Francesco Grosoli, head of wealth management activities in Europe, the Middle East and Africa (EMEA) at Barclays, is leaving the firm after 12 years at the group, the specialist website finews reports. Grosoli will be temporarily replaced by Jean-Christophe Gerars, chief investment officer at the Barclays private bank, who joined the bank about 17 months after a 25-year career at HSBC. The bank’s ambitions in the EMEA region remain unchanged, it says, with an increased presence in the region which includes Monaco, Switzerland and Dubai.
Francesco Grosoli, responsable chez Barclays des activités de gestion de fortune pour l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique (EMEA) quitte la société après douze ans au sein du groupe, rapporte le site spécialisé finews. L’intéressé sera remplacé provisoirement par Jean-Christophe Gerard, responsable des investissements au sein de la banque privée de Barclays, qui a rejoint la banque il y a environ 17 mois après avoir passé environ 25 ans chez HSBC. Les ambitions de la banque dans la région EMEA restent inchangées, indique-t-on, avec une présence renforcée dans cette zonequi comprend Monaco, la Suisse et Dubai.
There is still a long way to go until it reaches tidal wave scale, but the trend exists and deserves to be noted. Hedge funds, which in the past had avoided Tokyo and opted instead for Hong Kong and Singapore, seem to be betting on Japan again. In the past 12 months, at least eight companies have moved to Tokyo, according to Nomura Holdings, the news agency Bloomberg reports. Japan has not seen such an inflow since 2014, according to statistics from Eurekahedge. However, the attraction of having a presence in Japan is clear: the country has a pension fund universe that is among the largest in the world, and these pension funds are always looking for returns in a context of rates that remain near zero, and an ageing population. This environment is particularly attractive to hedge funds, which are exposed to major redemptions and worsening margins. Currently, out of JPY79trn, or about €634bn in capital in corporate retirement programs, only 5.4% were invested in hedge funds as of the end of March 2018, according to statistics from the Japanese pension fund association. By comparison, allocation to hedge funds by Yale University is 26.1%.
On est encore loin du raz-de-marée mais le phénomène existe et mérite d'être souligné. Les hedge funds, qui ces dernières années évitaient Tokyo pour s’installer plutôt à Hong Kong et Singapour, semblent à nouveau faire le pari du Japon. Au cours des douze derniers mois, au moins huit sociétés se sont ainsi installées à Tokyo, selon Nomura Holdings, rapporte l’agence Bloomberg. Le Japon n’avait pas connu une telle affluence depuis 2014, selon des données d’Eurekahedge. Il faut dire aussi que le processus d’enregistrement des hedge funds, bien connu pour sa lourdeur, a été singulièrement simplifié et peut être désormais réalisé en l’espace de quelques mois dans certains cas, souligne-t-on. Plus précisément quatre à cinq mois contre environ deux ans auparavant. Cela dit, l’intérêt d’une présence au Japon est assez évident :le pays comprend un univers de fonds de pension parmi les plus importants du monde et ces fonds de pension sont toujours à la recherche de rendements dans un contexte de taux toujours proches de zéro et une population vieillissante. Un environnement particulièrement intéressant pour des hedge funds exposés à des rachats importants et des rachats sur les marges. Actuellement, sur les 79.000 milliards de de yen ou environ 634milliards d’eurosdes capitaux dans les programmes de retraites d’entreprise, seulement 5,4% sont investis dans des hedge funds à fin mars 2018, selon des données de l’association japonaise des fonds de pension. A titre de comparaison, l’allocation de l’université de Yale dans les hedge funds s'élève à 26,1%.
