L’industrie des fonds spéculatifs signe son deuxième mois consécutif de gains, avec une performance globale pondérée de 1,4% en février, selon les données publiées vendredi par le cabinet américain Hedge Fund Research (HFR). Cette performance a été tirée par les stratégies actions qui ont gagné 1,8% le mois dernier.
La société d’investissement Eurazeoa annoncé vendredi que son actif net réévalué (ANR) par action a progressé de 4,2% à 77,5 euros au 31 décembre 2018, et de 5,7% dividende inclus, grâce à la hausse de ses actifs non cotés de 10,8%. Le chiffre d’affaires, à périmètre et change constants et retraité des cessions signées, s’est établi à 5,2 milliards d’euros, en hausse de 12,6% par rapport à l’année dernière. Le résultat net a, de son côté, atteint 251 millions d’euros, contre 441 millions d’euros en 2017.
Le gestionnaire suisse Banque profil de gestiona terminé l’exercice 2018 sur une perte de 0,33 million de francs. L'établissement genevois avait déjà annoncé en novembre dernier une perte nette de 0,7 million de francs sur neuf mois puis prévenu mi-janvier, que ses résultats annuels ne seraient pas à la hauteur de ceux de l’année précédente qui avait donné lieu à un résultat net de 1,7 million de francs. «Dans le contexte de développement prévu dans le plan triennal 2017-2019, la Banque a acquis la société Dynagest SA. La fusion par absorption, inscrite au Registre du commerce le 28 septembre 2018 mais rétroactive au 1er avril 2018, génère un Goodwill qui impacte significativement les résultats au 31 décembre 2018; ainsi les amortissements ont augmenté de459.000 francs suissespar rapport au 31 décembre 2017", explique la banque dans un communiqué. Mais à la faveur de l’acquisition de Dynagest et des entrées nettes, les actifs sous gestion s'élevaient fin 2018 à 2,8 milliards de francs suisses, soit une augmentation des encours de 1,9 milliard de francs depuis le début de l’année 2018.
Spécialisée dans l’investissement en fonds propres au capital de PME cotées et non cotées, la société de gestion Vatel Capital a annoncé jeudi 7 mars avoir investidans la société Biocorpvia ses FCPI Dividendes Plus 5 et 6. L’opération, d’un montant de 1 million d’euros, a été réalisée dans le cadre d’unesouscriptionà l’émission d’obligations convertibles de Biocorp conclu le 6 mars 2019. Créée en 2004 à Issoire (près de Clermont-Ferrand), Biocorp est une société française, labélisée BPI « Entreprise innovante » et spécialisée dans le développement et la fabrication de dispositifs médicaux et de systèmes d’administration de médicaments innovants. Avec plus de vingt ans d’expérience, plus de 30 millions d’unités produites chaque année et 12 familles de brevets, Biocorp est un acteur reconnu du secteur au cœur de l’évolution des systèmes de délivrance avec des solutions qui répondent aux nouveaux besoins des patients. Pour rappel, les FCPI Dividendes Plus 5 et 6 ont pour objectif de constituer un portefeuille de participations dans des entreprises innovantes, sélectionnées notamment suivant des critères de maturité, de rentabilité, de potentiel de développement et sur leur capacité à verser des dividendes.
Le Luxembourg Times rapporte que le gestionnaire d’actifs britannique anglais devrait supprimer 50 à 100 emplois au sein de son antenne luxembourgeoise. Le journal, qui cite une source syndicale, évoque une restructuration de l’activité de Schroders. Un plan social pour les salariés concernés aurait déjà été accepté par les syndicats au Luxembourg. Schroders a annoncé avoir enregistrédes sorties nettes de 11,2 milliards de livres pour son activité de gestion d’actifs en 2018.
La société de hedge funds Citadel ferme Aptigon Capital, l’un de ses pôles actions, selon le Wall Street Journal, qui cite des sources proches du dossier. En outre, Eric Felder, qui dirigeait cette activité, quitte la société où il a passé moins de deux ans. Citadel a écrit jeudi que les gérants actions et les équipes d’Eric Felder avec les plus fortes performances et le potentiel le plus élevé vont être transférés dans d’autres pôles de Citadel. Les gérants et équipes d’Eric Felder seront rattachés à Ken Griffin en attendant que le poste d’Eric Felder soit pourvu.
