Le premier fonds public-privé régional en France dédié aux sciences de la vie, First, a sélectionné Sofimac Innovation parmi25 candidats sollicités, pour «sa capacité à investir dans des opérations en stade d’amorçage, la complémentarité et l’expérience de son équipe de gestion ainsi que ses liens avec de grands acteurs internationaux». Spécifique à la Région Sud Provence Alpes Côte d’Azur, le fonds First a été créé par Dhune, un programme de recherche sur les maladies neurodégénératives et le vieillissement, ainsi que l’association ProFirst. Il aura pour mission d’accompagner les sociétés les plus prometteuses de la filière santé, en synergie avec les structures performantes déjà en place, mais ausside permettre leur développement en France, et d’accroître leur compétitivité nationale et internationale en leur assurant un financement de long terme.Les responsables envisagent de lever plus de 100 M€ auprès d’acteurs publics et privés. Le fonds Firstaura la capacité́ d’investir sur tous les stades de développement des projets santé de la région Sud. Outre l’apport en capital, la mission du véhicule sera également d’accompagner les entreprises dans leur développement stratégique en parfaite synergie avec l’ensemble de l’écosystème local (pôle de compétitivité, Incubateurs, SATT, etc …). Selon l’analyse réalisée par l’association ProFirst, un investissement de 15 M€ sur 3 à 4 ans des collectivités pourrait rapporter entre 500 et600 emplois directs, 1500 à 2000 emplois indirects, ainsi qu’un réinvestissement des sommes allouées dans l’économie locale estimé à 50% du montant du fonds . «Ce premier fonds public-privé régional en France dédié aux sciences de la vie bénéficiera d’une reconnaissance nationale et internationale car il sera susceptible d’attirer les leaders de l’industrie mondiale et les meilleures équipes scientifiques internationales», vante l’association dans un communiqué. La levée de fonds a débuté et First devrait être opérationnel entre la fin 2019 et le début 2020. De nombreux partenaires publics et privés de la région dont le Crédit Agricole Alpes Provence soutiennent ce projet. First vise 10 à 15 M€ issus des collectivités et 30 à 40 M€ d’argent privé, ainsi qu’un complément de Bpifrance, du SGPI et de la Banque européenne d’investissement.
Dans un courrier envoyé au régulateur des marchés financiersespagnol CNMV et publié le 12 juillet par le superviseur, la société de gestion H2O Asset Management qu’elle ne rencontreaucun problème pourliquider les participations dans le portefeuille d’H2O Adagiodans le but desatisfaire les demandes de remboursements. Mais la société ajoute qu’elle «espère» rembourser ses clients «dans des délais normaux». Dans sa lettre auprès du régulateur, elle accuse nommément le Financial Times d'être responsable de la «décollecte significative"subie par son fonds H2O Adagio. H2O, qui a indiqué la semaine dernière avoir enregistré 8 milliards d’euros de décollecte depuis le 18 juin, fait référence à l’article du FT Alphaville commentant certaines positionsdu fonds H2O Adagio. Dans sa missive, la boutique de Bruno Crastes explique que la diminution de l’actif n’affecte ni la structure du fonds ni son profil de risque et qu’afin queles remboursements «ne nuisent pas» aux investisseurs restants, elle a activé «un mécanisme d’ajustement par dilution».
Le groupe bancaire Bellevue a annoncé ce vendredi 12 juillet avoir vendu sa participation dans l’opérateur boursier SIX Swiss Exchange. Sans dévoiler le montant de la transaction, Bellevue a indiqué que sa position était valorisée à hauteur de 53,4 millions de francs suisses en fin d’année dernière. Le groupe suisse a indiqué avoir vendu sa position car celle-ci n'était désormais plus stratégique, et parce qu’une offre supérieure à la valorisation de fin 2018 lui avait été proposée. Le produit de la vente sera utilisé pour de la croissance, et pourrait également être retourné en partie aux actionnaires.
Selon les estimations d’Inverco, l’association des gestionnaires d’actifs et des fonds de pension espagnols, la gestion discrétionnaire en Espagne pesait quelque 74 milliards d’euros à la fin du premier trimestre 2019. Une estimation basée sur les données des 34 gestionnaires hispaniques membres de l’association. Inverco estime également que600.000 portefeuilles sont gérés de façon discrétionnaire au total sur le territoire espagnol. Les gestionnaires membres d’Inverco en recensent 577.990. Le patrimoine moyen géré s'éléverait à 124.000 euros. Inverco conclut que40% de la gestion discrétionnaire en Espagne se fait à travers des investissements en fonds d’investissement collectifs de gestionnaires tiers.
