BlackRock has launched a range of six new sustainable equity ETFs, theiShares ESG Enhanced ETFs. These products have been designed for investors seeking improvement in their portfolios’ ESG scores and reduce carbon and other greenhouse gasintensity. They track MSCI indices which re-weight securities to maximise ESG scores while stayingclose to standard benchmarks. BlackRock specifies these indices cantrim carbon and GHG emissions intensity by 30 percent relative to the parent index and that they exclude companies with exposure to controversial and nuclear weapons, civilian firearms, tobacco, thermal coal and oil sands as well as those implicated in very severe controversies and violating the United Nations Global Compact principles. Philipp Hildebrand, vice chairman, BlackRock said: «Europe is at the forefront of the sustainable investment movement. Across the region, sustainable investing is believed to be the future of investing and many European clients are pursuing the twin goals of addressing the world’s societal and environmental needs while also generating long term risk-adjusted returns needed to fulfil their financial goals.» BlackRock foreseesEuropean ESG ETF assets will from $12bn to $250bn by 2028, representing60 percent of the $400bn assetsthe manager believes ESG ETFs will gather globally. Carolyn Weinberg, global head of iShares productat BlackRock, commented: «Sustainable investing means different things to different investors. Some want to simply avoid exposure to certain types of companies, while others are looking to advance specific sustainable outcomes. Our Sustainable Core ETF range is about setting a global catalyst for choice and transparency that allows investors to apply ESG considerations into the foundation of their portfolios. With these new funds, iShares has established the industry’s most comprehensive family of funds, accounting for the variety in investment objectives and preferences that our clients have expressed.»
Ce sont des jours décisifs pour la société de gestion italienne Castello Sgr, rapporte Il Sole – 24 Ore. La réorganisation de l’actionnariat et la vente d’un portefeuille d’hôtels pourraient connaître une accélération. Selon des sources bien informées, Maire Investments aurait signé l’accord pour sortir du capital de Castello, cédant ses 32,8 % et sa participation dans les hôtels à Isa, qui détient déjà 46,2 % de la société de gestion. Cela permettrait à Isa de détenir 79 % du capital et de lancer la recherche d’un partenaire stratégique, avec l’objectif de faire croître Castello, qui gère 2,4 milliards d’euros. Trois acteurs seraient intéressés, dont Oaktree, Aerium et LBO. L’américain Oaktree serait le plus déterminé à racheter Castello, souligne le quotidien italien. Concernant la vente d’un portefeuille d’hôtels, c’est Oaktree qui est seul en course. Ce portefeuille contient 16 structures hôtelières, dont cinq hôtels de luxe en Italie. Cela représente 300 millions d’euros.
Le gestionnaire d’actifs britannique Jupiter Asset Management a annoncé une nouvelle stratégie de distribution pour le marché américain offshore et l’Amérique latine. Jupiter AMa signé despartenariats de distribution, dont l’effet est immédiat,avec trois sociétés pour soutenir sa croissance dans les marchés concernés. Sur le marché institutionnel, l’entreprise sera aidée par le groupe Compass dont la couverture comprendra le Chili, le Pérou, la Colombie et le Mexique. Pour le marché offshore américain, Jupiter a fait appel à Atlantic Zagros Financial Partners. Le partenariat couvre New York, Miami, le Texas et laCalifornie. Concernant le marché retail en Amérique latine, un partenariat stratégique a été signéavecAIVA, qui s’occupera aussi d’offrir exclusivement les fonds de Jupiter auprès de la plus large clientèle possible notamment en Uruguay et en Argentine. William Lopez est responsable de la stratégie de distribution de Jupiter AM sur les marchés US offshore et latino-américain.
Le groupe financier espagnolGVC Gaesco a nomméEnrique García Palacio au poste de directeur général du groupe. Il succède à Maria Àngels Vallvé qui demeureprésidente du conseil d’administration. La société est active dans plusieurs domaines dont la gestion d’actifs et de pensions. Enrique García Palacio officiait depuis 29 ans au sein de la direction régionale deAhorro Corporación en Catalogne, dont il a développé les activités de gestion d’actifs, de banque privée, de distribution et de marchés de capitaux ainsi que de plateformes de services d’investissement.
