Philippe Couvrecelle, président et fondateur d'iM Global Partner, a fait le point avec NewsManagers sur les ambitions de la firme et son développement.
Amundi is launching the Amundi Index MSCI Emerging Markets SRI – UCITS ETF DR, an ETF which provides exposure to equities from emerging markets, as an addition to its ETF product range dedicated to socially responsible investment. The fund is being offered with ongoing fees of 0.25%, “the lowest fees for the MSCI Emerging Markets SRI index,” Amundi says in a statement. The SRI range from Amundi ETF already includes three equity ETFs, replicating the MSCI World SRI, MSCI USA SRI and MSCI Europe SRI indices, and two SRI bond exposures, replicating the Bloomberg Barclays European and American corporate bond indices, and implementing the MSCI SRI methodology.
Amundi lance Amundi Index MSCI Emerging Markets SRI – UCITS ETF DR, un ETF permettant de s’exposer aux actions des marchés émergents, et complète ainsi sa gamme d’ETF dédiés à l’investissement responsable. Il est proposé à des frais courants de 0,25 %, soit le «prix le plus bas sur l’indice MSCI Emerging Markets SRI», souligne Amundi dans un communiqué. La gamme ISR d’Amundi ETF compte déjà trois ETF actions répliquant les indices MSCI World SRI, MSCI USA SRI et MSCI Europe SRI, et deux expositions obligataires SRI, répliquant des indices Bloomberg Barclays d’obligations d’entreprises européennes et américaines et mettant en œuvre la méthodologie SRI de MSCI.
Les actifs sous gestion de DWS, la filiale de gestion d’actifs du groupe bancaire Deutsche Bank, ont reculé de 5% au quatrième trimestre pour s'établir à 664 milliards d’euros «dans un environnement de marché difficile», a indiqué le groupe ce matin à l’occasion de la publication de ses résultats. Les entrées nettes dans les fonds gérés passivement ont compensé en partie les sorties des fonds gérés activement, indique le communiqué. Le groupe précise par ailleurs que le trimestre s’est terminé sur des sorties nettes de 7 milliards d’euros dans les activités d’Asset Management, pour l’essentiel logées dans DWS. Le groupe indique par ailleurs que dans ses activités de gestion de fortune, les revenus ont reculé de 4% au quatrième trimestre à 433 millions d’euros. Les bons résultats enregistrés dans la région Asie-Pacifique (APAC) n’ont pas permis de compenser la baisse beaucoup plus marquée des revenus dans la région EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique). Au quatrième trimestre, le groupe affiche une perte après impôts de 409 millions d’euros pour des revenus en recul de 2% à 5,6 milliards d’euros. Sur l’ensemble de l’année, le groupe enregistre toutefois un bénéfice net de 341 millions d’euros après une perte nette de 735 millions d’euros en 2017. La Deutsche Bank enregistre ainsi pour la première fois depuis 2014 un résultat annuel positif.
L’Association française de la gestion financière (AFG) a réagi vendredi au rapport de l’Esma sur les coûts et la performance des fonds d’investissement, publié début janvier. Dans ce rapport, l’Autorité européenne des marchés financiers relevait qu’entre 2015 et 2017, les différents frais liés à un investissement dans un fonds Ucits pour les particuliers ont réduit en moyenne d’un quart leur performance brute.
H2O Asset Management, la filiale «global macro» de Natixis IM, annonce ce vendredi l’ouverture de ses bureaux parisiens, comme l’avait révélé Newsmanagers (groupe Agefi) le 28 janvier. La société britannique, qui s’approche des 30 milliards d’euros d’actifs sous gestion, étoffe à cette occasion ces équipes en recrutant trois chargés de relations investisseurs, sous la direction de Mehdi Rachedi, et d’un nouveau membre du comité exécutif, Jean-Christophe Morandeau, en charge des fonctions juridique et conformité. Il co-dirigera, avec Loïc Guilloux, le département H2O AM Europe.
Amundi, premier gestionnaire d’actifs européen annonce vendredi l’acquisition du gérant de fonds Mirae Asset Global Investments (MAGI), basé à Taiwan. A l’occasion de cette opération, Mirae Asset Global Investments change de dénomination et devient Amundi Taiwan Limited. «L’acquisition démontre à nouveau l’importance de Taiwan dans la stratégie d’Amundi en Asie», a déclaré Vincent Mortier, directeur des investissements adjoint et ancien superviseur d’Amundi pour l’Asie au Japon, cité dans un communiqué.
