Belgian financial group KBC is continuing its divestment from the tobacco industry, after signing the Tobacco-Free Finance Pledge, a financial engagement to avoid the tobacco industry, in late March. KBC thus extends its current policy of exclusion of the tobacco industry to credit, insurance and sustainable investments by conventional investment funds from KBC Asset Mangement, and its own investment portfolio. The exclusion applies to the manuffacture, wholesale and trading of tobacco products.
La firme d’investissement Bex Capital, spécialisée sur le marché secondaire du private equity, a annoncé ce matin avoir bouclé la levée de fonds pour son dernier véhicule, BEX Fund III, avec des engagements de 365 millions de dollars. La levée de fonds a été réalisée enl’espace de quatre mois, avec une très forte participation des investisseurs historiques et un closing très supérieur à l’objectif de taille initial (280 millions de dollars), souligne un communiqué. Comme ses prédécesseurs, le fonds prendra des participations dans des fonds de fonds de private equity, des fonds secondaires et des fonds de co-investissements, avec une priorité aux marchés et aux actifs matures. Les tickets unitaires pourront aller de 1 million de dollars à 500 millions de dollars. La société d’investissement a introduit à l’occasion de cette levée le concept de «X shares», une classe d’actions réservée aux organisations non gouvernementales (ONG) et aux fondations sans but lucratif. Ces catégories d’investisseurs sont exemptées de commissions et de carried interest, si bien qu’elles peuvent bénéficier à plein de la performance du fonds et réinvestir les rendements dans leurs projets.
Millennium Global Investments, gestionnaire britannique spécialisé auprès des institutionnels sur les devises et sur la couverture du risque de change, a installé son antenne européenne à Paris, a appris NewsManagers. La filiale, baptisée Millennium Global (Europe), a été immatriculée le 29 marsau registre du commerce et des sociétés. Installée rue Mermoz dans le huitième arrondissement de Paris et présidée par le président de Millennium Global,Michael Huttman, elle a pour directeur général Alexandre Potin. La société a pour activité la gestion collectivede portefeuille et plus particulièrement la gestion d’organismes de placement collectifsqu’ils soient de droit français ou étranger ainsi que l’exercice de toutes activité connexes ou complémentaires, notamment la recherche financière. Millennium Global (Europe) est en cours d’agrément auprès de l’AMF selon nos informations. La maison mère, Millennium Global, avait remporté un mandat de 2 milliards d’euros pour gérer activement la couverture du risque de change des actifs de l’Etablissement de retraite additionnelle de la fonction publique (ERAFP) l’an dernier. Plus récemment, début mars, BNP Paribas avait lancé un indice suivant la performance de la stratégie Systematic Currency Alpha de Millennium Global. En dehors de Londres et Paris, la société est notamment implantée à Wilmington dans le Delaware aux Etats-Unis ainsi qu'à Tokyo.
Luisa Florez, directrice de la gestion et recherche thématiques durables de La Banque Postale Asset Management, est élue présidente de l’Association Finance Durable et Investissement Responsable pour la période 2019-2022. Elle remplace Hubert Challe, qui fut directeur de la gestion et recherche ISR de La Banque Postale Asset Management entre mai 2016 et janvier 2019, et qui a fait valoir ses droits à la retraite. Pour rappel, l’association finance et pilote les travaux de la Chaire FDIR («Finance Durable et Investissement Responsable») créée au printemps 2007 à l’initiative de l’Association Française de la Gestion financière (AFG). Elle favorise la collaboration entre professionnels de la gestion d’actifs et chercheurs dont les travaux contribuent au rayonnement international de la Place de Paris sur ce thème essentiel.
Le gestionnaire d’actifs suisse Pictet Asset Management s’est alliée àl'école de commerce espagnole Afi pour le lancement de Megatrends Lab, unlaboratoire dédié aux grandes tendancesde l’investissement. Son activité sera consacrée àla recherche et la formation sur l’investissement dans les secteurs d’investissement en vogue(robotique, biotechnologie, énergies renouvelables ...). Cela passe parla création d’un cours en ligne (Mooc) sur les méga-tendances. Dans un second temps, un indice spécifique sur les grandes tendances pourrait être développé afin que les investisseurs puissent voir si leur portefeuille est exposé ou non aux méga-tendances. Pictet gère actuellement plus de 40 milliards d’euros en stratégies thématiques. Pour Afi, l’initiative dépasse les frontières espagnoles et estime qu’un large potentiel pour celle-ci existe en Amérique latine, notamment au Mexique, en Colombie, au Brésil, au Chili et au Pérou.