La société de gestion BlackRock a annoncé le lancement de six nouveaux ETF actions intégrant les critères environnementaux, sociaux et de gouvernance. Ces six nouveaux produits -iShares ESG Enhanced ETF - rejoignent les six autres ESG Screened ETF lancés en octobre dernier par la société. Cette nouvelle gamme s’adresse aux investisseurs qui cherchent à améliorer le score ESG de leur portefeuille tout en réduisant leur intensité carbone et d'émissions de gaz à effet de serre. Les six ETF suivent des indices MSCI qui revoient le poids de leurs lignes pour maximiser leurs scores ESG tout en restant proche des indices standards. Ils sont censés réduire de 30% les émissions carbone et de gaz à effet de serre par rapport aux indices standards. Sont exclues de leur composition les entreprises fabriquant des armes, évoluant dans le secteur du tabac ou exploitant le charbon et le pétrole bitumineux, ainsi que celles faisantl’objet de controverses et violant les principes des Nations Unies. BlackRock prédit que les actifs des ETF ESG en Europe vont être multipliés par 20 d’ici 2028 pour atteindre 250 milliards de dollars, soit 60% des 400 milliards de dollars que les ETF ESG vont attirer à travers le monde.
La société de conseil en investissements financiers espagnoleSássola Partners EAFI, lancée en 2014, vient d’obtenir l’agrément du régulateur hispanique CNMV pour devenir une société de gestion de portefeuille, Sássola Partners SGIIC, rapporte Funds People. La société, qui conseillait jusqu’alors une centaine de millions d’euros d’encours,compte deux associés-gérants :Miguel Irisarri, chargé des relations avec les clients et les entreprises, et José María Loinaz, responsable de la stratégie etde la gestion. Cinq autres personnes composent l'équipe. Le directeur compte deux partenaires: Miguel Irisarri, chargé des relations avec les clients et les entreprises, et José María Loinaz, responsable de la stratégie et du domaine de la gestion. En plus des deux, l'équipe est composée de cinq autres personnes. Cité par Funds People, Miguel Irisarri souhaite que la société devienne «uneréférence pour la sélection de fonds» en Espagne.Sássola Partners SGIIC devrait prochainement lancer deux fonds de fonds.
EnTrustPermal – one of the world’s largest hedge fund investors and a leading alternative asset manager headquartered in New York and London – announced that it has rebranded the firm as EnTrust Global. The timing and nature of the firm’s rebranding is a direct reflection of its global growth and business evolution, said a press release. “Today’s announcement speaks to our international expansion, as we currently serve clients from 47 different countries around the world,” said Gregg S. Hymowitz, chairman and chief executive officer of EnTrust Global as well as chair of its investment committee. Moreover, as EnTrust Global continues to pivot from traditional alternatives products to provide differentiated investment offerings, the firm’s business today encompasses an enhanced and global suite of capabilities. The firm’s co-investment business – which was incepted over 10 years ago – continues to grow in line with investor demand, nearing approximately half of EnTrust Global’s $19.3bn in total assets under management as of 28 February2019. Co-investments target high-conviction, opportunistic ideas from EnTrust Global’s deep network of investment partners in the alternatives industry across a diverse range of strategies, geographies, and sectors. EnTrust Global’s real asset business focuses specifically on direct financing and leasing in the maritime and aviation sectors, where it believes the lack of bank lenders and the protection provided by the underlying collateral creates a compelling investment environment. EnTrust Global’s real asset business currently comprises approximately $1bn of committed capital. The organisation formerly known as EnTrustPermal was created in 2016 when EnTrust Capital, an independent hedge fund investor and alternative asset manager, joined with The Permal Group, Legg Mason’s existing hedge fund platform.Hymowitz co-founded EnTrust Capital in April 1997 following an investment career at Goldman Sachs. While the current announcement pertains to the rebranding of EnTrust Global, a formal legal name change enshrining itwill follow.
EnTrustPermal, filiale de Legg Mason spécialisée dans les stratégies alternatives et de hedge funds, a annoncé renommer la société «EnTrust Global» afin de mieux refléter sa croissance internationale et son évolution commerciale. «L’annonce d’aujourd’hui témoigne de notre développement international, car nous desservons actuellement des clients de 47 pays différents», a déclaré Gregg S. Hymowitz, président du conseil d’administration d’EnTrust Global et président de son comité d’investissement. En outre, alors qu’EnTrust Global continue de proposer son offre pivot de produits traditionnels alternatifs elle a développé aussi d’autres capacités de gestion». Le communiqué explique par exemple que la société a développé une activité de co-investissements qui représente déjà la moitié des 19,5 milliards de dollars d’encours détenués (à fin février 2019). Elle s’est aussi développée dans l’investissement en actifs réels directs dans les secteurs maritime et aéronautique. EnTrustPermal avait été créée en 2016 lorsque EnTrust Capital, un gestionnaire d’actifs alternatif et spécialiste des hedge funds basé à New York, a été fusionné avec The Permal Group, la plate-forme de hedge funds de Legg Mason. Gregg Hymowitz avait quant à lui co-fondé EnTrust Capital en avril 1997 après une carrière en investissement chez Goldman Sachs.
