Wellington Management a lancé un fonds sur les obligations high yield européennes, rapporte mardi 23 juillet Investment Europe. Le fonds Ucits, recherche une performance à long terme en investissant principalement dans des obligations notées en dessous d’investment grade et libellées dans des monnaies européennes. Le nouvel OPCVM est géré par Konstantin Leidman, qui travaille chez Wellington depuis janvier 2019. Ce dernier gère des stratégies high yield européennes depuis 2007. Le fonds sera géré activement avec pour objectif de battre l’indiceICE Bank of America Merrill Lynch Euro High Yield Constrained. Il vise à «tirer profit des inefficiences de pricing du risque crédit sur les marchés européens de high yield», indique la société de gestion dans un communiqué. Le fonds sera libellé en euro et les positions non-euro seront ensuite hedgées en euro.
LBO France a annoncé ce mardi 23 juillet avoir acquis une part minoritaire du capital d’Ecritel Group, spécialiste de l’hébergement «infogéré» et du e-commerce. L’opération a également permis aux dirigeants fondateurs Audrey et Thierry Louail, actionnaires majoritaires, de revaloriser leurs partset à des managers du groupe d’accéder au capital. LBO France a acquis cette part pour le compte du FPCI Capdev FRR France. Les actionnaires Nextstage AM et Isatis Capital, présents depuis 2014, sortent à l’issue de cette opération. Avec le soutien des équipes de LBO France, Ecritel Group entend accélérer son développement en France, par croissance organique et par croissance externe, et développer son emprunte géographique à l’étranger. En 2018, Ecritel Group a réalisé un chiffre d’affaires de 24 millions d’euros, en forte croissance par rapport à l’année précédente.
JO Hambro Capital Management (JOHCM) a annoncé ce 23 juillet la nomination d’Alexandra Altinger au poste de CEO - UK, Europe & Asia. Elle prendra ses fonctions le 9 septembre prochain et sera basée à Londres. Alexandra Altinger fut notamment directrice générale de Sandaire Investment Office (2014-2017), directrice seniordu développement commercial auprès des institutionnels pour Lansdowne Partners (2012-2013), et directrice pour les financières européennes chez Wellington Management (2001-2011). La société a par ailleurs précisé être en cours de recrutement d’un directeur général pour ses activités aux Etats-Unis, où elle dispose de bureaux à Boston et New York.
BNP Paribas Asset Management a annoncé ce mardi 23 juillet le lancement du fonds Parvest US Multi-Factor Corporate Bond, un fonds appliquant une stratégie quantitative de sélection de titres sur l’univers des obligations d’entreprises de qualité notées « Investment Grade » émises en dollars. Le fonds a été lancé le 27 juin dernier, et est géré par les équipes de gestion quantitative du pôle Multi-Actifs, Quantitatif & Solutions (MAQS) de BNPP AM. Il vise àobtenir la certification ISR, àl’instar de six autres fonds de la gamme multi-factorielle. La sélection des titres du fonds repose sur une approche combinant les facteurs momentum, qualité, valorisation et risque. Elle s’appuie sur une analyse quantitative d’indicateurs fondamentaux et de données de marché dans l’objectif d’identifier les titres présentant les meilleures perspectives de rendement et offrant un objectif de risque équivalent à son indice de référence.
Schroders a annoncé lundi 22 juillet le lancement d’un nouveau fonds visant à tirer profit du changement sociétal vers un système énergétique bas carbone. IntituléSchroder ISF* Global Energy Transition le fonds a été créé pour répondre à une «demande grandissante de sa clientèle», indique la société de gestion britannique dans un communiqué. Il investira dans l’univers d’investissement de l'énergie propre allant dela production jusqu'à la distribution en passant par le stockage des énergies renouvelables ainsi que les réseaux de rechargement des véhicules électriques. La stratégie n’investira pas dans les sociétés exposées au nucléaire et aux énergies fossiles. «Le nouvel OPCVM aura un objectif de durabilité très important avec un biais sur les entreprises «best-in-class» et celles pouvant démontrer des progrès clairs en matière ESG», explique Schroders. Le portefeuille sera constitué de 30 à 50 valeurs. Il seragéré par l'équipe «commodities andresources investment», fondée en 2005. «La transition énergétique est réelleopportunité d’investissement avec des besoin de financementde l’ordre de 120.000 milliards de dollars d’ici à 2050 pour atteindre les objectifs climatiques fixés ces dernières années. Ces besoins, couplés à une demande toujours plus importante pour detechnologies propres, devraient créer les conditions parfaites de croissance pour les entreprises de ce secteur», assureMark Lacey, responsable de l'équipe Commodities et gérant du nouveau fonds, cité dans le communiqué.