A l’occasion d’un entretien avec L’Agefi Quotidien, les dirigeants de la Banque Palatine indiquent que la filiale de BPCE prévoit le lancement d’une offre de gestion sous mandat à la fin du premier semestre pour la clientèle privée. Par ailleurs, des placements en private equity, plus risqués et dédiés aux clients les plus fortunés, devraient aussi voir le jour en 2020. Ces nouvelles offres entrent dans le cadre d’une montée en gamme du système informatique de la banque qui a toutefois pesé sur ses résultats l’an dernier. Le produit net bancaire (PNB) est en hausse de 3,8%,à 331,5 millions d’euros en 2018, mais avec l’intégration des dépenses liées à sa transformation digitale, le résultat net part du groupe plonge de 49%, à 23,4 millions d’euros en 2018. Le résultat brut d’exploitation est pour sa part en repli de 30%, à 79 millions d’euros, tandis que le coefficient d’exploitation (charges d’exploitation sur PNB)a grimpé de 64,7% en 2017 à 76,2% en 2018. Le remplacement du système SAB par la plate-forme des Banques Populaires, nommée Equinoxe, se chiffre, en effet, à 80 millions d’euros sur trois ans.Sur ce montant, la filiale de BPCE spécialisée dans les ETI a déjà payé 16 millions d’euros l’année passée.
Goldman Sachs Asset Management (GSAM) a lancé cinq ETF investis dans les sociétés ayant créé et adopté l’innovation. Ces nouveaux produits cherchent à répliquer des indices créés par Motif, un fournisseur d’indices et stratégies systématiques et fondées sur les données. Les ETF fournissent une exposition aux thèmes que GSAM juge moteur dans la transformation de l’économie mondiale: les données, la finance réinventée, l’évolution humaine, la révolution de la fabrication et le nouvel âge de la consommation. Les ETF sont cotés à New York sur le NYSE Arca. GDAT: Goldman Sachs Motif Data-Driven World ETF GFIN: Goldman Sachs Motif Finance Reimagined ETF GDNA: Goldman Sachs Motif Human Evolution ETF GMAN: Goldman Sachs Motif Manufacturing Revolution ETF GBUY: Goldman Sachs Motif New Age Consumer ETF
Le groupe Cyrus vient d’annoncer le recrutement de David Aubin en tant que directeur associé d’Eternam, sa filiale immobilière qui conseille 1,1 milliard d’euros d’investissement. Sous la supervision directe de José Zaraya, président d’Eternam, il aura pour mission de mettre en place et développer la nouvelle société de gestion immobilière dont le groupe va se doter en 2019. David Aubin a d’abord exercé comme fiscaliste (Coopers & Lybrand, Arthur Andersen) avant de rejoindre la Société Générale en 1997 (Dérivés-Actions, origination Debt Capital Markets). En 2007, il est nommé Head of FIG de BNP Paribas, puis prend en 2010 la direction de BNP Paribas REIM. Associé fondateur de la plateforme ClubFunding en 2014, Il crée en 2016 la société de gestion Victoires Haussmann avec Constructa et en prend la direction générale.
Le groupe financier espagnol BBVA a recruté Marcos Aza, ex-analyste quantitatif d’Inversis, en qualité de «senior algorithmic trading quant» au sein de la banque de financement et d’investissement, rapporte Funds Society. Le site précise qu’iltravaillera plus particulièrement dans le domaine de la stratégie algorithmique et de la science des données dans ledépartement d’intelligence artificielle pour le trading basé à Madrid. Marcos Aza faisait partie depuis janvier 2015 de l'équipe de sélection de fonds d’Inversis en tant qu’analyste quantitatif et était aussi responsable de l’analyse des ETF. Auparavant, il officiait comme stratégiste sur les dérivés actions chez Santander España et a occupé les postes d’associé chez Intelectia Capital, de conseiller chez Allfunds Bank et d’associé principal chez BBVA. Marcos Aza a également étédéveloppeur de logiciels chez Indra.
L’ancien responsable de la gestion d’actifs de la société de gestion brésilienne BTG Pactual ainsi qu’un ex-analyste senior de cette compagnie sont en train de monter leur propre boutique d’investissement, rapporte Citywire Americas. José Zitelmann etGustavo Hungria ont tous deux quitté BTG Pactual en décembre 2018 et vont lancer une société de gestion focalisée sur les actions. José Zitelmann serait néanmoins contraint par une clause de non-compétition avec BTG Pactual, selon Citywire Americas qui conclut que le lancement de la boutique devrait attendre encore quelques mois.