Although Brexit and commercial tensions are dominating the news, European Union leaders are warning against another potential risk to the region and the global economy more generally: the growing size of new systemic financial players who are so far not highly regulated. The development of rules for the functioning of financial markets and investment strategies has favoured the emergence of new financial giants in the past few years, including the settlement and clearing-house LCH, based in London, and asset managers such as the US firm BlackRock. Some EU leaders claim the growth of these players has not brought with it a concomitant strengthening of regulations, which causes risks to financial stability. In separate documents obtained by Reuters, the EU points to a need for new rules to reduce these risks. One such document from the Romanian EU presidency, calls a meeting of finance ministers, which will be held at the end of this week in Bucharest, and proposes to study measures to prevent potential dangers to financial stability due to the asset management sector and settlement and clearing houses. These dangers are also cited in a document from the European Systemic Risk Board (ESRB), led by Mario Draghi, chairman of the European Central Bank (ECB). The confidential document, which is to be presented in Bucharest, lists risks to financial stability, including shadow banking, an area which includes asset managers and investment funds. Commercial tensions and Brexit are at the top of this list, and these phenomena also imply risks related to bank fiancing and debt. The major causes for concerns over shadow banking are its size and the complexity of these under-regulated activities, the level of leverage in some funds, the low level of risk monitoring, and the lack of transparency. BlackRock, the top player in fund management, manages about $6trn (€5.33trn), which makes it a player larger than some international banks. Despite its size, it is subject to less strict regulatory constraints and supervision than is applied to the banking sector. EU countries are expected to express concerns about this subject at a meeting of G20 finance ministers in Washington on 11 and 12 April, and to call on its partners to respond, if necessary, to “emerging financial vulnerabilities” related to these financial actors.
Mirova, la société de gestion dédiée à l’investissement responsable de Natixis Investment Managers, a lancé un fonds actions thématique dédié à l’investissement dans des entreprises favorisant l’égalité entre les femmes et les hommes et la représentation des femmes au sein des instances dirigeantes des entreprises, le Mirova Women Leaders Equity Fund. Pour identifier les entreprises engagées en faveur de la diversité, Mirova s’appuie sur plusieurs critères quantitatifs. Ainsi, les entreprises éligibles devront avoir 30 % de femmes au sein du comité exécutif, alors que cette part n’est que de 13 % pour le MSCI monde, a expliqué Soliane Varlet, la gérante du fonds, au cours d’une conférence de présentation du fonds. La gérante retient aussi les sociétés ayant une femme CEO et/ou une femme COO. «Nous comparons enfin la part de femmes dans les effectifs globaux et celle des femmes au sein du comité exécutif. Si l’écart entre les deux est inférieur à 15 points, l’entreprise rentre dans l’univers. Par exemple,Adobe a 30 % de femmes dans ses effectifs, ce qui est peu, mais 23 % dans le top management, ce qui fait qu’elle entre dans l’univers», détaille-t-elle. Ensuite, une étude plus qualitative est réalisée, pour vérifier s’il y a des femmes à des postes clés (comme responsable de la recherche et du développement dans une société pharmaceutique par exemple), si des politiques spécifiques sont mises en places telles que le sponsorhip ou les congés parentaux pour les hommes... Ces analyses permettent d’obtenir 240 valeurs à l’échelle mondiale, «ce qui est faible», reconnaît Soliane Varlet. D’ailleurs, l’idée de faire un fonds purement européen a été assez vite écartée car l’univers était beaucoup trop restreint. Malgré l’étroitesse de l’univers, «nous avons une répartition sectorielle et géographique diversifiée», souligne la gérante. Toutefois, on observe quelques biais. D’un point de vue sectoriel, il y a une surpondération de la technologie, ce qui a constitué une surprise pour Mirova.«Beaucoup de tech ont des CFO femmes, même si elles ont peu de femmes dans les effectifs», explique Soliane Varlet. Concernant la géographie, «le seul biais est que nous sommes sous-pondérés sur l’Asie, car peu de sociétés japonaises remplissent les critères», note-t-elle. Sur cet univers thématique, Mirova applique son analyse financière classique. Au final, la gérante aboutit à un portefeuille de 50 valeurs, avec un turnover assez faible de 4 à 5 entreprises qui entrent ou sortent chaque année. «Notre utilisons des critères mesurables et objectifs», souligne Mathilde Dufour, responsable recherche en investissement responsable de Mirova. «Et nous aurons une politique d’engagement dédiée pour toutes les entreprises dans lesquelles nous investirons», ajoute-t-elle. Pour compléter le dispositif, Mirova a mis en place un partenariat avec le Comité ONU Femmes France. La société s’engage à reverser une partie des frais de gestion du fonds au Comité ONU Femmes France, pour financer les actions d’ONU Femmes en faveur de l’autonomisation des femmes. Ainsi, Mirova contribuera à la réalisation de l’Objectif de Développement Durable n°5 défini par l’ONU : parvenir à l’égalité des sexes et rendre autonomes toutes les femmes et les filles.
