Claudio de Sanctis, head of European wealth management at Deutsche Bank, is launching a recruitment campaign, according to a memo obtained by the website finews. De Sanctis has recruited Marco Pagliara from Morgan Stanley, who will begin in the role in June. He will be responsible for the United Kingdom, Scandinavia, Luxembourg, and clients in Switzerland and “emerging Europe.” At Morgan Stanley, he had been responsible for wealth management in Switzerland and continental Europe. Michael Morley, who had reported to de Sanctis, will now report to Pagliara. The head of wealth management has also recruited Alessandro Caironi to coordinate ultra-high net worth clients, a role which he had previously held at Credit Suisse. These recruitments are a sign of an ambition from de Sanctis to make Deutsche Bank a top pan-Europan wealth management firm. With €199bn in assets under management in this activity, Deutsche Bank ranks as a second-tier player in an industry that includes heavyweights such as Citi and UBS. Alongside the arrival of high-profile figures as part of the management team, Deutsche Bank is also planning to hire at least 100 private bankers worldwide.
Claudio de Sanctis, responsable de la gestion de fortune européenne chez Deutsche Bank, lance une campagne de recrutement, selon une note dont le site finews a eu connaissance. Claudio de Sanctis a ainsi recruté Marco Pagliara de Morgan Stanley. Il devrait prendre ses fonctions en juin. Il sera responsable du Royaume-Uni, des pays nordiques, du Luxembourg, des clients suisses et de l’Europe émergente. Chez Morgan Stanley, il pilotait la gestion de fortune en Suisse et en Europe continentale. Michael Morley, qui était rattaché à Claudio de Sanctis, dépendra désormais de Marco Pagliara. Le patron de la gestion de fortune a également embauché Alessandro Caironi en qualité de coordinateur pour les clients très fortunés, une fonction qu’il exerçait précédemment chez Credit Suisse. Des recrutements qui marquent la volonté de Claudio de Sanctis pour propulser Deutsche Bank au rang de gestionnaire de fortune paneuropéen de premier plan. Actuellement, avec ses 199 milliards d’euros d’actifs sous gestion dans cette activité, Deutsche Bank fait figure d’acteur secondaire face aux poids lourds comme Citi ou UBS. Parallèlement à l’arrivée de grosses pointures dans l'équipe de direction, Deutsche Bankveut également embaucher des banquiers privés, au moins une centainedans le monde.
The investment fund IK Investment Partners will buy a stake in the employee savings specialist Eres, joining the existing shareholder Parquest Capital. After the planned transaction, the Austrian venture capital firm, which has over €10bn in investments in over 115 European companies, will control the majority of shares. The founders will retain a significant stake in the capital, and employees will complement that stake. The firm, founded in 2007, has €2.3bn in assets. The transaction remains subject to the necessary regulatory permission, particularly from the French regulator, the Autorité des Marchés Financiers.
Le spécialiste de l'épargne salariale Eres vient d’annoncer la signature d’un protocole d’accord pour l’entrée à son capital du fonds d’investissement IK Investment Partners aux côtés de l’actionnaire existant Parquest Capital.A l’issue de la transaction envisagée, la société autrichienne de capital-investissement, qui compte plus de 10 milliards d’euros investis dans plus de 115 entreprises européennes,détiendrait la majorité du capital. Les fondateurs conserveront eux une part significative du capital et les collaborateurs renforceront leur détention. Créée en 2007, la société compte aujourd’hui 2,3 milliards d’euros d’encours. La réalisation de la transaction reste soumise à l’obtention des autorisations nécessaires en matière réglementaire et en particulier l’autorisation de l’Autorité des Marchés Financiers.
Christophe Karpiel, former head of investment solutions at Stanhope Capital (Switzerland), has left the firm to join the independent consulting firm Iskander, based in Paris, as chief investment officer, Citywire has learnt. Karpiel spent five years at Stanhope Capital, after serving at BNP Paribas Asset Management, IXIS Asset Management and ABN Amro Bank. At Stanhope Capital, he has been replaced by Karim Bertoni, who had previously been a senior portfolio manager at Bellevue Asset Management.
Christophe Karpiel, l’ancien responsable des solutions d’investissement chez Stanhope Capital (Switzerland), a quitté la société pour rejoindre la boutique de conseil indépendanteIskander, basée à Paris, en qualité de responsable des investissements, a appris Citywire Christophe Karpiel a travaillé pendant près cinq ans chez Stanhope Capital, après des passages chez BNP Paribas Asset Management, IXIS Asset Management et ABN Amro Bank. Chez Stanhope Capital, il a été remplacé par Karim Bertoni, qui était précédemment gérant de portefeuille seniorBellevue Asset Management.