The offices of US asset management company T. Rowe Price, located in Spain, Denmark, Sweden, Germany, Italy and the Netherlands, will all be operating under a Luxembourg license as from now on, according to InvestmentEurope. The move aims at responding any no-deal Brexit challenge. The concerned units were hitherto controlled by T. Rowe Price’s British base. The UK-based branch of T. Rowe Price, TRPIL, will also transfer control to its Luxembourgish counterpart, TRPSARL, effective 1 March 2019. Other asset managers such as Capital Group and Schroders have made similar moves in recent weeks.
Le magazine InvestmentEurope rapporte que le bureau espagnol du gestionnaire d’actifs américain T. Rowe Price va opérer sous une licence luxembourgeoise pour faire face à un éventuelBrexit sans accord. L’antenne espagnole, établie en 2015, opérait auparavant sous une licence britannique. Le changement affecte également les bureaux danois, allemand, italien, néerlandais et suédois de T. Rowe Price qui va également transférer le contrôle de l’entité britannique TRPIL à son entité luxembourgeoise TRPSARL à partir du 1er mars. D’autres gérants tels que Capital Group ou Schroders ont également réalisé un mouvement similaire récemment.
La banque privée allemande Hauck & Aufhäuser Privatbankiers a annoncé ce 31 janvier la nomination de Holger Sepp en tant que membre du directoire. Holger Sepp, qui travaillait précédemment chez Caceis Bank, va ainsi compléter le directoire de la banque privée, dont un siège était vacant depuis le départ, fin 2017, de Stephan Rupprecht qui avait, de sapropre initiative, quitté ses fonctions. Holger Sepp, 53 ans, travaillait depuis 2010 chez Caceis Bank, une entité du groupe Crédit Agricole,où il était notamment responsable des activités d’Asset Servicing en Allemagne. Il était également responsable de tous les clients allemands et autrichiens pour l’ensemble du groupe au niveau mondial. Avant de rejoindre Caceis Bank, il avait occupé différentes fonctions chez Sal. Oppenheim entre 2006 et 2010.
A l’occasion d’une conférence de presse faisant le point sur les contrats d’assurance vie de Suravenir, Bernard Le Bras, président du directoire de la compagnie d’assurance, a déclaré que de nombreux assureurs avaient «réouvert depuis fin 2018 la souscription des contrats d’assurance vie à 100% en fonds euro». Cette pratique avait quasiment disparu l’an dernier, les assureurs vie orientant leurs clients vers les unités de compte, plus rémunératrices et qui ont l’avantage de moins peser sur leurs engagements. «Les clients voient en temps réel la performance des fonds, comme par exemple celle de Carmignac Patrimoine (- 11,29 % en 2018, ndlr) et ils se réfugient dans les fonds euros», a-t-il expliqué. Il a précisé que le «100% fonds euro» était plus facile surtout pour les gros patrimoines, au-delà de 500.000 euros, les assureurs gardant pour politique générale de proposer de plus en plus d’UC. «Mais finalement, aller à 100% dans le fonds euro est devenu depuis 4 semaines à contre courant puisque les marchés remontent. (...) Mais les particuliers sont toujours en décalage par rapport aux marchés. S’ils veulent du 100% fonds euros c’est parce qu’ils manquent de visibilité et c’est ça que les assureurs acceptent», a-t-il conclu.
Jorge Rossell vient d'être nommé responsable de la banque privée internationale de Santander et directeur général de Banco Santander International, rapporte Funds Society. Il succède à Alvaro Morales et prendra ses fonctions au 1er février. Jorge Rossell sera rattaché à Victor Matarranz, responsable de Santander Wealth Management, et à Scott Powell, directeur général de Santander aux Etats-Unis. Il a passé 11 années au sein de TotalBank à Miami, société au sein de laquelle il a occupé les fonctions de président et directeur général. Jorge Rossell a également été directeur adjoint de Banco Popular et responsable de l’entité dans les Amériques.
La Banque cantonale bernoise (BCBE) a enregistré l’an dernier des entrées nettesde 1,2 milliard de francs, totalement effacées toutefois par la mauvaise tenue des marchés financiers. Les actifssous gestion se sont contractésde plus de 5% à 17,5 milliards de francs. La BCBE a dégagé un résultat opérationnel en recul de 5,7% à 137,5 millions de francs. Le bénéfice net a néanmoins progresséde 2,4% à 140,8 millions de francs. La différence entre ces deux chiffres s’explique notamment par une hausse des recettes extraordinaires ainsi qu’une réduction de la charge d’impôts et des réserves pour risques bancaires généraux. «La nouvelle augmentation des bénéfices est un signal clair pour moi que notre modèle d’affaires a fait ses preuves, car il est axé sur la sécurité et la longévité», a déclaré Hanspeter Rüfenacht, directeur général démissionnaire.