Le fournisseur européen d’ETF obligataires Tabula Investment Management Limiteda lancé sur le London Stock Exchange un nouvel ETF, le Tabula J.P. Morgan Global Credit Volatility Premium Index UCITS ETF («TVOL»), qui offre une exposition passive capturant la différence entre les volatilités implicites et réalisées du marché des options des indices de Credit Default Swap (CDS). Cet ETF réplique les rendements de l’indice J.P. Morgan Global Credit Volatility Premium Index qui vend des options sur l’indice iTraxx Crossover (75 entreprises européennes) et CDX HY (100 entreprises nord-américaines), tout en couvrant l’exposition aux spreads de crédit quotidiennement. La stratégie qui en résulte offre une performance basée sur la différence entre la volatilité implicite et la volatilité réalisée de ces options. Historiquement, le marché des options sur indices de CDS prédit une volatilité supérieure à celle réalisée. Le marché des options sur indices de CDS est large et liquide. En effet, le volume quotidien est d’environ 27 milliards de dollars. Cependant, bien qu’il existe une multiplicité d’acheteurs d’options de crédit, les vendeurs sont limités, les barrières à l’entrée étant élevées. Ce déséquilibre structurel contribue à ce que la différence historique entre la volatilité implicite et réalisée de ce marché soit supérieure à celle du marché actions. En vendant des options sur indices de CDS et en couvrant systématiquement l’exposition de ces options aux spreads de crédit («delta hedging»), la stratégie cherche à capturer la prime de volatilité tout en minimisant le risque de marché. L’ETF de Tabula permet de s’exposer à un marché difficile d’accès dans une enveloppe passive et liquide, sans avoir de contrat ISDA en place et de gestion des appels de marges. Cet ETF réplique son indice sous-jacent via un swap total return tout en investissant les liquidités résiduelles dans des obligations gouvernementales à court-terme. «Les investisseurs sont à la recherche de nouvelles sources de rendement structurels ayant des corrélations limitées avec les marchés indiciels classiques», commente Michael John Lytle, Directeur général de Tabula, cité dans un communiqué, «nous sommes très heureux de pouvoir travailler avec JP Morgan afin de fournir à nos clients un moyen d’exploiter cette prime de risque».
Union Investment et le groupe spécialisé dans l’investissement immobilier ZBI ont signé un accord avec le groupe BGP pour l’acquisition de 16.000 unités résidentielles, selon un communiqué publié par Union Investment. Les investisseurs pourront ainsi s’exposer à la classe d’actifs dans les fonds Unilmmo: Wohnen ZBI pour un montant de 1,2 milliard d’euros, et ZBI Union Wohnen Plus pour un montant de 0,2 milliard d’euros. Au cours des 24 derniers mois, les deux partenaires ont ainsi réalisé pour environ 4 milliards d’euros d’acquisitions dans l’immobilier résidentiel, dont 1,9 milliard d’euros dans six transactions depuis le début de l’année.
Carmignac has announced the appointment of Marie-Anne Allier as co-manager of the European bond funds Carmignac Sécurité and Carmignac Portfolio Sécurité. Carmignac Sécurité was founded in 1989, and is now one of the largest funds at the group by assets under management (€11.86bn as of 29 March 2019). Before joining Carmignac, Allier had been head of European fixed income management at Amundi from 2010. In her 30-year career, she has also served in senior positions in fixed income maangement at SG Asset Management and GTI Finance. She began her career at Sogeposte as a fixed income manager. Allier will begin at Carmignac on 29 April, and will report to Rose Ouahba, head of the bond team at Carmignac. She will be based in Paris, and will work with Keith Ney, manager of Carmignac Sécurité since 2013 and co-manager of Carmignac Portfolio Patrimoine Europe with Mark Denham, head of European equities. The investment strategy of the fund will remain unchanged.