La société de gestion DWS a annoncé jeudi 11 juillet le lancement d’un nouveau fonds obligataire ESG. BaptiséDWS Invest ESG Euro Corporate Bonds, le fonds se concentrera sur les obligations corporate investment grade au sein de l’Eurozone. L’application du filtre ESG de DWS «réduit l’univers d’investissement classique de la classe d’actifs d’environ 20 %», précise la société de gestion dans un communiqué. Le fonds sera géré parKarsten Rosenkilde, qui gère déjà la version non-ESG du fonds : DWS Euro Corporate Bonds. Le fonds appliquera les exclusions classiques des sociétés et secteurs controversés qui ne respectent pas le «United Nations Global Compact». De plus, le fonds appliquera une sélection best-in-class notamment basée sur la réduction des émissions CO2.
L’autorité danoise de la concurrence a approuvé l’acquisition par la banque danoise Nykredit de la société de gestion danoise Sparinvest. L’accord avait été annoncé en mars dernier. Elle prévoit que Nykredit rachète 75 % du capital de Sparinvest.
Aviva Investors France va lancer son premier fonds multi-actifs thématique Aviva Croissance Durable ISR. «Le fonds met en oeuvre une stratégie d’investissement de conviction autour de trois thèmes principaux : la lutte contre le réchauffement climatique, la préservation des ressources de la planète et l’amélioration des conditions de vie des individus», explique un communiqué. Le fonds a obtenu le Label public « Investissement Socialement Responsable » (ISR) le 8 juillet dernier. Il va intégrer l’offre d’assurance-vie Aviva Vie Solutions Durables commercialisée depuis le 15 avril dernier par Aviva France. Le fonds sera également vendu aux clients externes institutionnels, sélectionneurs et distributeurs. Les gérants du fonds sont : Jean-François Fossé pour l’allocation des poches; Françoise Cespedes pour la poche actions; Karine Petitjean pour la poche crédit; Geoffroy Lenoir pour la poche des taux souverains. Son périmètre d’investissement s'établit entre 30% à 50% en actions et entre 50% à 70% en taux (crédit et souverain) avec un investissement cible de 60% de taux. Il devrait comporter une centaine de valeurs.
La société de gestionsuisse Key Advisors a nommé Daniel Wiser en tant que nouvel associé. L’intéressé travaillait depuis2001 au sein de l'équipe de gestion de portefeuille de la banque Mirabaud & Cie. Depuis 2006, il s'était concentré sur le développement de la clientèle privée et institutionnelle en Suisse et à l’international. Daniel Wiser sera le cinquième associé de Key Advisors aux côtés de Renato Ghidini, Sven Mathis, Mario Pirola etGérald Christe.
La société de gestion américaine Cohen & Steers a enregistré des rachats nets de de 215 millions de dollars en juin. Ses encours s’établissent ainsi à 62,4 milliards d’euros, en repli de 488 millions par rapport au 31 mai 2019.
La société de gestion italienne Arca Fondi SGR a choisi BNP Paribas Securities Services comme fournisseur de services de clearing pour les dérivés, rapporte Funds People Italia. L’accord étend les services offerts par la banque aux fonds de droit italien, à la Sicav luxembourgeoise, au fonds de pension et aux mandats de gestion pour un total de 32 milliards d’euros.