CPR AM s’est associée au CDP pour le lancement de son nouveau fonds thématique actions internationales, Climate Action, annonce la société de gestion d’actifs dans un communiqué. Ce fonds sera un compartiment de la Sicav luxembourgeoise CPR Invest, dédié à la lutte contre le réchauffement climatique. Il est géré par Alexandre Blein et Arnaud du Plessis. En intégrant les données environnementales du CDP, CPR AM pourra évaluer la capacité d’une entreprise à générer de la valeur économique compatible avec les objectifs de l’accord de Paris. L’univers de départ est constitué par l’indice MSCI World All Countries, environ 2.800 valeurs.
Les assureurs suisses envient le mouvement français de standardisation des pratiques en matière d’investissement durable. C’est en tout cas ce qu’a laissé transparaître Patrick Raaflaub, membre du comité directeur de l’Association suisse d’assurances (ASA), lors de la conférence de presse annuelle de l’assurance où il a exprimé que «des normes, des définitions et des directives communes seraient fort utiles», rapporte le quotidien suisse Le Temps. Le responsable regrette en effet la grande diversité des définitions et critères environnementaux, sociaux et de gouvernance. Jusqu’ici les organismes et associations s’appuient sur leurs propres modèles. «L’application de telles stratégies s’en trouve compliquée et mobilise plus de ressources», dénonce Patrick Raaflaub. Ce dernier estime que «les dispositions réglementaires créeront une certaine dynamique», et prend pour exemple les pouvoirs publics, en France notamment, la Commission européenne, ou le Luxembourg qui élaborent «des définitions, des méthodes et des normes sur des thèmes comme le changement climatique et les critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG)». Concrètement, l’ASA - comme le département fédéral des finances d’ailleurs - apprécierait la mise en place d’une convention privée, plutôt qu’une loi. «Nous avons besoin d’un cadre de référence qui simplifie l’intégration des démarches d’investissement durable», a ainsi fait valoir Patrick Raaflaub. Des considérations qui visent en fait une «optimisation du rendement ajusté du risque. Notre engagement ne doit pas se cantonner aux placements, il peut aussi être étendu aux affaires de souscription», avance-t-il. D’après le groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), il faudrait des investissements annuels dans l’énergie de 2400 milliards de dollars entre aujourd’hui et 2035 pour limiter le réchauffement à 1,5 degré Celsius. Cela correspondrait à 3% des actifs des investisseurs. Actuellement, 23 000 milliards de dollars sont administrés dans le monde selon des critères durables, dont 12 000 milliards en Europe, expose Le Temps.
L’association CCFD-Terre Solidaire fait un pas de plus dans la finance solidaire avec le lancement du fonds commun de placement CCFD-Terre Solidaire Faim & Climat. Disponible dans toutes les banques et pour toutes les personnes physiques et morales, le produit permet aussi de reverser 50 % des revenus annuels du placement sous forme de don pour soutenir les missions du CCFD-Terre Solidaire. Les investissements du FCP regroupent des activités considérées comme «écoresponsables» : énergies renouvelables, transport et agriculture propres… D’autres secteurs sont exclus, à savoir l’extraction et l’exploitation des combustibles fossiles, la filière nucléaire, et l’incinération des déchets. Selon Patrick Saurat, trésorier du CCFD-Terre Solidaire, «ce nouveau fonds de partage permettra à des investisseurs avisés et responsables de donner un sens très concret à leurs placements en favorisant les entreprises impliquées dans la transition écologique, explique Patrick Saurat, trésorier du CCFD Terre-Solidaire. Il permettra aussi d’aider nos organisations partenaires du Sud, déjà largement affectés par les effets négatifs du réchauffement climatique, dans leur effort d’adaptation.» Le fonds est actuellement en cours de labellisation par Finansol et par le label Transition Energétique et Ecologique pour le Climat (TEEC). Le label Finansol - créé par l’association éponyme qu’a d’ailleurs cofondé CCFD Terre Solidaire - garantit aux épargnants qu’ils contribuent au financement d’activités d’utilité sociale. Le label TEEC confirme l’orientation des investissements vers le financement de la transition écologique et énergétique. L’association est déjà très impliquée dans la finance solidaire. Elle est notamment bénéficiaire du Livret Jeune Agir, produit du Crédit Coopératif, et a mis en place le fonds SG Solidarité CCFD Terre Solidaire en partenariat avec la Société Générale, ainsi que l’assurance-vie Ethic Vie, qui sert à financer des entreprises solidaires (entre 5% et 10% de son actif) et reverse 20% des commissions de gestion sous forme de don. AB.