Warren Buffett, l»'oracle d’Omaha», reste en 2018 le troisième homme le plus riche de la planète derrière Jeff Bezos, fondateur d’Amazon et Bill Gates, fondateur de Microsoft. Avec une fortune estimé à 82,5 milliards de dollars, le fondateur de Berkshire Hathaway demeure «l’un des meilleurs investisseurs de tous les temps». Jeff Bezos et sa famille ont une fortune estimée à 131 milliards de dollars et Bill Gates à 96,5 milliards de dollars. Le classement de Forbes montre que pour la deuxième année de la décennie, le nombre de milliardaires et leur richesse totale ont diminué en 2018. «Cela prouve que même les plus riches ne sont pas à l’abri des forces économiques et de la faiblesse des marchés boursiers», explique Forbes. Selon ses derniers chiffres, il y aurait 2 153 milliardaires dans le monde, soit 55 de moins qu’il y a un an. Parmi ceux-ci, un nombre record de 994, soit 46%, est plus pauvre (relativement parlant) que l’an dernier. Au total, les ultra-riches totalisent 8 700 milliards de dollars, soit une baisse de 400 milliards de dollars par rapport à 2018. Au total, 11% des membres de la liste de l’année dernière, soit 247 personnes, ont quitté les rangs, le maximum depuis 2009 au plus fort de la crise financière mondiale. La région Asie-Pacifique a été la plus touchée, avec 60 fortunes de moins à 10 chiffres. Cette baisse a été menée par la Chine, qui compte 49 milliardaires de moins qu’il y a un an. L’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique ont également perdu du terrain. Les Amériques, entraînées par la résurgence du Brésil, et les États-Unis sont les deux seules régions à compter plus de milliardaires qu’il y a un an. Il en existe maintenant un nombre record de 607 aux États-Unis, qui comprend 14 des 20 plus riches du monde. Même avec des vents contraires, des entrepreneurs «débrouillards» ont trouvé de nouveaux moyens de s’enrichir, note Forbes qui compte ainsi 195 nouveaux arrivants. Le nouvel arrivant le plus riche est Colin Huang, fondateur du détaillant en ligne chinois Pinduoduo, qui est entré en bourse aux États-Unis en juillet. Daniel Ek et Martin Lorentzon de Spotify; James Monsees et Adam Bowen de Juul Labs, Daniel Lubetzky de Kind Bar et la fondatrice d’une société de cosmétique Wunderkind Kylie Jenner, femme et plus jeune milliardaire du monde à 21 ans.
Motif Ingredients, une start-up américaine qui vise la création d’une centaine d’ingrédients permettant des alternatives végétales à la viande, au lait et aux oeufs, vient de lever 90 millions de dollars pour sa première levée de fonds. Et le journal Les Echos rapporte qu’une vingtaine de milliardaires, dont Bill Gates, Xavier Niel, Jeff Bezos et Jack Ma, ont investi dans l’entreprise à travers le fonds Breakthrough Energy Ventures. Le fonds d’investissement Viking Global Investors et Louis Dreyfus Company tout commela société laitière Fonterra soutiennent également la foodtech, spin-off de la biotech américaine Ginkgo Bioworks. Une fois que seront identifiés les nutriments contenus dans les protéines, vitamines et autres glucides présents dans les aliments dérivés d’animaux, la start-up créera des substituts à base de levures artificielles et de bactéries.
Anne Dinning, l’une des femmes les plus importantes en finance quantitative, retourne au comité exécutif de DE Shaw, le hedge fund secret de New York où elle avait aidé à lancer le trading algorithmique qui s’est depuis répandu à Wall Street, rapporte le Financial Times. L’intéressée avait rejoint le hedge fund de 50 milliards de dollars en 1990 pour la première fois après avoir obtenu un PhD en science informatique. Mais elle a quitté le comité exécutif en 2017. Elle est retournée au sein du hedge fund quantitatif fin février, selon des sources proches du dossier.