Un ancien assistant exécutif du directeur financier de Rio Tinto parie contre son ancien employeur avec un nouveau véhicule d’Odey, l’un des principaux hedge funds du Royaume-Uni, rapporte le Financial Times. Henry Steel est le gérant du Odey Concentrated Natural Resources Fund, qui prendra des positions longues et courtes et pourrait gérer jusqu’à 1 milliard de dollars. La principale position vendeuse est Turquoise Hill, société canadienne cotée par le biais de laquelle Rio Tinto détient une mine géante de cuivre en Mongolie. Les principales positions acheteuses sont EDF et Uniper.
L’un des co-fondateurs d’EQT, Jan Stahlberg, a quitté la société scandinave de private equity pour créer son propre fonds et a levé 300-500 millions d’euros auprès de la banque Nordea pour réaliser de l’investissement à impact, rapporte le Financial Times. Jan Stahlberg devrait attirer d’autres investisseurs institutionnels aux côtés de Nordea, faisant ainsi grossir le fonds, selon des sources. Avant de quitter EQT, Jan Stahlbertg était managing partner adjoint et est devenu vice-président fin 2016.
Marcelo Claure de SotfBank va diriger un nouveau fonds technologie focalisé sur l’Amérique latine de 5 milliards de dollars, rapporte le Financial Times. Le groupe a annoncé jeudi qu’il investirait 2 milliards de dollars dans le nouveau fonds piloté par Marcelo Claure, qui est le directeur des opérations de la société et le président exécutif du groupe américain de télécommunications Spring. Trois milliards de dollars supplémentaires seront levés en externe. Le fonds sera géré séparément du fonds vision de SoftBank.
Avant les élections européennes, le plan pour une finance durable en Europe avance. Après avoir présenté un plan d’action en mars 2018 suivi de trois propositions législatives concernant une taxonomie des actifs verts, des règles de transparence et de nouveaux indices bas carbone, un accord a été trouvé, mercredi 7 mars, au sujet de règles de reporting, indique le site Novethic. Le parlement et le conseil européen se sont mis d’accord sur le principe de rendre obligatoire pour les professionnels européens de la finance (fonds de pension, sociétés de gestion, conseillers financiers…) un reporting sur l’intégration des dimensions ESG dans leur gestion des actifs, se rapprochant ainsi de l’esprit de l’article 175 de la loi de transition énergétique en France adopté en 2015 et concernant le climat. «Ces nouvelles règles de reporting permettront aux investisseurs et aux citoyens d’être mieux informés de l’usage qui est fait de leur argent. Ils pourront vérifier qu’il est utilisé pour financer le développement durable et des objectifs environnementaux comme le respect de l’Accord de Paris», commente Valdis Dombrovskis, vice-président de la Commission en charge de la stabilité financière et de l’Union des marchés de capitaux, cité par Novethic. TV
The asset management firm Swiss Life AM wants to increase the capital in its real estate fund Swiss Life REF (CH) European Properties. The fund, launched in November 2017, initially raised €300m. The Swiss asset management firm is planning to raise another round of funds in third quarter 2019, totalling €100m. The operation will “make it possible to continue to effective growth and quality strategy, and to further develop the portfolio,” the asset management firm says in a letter, stating that the latest partial release to investors in the first round took place in late February 2019. Exclusive talks are also in progress to sign off on the sales of two properties, and from April 2019, over-the-counter (OTC) negotiations will also commence. Swiss Life REF (CH) European Properties invests in office, commercial and residential properties with stable value, and in mixed-use properties located in European metrpolitan regions. The emphasis is placed on investments in the key markets of Germany, France and the United Kingdom, as well as in Austria, Benelux, Scandinavia, and southern Europe. As of late January 2019, the real estate portfolio included eight properties, with a market value of about €288m. The precise conditions for the planned capital increase will be announced at a later date.