CONTRASTES Une simple pause ou une tendance de fond, se demande Emre Tiftik, vice-directeur de l’Institut de la finance internationale (IIF), dans son commentaire du Global Debt Monitor pour l’année 2018. « Seulement » 3.300 milliards de dollars sont venus gonfler l’an dernier le stock de dettes des entreprises, des ménages et financières au niveau mondial ; un encours d’un montant total de 243.000 milliards de dollars. C’est nettement moins que les 21.000 milliards répertoriés en 2017. Les évolutions sont en revanche contrastées par continent ou selon les agents économiques. Les ratios d’endettement sont aussi capables d’accentuer ou d’atténuer l’image des dettes. Ainsi, les emprunts de l’Etat américain ont été importants l’an dernier ; pourtant, « la forte croissance du PIB a permis de ramener le ratio dette/PIB à son plus bas niveau depuis 2005 », relève l’IIF. Le ralentissement de l’endettement vient de la Chine et d’Europe. Un point haut record de 248.000 milliards au premier trimestre a laissé place à une baisse par la suite. Pour finir l’année à un ratio de 317 % du PIB mondial. La croissance de la dette dans les pays émergents a été la plus faible depuis 2001 : 1.000 milliards de dollars. Et un ratio stable de 212 %. Dans les pays matures, le ratio dette/PIB est lui aussi stabilisé à 390 % mais contient des différences significatives selon les pays. « Le Japon, l’Australie et la France enregistrent de fortes progressions tandis que les Pays Bas, le Portugal et l’Irlande voient leurs ratios respectifs diminuer. » La dette totale des Etats-Unis enregistre une hausse de 2.900 milliards à 68.000 milliards et un ratio de 326 %. En Chine, les efforts des autorités politiques pour contenir l’endettement ont porté leurs fruits avec une dette totale contenue à 290 % du PIB. La dette des entreprises chinoises se réduit de 5 à 7 points en raison de la mise sous surveillance du shadow banking local. Les ménages chinois ont pris le relais avec un ratio dette/revenu en hausse de 15 points en deux ans à 115 %.
1.017 milliards d’euros de prêts à l’habitat en France. A peine plus de 600 milliards d’euros il y a 10 ans. Le canal de transmission de la politique monétaire a bien fonctionné et la hausse des prix dans l’immobilier résidentiel tient là son explication. Des taux d’intérêt divisé par deux depuis 2012 ont permis de réduire le coût du crédit entre 2013 et 2019 de 39.000 euros pour 250.000 euros empruntés, signale la Fédération bancaire française. Réduire, c’est vite dit. Ce montant a plutôt été englouti dans les hausses de prix des vendeurs. On appelle même ça un transfert intergénérationnel.
On va pouvoir regarder l’image d’un trou noir. Vous allez dire : quel intérêt ? S’il est entièrement noir, c’est qu’il n’y a rien à voir. C’est pourtant une avancée extraordinaire de l’astrophysique. Apercevoir un trou dont le champ gravitationnel est si dense que tout ce qui y entre, lumière ou matière, ne peut plus en sortir. Les chercheurs à l’origine de cet exploit ont sélectionné trois trous. Parmi eux, notre voisin Sagittaire A. Situé au centre de la Voie Lactée, il a une masse de 4.000 fois celle du soleil et se trouve à 26.000 années-lumière de nous. On pourrait y envoyer nos crises économiques, financières et politiques.
Les volumes fléchissent du côté de l’immobilier de bureau en Ile-de-France. Selon les résultats d’ImmoStat pour le premier trimestre de l’année, la demande placée, qui rassemble à la fois le volume des transactions locatives et ceux des ventes à utilisateurs, s’élève à 541 300 m², soit une baisse de 23 % par rapport à la même période de 2018. C’est sur les grandes transactions que le décrochage est le plus important : -51 % en volume, et -29 % en nombre, avec un différentiel de 6 transactions sur le segment compris entre 10.000 et 25.000 m². Cependant, les conseils en immobilier rappellent que le 1er trimestre 2018 avait été exceptionnel. Du côté des investissements, avec 2,4 milliards d’euros au compteur, les volumes fléchissent de 22 %.