Horizons ETFs Management Canada, the creator of the first marijuana ETF, is seeking to enlarge its product range, Bloomberg reports. The provider of the Horizons Marijuana Life Sciences Index ETF is actively at work on creating an ETF which will contain only producers who are licensed in the United States, according to CEO Steve Hawkins, who explains that the move aims to meet demand on the part of investors. The firm has also submitted a prospectus for a leveraged ETF and an inverse ETF. However, the company no longer plans to launch an inverse leveraged marijuana ETF. HMMJ is the largest Canadian ETF for cannabis, with over CAF750m in assets.
Horizons ETFs Management Canada, le créateur du premier ETF sur la marijuana, cherche à agrandir sa gamme, rapporte Bloomberg. Le fournisseur du Horizons Marijuana Life Sciences Index ETF travaille activement à la création d’un ETF qui contiendra uniquement des producteurs ayant une licence aux États-Unis, selon son directeur général Steve Hawkins, qui explique qu’il s’agit de répondre à une demande des investisseurs. La société a par ailleurs déposé des prospectus pour un ETF à effet de levier et un ETF inverse. En revanche, elle ne prévoit plus de lancer l’ETF marijuana inverse à effet de levier. HMMJ est le principal ETF canadien pour le cannabis, avec plus de 750 millions de dollars d’actifs.
Transamerica Asset Management has launched the DeltaShares S&P EM 100 & Managed Risk ETF, an expansion of the DeltaShares by Transamerica suite of strategic beta exchange-traded funds (ETFs) introduced in August 2017. The new DeltaShares ETF tracks the S&P EM 100 Managed Risk 2.0 Index and offers investors the opportunity to participate in the performance of the 100 largest companies in the emerging markets plus the Republic of Korea, while seeking to reduce downside risk. Transamerica chose Milliman FRM, a Chicago-based SEC-registered investment adviser and a global leader in institutional risk management, to act as sub-adviser for the DeltaShares Managed Risk ETFs. The new ETF brings the size of the product range to five items.
Transamerica Asset Management lance DeltaShares S&P EM 100 & Managed Risk ETF, élargissant ainsi sa gamme d’ETF «strategic beta» lancée en 2017 sous le nom de DeltaShares by Transamerica. Le nouvel ETF suit l’indice S&P EM 100 Managed Risk 2.0 et offre aux investisseurs la possibilité de participer à la performance des 100 principales entreprises des marchés émergents et de la République de Corée, tout en minimisant les pertes. Transamerica a choisi Milliman Financial Risk Management, une société basée à Chicago, pour gérer l’ETF. Ce nouvel ETF porte la gamme à cinq fonds.
La banque danoise Nykredit va créer une division «Wealth Management» dans le cadre d’une réorganisation, annonce un communiqué. Cette division réunira l’ensemble des activités de la banque en matière de services de conseil en gestion de fortune et en investissements et de gestion d’actifs. Peter Kjærgaard, l’actuel co-responsable de Nykredit Asset Management, deviendra responsable de cette nouvelle division, sous la responsabilité de Michael Rasmussen, directeur général, qui aura des responsabilités exécutives pour la gestion de fortune.
Le Livret A et le Livret de développement durable et solidaire (LDDS) ont enregistré en févrierune collecte nette de 2,5 milliards d’euros, en nette baissepar rapport à celle de janvier (4,63 milliards) mais néanmoins la plus élevée pour un mois de février depuis 2013, selon les données publiées ce 21 marspar la Caisse des dépôts (CDC). Pour le seul Livret A, la collecte ressort à1,93 milliard d’euros en février, celledu LDDS s’inscrivant à580 millions. L’encours total des deux livrets, avec les intérêts capitalisés, s'élevait à 398,6 milliards d’euros à fin février, en hausse de 4,5% sur un an, dont 289,7 milliards pour le Livret A et 108,9 milliards pour le LDDS.