Dans le cadre de ses contrôles courts et thématiques intitulés « SPOT » (Supervision des Pratiques Opérationnelle et Thématique), l’AMF a examiné les dispositifs d’investissement socialement responsable (ISR) de 5 sociétés de gestion (SGP) et l’intégration des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance («ESG»). Son objectif: s’assurer que l’information délivrée aux investisseurs en matière d’ISR est claire, exacte et non trompeuse, et conforme au processus d’investissement et de gestion mis en œuvre.La finance durable constitue l’un des axes stratégiques retenus par l’AMF dans sa vision #Supervision2022. C’est pourquoi l’ISR a été choisi parmi les premières thématiques des contrôles SPOT mis en place par le régulateur depuis 2018, au-delà du rapport sur l’ISR dans la gestion collective dont la troisième édition devrait paraître à l’automne 2019.Les obligations professionnelles des SGP en matière d’ISR reposent essentiellement sur des exigences de reporting à l’égard des investisseurs. Les SGP sont ainsi tenues, depuis 2011, de publier les modalités de prise en compte dans leur politique d’investissement des critères relatifs au respect d’objectifs sociaux, environnementaux et de qualité de gouvernance ESG. Le décret d’application de la loi sur la Transition Énergétique pour la Croissance Verte (TECV), publié le 31 décembre 2015, a marqué une nouvelle étape concernant les exigences de reporting ESG, en particulier celle lié au climat. Il est venu préciser, selon un plan détaillé, les informations à fournir pour chacun des critères ESG.Au-delà des obligations de reporting, et à l’aune des constats réalisés dans le cadre de contrôles classiques, l’AMF a examiné lors de ses contrôles SPOT :l’organisation du dispositif ISR et les moyens mis en œuvre ;le caractère suffisamment opérationnel des procédures d’investissement et de gestion des risques encadrant le dispositif ISR ;la méthodologie ISR mise en place (données, critères ESG, prise en compte du risque climat, notation des émetteurs, sélection des titres, exclusion de valeurs, politique d’engagement, recours ou non à des fournisseurs externes) ;la cohérence du processus d’investissement au regard des procédures internes au travers d’un test sur un échantillon de 4 à 6 valeurs en portefeuille des fonds gérés par la SGP ;l’information a priori et a posteriori fournie aux investisseurs ;le dispositif de contrôle mis en place sur la thématique ISR.Méthodologie et processus d’investissementTant au cours des missions de contrôle classiques que des missions de contrôle SPOT, l’AMF a relevé que les SGP ont toutes adopté une approche homogène de la gestion ISR pour l’ensemble de la gamme de fonds gérés. L’AMF a également relevé une diversité des méthodologies mises en œuvre par les SGP. Trois des SGP contrôlées utilisent les données ESG de 4 fournisseurs de données. Parmi les bonnes pratiques observées en matière de méthodologie et de processus d’investissement, l’AMF relève:une approche ISR s’appuyant ou fondée à la fois sur les risques liés aux produits et services proposés par l’émetteur et sur les opportunités liées aux processus de l’émetteur au regard des enjeux ESG;un dialogue avec les émetteurs mettant l’accent sur les critères ESG annoncés aux clients;la mise en place d’une piste d’audit formelle et exhaustive du processus d’investissement et de désinvestissement permettant d’assurer une cohérence entre la politique d’investissement, la méthodologie communiquée aux investisseurs et le processus mis en œuvre en pratique.L’information fournie aux investisseursL’information mise à disposition des investisseurs est abondante et très hétérogène d’une SGP à une autre. L’AMF n’a pas relevé de manquement concernant la cohérence entre le processus d’investissement des fonds gérés et l’information communiquée au public. D’une manière générale, pour l’ensemble des SGP, l’information communiquée aux porteurs des fonds est cohérente d’un document à l’autre. Toutefois, l’AMF a pu constater que l’information présentée dans un même document est parfois incomplète et peu claire.Parmi les bonnes pratiques relatives à l’information, l’AMF relève :la présentation dans les prospectus / DICI des fournisseurs de données utilisées, en s’assurant de la mise à jour éventuelle de l’information fournie;l’indication fonds par fonds des entreprises les plus émettrices de CO2, en définissant les différents périmètres considérés;la précision dans le reporting d’engagement (document rendant compte de la façon dont la SGP exerce son influence en vue d’une meilleure prise en compte des enjeux de développement durable dans les marchés financiers) du périmètre des entreprises concernées par l’engagement, les thèmes de la politique d’engagement et les actions de suivi de cet engagement;le regroupement dans une rubrique facilement accessible du site internet de la SGP de l’ensemble des documents concernant l’engagement.Cette nouvelle série de contrôles SPOT a donné lieu à l’envoi de lettres de suites.
Mirabaud a annoncé ce 12 juillet l’entrée du véhicule d’investissement dédié aux sociétés du Patrimoine vivant («Entreprises du Patrimoine Vivant»)dans le capital du joaillier parisien Mauboussin, aux côtés du groupe Galeries Lafayette, qui en devient l’actionnaire majoritaire, et d’Alain Némarq, actionnaire significatif et dirigeant de l’entreprise depuis 2002. Mauboussin a été fondée en 1827. L’investissement est subordonné à l’approbation de l’Autorité de la Concurrence française.
La filiale portugaise de Credit Suisse est en passe d’essuyer la défection d’une dizaine de ses collaborateurs dans la gestion de fortune. Selon un article paru ce 12 juilletsur le site du Jornal Económico, citant des sources proches des milieux financiers, les démissionnaires pourraient rejoindre l'équipe madrilène du concurrent Julius Baer. Après le départ en février de José Maria Cazal-Ribeiro, fondateur de la filiale portugaise de la banque aux deux voiles en 2013 remplacé aux commandes de cette dernière par Gonçalo Maleitas Correia, c’est au tour de son successeur de faire ses valises, emportant avec lui neuf membres de l'équipe de gestion de fortune. Selon l’hebdomadaire lisboète, les dix collaborateurs auraient démissionné en bloc. Aucun des deux établissements n'était disponible vendredipour confirmer l’information.