La société de gestion GMO a lancé la version Ucits de son fonds starEmerging Country Debt Strategy pour sa clientèle européenne, rapporte ce 23 juillet Citywire Selector. Géré parTina Vandersteel, la version américaine du fonds a été lancé en 1994 et compte aujourd’hui 5,8 milliards de dollars d’actifs sous gestion. La version Ucits a été enregistrée à Dublin à la fin 2018 mais n’aurait été lancé que maintenant, selon le média britannique. Le fonds sera supervisé par Tina Vandersteel et cherchera à battre l’indiceJP Morgan Emerging Markets Bond Index Global Diversified. Il investira principalement en dollars ou en monnaie locale hedgée (75%) mais pourra également investir en euro, yen japonaise, francsuisseet livre sterling.
Capital Group a annoncé mardi 23 juillet la nomination de Guy Henriques au poste de directeur de la distribution pour l’Europe et l’Asie. Il sera basé à Londres et rejoindra la société de gestion américaine en novembre. Guy Henriques possède plus de 30 ans d’expérience dans le secteur et était en dernier lieu directeur de la distribution au Royaume-Uni et PDG de Schroders pour l’Amérique latine. Il a également dirigé l'équipe de gestion mondiale institutionnelle de la société de gestion britannique. Il était auparavant président de Schroders Japan de 2012 à 2016, et avant cela, directeur des institutions officielles et directeur de l’institutionnel pour l’Asie-Pacifique de la société. Avant de rejoindre Schroders, il était directeur de la gestion d’actifs pour la Banque des règlements internationaux où il a travaillé de 1991 à 2006. «L’Europe et la région Asie-Pacifique constitueront une opportunité de croissance importante pour le Capital Group dans les années et les décennies à venir», a indiqué dans un communiqué Mike Gitlin, membre du comité de gestion du Capital Group, et directeur du revenu fixe. Capital Group est présent en Europe depuis plus de 50 ans et depuis plus de 30 ans dans la région Asie-Pacifique. Le groupe emploie actuellement850 associés dans les deux régions et a renforcé sa présence sur le marché local en établissant 14 bureaux. La firme propose 23 fonds UCITS domiciliés au Luxembourg aux investisseurs européens et asiatiques et envisage d’ajouter un ou deux nouveaux lancements de fonds à sa gamme de fonds luxembourgeois au cours des trois prochaines années.
Le groupe financier espagnol Santander a dévoilé ses résultats pour le deuxième trimestre 2019. A fin juin 2019, les actifs sous gestion cumulés de la banque privée et de la gestion d’actifs (Santander AM) de Santander s'élevaient à 377 milliards d’euros, soit une hausse de 3% par rapport à juin 2018. Les actifs des fonds et investissements comptaient pour 233 milliards d’euros d’encours (195 milliards pour Santander AMet 64milliards pour la banque privée), soit une hausse de 3% sur un an glissant. Santander AM a accru sa part de marché dans plusieurs pays depuis le début de l’année selon Santander, notamment en Espagne et au Chili. La banque privée note, elle, des augmentations du nombre de clients au Brésil et au Chili. Profit en baisse Santander a réalisé un profit net de 3,23 milliards d’euros durant la première moitié de 2019, en nette baisse par rapport à juin 2018 (-14%). Au deuxième trimestre 2019, le profit net a baissé de 24,4% à 1,39 milliards d’euros (contre 1,84milliards au premier trimestre2019). Le groupe a dû faire face à des charges de 814 millions d’euros liés auplande réduction de coûts de 10%en Europe (soit 1 milliardd’euros) annoncé début avril. Cela inclut particulièrement des coûts de restructuration en Espagne (600 millions d’euros) et au Royaume-Uni (26 millions d’euros). Le bénéfice par actionde Santander s'élevait à 0,076 euro, en baisse respectivement de 16,4% et de26,7% par rapport à fin juin 2018 et fin mars 2019.