Fredéric Janbon, directeur général et responsable des gestions de BNP Paribas Asset Management, était invité du Paris Fintech Forum le 30 janvier. Lors d’une conférence portant sur les évolutions digitales dans la gestion d’actifs, il a fait remarquer que dans ce métier, les coûts constituaient une vrai pression dans la distribution et que la personnalisation des réponses apportées aux demandes d’investissement des particuliers était un élément d’avenir. «L’un des bénéfices principaux des nouvelles technologies réside dans la capacité d’analyse, de compréhension et d’anticipation des besoins et du comportement des clients», a-t-il expliqué, précisant que chaque client étant unique, il fallait une solution unique. " La contrainte va donc être de trouver quelque chose qui convient bien au client et ensuite à notre business model. Dans la distribution de fonds, la technologie est une grande opportunité. Nous étions très standardisés jusqu'à présent, mais la technologie nous aide dans la personnalisation». La société de gestion a pris l’an dernier une part majoritaire dans le robo-advisor Gambit. Frédéric Janbon a jugé que l’intégration de Gambit avait été un succès. Il a conclu en indiquant que BNP Paribas Asset Management " avait plein de choses à l’esprit en termes de partenariats avec des fintechs. (...) On doit rendre l’espace de la gestion plus attractif et excitant pour les gens».
Près de 300 investisseurs étaient présents pour la conférence annuelle de J.P.Morgan Asset Management (JPMAM ) qui s’est déroulée jeudi 31 janvier au Théâtre Marigny. L’intégration croissante des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance au sein des gestions de la firme américainea été le fil conducteur de l'événement. Tous segments confondus, l’ESG concernait667 milliards de dollars d’encours répartis sur 276 stratégies chez JPMAM à fin novembre 2018. Dans le détail, 369 milliards de dollars d’encours sur le segment obligataire (soit 100% des encours obligataires) intégraient les critères ESG ainsi que 207 milliards de dollars d’encours sur la partie actions (60% des encours) et 91 milliards de dollars d’encours sur les stratégies alternatives (78% des encours). Le gestionnaire d’actifs américain fait de l’ESG une de ses priorités de développement, ainsi que le soulignait Pietro Grassano, directeur général de JPMAM France dans son introduction. JPMAM a mis sur pied une équipe dédiée à l’investissement durable, SILT, depuis 2016, unité qui comprend une quarantaine de membres planchant sur les bonnes pratiques en la matière. Parmi les intervenants, Pierre-Yves Bareau, directeur de la gestion dette émergente,a notamment défendu l’importance de l’ESG lors d’investissements dans les pays émergents, citant l’exemple du Mexique et du Venezuela, deux obligations gouvernementales notées double B à la fin des années 90par les agences de notation. «Les deux pays ont connu une trajectoire totalement opposée. Après la crise Tequila de 1994-95, le Mexique a su se relever à travers notammentune politique d’ouverture vers les Etats-Uniset des réformes. Il est noté triple B aujourd’hui. Le Venezuela, lui, est en défaut», a-t-il relevé, ajoutant qu’un biais ESG pouvait permettre de limiter la casse durant les phases baissières du marché obligataire émergent et aussi d'être moins concentré sur les plus gros émetteurs émergents comme la Chine, l’Inde ou le Brésil. Néanmoins, Pierre-Yves Bareau a observé que si la couverture en matière de données ESG s’améliorait chez les marchés émergents, la qualité et la cohérence des données manquaient toujours au rendez-vous, notamment sur la dette quasi-souveraine et la dette d’entreprise. Ainsi selon JPMAM, seulement 53% des émetteurs dedette quasi-souveraine émergenteet 78% des émetteurs de dette d’entreprise disposaient d’une notation MSCI ESG en janvier 2019 tandis que la dette souveraine était notéeà 93%. 600 sociétés et 50 émetteurs souverains émergents sont rencontrés chaque année en moyenne par les équipes de gestion marchés émergents de JPMAM. L’approche ESG de la firme ne se limite pas seulement à l’intégration. Pour ses ETF, elle se base sur l’exclusion tandis que le best-in-class est implémenté pour ses produits durables actions européennes et internationales (JPM Euro Sustainable Equity Fund, JPM Global Sustainable Equity Fund).