Une étude de Morningstar citée par le Wall Street Journal montre que les fonds « diversité » et ESG ne votent pas toujours de manière cohérente avec les valeurs qu’ils affichent. Ainsi, l’ETF sur la diversité hommes/femmes de State Street (SHE), lancé il y a trois ans, a soutenu seulement 2 des 10 résolutions d’actionnaires demandant que les entreprises augmentent la diversité du conseil ou dévoilent davantage d’informations sur les salariés ou l’égalité des rémunérations. « C’est une chose d’acheter des titres respectant certains critères, mais c’en est une autre de voter pour soutenir ces sujets », commente Madison Sargis, directrice associée de la recherche quantitative de Morningstar, insistant sur l’accompagnement à la transformation.
RELATIF L’Union européenne (UE) songerait à fixer de nouvelles règles pour réduire les risques autour du « shadow banking », selon Reuters, qui a pu consulter divers documents allant dans ce sens. L’un d’eux, rédigé par la présidence roumaine de l’UE, propose d’étudier des mesures permettant de prévenir une éventuelle remise en cause de la stabilité financière par le secteur de la gestion d’actifs et des chambres de compensation. Un autre document du Conseil européen du risque systémique (CERS) énumère les risques pesant sur la stabilité financière, avec comme principaux motifs d’inquiétude la taille et la complexité des activités moins régulées, le niveau élevé d’effet de levier de certains fonds, la faiblesse de la surveillance des risques et le manque de transparence (par rapport aux banques). Les pays de l’UE devraient exprimer leur préoccupation à ce sujet lors de la réunion des ministres des Finances du G20 à Washington les 11 et 12 avril.
RÉVOLUTION L’Europe a publié les standards techniques de la réglementation sur le reporting des opérations de financement sur titres (Securities Finance Transaction Reporting, SFTR). Devront se plier à ces nouvelles exigences de transparence : les banques en avril 2020, les chambres de compensation et dépositaires centraux en juillet 2020, les gestionnaires d’actifs et assureurs en octobre 2020, les émetteurs en janvier 2021. L’enjeu est d’obtenir des données granulaires, exhaustives et standardisées afin d’évaluer les risques sur des activités opaques comme le prêt-emprunt de titres. Pour chaque opération, les contreparties devront transmettre à un référentiel leurs données sur plus de 150 champs, avec mises à jour pour les nombreux événements du cycle de vie de l’opération. Une révolution pour les régulateurs : alors que le reporting sur le repo est déjà soumis aux obligations de la Banque centrale européenne (BCE), le prêt-emprunt restait peu digitalisé.
L’aide publique au développement (APD) des économies avancées a globalement diminué l’an passé, y compris à destination des pays qui en ont le plus besoin en Afrique, selon les données publiées mercredi par l’Organisation de coopération et développement économiques (OCDE). Elle s’est élevée à 153 milliards d’euros, selon une nouvelle méthode de calcul qui prend en compte les dons (83% du total) et les conditions préférentielles des crédits accordés aux Etats les plus pauvres. L’APD calculée selon l’ancienne méthode, fondée sur les flux financiers, se serait élevée à 149,3 milliards d’euros en 2018, soit une baisse de 2,7% par rapport à 2017.
HSBC Global Asset Management a nommé Jean-Charles Bertrand et Joe Little co-directeurs des investissements du multi-asset. L’activité multi-classes d’actifs représente près de 100 milliards de dollars. Joe Little va se concentrer sur le processus d’investissement, tandis que Charles Bertrand s’occupera davantage du budget de risque et de la construction de portefeuilles. Le duo sera rattaché à Chris Cheetham. Jean-Charles Bertrand sera basé à Paris et Joe Little, à Londres. Ils conserveront chacun leurs postes de responsable multi-asset France et responsable de la stratégie d’investissement.