La banque italienne envisagerait, pour son plan stratégique de décembre, de supprimer des milliers d’emplois et de suivre une sévère cure d’amaigrissement, selon Bloomberg qui s’appuie sur des sources proches du dossier. Le nombre d’employés touchés pourrait atteindre 10.000 personnes, le nombre n'étant pas encore fixé. Cela concernerait principalement les employés italiens. La banque dirigée par Jean-Pierre Mustier viserait également une réduction de 10% des coûts opérationnels. La banque a déjà supprimé 14.000 emplois équivalent temps-plein depuis l’arrivée de l’ex-Société Générale à l'été 2016.
Le gestionnaire d’actifs espagnol Bestinver a annoncé, le 22 juillet, l’acquisition de l’ensemble des activités du groupe financierFidentiis pour un montant non dévoilé. Bestinver, qui a vu émerger leWarren Buffett espagnol Francisco García Paramés (aujourd’hui chez Cobas AM) et qui appartient au groupe Acciona, explique cette acquisition par sa volonté de devenir le principal gestionnaire indépendant d’Espagne. Fidentiis dispose de trois lignes de business : Fidentiis Equities (courtage, recherche sur les actions espagnoles, portugaises et italiennes à destination des institutionnels), Fidentiis Gestion (gestion d’actifs spécialisée sur les actions espagnoles) et Fidentiis Capital (solutions de banque d’investissement).La société compte notamment une quinzaine d’analystes couvrant plus de 150 entreprises. Fidentiis va apporter environ 350 millions d’euros aux plus de 6 milliards d’euros gérés par Bestinver. Cette transaction, sujette à l’approbation du régulateur espagnol CNMV, doit être clôturée d’ici la fin de l’année et va entraîner une réorganisation de l'équipe dirigeante de Bestinver. Sonia Dulá, conseillère indépendante d’Acciona et ancienne vice-présidente de Bank of America Merrill Lynch, assumera la présidence non-exécutive de Bestinver. Enrique Pérez-Pla occupera, lui, le poste de directeur général de Bestinver, fonction qu’il exerçait déjà chez Fidentiis qu’il a fondé en 2003. Beltrán de la Lastra, qui a rejoint Bestinver en 2014, conserve le rôle de directeur des investissements. Enrique Pérez-Pla a déclaré que la fusion des deux compagnies transformait Bestinver en la plateforme indépendante de services financiersla plus pertinente d’Espagne avec un projet de croissance sur l’ensemble des activités. «A travers cette opération, Acciona a réussi à anticiper les changements importants qui interviendront dans lesmarchés financiers au cours des prochaines années, en raison de la nouvelle réglementation européenne. Et ce, notamment dans l’univers de la recherche sell-side, dont il ne restera que peu d’acteurs et de très bonnes opportunités d’investissement et d’activité», a-t-il commenté.
La boutique de gestion espagnole MarchAsset Management a conclu un accord avec Banco Best, principaleplateforme de distribution de fonds et de banque en ligne au Portugal, pour la distribution des compartiments de sa Sicav luxembourgeoiseMarch International sur le territoire portugais. Cela inclut les fonds suivants: Torrenova Lux, March Vini Catena, the Family Businesses Fund et Valores Iberian Equity. March AM gérait plus de 6 milliards d’euros d’encours à fin juin 2019. Le mois dernier, un autre gestionnaire, le Suisse EFG International, s’est installé au Portugal avec l'établissement d’un bureau à Lisbonne.