Fox Gestion d’Actifs (ex-Financière de l’Oxer) a annoncé avoir repris le fonds de commerce de l’activité de gestion privée de Conseil Plus Gestion, société de gestion basée à Aix-en-Provence. Ce rapprochement permet également à Fox d’ajouter trois FCP à son catalogue : un fonds obligataire, un fonds thématique sur les valeurs féminines, et un fonds smid cap. Avec le rachat d’environ 40 millions d’euros d’encours des fonds CPG et 45 millions d’euros d’encours de clientèle privée, Fox dépasse désormais les 450 millions d’euros d’actifs. Fox s'établira par ailleurs dans les bureaux aixois de Conseil Plus Gestion, et reprend deux gérants privés et une assistante. CPG avait fusionné en 2016 avec la société de gestion privée parisienne Bouvier Gestion et formé une direction générale à deux têtes entre Caroline Grinda (CPG) et Julien Meunier (Bouvier Gestion). Caroline Grinda a quitté son poste quelques mois plus tard tout en restant actionnaire de CPG. Pour Jean-Louis Hostache, président et fondateur de CPG cité dans le communiqué, ce rapprochement avec Fox «concrétise les liens professionnels et amicaux qui existent depuis la création de la Fox et donne un nouvel élan à notre société». Selon nos informations, Bouvier Gestion, qui gère plus de 100 millions d’euros et ne fait pas partie de l’opération, aurait demandé un agrément pour reprendre son indépendance. Fox Gestion d’Actifs est de son côté un affilié du groupe Premium (lui-même détenu en partie par Montefiort) au coté notamment du groupe Predictis ou encore Capfinances. C’est la seconde acquisition en région réalisée par Fox après le rachat de Capital Consultant près de Lyon.
Banca Generali a enregistré en juin des souscriptions nettes de 407 millions d’euros, portant le total depuis le début de l’année à plus de 2,8 milliards d’euros, rapporte Milano Finanza. Sur le mois, les solutions gérées de la Sicav Lux IM1 ont été particulièrement demandées. La collecte nette a été de 256 millions d’euros en juin et de 1 milliard depuis le début de l’année.
Eres a annoncé ce 12 juilletla finalisation de l’entrée à son capital des fonds IK Investment Partners et Bpifrance qui rejoignent Parquest Capital. A l’issue de l’opération, divulguée en mars dernier, les fonds IK détiendront la majorité du capital et les fondateurs en conservent une part significative. Conformément à l’esprit entrepreneurial d’Eres, Mathieu Chauvin, Alexis de Rozières et Pierre-Emmanuel Sassonia, membres du comité de direction, renforcent nettement leur détention aux côtés des membres de l’équipe qui réinvestissent. L’ensemble des salariés d’Eres bénéficiera par ailleurs d’une nouvelle opération d’actionnariat salarié collective. Eres continuera à mettre en œuvre sa stratégie d’acteur dédié au développement des solutions d’épargne salariale, retraite et actionnariat salarié et à militer pour leur développement.Avec la promulgation de la loi PACTE, Eres est plus que jamais convaincu du bien-fondé de son positionnement unique. «Accompagnement et conseil sur mesure, convergence entre l’épargne personnelle et professionnelle, capacité à proposer des solutions bancaires et assurantielles en fonction des besoins des clients, architecture ouverte en multi-gestion indépendante, distribution grâce à un réseau fort de 3 000 partenaires spécialistes, services numérisés, sont autant d’atouts du Groupe pour la nouvelle étape de croissance qui s’ouvre», souligne un communiqué.
Le groupe britannique WPP a annoncé ce 12 juillet la cessionau fonds de capital investissement Bain Capital d’une participation de 60% dans Kantar, sa filiale d’analyse de données, valorisée environ 4 milliards de dollars. Kantar, l’un des principaux acteurs de son secteur, fournit des données et des études commerciales à certains des plus grands annonceurs du monde et contribue à hauteur d’environ 15% au chiffre d’affaires du groupe britannique.