La société de gestion norvégienne DNB Asset Management a fait enregistrer en France son fonds haut rendement DNB Fund High Yield. Domicilié au Luxembourg, ce produit affiche un encours de 287 millions d’euros. L’ensemble de la stratégie haut rendement, qui comprend également un fonds de droit norvégien et des mandats, représente un total de 1,6 milliard d’euros. DNB AM, filiale de la principale banque en Norvège, organisait mardi soir sa première conférence à Paris. La société, qui gère 60 milliards d’euros, s’est lancée en France à la fin de l’année dernière. Pour piloter son développement sur le marché français, elle a recruté Marta Oudot comme responsable de la distribution en charge du marché français.
The Norwegian asset management firm DNB Asset Management has registered its high yield fund DNB Fund High Yield in France. The product, domiciled in Luxembourg, has assets of €287m. The entire high yield strategy, which also includes a Norwegian-reigstered fund and mandates, represents a total of €1.6bn. DNB AM, an affiliate of the largest bank in Norway, on Tuesday evening held its first conference in Paris. The firm, which has €60bn in assets under management, entered France late last year. To guide its development in the French market, it has recruited Marta Oudot as head of distribution and of the French market.
Alto Invest vient de gagner un contrat auprès de Suravenir, l’assureur-vie d’Arkéa, afin de conseiller la part en unités de compte d’un nouveau mandat d’arbitrage destiné à financer l'économie réelle. Ce rôle de conseiller lui a été attribué à la suite du lancement d’une nouvelle gamme de mandats d’arbitrage appelée «Gamme conviction», disponible depuis ce mercredi 10 avril au sein du contrat Patrimoine Vie Plus, distribué par la filiale dédiée aux CGP Vie Plus. Dans le détail, Alto Invest conseillera les 90% d’unités de compte du profil «Conviction économie réelle», qui s’adresse aux souscripteurs «souhaitant participer au développement de projets porteurs de sens et contribuant à l’essor de leur territoire», a expliqué la société de gestion. La société investira principalement dans des PME et ETI européennes de croissance, ainsi que dans des fonds diversifiés dans les grandes classes d’actifs ainsi que dans des zones géographiques variées. Elle s’autorise par ailleurs un maximum de 10% d’investissements dans des supports non-côtés tels que des FCPR.
2018 a été une nouvelle année record pour l’actionnariat salarié en Europe, avec près de 400 milliards d’euros détenus par les salariés, selon lenouveau «Recensement Economique Annuel de l’Actionnariat Salarié dans les Pays Européens en 2018" publié ce11 avril par la Fédération Européenne de l’Actionnariat salarié (FEAS). Les entreprises européennes sont toujours plus nombreuses à organiser des plans d’actionnariat salarié. En 2018, 87,3% d’entre elles organisaient des plans de toutes sortes et 52,3% avaient des plans «pour tous». La croissance est de retour pour le nombre d’actionnaires salariés, à 7,5 millions dans les grandes entreprises; si l’on y ajoute un million d’actionnaires salariés dans les PME, le nombre total atteint 8,5 millions. Toutefois l'érosion du taux de démocratisation de l’actionnariat salarié n’est pas encore stoppée. Face à la crise, une série de pays européens (en particulier la Grande-Bretagne) avaient fait le choix de politiques plus incitatives, voyant la promotion de l’actionnariat salarié et de l'épargne à long terme comme un investissement pour l’avenir. A l’inverse, plusieurs autres pays, dont singulièrement la France,ont choisi de réduire la dépense publique et d’encourager la consommation des ménages, en sacrifiant les incitants à l'épargne et à l’actionnariat salarié. Ces choix politiques ont eu un fort impact sur le taux de démocratisation de l’actionnariat salarié, c’est-à-dire la proportion d’actionnaires salariés dans l’ensemble des salariés, avec un divorce grandissant entre l’Europe continentale et la Grande-Bretagne. Une chute sous les 20% était observée sur le continent, tandis qu’ à l’inverse, le taux de démocratisation grimpait à plus de 25% en Grande-Bretagne. Après un épisode négatif de 2009 à 2013, les décisions politiques sont redevenues positives dans la plupart des pays européens. Le taux de démocratisation a rebondi à 38% en France, illustrant l'élasticité de l’actionnariat salarié aux politiques fiscales. Cependant, les facteurs négatifs pèsent encore dans plusieurs pays. L’Allemagne donne l’image de l’impact négatif de telles politiques sur la démocratisation de l’actionnariat salarié, avec moins de 13%. Source: Feas
Equity funds on sale in Sweden have seen net redemptions of SEK3.9bn, or €373m, in March, according to the latest statistics from the Swedish fund association Fondbolagens Förening. In February, they had attracted €3.5bn. Over three months, equity funds retain a positive balance of SEK1.6bn. Bond funds have largely offset redemptions from equity funds, with SEK4.7bn in inflows. The Swedish fund sector finished March with positive inflows of SEK2.4bn. Over three months, inflows total SEK10bn. As of the end of March, assets in funds on sale in Sweden totalled SEK4.424trn, or €4.24bn, an increase of SEK49bn in one month. 59% of this total is managed in equity funds.