Carmignac annonce la nomination de Marie-Anne Allier en tant que co-gérante des fonds obligataires européens Carmignac Sécurité et Carmignac Portfolio Sécurité. Carmignac Sécurité a été créé en 1989 et est aujourd’hui l’un des plus importants fonds du groupe en termes d’encours sous gestion (11,86 milliards d’euros au 29/03/2019). Avant de rejoindre Carmignac, Marie-AnneAllier était responsable de la gestion taux européens chez Amundi depuis 2010. En trente ans de carrière, elle a également occupé des postes seniors dans la gestion de taux chez SG Asset Management et GTI Finance. Elle a débuté sa carrière chez Sogeposte en tant que gérante taux. Marie-Anne prendra ses fonctions chez Carmignac le 29 avril et sera rattachée à Rose Ouahba, responsable de l’équipe obligataire chez Carmignac. Elle sera basée à Paris et travaillera avec Keith Ney, gérant de Carmignac Sécurité depuis 2013 et co-gérant de Carmignac Portfolio Patrimoine Europe avec Mark Denham, responsable des actions européennes. La stratégie d’investissement du fonds reste inchangée.
La banque suisse UBS étudierait plusieurs scénarios concernant l’avenir de sa gestion d’actifs, indique vendredi Bloomberg en citant des sources anonymes. Le groupe envisagerait une cession partielle ou une fusion. UBS aurait notamment envisagé une acquisition de DWS, la filiale cotée de gestion d’actifs de Deutsche Bank, puis une scission de l’entité combinée avec UBS AM.
Orange a annoncé ce 3 avril qu’Amundi, BNP Paribas, Crédit Agricole CIB, Natixis et OFI AM, via la SICAV S2iEM,rejoignaientson initiative NowCP, la place de marché digitale d’émission et de négociation de titres de créances à court terme. «En réunissant émetteurs, investisseurs et intermédiaires sur une seule plateforme, NowCP offre un service de financement et d’investissement quasi instantané, de la négociation jusqu’au règlement-livraison en monnaie banque centrale, grâce à l’utilisation intégrée d’un Dépositaire Central de Titres de nouvelle génération, s’appuyant sur une technologie de registre distribué», souligne un communiqué. Agréée par l’ACPR (après avis de l’AMF), NowCP ambitionne de révolutionner le financement et la gestion de la trésorerie des émetteurs et des investisseurs en fluidifiant les échanges, étendant les heures de négociation, et ainsi créer un marché européen du Commercial Paper, plus profond, plus liquide et plus sûr.«Orange remercie les partenaires qui rejoignent NowCP et nous permettent de transformer une idée en une place de marché d’un genre unique, permettant d’apporter transparence et instantanéité à un marché financier, avec l’ambition d’en faire un atout de compétitivité pour l’économie européenne », a déclaréJérôme Berger, Directeur Financement et de la Trésorerie d’Orange et responsable du Groupe dans les infrastructures Fintech, cité dans lecommuniqué.
LaSalle Investment Managementa annoncé ce 3 avril la signatured’une promesse d’achat en vue d’acquérir pour le compte d’Encore+, un fonds core+ paneuropéen, Westend Yards sous sa gestion, un immeuble de bureaux à Munich, pour 134millions d’euros. Westend Yards est un immeuble de bureaux de six étages d’une surface locative de plus de 31000 m², situé à Hansastrasse, dans le Westend de Munich, le plus important quartier de bureaux de la ville adjacent au quartier central des affaires. L’immeuble est actuellement loué en intégralité à plusieurs locataires, dont l’institut Fraunhofer, la plus grande organisation européenne spécialisée dans la recherche en sciences appliquées, employant plus de 25000 personnes à travers le monde. À long terme, LaSalle explorera la possibilité de rénover ou de restructurer l’immeuble et d’accroître sa surface locative totale. Ce projet d’acquisition renforce l’exposition du fonds au marché immobilier de bureaux de Munich, le plus porteur d’Allemagne grâce à un faible taux de vacance couplé à une forte demande. En outre, cet actif répond parfaitement aux critères DTU+E définis par LaSalle, qui permettent d’évaluer sur le long terme la capacité des marchés à s’adapter aux évolutions démographiques, technologiques, urbaines et environnementales. Cette opération fait suite à l’acquisition d’ElseBella, portefeuille de deux immeubles de bureaux à Munich, pour un montant de 169millions d’euros en décembre 2018 pour le compte d’Encore+.