La société de gestion et de conseil Feri, propriété du groupe allemand de services financiers MLP, a annoncé l’ouverture d’un nouveau bureau à Hambourg, qui vient s’ajouter aux trois autres implantations de la société, Bad Homburg, près de Francfort, Düsseldorf et Munich. Cette nouvelle antenne sera dirigée par Achim Uebele, qui depuis le début de l’année est responsable des mandats. Il aura pour mission de gagner de nouveaux mandats en gestion de fortune et auprès des family offices. Il est rattaché directement à Ersin Soykandar, responsable des mandats privés en Allemagne. Achim Uebele a environ 30 ans d’expérience dans la gestion de fortune et le family office. Il était dernièrement senior family officer pour le compte de deux family offices à Hambourg et à Staad.
Déjà agent de compensation et de règlement des produits financiers de gré à gré pour les fonds des clients de la banque privée Renell Bank, basée à Francfort, Caceisa étendu ses prestations sur les actions et les produits de taux sur les bourses de Düsseldorf, Berlin et Francfort (XETRA T7 et XETRA II) et divers segments de la Bourse suisse (SWX, SFS). Caceisaccompagne également Renell Bank dans son rôle de teneur de marché pour ces classes d’actifs. Avec 2633 milliards d’euros d’actifs en conservation et 1695 milliards d’euros d’actifs sous administration, Caceisest un acteur de premier plan en Europedansl’Asset Servicing et compte parmi les principaux acteurs mondiaux.
La société de gestion Oddo BHF AM a annoncé jeudi 21 mars l’enregistrement en Suisse des fonds de sa gamme Oddo BHF Polaris, qui regroupe, depuis l’an dernier, ses quatre fonds diversifiés sous une seule marque commune. Les fonds de la gamme sont sous la responsabilité de Laurent Denize, global co-CIO. De plus, les gestionnaires de fonds d’Oddo BHF Trust, une société de la banque privée Oddo BHF AG à Francfort, agissent aussi en tant que conseillers en investissement. Le processus d’investissement met l’accent sur la gestion des risques et la sélection ciblée d’actions européennes et américaines. Au total, les quatre fonds totalisent aujourd’hui près de 1,8 milliard d’euros d’encours sous gestion. Les deux fonds phares sont Oddo BHF Polaris Moderate et OddoBHF Polaris Balanced. ODDO BHF Polaris Balanced vient de dépasser récemment la barre des 500 millions d’euros d’encours sous gestion. «Tous les fonds Oddo BHF Polaris ont en commun une approche patrimoniale privilégiant la solidité des entreprises et la performance sur le long terme. La sélection des titres s’appuie sur l’analyse fondamentale des entreprises» précise la société de gestion dans un communiqué.
Berenberg propose, en partenariat avec Universal-Investment,un nouveau fonds durable, le Berenberg Sustainable World Equities qui, outre les critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG), doit prendre en compte l’impact positif des entreprises sur les défis climatiques de l’heure. Le portefeuille, qui va piocher dans l’indice MSCI World, devrait compter entre 50 et 80 lignes. La part active devrait dépasser les 80%, avec une tracking error élevée. Le fonds sera géré par Bernd Deeken qui, à côté des notations ESG, utilisera sa propre recherche maison pour les entreprises de plus petite taille.
La société de gestion DNCA Investments a obtenu vendredi 15 mars dernier trois nouvelles labellisations ISR pour les fonds de sa gamme de fonds ISR «DNCA Invest Beyond» lancée en mai dernier, a appris NewsManagers. Il s’agit des fonds Alterosa, Semperosa et European Bond Opportunities. Le fonds Alterosa est présenté par DNCA comme «le premier fonds patrimonial ISR français».Il est investi de manière flexible sur les actions, obligations classiques, obligations convertibles et produits monétaires. Le fonds est géré par Léa Dunand Chatellet, Adrien Le Clainche, Baptiste Planchard, Damien Lanternier et Romain Grandis. Il a été lancé en décembre 2018. Egalement lancé en décembre, le fonds Semperosa,est un fonds actions géré avec l’intention de générer des impacts environnementaux et sociaux positifs et mesurables. Il est géré par Léa Dunand-Chatellet et Adrien Le Clainche. Enfin, le fonds European Bond Opportunities est un OPCVM principalement investi en obligations libellées en euro et qui est issu du repositionnement en décembre dernier d’un fonds existant. Il est géré parPhilippe Champigneulle,Romain Grandis et Baptiste Planchard.