La société de gestion Swiss Life AM souhaite augmenter le capital de son fonds immobilier Swiss Life REF (CH) European Properties. Lancé en novembre 2017 le fonds avait initialement levé 300 millions d’euros. La société de gestion suisse souhaite réaliser une nouvelle levée de fonds au troisième trimestre 2019 pour un montant de 100 millions d’euros. Cette opération devrait"permettre de poursuivre la stratégie efficace de croissance et de qualité et de développer encore le portefeuille», indique la société de gestion dans une missive, précisant quela dernière libération partielle liée aux premiers investisseurs a été réalisée fin février 2019. Par ailleurs, des négociations exclusives sont déjà en cours en vue de conclure des contrats de vente pour deux biens et, àcompter d’avril 2019, une ouverture aux négociations hors bourse (OTC) est également prévue. Pour rappel,Swiss Life REF (CH) European Properties investit dans des immeubles de bureaux, des surfaces de vente et des biens résidentiels à la valeur stable, ainsi que dans des biens à usage mixte situés dans des régions métropolitaines européennes. L’accent est mis sur les investissements dans les marchés clés que sont l’Allemagne, la France et la Grande-Bretagne, mais aussi l’Autriche, le Benelux, la Scandinavie et l’Europe du sud. Fin janvier 2019, le portefeuille immobilier comptait huit biens pour une valeur de marché d’environ 288 millions d’euros. Les conditions précises de I’augmentation de capital prévue seront communiquées à une date ultérieure.
Le gestionnaire de fonds d’investissement immobilier paneuropéen Gramercy Europe (Jersey) Limited,spécialisé dans les actifs logistiques et industriels, a annoncé ce 7 marsavoir acquis, pour le compte de son fonds Gramercy Property Europe III et dans le cadre de transactions distinctes, deux entrepôts à Lyon et à Rouen, en France, pour 37 millions d’euros, reflétant des rendements attrayants et augmentant les investissements de Gramercy en France au cours des 12 derniers mois pour un total de neuf actifs et une valeur d’investissement totale d’environ 220 millions d’euros. « La demande d’espaces logistiques modernes pour les occupants continue de dépasser l’offre, sous-tendant une croissance importante des loyers et la pénétration du cybercommerce en France est actuellement plus faible que dans d’autres grandes économies d’Europe de l’Ouest, nous nous attendons à ce qu’elle se rattrape à moyen terme, et c’est pourquoi nous sommes si exposés à notre dernier fonds sur ce marché», a commentéAlistair Calvert, PDG de Gramercy Europe, cité dans un communiqué. À Lyon, Gramercy a acquis une installation moderne, construite à dessein, 22.567 m2 de logistique, développée en 2012, pour 22millions d’euros. Dans le cadre de la vente et de la cession à bail, Gramercy a obtenu un important fournisseur de solutions 3PL pour un nouveau bail de onze ans, double net.Gramercy a également acquis un entrepôt de 16.568 m² à Rouen, en Normandie, du groupe financier JC Parinaud, pour 15millions d’euros, loué à La Poste.
Man Numeric, Man Group’s fundamentally-driven, quantitative investment business, has launched the Man Numeric China A Equity, a new Ucits fund. The fund will apply Man Numeric’s systematic investment process to Chinese equities. This is Man Numeric’s sixth Ucits-compliant vehicle for European investors. Man Numeric China A Equity provides investors with access to Man Numeric’s China A-Shares strategy, which launched in 2018. The strategy is long-only and seeks to generate alpha using a fundamentally-driven, quantitative, bottom-up stock selection process applied across a universe of around 1,400 publicly traded China A-shares securities. It is benchmarked to the MSCI China A Index. The fund, managed by portfolio managers Ori Ben-Akiva and Mickael Nouvellon, will invest in companies demonstratingattractive valuations, favourable momentum and conservative capital use.
Man Numeric, la société d’investissementsquantitatifs basés sur les fondamentaux de Man Group, a lancé le fonds Ucits Man Numeric China A Equity. Ce produit appliquera le processus d’investissement systématique de Man Numeric aux actions chinoises. Il s’agit du sixième fonds Ucits de Man Numeric dédié aux investisseurs européens. Man Numeric China A Equity donne accès à la stratégie China A-Shares de Man Numeric, lancée en 2018. Cette stratégie directionnelle cherche à dégager de l’alpha en utilisant un processus de sélection des valeurs bottom-up, quantitatif, et s’appuyant sur les fondamentaux, sur un univers d’environ 1.400 actions chinoises A. Son indice de référence est le MSCI China A. Géré par Ori Ben-Akiva et Mickael Nouvellon, le fonds cherche à investir dans des entreprises qui affichent des valorisations attrayantes, un momentum favorable et une utilisation prudente des capitaux. Man Numeric a été fondé en 1989 et a rejointMan Group en 2014. Depuis, ses encours sont passés de 14,7 milliards de dollars à 32,1 milliards au 31 décembre 2018.