Les assureurs taïwanais sont friands des obligations américaines. Ces derniers auraient investis plus de 3 milliards de dollars au cours des deux dernières semaines dans des ETF émis par des sociétés de gestiontaïwanaise qui achètent descoupons au pays d’Oncle Sam, rapporte le Wall Street Journal. Au total, les encours du fixed income américain logéau sein de ces ETF auraient augmenté de 16 % à 22,5 milliards de dollars. Les ETF spécialisés dans les obligations américaines ont quintupléleur taille depuis juin 2018, où leurs encours avoisinaient les 3,7 milliards de dollars. Cette tendance devrait continuer dans les mois à venir, puisque les assureurs taïwanais pourraient encore «investir jusqu'à 65 milliards de dollars dans les ETF», a expliqué Hans Mikkelsen, credit strategist de Bank of America.
Le spécialiste du scoring versera notamment jusqu’à 425 millions de dollars pour indemniser les 147 millions d’Américains victimes indirectes d’une cyberattaque.
Horizon Asset Management, société de gestion de portefeuille du groupe Horizon, a annoncé ce 22 juillet le recrutementd’Assia Diffalah en qualité de responsable back et middle office. Dans le cadre de ses missions, elle encadrera et supervisera une équipe de troispersonnes dédiée aux opérations de back et middle office. Elle seraégalement chargée de la rédaction des procédures et des modes opératoires sur les fonctionnalités des applicatifs informatiques et participera à la mise en place des outils informatiques et au suivi de leurs améliorations. Elle gérera également les relations relatives aux ordres de souscriptions, aux ordres de mouvements et autres éléments s’y afférant. Enfin, Assia Diffalah assurera le traitement, le contrôle et la validation des opérations effectuées par le back et middle-office. Assia Diffalah compte plus de 17 ans d’expérience professionnelle. Avant de rejoindre Horizon AM, elle a occupépendant plus de trois ans le poste de responsable adjoint du middle office titres au sein de La Française Asset Management. Elle a débuté sa carrière en 2001 au sein du Palais des Thés en qualité de chargée de clientèle. De 2007 à fin 2010, elle a occupédifférents postes d’agent administratif au sein de Crédit Agricole Ile-de-France, Société Générale, Banque Finama, Boursorama ou encore Barclays Bank. À compter de février 2011, elle est devenuechargée de conformité et contrôleur interne chez HSBC, avant prendre des fonctions commerciales chez Indosuez Private Banking (2012) puis chez Banque Martin Maurel (2013).
Aberdeen Standard Investments s’apprête à lancer un fonds sur la Chine destiné aux investisseurs britanniques. Le lancement officiel, prévu en août, est encore soumis à l’approbation des autorités de régulation. Baptisé ASI China A-Share Equity, le nouvel OPCVM a pour objectif de générerdes profits sur un horizon d’investissement de 5 ans en sélectionnant des sociétés chinoises de classe A. L’univers d’investissement compte environ 3.500 entreprises. Le portefeuille mimera celui d’un fondsdéjà existant : le fondsAberdeen Standard Sicav 1 China A Share Equity. C’est l'équipe en charge de la gestion de ce fonds de 2,6 milliards de dollars d’actifs qui s’occupera de la gestion du nouveau produit. Basée àHong Kong, Shanghai et Singapour, l'équipe est composée de 24 gérants et analystes. La gestion du fonds, qui se base sur la recherche fondamental,intégrera des éléments d’analyse ESG ainsi qu’un volet sur l’engagement des sociétés.