Royal London Asset Management a enregistré en 2018 des souscriptions nettes de 7,6 milliards de livres, dont 4,1 milliards provenant de la collecte externe. C’est 1,3 milliard de mieux que l’année précédente. Ses encours sonttoutefois restés stables à 114 milliards de livres, en raison de la vente de ses activités dans les îles anglo-normandes et de la volatilité des marchés.
Thomas Nielsen vient de rejoindre la société de gestion norvégienne First Fondene en tant que gérant de portefeuilles, selon son profil LinkedIn. Il arrive en provenance de SpareBank 1 Kapitalforvaltning qu’il a quitté un mois après son arrivée seulement. Il explique avoir été recruté pour créer et gérer leur premier fonds d’actions norvégiennes, mais que les conditions difficiles sur les marchés ont poussé la société à changer de stratégie et à ne pas se doter d’une gamme de fonds. Avant, Thomas Nielsen était gérant au sein d’Odin Forvaltning à Oslo où il gérait Odin Eiendom, un fonds nordique sur l’immobilier.
HSBC Global Asset Management a recruté Fay Hendon en tant que responsable des ventes intermédiaires au Royaume-Uni. L’intéressée vient d’Aviva Investors où elle était «senior investment advisory sales executive», selon son profil LinkedIn. Elle a auparavant travaillé chez Axa Investment Managers et Close Asset Management.
Elior Group announced it has entered recently into exclusive talks with PAI Partners regarding a potential sale of its concession catering activities, which are grouped within its Areas subsidiary. «At this stage, any indication as to the result of these discussions is premature. Elior Group will not comment any further on this process and will communicate in due time, in accordance with regulations», said a statement sentby the catering group. Last November, the French company said it was reviewing options for Areas, which handles catering in airports and railways. This business accounted for 28 percent of theoverall group revenue of €6.4bn for the 2016/17 financial year.
Wendel a publié jeudi un actif net réévalué (ANR) en baisse de 16,4% sur douze mois à 147,4 euros par action à fin décembre 2018. Le groupe explique cette chute par un impact négatif en fin d’année lié à la baisse du prix des actifs cotés et des actifs non cotés qui ont souffert des baisses des multiples de marché. Il assure cependant que la baisse a été partiellement compensée par les cessions réalisées en 2018 "à des prix satisfaisants» et l’effet de la vente d’une part du capital d’Allied Universal annoncée en février 2019. Le résultat net part du groupe 2018 recule de 77% à 45,3 millions d’euros, avec un résultat net des activités de 512 millions (+1,4%, " malgré l’impact négatif significatif du changement de périmètre de Wendel») et un chiffre d’affaires de 8,4 milliards (+3,9%). Le groupe explique que les résultats sont en baisse, " impactés négativement par des éléments non récurrents et ne prenant pas en compte la plus-value de cession de 301,9 millions d’euros réalisée sur la cession de titres Bureau Veritas directement enregistrée en fonds propres». Les produits de cessions se sont élevés en 2018 à environ 1 milliard d’euros. Quatre cessions ont été réalisées dont trois avec des valorisations supérieures à celles des derniers ANR avant les annonces. Le groupe a cédé 4,73% du capital de Bureau Veritas pour 400 M€ et gardé une position de contrôle. 141 millions d’euros ont été réinvestis par Wendel dans les sociétés de son portefeuille, 10 acquisitions ont été réalisées par les sociétés du groupe, y compris l’acquisition d’U.S. Security Associates par Allied Universal pour 1 milliard de dollars. Depuis début janvier, Wendel a cédé 4,64 millions d’actions Saint-Gobain pour un produit de 143,5 millions d’euros au 21 mars 2019. Il a également cédé PlaYce finalisée en février pour 32,2 millions d’euros et vendu partiellement Allied Universal pour environ 350 millions d’euros (opération qui devrait être finalisée au troisième trimestre 2019). «Les conditions macro-économiques et les marchés financiers actuels restent incertains et pourraient peser sur la croissance de certaines de nos sociétés dans les mois à venir, mais nous sommes confiants dans la capacité de nos entreprises à s’adapter à cet environnement. Nous nous concentrons sur le renforcement continu de leur positionnement et nous avons déployé des ressources opérationnelles supplémentaires au sein de Wendel afin d’accélérer leur création de valeur. Enfin, nous entendons tirer parti de notre solidité financière, encore renforcée avec la cession partielle d’Allied Universal,pour récompenser les actionnaires au moyen d’une part, d’un dividende en hausse et d’autre part, du lancement d’un rachat d’actions de 200 millions d’euros, que nous annonçons aujourd’hui.» , a commenté André François-Poncet, président du directoire de Wendel.