Vanguard has launched the Vanguard Global ESG Select Stock Fund, a new active equity fund that will be managed by Wellington Management and is expected to be available for investment in mid-2019. MarkMandel, Wellington’s vice chair, senior managing director, partner, and equity portfolio manager, and Yolanda Courtines, Wellington’s senior managing director, partner, and equity portfolio manager, will manage the new vehicle. They will identify and select approximately 40 companies that they believe demonstrate exemplary long-standing ESG practices and have strong business fundamentals and management teams with proven track records of good capital allocation decisions for shareholders. The fund is expected to hold stocks over an extended time horizon, resulting in low portfolio turnover. In addition to investment advisory responsibilities, Wellington Management will be responsible for governance activities for the fund. This will enable the fund managers to fully integrate proxy voting and company engagements into the fund’s investment strategy. Wellington is Vanguard’s largest and longest-serving external advisory partner, managing more than $336bn on behalf of Vanguard across a wide variety of equity and bond mandates.
Vanguard vient de lancer le Vanguard Global ESG Select Stock, un fonds actions géré activement qui sera géré par Wellington Management Company. Les gérants du fonds seront plus précisément Mark D. Mandel, vice-président, senior managing director, associé et gérant de portefeuilles actions, et Yolanda C. Courtines,senior managing director, associée et gérante actions. Les deux professionnels vont chercher à identifier et sélectionner une quarantaine d’entreprises qui, selon eux, ont des pratiques ESG exemplaires, depuis longtemps, affichent des fondamentaux solides et comprennent des équipes dirigeantes ayant démontré qu’elles prenaient de bonnes décisions en matière d’allocation du capital pour les actionnaires. Le fonds aura un faible taux de rotation. En plus de la gestion, Wellington Management sera responsable des activités de gouvernance du fonds. Cela permettra aux gérants d’intégrer totalement la politique de vote et l’engagement actionnarial dans la stratégie d’investissement du fonds. Wellington gère déjà le Vanguard Wellington Fund, un fonds 100 milliards de dollars d’encours. Au total, la société américaine gère plus de 336 milliards de dollars pour le compte de Vanguard, ce qui en fait son principal partenaire externe. Le fonds devrait être disponible mi-2019.
After four consecutive months of net inflows, assets in global ETFs dedciated to gold and other similar products fell by 33 tonnes in February, the equivalent of $1.3bn in net outflows. Assets under management in these ETFs contracted by 2% in February, to $105bn, according to statistics from the World Gold Council. The balance for the first two months of the year remains positive, at $1.7bn.
In 2018, the Italian asset management firm Azimut posted net subscriptions of €4.4bn, half of which came from abroad. International assets now represent 28% of total assets. These assets as of the end of 2018 totalled €50.8bn, and as of the end of February 2019, they stood at €53.6bn, largely thanks to net inflows of €800m in the first two months of the year. Consolidated sales totalled €748.5m, down from €810.5m in 2017. Consolidated net profits fell to €122.1m, from €214.8m in 2017. The consolidated net financial statement as of the end of December was negative, at -€31.1m, an improvement from -€57m as of 30 June 2018. As of 31 December 2017, this figure was positive, at €134.9m. The firm will pay an ordinary dividend of €1.50 per share.
En 2018, la société de gestion italienne Azimut a enregistré des souscriptions nettes de 4,4 milliards d’euros, dont la moitié est venue de l’international qui représente désormais 28 % des encours totaux. Ces encours sont ressortis à 50,8 milliards d’euros fin 2018 et sont montés à 53,6 milliards fin février 2019, grâce notamment à une collecte nette de 800 millions d’euros sur les deux premiers mois de cette année. Le chiffre d’affaires consolidé s’est inscrit à 748,5 millions d’euros, en repli par rapport aux 810,5 millions de 2017. Le bénéfice net consolidé a chuté à 122,1 millions d’euros, après 214,8 millions en 2017. La position financière nette consolidée à fin décembre était négative de 31,1 millions d’euros, en amélioration toutefois par rapport aux 57 millions du 30 juin 2018. Au31 décembre 2017, elle était positive de 134,9 millions d’euros. Par ailleurs, la société versera un dividende ordinaire de 1,5 euros par action.
