C’est dire encore une fois l’importance du marché allemand pour l’acteur français. Et tous les acteurs qui marquent le rendez-vous de Mannheim se disent satisfaits de leur arrivée sur le marché allemand. On sait que certains acteurs, peu nombreux, se sont brûlé les ailes sur ce marché mais pour ceux qui ont tenté le coup, le jeu en valait manifestement la chandelle. A l’instar d’Oddo BHF qui, à coup d’acquisitions, fait désormais figure de groupe franco-allemand dont quelque 40% des actifs sont d’origine allemande. La société de gestion indépendante Rouvier, dont les actifs sous gestion s’élèvent à environ 1,4 milliard d’euros, se félicite également d’avoir ouvert une succursale à Bonn en 2012. Les investisseurs allemands apprécient les stratégies peu nombreuses mais solides de Rouvier, notamment Rouvier Patrimoine, dont les encours s’inscrivent à un peu plus de 440 millions d’euros et qui affiche depuis son lancement en 1991 un rendement annualisé de près de 5%. Même constat pour Rouvier Valeurs, lancé également en 1991, et qui, avec des actifs sous gestion d’un peu plus de 500 millions d’euros, a dégagé un rendement annualisé de 7,7%. Il y a aussi le cas d’OFI AM, qui pousse les feux de l’investissement durable avec son partenaire stratégique allemand, à savoir la banque publique régionale Olbenburgische Landesbank. D’autres acteurs, comme Mandarine, ont suivi un chemin atypique. La société de gestion, créée en 2008, s’est payée le luxe d’accueillir ses premiers clients allemands moins d’un an après son lancement, très précisément neuf mois. Et manifestement, cette précocité a permis à Mandarine de consolider sa présence sur le marché allemand…