Sofidy a annoncéce 22 juillet l’acquisition d’un immeuble de bureaux de 2.400 m² pour le comptede la SCPI IMMORENTE. L’actif de bureaux acquisse situe à Amsterdam sur Cruquiuseiland, un quartier d’anciens Docksdevenu une zone urbaine mixte, comportant des commerces et du résidentiel.Le rendement net de l’acquisition est de 6%. L’immeuble est entièrement loué à deux locataires. Le plus important locataire, The Ambassadors, qui occupe les trois quarts du bâtiment, est une société spécialisée dans la création d’effets spéciaux pour la publicité, le cinéma et l’art à l’échelle internationale. Le reste de l’immeuble est loué par Smallsteps, une structure d’accueil pour enfants faisant partie d’un des plus importants réseaux de crèches aux Pays-Bas. Sofidy est fortement investi sur le marché néerlandaisoù elle totalise 163 actifs immobiliersprincipalement investis en commerces et en bureaux au travers de ses différents véhicules d’investissement. La SCPI IMMORENTEcompte plus de 2.600 actifs immobiliers pour une capitalisation totale de 3,2 milliards d’euros. «L’intérêt récent des investisseurs européens pour les Pays-Bas a renchéri le prix des actifs immobiliers, c’est pourquoi nous avons décidé de limiter nos investissements dans ce marché où nous avons fait de très belles acquisitions depuis 2014 sur des actifs commerciaux. Néanmoins, nous restons à l’écoute des opportunités d’investissement sur le marché des bureaux où il existe encore des opportunités intéressantes compte tenu des fondamentaux du pays» a déclaré dans un communiqué Olivier Loussouarn, directeur des investissements de Sofidy. Pour cette transaction, SOFIDY a été conseillé par ARC Real Estate et Weebers.
Uwe Trautmann, CEO d’Helaba Invest, a décidé de partir à la retraite en août 2020, rapporte Investment Europe. Selon le média britannique, l’intéressé ne souhaite pas prolonger son contrat actuel. Il avait rejoint Helaba Invest en tant que directeur général en 1995 et occupait le poste de CEO depuis 2007. Plus tôt dans sa carrière, il avait passé près de 14 ans au sein du groupe Commerzbank. Son successeur a d’ores et déjà été désigné en la personne deHans-Ulrich Templin. Ce dernier travaille au sein du groupe depuis 2001, où il occupe le poste de responsable des actifs liquides de la gestion d’actifs. Par ailleurs,Ulrich Lingner, également membre du management d’Helaba Invest, quittera son poste au 31 mars 2020 pour des raisons personnelles. Il avait rejoint le groupe en 2012.
Le gérant allemand DWS va liquider la gamme de fonds à horizon DWS FlexPension II, a appris Citywire. La gamme s'étend de 2026 à 2034 et représente 2,6 milliards d’euros d’encours sous gestion. La liquidation durera du 1er au 12 novembre. «Le Compartiment doit être mis en liquidation car il ne sera plus possible d’appliquer la politique de placement dans sa globalité en raison de l'évolution de l’environnement du marché des capitaux, ce qui signifie que le compartiment en question n’aura aucune chance réaliste d’atteindre une performance positive à l’avenir. Les produits de la liquidation correspondront au moins à la valeur garantie du compartiment concerné», indique DWS à propos de l’un des fonds liquidé dans un document remis à la BEAMA (Association belge des Asset Managers).
La société en gestion de portefeuille Norma Capital a annoncé vendredi 19 juillet deux acquisitions pour sa nouvelle SCPI Fair Invest. Le premier bien est un centre de dialyse et de néphrologie de 380 m² situé à Suresnes. Le second est un groupe de bureaux sur l’île de Nantes d’une surface d’environ 350 m², loué à une association de professionnels de la périnatalité. Fair Invest est une SCPI diversifiée de bureaux et commerces ayant des activités locataires socialement utiles, avec un objectif de distribution à 4,5/5 % net. Le prix de la part est de 200 euros et le délai de jouissance est de 120 jours. La SCPI Fair Invest espère obtenir àterme, le futur label ISR dédié à l’immobilier.
Le jeune multi-family office singapourien Wealth Management Alliance (WMA) vient de recruter Kenny Chong et Elizabeth Hart aux postes respectifs de directeur des services d’investissement et managing director. Kenny Chong était jusqu’ici gérant du portefeuille de crédits asiatiques du fonds detteémergentechez Marathon Asset Management. Elizabeth Hart était pour sa part managing director chez LGT Bank Singapour depuis 2016, et fut auparavant managing director et directrice pour l’Asie du Sud-Est chez Rothschild Wealth Management.