La société a étoffé sa présence en Afrique de l’Est avec l’arrivée dans ses équipes de Ceasar Nyagah, en tant que directeur d’investissement basé à Nairobi au Kenya.
Le groupe La Française a nommé ce jeudi Eric Bouvier en tant que chef de projet organisation en charge du pôle immobilier. L’intéressé aura notamment pour mission d’accélérer les différents projets visant à la transformation digitale du groupe. « L’arrivée d’Eric Bouvier au sein du service organisation montre l’importance que nous donnons au secteur immobilier de notre activité.Son expérience va nous permettre de faire évoluer nos outils et processus dans un secteur en profonde évolution »,se réjouit Christelle Fabreguettes, responsable organisation du groupe La Française. Diplômé d’une maitrise d’informatique, Eric Bouvier débute sa carrière au sein du principal éditeur de logiciels immobiliers Français durant 10 années pour évoluer jusqu’au rôle de responsable produit. Puis, il devient directeur des systèmes d’information au sein du groupe Atis Real Auguste Thouard (groupe Vendôme Rome). En 2004, il crée sa première société Immodecision qui conseillera les principaux property managers français et les équipera pour la plupart de la solution de reporting SAFIR. Après avoir participé à l’intégration de cette structure au sein du groupe Herdia, il crée et développe la société Decimmo. Eric Bouvier a par ailleurs pris depuis 2006 la fonction de secrétaire général de l’association professionnelle FIDJI qui œuvre pour la standardisation des échanges entre les acteurs professionnels du secteur l’immobilier.
Azimut Capital Management SGR, société du groupe Azimut qui regroupe le réseau des conseillers financiers, s’est renforcée en 2018 avec 60 recrutements au sein de la région comprenant la Toscane et les régions du centre-Sud de l’Italie. Ainsi, Luca Ferrario et Marco Censi, du Credito Valtellinese, Gianpaolo Passoni, de Sanpaolo Invest, ont rejoint l’équipe de Monza dirigée par Fabio Arioldi. A Rome, Massimo Trotta, de BIF Ldt Londra, et Roberto Pittelli, de Deutsche Bank, renforcent l’équipe de Luca Puggioni. En outre, Simona Palazzoli d’Unicredit et Rosanna Sassoli de Credem intègrent le pôle d’Arezzo dirigé par Fabrizio Corti. Enfin, Ugo Boffelli, d’Intesa San Paolo, a rejoint l’équipe de Bergame où opère le manager Gianfranco Gaudino.
Après le départ de trois professionnels d’iShares Italy (BlackRock), la société tente de se réorganiser, rapporte le site italien Bluerating. Ainsi, Andrea Favero va remplacer Marco Tabanella, qui était responsable des clients wealth et retail d’iShares Italy. Désormais, Andrea Favero est responsable iShares Italy Wealth. Il manque toutefois l’aspect «retail», qui n’est pas recouvert par le poste, note Bluerating. Le poste occupé par Emanuele Bellingeri, responsable iShares en Italie, reste vacant. Le dirigeant a rejoint Credit Suisse AM à Milan, où il est responsable de l’activité gestion d’actifs en Italie. Selon certaines rumeurs, iShares pourrait ne pas le remplacer. Le nom d’Enrico Camerini, actuellement responsable des clients institutionnels d’iShares en Italie, comme éventuel successeur, a circulé. Mais rien n’a été décidé pour le moment.
State Street Global Advisors has listed five SPDR equity ETFs on the Milan stock exchange, Funds People Italia reports. They include one ETF of global equities, and four sectoral ETFs offering exposure to energy, financials, tech stocks and health care worldwide. “2019 was a record year for inflows to EPDR ETFs, particularly on the Italian market. The listing of these products confirms our intention to add to our already large local presence,” says Francesco Lomartire, head of SPDR for Italy. The five ETFs listed on Borsa Italiana are the following: - SPDR MSCI ACWI UCITS ETF - SPDR MSCI World Energy UCITS ETF - SPDR MSCI World Financials UCITS ETF - SPDR MSCI World Health Care UCITS ETF - SPDR MSCI World Technology UCITS ETF