Aladdin has scored another coup. The IT and tech platform from BlackRock, aimed at asset management firms, has helped Credit Suisse to set up a unified digital structure, which tracks $320bn in assets in 300 funds and nearly 2,000 mandates, the specialist website finews reports. The structure offers a wide range of services for asset management firms in areas including best execution management, risk management and compliance. The move marks a first for Credit Suisse, which needed to make changes in the asset management professions. “New profiles will be created, including in technology, and these will compensate for potential staff cutbacks in other sectors,” says Michel Degen, head of asset management at Credit Suisse for Europe, the Middle East and Africa. Credit Suisse has integrated Aladdin into its asset management infrastructure, and the BlackRock tool will now be part of a new data library which collects and aggregates data on portfolios, performance, and clients. Aladdin, created in the late 1990s and desined as an internal resource at the time, has become a technology platform which BlackRock offers to its rivals to reduce the price pressure on actively-managed funds from tracker funds. The British firm Schroders and the German firm DWS both use Aladdin. The European giant Amundi, meanwhile, decided to pull out of Aladdin completely to create its own platform, Amundi Solutions, about two years ago. According to analysts, BlackRock sees about 10% of assets worldwide with this platform.
Les actifs sous gestion de Schroders dans l’asset management s’inscrivaient fin décembre 2018 à 363,5 milliards de livres contre 389,8 milliards de livres un an plus tôt, soit un recul de plus de 36 milliards de livres d’une année sur l’autre, selon un communiqué publié ce 7 mars. Une évolution due notamment à des sorties nettes de 11,2 milliards de livres après des entrées nettes de 7,6 milliards de livres en 2017. Les sorties nettes sur la partie institutionnelle ont totalisé 6,6 milliards de livres, en raison des rachats opérés par des fonds de pension australiens et un grand client japonais, précise le communiqué. Ces sorties ont été en partie effacées par la demande de mandats actions de la part de clients nord-américains et solutions multi-asset émanant de clients basés au Royaume-Uni. Les encours alternatifs s’inscrivaient à 242,3 milliards de livres fin décembre. Du côté des actifs intermédiés, les sorties nettes se sont élevées à 4,6 milliards de livres. Vers la fin de l’année, l’environnement «risk off» a vu les clients réduire leur exposition des produits dédiés aux actions américaines, européennes et britanniques. Ces mouvements ont été en partie compensés par des flux nets positifs dans les actions asiatiques et émergentes. A fin décembre, les actifs intermédiés totalisaient 121?2 milliards de livres. Dans ce contexte difficile, les revenus de l’asset management avant produits exceptionnels ont progressé de 2% à 1,80 milliard de livres contre 1,17 milliard un an plus tôt, y compris des commissions de surperformance et du net carried interest pour un montant de 54,6 millions de livres contre 77,5 millions de livres l’année précédente. Le bénéfice avant impôts et exceptionnel a reculé de 5% à 670,8 millions de livres et le bénéfice avant impôts de 15% à 588,2 millions de livres. Dans les activités de gestion de fortune, les actifs sous gestion se sont contractés à 43,7 milliards de livres fin 2018 contre 45,9 milliards de livres à fin décembre 2017. Les entrées nettes se sont élevées à 1,7 milliard de livres contre 2 milliards l’année précédente. Les revenus nets ont augmenté de 6% à 289,8 millions de livres, dont des commissions de surperformance de 0,4 million de livres contre 0,9 million de livres l’année précédente. Le bénéfice avant impôt et exceptionnel s’inscrit en hausse de 3% à 93,4 millions de livres tandis que le bénéfice avant impôt marque un gain de seulement 1% à 68 millions de livres. Au niveau du groupe, les actifs gérés et administrés ont reculé de 6% à 421,4 milliards de livres d’une année sur l’autre, avec des sorties nettes de 9,5 milliards de livres etdes impacts marchés et devises négatifs de près de 20 milliards de livres. Le bénéfice avant impôts et exceptionnels s’est contracté de 5% à 761,2 millions de livres, le bénéfice avant impôts s’inscrivant à 649,9 millions de livres, en baisse de 15% d’une année sur l’autre.