Le changement climatique va changer nos habitudes et… nos jugements. La chute des idoles commence, on dirait, avec Warren Buffett (photo), dirigeant de la société de gestion Berkshire Hathaway, pris à contre-pied sur le groupe Kraft Heinz. Il l’avait constitué en 2015 en rapprochant deux géants de l’alimentaire et du ketchup, et voilà qu’il s’agirait aujourd’hui de l’une des entreprises les moins bien préparées au changement climatique. Tel est le résultat d’un rapport du CDP (Carbon Disclosure Project), qui a étudié sous cet angle les 16 plus grands groupes mondiaux du secteur de la grande consommation. Les réponses au défi climatique sont insuffisantes pour tous mais le géant américain cumule les risques : émissions de CO2, exploitation excessive des sols et exposition à la sécheresse, les actionnaires ont de quoi s’inquiéter. Ils ont pourtant déjà fort à faire avec la chute des résultats et de la valorisation du groupe. Warren Buffett vient de reconnaître, après une dépréciation de 3 milliards de dollars, qu’il avait surpayé Kraft, à 63 milliards de dollars.
… milliards d’euros. C’est le montant des dépôts à vue à la fin du mois de janvier en France. Le taux de croissance annuel des dépôts va bon train : + 9,2 % selon la Banque de France. L’agrégat M2 – M1 progresse moins vite, avec un stock de 800 milliards, dont 677 milliards de comptes sur livret et 123 milliards de dépôts à terme de moins de deux ans. Quant à M3, il pèse 2.158 milliards d’euros, et même 2.342 milliards, en tenant compte de ses relations monétaires avec le reste de la zone euro.
Le team competition de VTT Dorval AM a obtenu cette année le statut d’équipe Elite de l’UCI (Union cycliste internationale). L’objectif est de terminer dans le top 5 mondial. Pas moins. L’équipe sera présente aussi bien dans les épreuves de trial que de downhill (descente), cette dernière étant particulièrement spectaculaire, pour ceux qui connaissent à défaut de pratiquer. Nul doute que se sortir des trous et franchir des bosses sera utile à Dorval AM. La gestion d’actifs montre qu’elle sait rebondir et innover, loin du mécénat traditionnel des opens de golf, des courses de bateaux et du sponsoring de musées.
Pris dans les filets de la justice il y a un an pour corruption, à la suite des accusations de blanchiment d’argent de la banque ABLV par le Trésor américain, le gouverneur de la Banque centrale de Lettonie, Ilmars Rimsevics (photo) a vu, le 27 février, la suspension d’exercer ses fonctions levée par la Cour de justice européenne, qui avait elle-même été saisie par la Banque centrale européenne. Dans la foulée, il a été de nouveau autorisé à voyager par la justice de son pays. Ilmars Rimsevics a repris immédiatement la direction de son bureau à Francfort et va pouvoir participer au conseil des gouverneurs, blanchi qu’il est dans une affaire de blanchiment.
Local. Le PIB régional par habitant varie entre 31 % et 626 % de la moyenne de l’Union européenne (UE), selon des données 2017 (exprimées en Standard de pouvoir d’achat – SPA) publiées par Eurostat. Les trois-quarts de la population européenne résident dans des régions dont le PIB par habitant se situe au-dessus de 75 % de la moyenne UE. Les variations sont considérables tant dans l’UE qu’au sein des Etats, relève l’institut de conjoncture. Exemple : la Slovaquie, où la capitale Bratislava se classe avec un indice de 179 à la huitième place, mais où les trois autres régions ont des scores faibles, compris entre 50 et 70. Les découpages géographiques d’Eurostat accordent à Londres intérieure - Ouest la tête du classement (cf. tableau) avec 626 % de la moyenne, devant Luxembourg (253 %). L’Ile-de-France (31 % du PIB français) arrive au dixième rang avec un score de 176 %. Parmi les vingt régions disposant d’un PIB par tête inférieur à 50 % de la moyenne de l’UE, cinq sont situées en Bulgarie, quatre respectivement en Grèce et en Hongrie, trois en Pologne, deux en Roumanie, de même qu’en France (Mayotte et la Guyane). Quatre régions bulgares figurent parmi les cinq régions au taux le plus faible. Le département de Mayotte se classe en troisième position, avec un taux de 34 %.
RECHERCHE. L’autorité financière britannique (FCA) constate jusqu’à présent un « impact positif » de la mise en place, en janvier 2018, de la nouvelle réglementation MIF 2 sur la recherche financière. Andrew Bailey, son directeur, a déclaré au Financial Times que les investisseurs en actions au Royaume-Uni ont économisé l’an dernier plus de 180 millions de livres grâce aux nouveaux modes de financement de la recherche par les asset managers. Les réflexions sur le véritable prix de la recherche sont toujours en pleine évolution. La concurrence et des prix plus transparents, mais aussi plus bas, ont créé « des gagnants et des perdants », les fournisseurs les plus petits estimant faire partie de cette dernière catégorie.