La start-upVestwell, une plateforme digitale dédiée au traitement des contrats de retraite américains, a annoncé ce 2 avril une levée de fonds de 30 millions de dollars pilotée par Goldman Sachs et sa division CIMD (Consumer and Investment Management Division), accompagnée de Point72 Ventures ainsi que par plusieurs fournisseurs de services financiers actifs dans le secteur de la retraite, dont l’activité de capital risque de Nationwide, Allianz Life Ventures, BNY Mellon et Franklin Templeton. Des investisseurs historiques ont également participé à ce tour de table, F-Prime Capital,FinTech Collective, Primary Venture Partners, etCommerce Ventures. Cette levée de fonds va permettre à Vestwell de poursuivre ses investissements dans la technologie et les services à la clientèle a fin d’améliorer son offre de programmes de retraite en architecture ouverte. La jeune société envisage notamment de recruter une trentaine de nouveaux collaborateurs, ce qui porterait son effectif à environ 80.
Comptant parmi les pionniers de l’investissement d’impact et du microcrédit au plan mondial, la société d’origine genevoise BlueOrchard, désormais basée à Zurich, enregistre actuellement une croissance supérieure à la moyenne en Afrique, rapporte L’Agefi suisse. La révolution numérique en cours dans plusieurs pays du continent contribue en effet à favoriser l’investissement d’impact pour les investisseurs qui poursuivent des objectifs visant à procurer des solutions financières, économiques, sociales ou environnementales aux populations du continent. Parallèlement au rendement financier qu’ils sont en droit d’attendre dans cette catégorie d’investissement en plein essor. Le Global Impact Investing Network (GIIN) estimait lundi que les actifs gérés dans cette catégorie, dans son acception élargie, ont plus que doublé l’an dernier pour s’établir à 502 milliards de dollars au plan mondial. Lors d’un pointde presse mardi à Zurich, Patrick Scheurle, le CEO de BlueOrchard n’a pas manqué de souligner que la microfinance a été l’an dernier l’une des rares classes d’investissement à avoir enregistré des rendements positifs. «Pour nous, 2018 a été une année record, avec des rendements en dollars de quelque 5%, soit environ 2% en francs après prise en compte des coûts de couverture». Alors que le rendement annuel moyen, en dollars, obtenu ces 20 dernières années par BlueOrchard s’est établi à 4,3%, pour les investisseurs, avec une seule année négative (-0,7%). En clair, la demande des investisseurs institutionnels, caisses de pensions, assurances et family offices ne se dément pas. Depuis sa fondation en 2001, la société a investi six milliards de dollars dans 80 pays et participé au financement de 475 banques ou établissements financiers. Ce qui a permis à plus de 200 millions de personnes d’accéder à des services financiers ou assimilés, selon le bilan brossé par Peter A. Fanconi, le président du Conseil d’administration de la société.