Andorra-headquartered group MoraBanc announced it has merged its investment and strategy teams. The new investment and strategy unit will be led byLorenzo Casaus and formed of three divisions: MoraBanc Asset Management, led byOriol Taulats, an advisory division overseen byEnric Galí and a newly-created fund selection department managed by Juan Hernando. The Andorran group said in a statement that the new structure will be more efficient and flexible and that it would strengthen the firm’s investment services. MoraBanc recently stroke an exclusive deal with Goldman Sachs AM which provides the Andorran bank with an access to tailored advisory services and investment portfolios from GSAM. MoraBanc, which also operates in Zurich and Miami, manages around €7bn.
MoraBanc a annoncé avoir fusionnéses équipes de stratégie et d’investissement. Ainsi sous la responsabilité de Lorenzo Casaus, le pôle de la stratégie et des investissements sera formé de trois divisions: MoraBanc Asset Management, dirigé par Oriol Taulats, une division de conseil placée sous la responsabilité deEnric Galí et une division de sélection de fondsnouvellement créée et gérée parJuan Hernando. Le groupe andorran explique dans un communiqué que cette nouvelle structure sera plus efficace et plus flexible. Il estime également que les services d’investissement seront renforcés, d’autant que MoraBanc a récemment conclu un accord exclusif avec Goldman Sachs AM. Cet accord porte sur un accès de la banque andorrane à des services de conseil et à des portefeuilles d’investissement spécialement conçus par Goldman Sachs Asset Management (GSAM). MoraBanc, qui opère également à Zurich et à Miami via deux sociétés de gestion de patrimoine, gère environ 7 milliards d’euros.
Après l’annonce la semaine dernière d’une nouvelle acquisition en Australie, le groupe EFG International n’exclut pas d’autres opérations de croissance externe. Même si la croissance organique reste au centre de la stratégie du groupe, avec notamment une augmentation des chargés de clientèle à Genève et Zurich. "(...) au vu de notre dotation en capital, nous sommes enclins à étudier les possibilités d’acquisitions, même si notre stratégie est axée sur la croissance organique. Nous sommes intéressés par des acquisitions complémentaires, plutôt des «asset deals», pour rehausser la masse critique sur les marchés où nous sommes déjà présents, à l’instar de notre dernière acquisition au Luxembourg, en 2017, UBI Banca International, avec 2,5 milliards sous gestion. Nous sommes aussi prêts à opérer des acquisitions de plus grande ampleur sur des marchés recelant un important potentiel de croissance, comme annoncé la semaine dernière avec l’acquisition en Australie» explique au quotidien L’Agefi suisse Giorgio Pradelli (52 ans), CEO du groupe depuis janvier 2018 après avoir été CEO adjoint depuis 2014.
BlackRock réduit le prix que les gros clients paient pour investir dans ses plus gros fonds indiciels actions, rapporte le Wall Street Journal. Cette décision de la part de la principale société de gestion au monde est le signe de la pression sans relâche à laquelle les sociétés américaines font face pour réduire les prix de leurs offres traditionnelles. A compter de juillet, la classe de part la moins chère du iShares S&P 500 Index Fund sera de 1,25 dollar pour 10.000 dollars investis, contre 4 dollars. Pour être éligibles, les investisseurs doivent investir au moins 2,5 milliards de dollars. C’est le prix le plus faible jamais offert par BlackRock pour ses fonds et cela reste un peu plus cher que ce que les grands investisseurs paient à Vanguard pour un fonds similaire. BlackRock réalise aussi des réductions modestes pour d’autres parts de son fonds.
Les frais des fonds actions aux Etats-Unis sont tombés à un nouveau record à la baisse, la pression sans relâche des concurrents passifs ayant obligé les sociétés de gestion à réduire les coûts afin d’enrayer les rachats, rapporte le Financial Times. En moyenne, le ratio de dépenses («expense ratio») d’un fonds actions aux Etats-Unis est descendu à 0,55 % en 2018, contre 0,59 % l’année précédente et environ moitié moins qu’en 2000, selon des données de l’Investment Company Institute. En plus de réduire les frais sur les stratégies actives, de nombreuses sociétés de gestion ont lancé des fonds passifs à des prix faibles pour gagner des parts de marché. Le phénomène a été dénommé «feemageddon» par certains analystes.