Comparatif. Toutes les grandes économies avancées n’ont pas un salaire minimal légal. L’Italie n’en dispose pas, indique une note de Trésor-Eco (direction générale du Trésor) qui fait le point sur les situations dans les six grandes économies développées. Au Japon et aux Etats-Unis, des seuils minimaux sont fixés au niveau local et fédéral. Quant aux règles de revalorisation, elles différent d’un pays à l’autre. La règle commune est une revalorisation une fois l’an. En Allemagne, elle a lieu tous les deux ans. Aux Etats-Unis, aucune règle n’impose une réévaluation régulière du salaire minimal ; la dernière au niveau fédéral remonte à 2009. En bénéficier nécessite d’être âgé de 16 ans en Espagne et de 25 ans au Royaume-Uni. Le classement consacre la France à la première place en termes de salaire horaire brut exprimé en euros et en parité de pouvoir d’achat. La note du Trésor précise que « divers dispositifs sur les bas salaires (allègements généraux, CICE, pacte de responsabilité et de solidarité) ont permis d’en alléger le coût pour les employeurs ».
Emergence. Le fournisseur d’indices l’avait annoncé. C’est désormais officiel. MSCI va quadrupler le poids des actions chinoises dans son indice MSCI Emerging Markets, en les portant à 20 %. L’inclusion aura lieu en plusieurs étapes. Une première hausse de 5 points interviendra en mai avec l’addition des valeurs ChiNext, une seconde se déroulera en août et la dernière en novembre, avec l’ajout des titres de moyennes capitalisations. Un autre fournisseur d’indices suivra les pas de son compétiteur. FTSE Russell a d’ores et déjà indiqué retenir des actions A chinoises dans sa palette d’indices à partir de juin.
Accompagner. Le Crédit Agricole lance le premier fonds d’investissement bancaire pour compte propre dédié aux transitions énergétique, agricole et agroalimentaire. Le fonds CA Transitions accompagnera le développement des PME, ETI et coopératives engagées dans de nouveaux modèles. Deux cents millions d’euros seront apportés par les Caisses régionales de Crédit Agricole et le groupe Crédit Agricole. Géré par IDIA Capital Investissement, filiale de gestion spécialisée de la banque, les entreprises ciblées seront tournées vers les coopératives qui s’engagent à être
Aviva, via son fonds Aviva Impact Investing France, a accompagné Esfin Gestion, Inco, France Active et la plate-forme participative Wiseed dans la levée de fonds réalisée par Scopelec en fin d’année dernière, révélait récemment le journal Les Echos. La première coopérative de France en nombre de salariés (3.900) a en effet bouclé un tour de table de 11,35 millions d’euros en fonds propres et a aussi mobilisé une deuxième tranche de l’emprunt obligataire Euro PP de 18 millions d’euros auprès de CM-CIC Private Debt, Banque Postale AM et Zencap AM, après 25 millions fin 2017. En deux ans, le groupe a levé 64 millions d’euros. Cette levée de fonds permettra d'épauler Scopelec dans son nouveau plan stratégique à l’horizon 2024 qui prévoit de porter son chiffre d’affaires à 600 millions d’euros avec 5.000 salariés. Pour cela, il veut développer son activité d’installation et de maintenance des infrastructures de télécoms (fibre optique, 4G/5G, etc.), qui doit passer de 415 millions d’euros en 2018 à 510 millions en 2024. Le groupe veut développer les services de télécoms aux entreprises et aux collectivités, qui devront représenter 15 % du chiffre d’affaires en 2024 contre moins de 5 % l’an dernier. Il est aussi question de s’internationaliser, comme en témoigne l’ouverture de sa première agence au Maroc au mois de janvier.
Pictet Alternative Advisors, aPictet group company specialised in alternative asset management, is launching a fund which invests directly in real estate assets, aimed at professional investors. The fund will invest in Europe in real estate properties and appurtenant companies in segments to include office, residential, student and retirement housing, and light industrial structures. It will focus on the intermediate real estate market segment, and will favour smart cities in Western Europe with good transport links. The fund will also be supported by real estate specialists in six European countries: Germany, Spain, Luxembourg, the United Kingdom, Sweden, and Switzerland. “In the next few years, the volatility of the market in some European countries, including the United Kingdom due to Brexit, will create a number of entry points. Hence the importance of being present on the local market through our six offices, in order to be the first in line to benefit from these investment opportunities,” says Zsolt Kohami.