Les actifs conseillés de Vontobel ont progresséde 8% au cours desdeux premiers mois de cette année, selon un communiqué du groupe suisse publié ce 2 avril à l’occasion de l’assemblée générale des actionnaires. A fin février, les actifs conseillés s’inscrivaient ainsi à207,1 milliards de francs, contre 192,6 milliards à fin 2018. Cette progression repose en grande partie sur l'évolution positive des marchés en début d’année, précise Vontobelqui ajoute que les entrées nettes, qui ont surtout concernél’Asset Management, ont aussi apporté leur contribution. Vontobel continue de tabler sur des incertitudes politiques et économiques croissantes et sur des marchés volatils. «Nous attendons en 2019 un environnement de marché toujours très exigeant et caractérisé par la pression continue sur les marges», a déclaré le patron Zeno Staub devant les actionnaires. La banque vise une poursuite de la croissance et le renforcement de sa position sur ses marchés clés. «Nous sommes en bonne voie pour atteindre nos objectifs 2020", a affirmé le responsable. Les actionnaires ont approuvé toutes les propositions du conseil d’administration, notammentun dividende de 2,10 francs par action.
La société de gestion Santalucía Asset Management a nommé Luis Merino González en qualité de responsable de l'équipe de gestion obligataire composée d’Ignacio Díez et de Carlos Culla, rapporte Funds People. Depuis mars 2017, Luis Merino était directeur des investissements et de l’analyse chez Wealth Solutions EAFI. Auparavant, il a travaillé pendant 19ans chez CaixaBank AM en tant que gérant de fonds, directeur de la gestion obligataire, responsable du secteur financier, de la finance structurée et la titrisation.
Pour sa dixième édition, Il Salone del Risparmio, le salon italien dédié à l’épargne, a encore attiré un nombre important de sociétés partenaires. Ainsi, une centaine d’entreprises, associations professionnelles ou médias avaient un stand. Sur ce total, environ 70 étaient des sociétés de gestion. Parmi les sociétés de gestion, on pouvait noter la présence d’une dizaine de maisons françaises. Amundi, qui fait désormais partie des géants du secteur italien, répondait à l’appel. BNP Paribas Asset Management, Natixis IM et Axa IM étaient aussi de la partie. Mais on trouvait aussi plusieurs boutiques ou maisons de taille moyenne comme Amiral Gestion, Carmignac, DNCA Finance (qui fait toutefois partie du groupe Natixis), La Financière de l’Echiquier, La Française, Oddo BHF, Sycomore Asset Management… Pour Amiral Gestion, la présence au Salone était une première, la société couvrant ce marché depuis 6 mois seulement depuis Madrid. «Cela nous permet de nous faire connaître», a indiqué à NewsManagers Francisco Rodriguez D’Achille, responsable des ventes aux institutionnels. Sycomore AM fait aussi ses premiers pas cette année au Salone. L’arrivée d’un actionnaire italien (Generali, qui était toutefois absent de l’événement) et le thème de la finance durable et responsable du salon ne sont pas étrangers à cette présence… D’autres sociétés françaises étaient présentes, sans stand, comme Trusteam Finance… et peut être d’autres… Le marché italien de la gestion d’actifs a connu plusieurs années de forte collecte, avant de ralentir brusquement l’an dernier.
The 2i Sélection fund, managed by Amilton Asset Management, has selected the Aequam Dynamic Premia Equity Europe fund, managed by Aequam Capital, for investment. 2i Sélection will invest in the multi-factoral fund from this month. The Aequam Dynamic Premia Equity Europe fund, launched in April 2018, deploys a quantitative flexible long only strategy for European equities, via a dynamic allocation to style factors. “Our genetic algorithm allows us to optimise our odds of beating the market over the long term, by significantly reducing the volatility of our clients’ portfolios,” says Arnaud Chretien, chairman of Aequam Capital.
Le fonds de place2i Sélection, géré par Amilton Asset Management, a retenu le fonds Aequam Dynamic Premia Equity Europe, géré par Aequam Capital. 2i Sélection va investir dans ce fonds multifactoriel dès ce mois-ci. Lancé en avril 2018, le fonds Aequam Dynamic Premia Equity Europe déploie une stratégie quantitative flexible long only sur les actions européennes via une allocation dynamique en facteurs de styles. «Notre algorithme génétique permet d’optimiser nos chances de battre le marché sur le long terme tout en réduisant sensiblement la volatilité du portefeuille de nos clients», souligne Arnaud Chretien, président d’Aequam Capital.