La société de gestion américaine Clarion Partners, spécialisée dans l’immobilier, a annoncé ce 10 avril l’acquisition d’une participation majoritaire dans le groupe immobilier Gramercy Europe (Jersey) Limited, spécialisé dans la logistique et les actifs industriels en Europe. Gramercy Europe deviendra ainsi une unité opérationnelle de Clarion et prendra l’appellation de Clarion Gramercy, avec des bureaux qui seront maintenus à Londres, Berlin et Barcelone. En qualité d’actionnaire majoritaire de Clarion Partners, Legg Mason considère cette opération comme partie intégrante de son engagement stratégique à accompagnerses sociétés affiliées dans l’investissement lorsque se présentent des opportunités de développement. Afin mars 2019, Clarion affichait des actifs sous gestion de quelque 50 milliards de dollars, dont 16 milliards de dollars dans le secteur de la logistique. Gramercy Europe a réalisé ses toutes dernières années plus de 3 milliards de dollars de transactions immobilières sur le marché européen.
Dans le cadre du développement de BlackFin Capital Partners, la société de Private Equity dédiée aux services financiers en Europe, Sabine Mathis, Daniel Cohen-Sabban et Damien Lestang ont été nommés en tant qu’Equity Partners de la société. Aux côtés des quatre associés fondateurs de BlackFin, ils dirigeront les activités d’investissement de BlackFin sur toute l’Europe. Sabine Mathis, 40 ans, a rejoint BlackFin en 2011 en tant que Directeur Administratif et Financier. Depuis, elle a joué un rôle clé dans le succès des fonds grâce à son rôle transversal et opérationnel au sein de BlackFin. Avant de rejoindre BlackFin, Sabine Mathis a passé 3 ans chez Natixis Private Equity International en tant que Directeur Administratif et Financier et 6 ans au sein du cabinet d’audit Ernst & Young / Arthur Andersen. Elleest diplômée d’HEC. Daniel Cohen-Sabban, 35 ans, a rejoint BlackFin en 2011. Au cours des 8 dernières années, ila joué un rôle déterminant dans l’origination et l’exécution de nombreuses transactions aux performances remarquables, telles que NeoXam, New Access, Santiane et Nortia. Avant de rejoindre BlackFin, ila passé 4 ans chez Gilde Buy Out Partners, un fonds de Private Equity mid-market leader au Benelux et dans la région DACH, et 2 ans chez Natixis Private Equity. Daniel est diplômé de l’ESSEC. Damien Lestang, 41 ans, a rejoint BlackFin en 2016. Il supervise plusieurs investissements phares tels que Primonial, FundRock et CED. Avant de rejoindre BlackFin, ila passé 11 ans chez Advent International, l’une des plus grandes plateformes de Private Equity, où il a été Directeur et a participé à de nombreuses transactions allant du mid- au large-cap en France et Europe, notamment Oberthur Technologies, un leader mondial de la fabrication de cartes à puces et de solutions de paiement mobile. Auparavant, Damien a travaillé au sein de l'équipe Leverage Finance de BNP Paribas en Allemagne et pour Idinvest Partners, fonds de capital-risque généraliste. Ilest diplômé d’HEC.