La division Investment Management de la banque suédoise SEB a enregistré des souscriptions nettes de 3 milliards de couronnes au deuxième trimestre 2019 (284 millions d’euros). Au premier trimestre, elle avait vu sortir 8 milliards de couronnes (758 millions d’euros). Le solde du premier semestre est donc négatif de 5 millions de couronnes (474 millions d’euros), après 11 millions de couronnes (1 milliard d’euros) de collecte nette sur janvier-juin 2018. A fin juin, les encours sous gestion des fonds de SEB ressortaient à 703 milliards de couronnes (66,6 milliards d’euros), contre 688 milliards à la fin du premier trimestre.
Le groupe UBS vient de créer la fonction de patron de la distribution pour ses activités de gestion de fortune sur le marché allemand, rapporte Private Banking Magazin. C’est Dirk Simon, jusqu’iciresponsable de l’implantation d’UBS à Hambourg, qui va assumer cette nouvelle fonction, jusqu’ici répartie entre plusieurs collaborateurs. Dirk Simon aura pour mission de mettre en oeuvre une stratégie de distribution pour l’ensemble du marché allemand et de soutenir dans cette perspective les responsables locaux.
La société de capital investissement Emerging Capital Partners (ECP), a nommé Paul Maasdorp en tant qu’associé.Il conservera son rôle de directeur général, basé au bureau d’ECP à Nairobi (Kenya). Paul Maasdorp se concentre sur le sourcing, l’évaluation des investissements, l’exécution des transactions et le monitoring de portefeuille. Il a récemment piloté les investissements d’ECP dans la chaîne de restauration kényane Artcaffé Group et dans la société Inter Africa Transport Forex. Avant de rejoindre ECP en 2010, il travaillait pour Berkshire Partners LLC, une société de capital-investissement basée à Boston. Il a débuté sa carrière chez Bain & Company, au sein du département capital-investissement.
BlackRock détient 10,233 % du capital de Fineco, après que l’ex-actionnaire majoritaire UniCredit a vendu sa participation de plus de 17 %, rapporte Bluerating. Selon les communications périodiques du régulateur italien Consob, le gestionnaire américain détient directement 8,444 % de la banque dirigée par Alessandro Foti. A cette participation s’ajoute 0,82 % représenté par un paquet d’actions faisant l’objet de prêts de titres. Enfin, il y a quelques contrats dérivés (CFD) qui concernent 0,969 % du capital.
Donald Trump a critiqué jeudi les cryptomonnaies, dont le projet Libra de Facebook, demandant à ce que leurs promoteurs soient soumis aux réglementations américaines et mondiales. «Je ne suis pas un fan de Bitcoin et des autres cryptomonnaies, qui ne sont pas de l’argent, et dont la valeur est très volatile et basée sur rien du tout», écrit le président américain sur Twitter.
Le nombre de millionnaires résidant sur le territoire espagnols'élevait à 224 300 à fin 2018 selon une étude de Capgemini, soit 0,1% de plus qu’en 2017. Le consultant estimait à 637,3 milliards de dollarsle patrimoine total des millionnaires espagnols fin 2018, soit une baisse de 2,4% par rapport à l’an dernier où les plus grosses fortunes espagnoles disposaient d’un patrimoine de 653,2 milliards de dollars.
Legal & General Investment Management, la première société de gestion d’actifs au Royaume-Uni, veut croître à l’étranger et a choisi l’Italie pour son expansion post-Brexit, rapporte Il Sole 24 Ore. En décembre, la société a ouvert un bureau de représentation à Milan dirigé par Giancarlo Sandrin, un ancien de BlackRock. Elle compte aujourd’hui procéder à de nouveaux recrutements. «L’Italie est un marché important pour les activités de gestion d’actifs», explique Sonja Laud, directrice des investissements adjointe, qu’Il Sole 24 Ore a rencontrée à Londres. «Pour le moment, nous avons commencé avec la gestion sur le marché des ETF. Maintenant nous sommes prêts à distribuer aussi notre gamme de fonds actifs», poursuit-elle.
Au premier semestre, les fonds américains prenant en compte des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance ont attiré 8,4 milliards de dollars nets, selon des données de Morningstar citées par le Wall Street Journal. C’est plus que le précédent record annuel de 5,4 milliards de dollars collectés en 2018. Les clients ont investi 35 milliards de dollars dans les fonds ESG depuis 2013. Cette ruée sur l’ESG coïncide avec une crise de loyauté des investisseurs pour les sociétés de gestion active. Trente-sept nouveaux fonds ESG ont vu le jour aux Etats-Unis en 2018, tandis que 53 fonds ont ajouté des critères ESG à leurs prospectus, selon Morningstar. Cela a augmenté de 50 % le nombre de fonds américains ESG.