The tech firm Amun AG on Tuesday, 2 April announced the launch of the first ETP based on Ripple, the third most popular crypto-currency by capitalisation, after Bitcoin and Ethereum. The Amun Ripple ETP fund is listed on the Six Swiss Exchange. It becomes the fourth crypto-currency ETP to be launched by Amun AG since the end of 2018. Ripple is a crypto-currency launched in 2012, whose technical characteristics allow it to compete with SWIFT in the field of financial transactions. The technology has already been adopted by American Express, Santander and Standard Chartered.
The US-based multi-family office Rockefeller Global Family Office has recruited the North American small cap equity specialist Chuck Royce as senior advisor. The chairman and founder of the asset management firm Royce & Associates, now 78, will provide strategic advising to ultra high net worth clients, and will also be appointed as an ambassador for the company. Royce founded Royce & Associates in 1972. His range of funds, now part of The Royce Funds company, is specialised in value management of North American small caps.
Le multifamily office américain Rockefeller Global Family Office a recruté le spécialiste des actions small caps nord-américaines Chuck Royce en qualité de senior advisor. Le président-fondateur de la société de gestion Royce & Associates, âgé aujourd’hui de 78 ans, offrira ses conseils stratégiques à destination d’une clientèle Ultra High Net Worth et sera également investi d’une mission d’ambassadeur de la société. Chuck Royce fonda Royce & Associates en 1972. Sa gamme de fonds, regroupée dans la société The Royce Funds, est spécialisée dans la gestion value de petites capitalisations nord-américaines.
NN Investment Partners (NN IP) has announced that it has pledged to uphold the Equator Principles for its infrastructure and project financing investments. The Equator Principles, whose standards are established by the International Finance Corporation, a World Bank organisation, are a risk management framework adopted by financial institutions to determine, evaluate and manage environmental and social risks for projects. The principles aim primarily to assure minimal due diligence and monitoring standards to apply to responsible risk decision-making. “No funding will be granted to infrastructure and project finance investments that do not comply with the Equator Principles, strengthening the sustainable character of our portfolio of investments,” NN IP says in a statement.
NN Investment Partners (NN IP) a annoncé avoir adopté les Principes de l’Equateur pour ses investissements dans les infrastructures et le financement de projets. Les Principes de l’Equateur, dont les normes sont édictées par la Société financière internationale, une organisation de la Banque mondiale, sont un cadre de gestion des risques adopté par les institutions financières pour déterminer, évaluer et gérer les risques environnementaux et sociaux dans les projets et vise principalement à fournir une norme minimale de due diligence et de suivi pour appuyer la prise de décisions responsables en matière de risques. «Aucun financement ne sera accordé pour des investissements dans les infrastructures et le financement de projets s’il n’est pas conforme aux [Principes de l’Equateur], renforçant ainsi le caractère durable de notre portefeuille d’investissements», a indiqué NN IP dans un communiqué.
BlackRock on Tuesday announced to its employees, in a memo obtained by the Wall Street Journal, that it is undertaking a large-scale reshuffle of its management and sales teams. The firm points to changes in the asset management sector, “the greatest opportunity of the decade for BlackRock,” according to its head, Larry Fink. The asset management giant will now focus more on private markets, to the detriment of publicly-traded markets. The reorganisation, which has been confirmed to Agefi by a spokesperson at BlackRock, will be the last in a “series of managerial changes introduced worldwide, which aim to simplify the group … to continue to generate growth and robust investment performance.” The alternative asset management professions, which include energy infrastructure, loans, and other non-traditional assets, will now take on more weight at the organisation. BlackRock Alternative Investors will become a “specialised business unit,” with Jim Barry, who had previously been head of real assets, as chief investment officer. Meanwhile, Edwin Conway, who had previously been head of institutional client relationships at BlackRock, will now be responsible for day-to-day management of alternative activities. He replaces David Blumer, now an advisor, who is leaving the executive board of the group. The business unit will also have its own sales team, with 50 members. Alternative assets had previously been sold by multi-product sales teams.