As part of the development of BlackFin Capital Partners, a private equity firm dedicated to financial services inEurope, Sabine Mathis, Daniel Cohen-Sabban and Damien Lestang have been appointed as equity partners at the firm. Alongside the four founding partners at BlackFin, they will direct the investment activities of BlackFin throughout Europe. Mathis, 40, joined BlackFin in 2011 as administrative and financial director. Since then, she has played a key role in the success of the fund, thrugh her transversal and operational role at BlackFin. Before joining BlackFin, Mathis spent three years at Natixis Private Equity International as administrative and financial director, and six years at the auditing firm Ernst & Young / Arthur Andersen. She is a graduate of HEC. Ohen-Sabban, 35, joined BlackFin in 2011. Over the past eight years, he played a determining role in the creation and execution of several deals with remarkable returns, such as NeoXam, New Access, Santiane and Nortia. Before joining BlackFin, he spent four years at Gilde Buy Out Partners, a leading mid-market private equity firm in Benelux and the DCH region, and two years at Natixis Private Equity. Cohen-Sabban is a graduate of ESSEC. Lestang, 41, joined BlackFin in 2016. He oversees several lead investments, such as Primonial, FundRock and CED. Before joining BlackFin, Lestang spent 11 years at Advent International, one of the largest private equity platforms, where he was director and participated in several deals ranging from mid- to large-cap in France and Europe, including Oberthur Techologies, a global leader in the manufacture of chip cards and mobile payment solutions. Lestang previously worked as part of the leveraged finance team at BNP Paribas in Germany, and for Idinvest Partners, a generalist venture capital fund. He is a graduate of HEC.
La société compte sur ces labellisations pour porter les encours des fonds BNPP L1 USA et BNPP L1 Equity Europe DEFI à 2 milliards d’euros d’ici la fin de l’année.
J.P. Morgan Asset Management aannoncé ce mercredi 10 avrille lancement de JPM BetaBuilders US Equity UCITS ETF,qui permet d’offrir une exposition large au marché des actions américaines. Ce nouvel ETF dispose d’une part de capitalisation [BBUS] et d’une part retail [BBUD]. Domiciliés en Irlande, BBUS et BBUD sont désormais cotés sur les places suivantes : London Stock Exchange (LSE), Deutshe Boerse Xetra et Borsa Italiana.Ces ETF viseront un ratio du total des fraisde 4 points de base. «Le portefeuille sera construit de façon à offrir une exposition diversifiée aux grandes et moyennes capitalisations du marché américain, similaire à d’autres indices boursiers largement utilisés sur la place, avec pour objectif de générer des résultats d’investissement proches de l’indice Morningstar US Target Market Exposure℠", explique la société dans un communiqué. Par ailleurs, J.P. Morgan Asset Management a également lancé une part de capitalisation pour les ETF JPM USD Ultra-Short Income UCITS et JPM GBP Ultra-Short Income UCITS, cotée sur la LSE. Domiciliés en Irlande et lancés pour répondre à la demande client, ils viseront un ratio du total des frais de 18 points de base. Pour rappel, la gamme globale d’ETF de J.P. Morgan Asset Management se compose de plus de 45 produits pour 20 milliards de dollars d’actifs sous gestion à fin décembre 2018.
J.P. Morgan Asset Management on 10 April announced the launch of the JPM BetaBuilders US Equity UCITS ETF, which offers broad exposure to the US equity market. The new ETF has a capitalisation share class (BBUS) and a retail share class (BBUD). BBUS and BBUD, domiciled in Ireland, are now listed on the following stock markets: London Stock Exchange (LSE), Deutshe Boerse Xetra and Borsa Italiana. The ETFs will aim for a total expense ratio of four basis points. “The portfolio will be constructed in such a way as to offer diversified exposure to large and midcaps on the US market, like other widely-used market indices, with the objective of generating investment results near those of the Morningstar US Target Exposure℠ index,” the firm explains in a statement. J.P. Morgan Asset Management has also launched a capitalisation share class for the JPM USD Ultra-Short Income UCITS and JPM GBP Ultra-Short Income UCITS ETFs, listed on the LSE. These are domiciled in Ireland and have ben launched to meet client demand, and will aim for a total expense ratio of 18 basis points. The global ETF product range from J.P. Morgan Asset Management is composed of over 45 products, with $20bn in assets under management as of December 2018.