Le groupe bancaire Credit Suisse, recalé par la justice britannique vendredi 19 juilletpour un trop-perçu d’impôts sur des boni octroyés à des banquiers britanniques, a précisé ce week-end qu’il n’allait pas faire recours de cette décision, rapporte AWP. Dans une note envoyée à l’agence de presse le gestionnairede fortune suisse a indiqué qu’il acceptait le verdict de la justice. Pour rappel, l'établissement réclamait un remboursement de 239 millions de livresd’impôts supplémentaires perçus de décembre 2009 à avril 2010 sur des boni octroyés à des banquiers britanniques.
La banque privée Julius Baer a publié ce lundi 22 juillet les résultats de son activité pour le premier semestre 2019. En plein plan de réduction des coûts, le gestionnaire de fortune a vu ses actifs sous gestion croître de 8 % (30 milliards de francs suisses) depuis la fin de l’année 2018, dont 6,2 milliards de collecte nette. «La croissance des encours a été aidée par le fort rebond des marchés, une collecte positive et la consolidation des actifs de NSC Asesores au Mexique, qui a contribué pour 3 milliards de francs», indique la banque dans son rapport, précisant que le renforcement du franc suisse a eu un effet négatif sur ses AUM (assets under management). La bonne collecte de Julius Baer provient des clients domiciliés en Asie, en Europe et au Moyen-Orient. Cependant, une partie de ces flux entrants ont été compensés par des flux sortants des fonds Kairos, en raison «de mauvaises performances en 2018 et malgré un regain au premier trimestre 2019", précise la banque. La collecte positive a également été en partie impactée par le projet de revue complète des «risques clients» qui touche à sa fin, ainsi que par l’application de taux d’intérêts négatifs sur du cash détenu par la banque dans certaines devises et notamment l’euro et le franc suisse. Pour le moment, la banque n’a toujours pas pris de décision stratégique sur le futur de sa filiale italienne Kairos. Au total, les encours de Julius Baer s'établissent à 412 milliards de francs à fin juin 2019, contre427 milliards deux mois plus tôt. En incluant les actifs sous conservation de 67 milliards de francs, le total des actifs atteint 479 milliards à fin juin. L'établissement zurichois, qui a récemment désignéPhilipp Rickenbacher comme futur dirigeant, a engrangé des recettes inférieures à 1,7 milliard de francs au premier semestre 2019, en recul de plus de 5% sur un an. La rentabilité s’est dégradée avec une marge brute passant de 91,5 points de base il y a un an à 83,2 points aujourd’hui. Le bénéfice net s’est établi à 343 millions de francs suisses, en chute libre de 22,7 % sur un an.
Le géant américain du post-marché et de la gestion passive State Street a vu son résultat net trimestriel baisser de 20% par rapport au deuxième trimestre 2018. En cause, une faible activité des marchés et une forte pression à la baisse sur les frais d’administration des actifs. La société, qui est en train de se séparer de 1.500 employés, a pourtant diminué sa masse salariale de 3,6%. Les encours sous administration sont en recul de 3,3 % par rapport au deuxième trimestre 2018, à 32.754 milliards de dollars. La société est néanmoins «soulagée» d’avoir gagné au cours du trimestre des mandats pour un encours total de 390 milliards de dollars. Au 30 juin, il restait par ailleurs encore 575 milliards de dollars d’encours à implémenter dans les services de post-marché de State Street. Le volume des encours administrés a chuté sur l’ensemble des types de véhicules, à l’exception des fonds communs de placement (+1,1%). Les encours sous gestion sont eux en hausse de 7,2% à 2.918 milliards de dollars. Les revenus tirés des frais sont en baisse de 6% à 2,9 milliards de dollars, malgré de bons résultats de la part de la filiale Charles River Development. La totalité des sources de revenus sont en baisse, avec au premier rang, en valeur absolue, celle de l’asset servicing. Avec un revenu de 1,25 milliard de dollars, la principale activité de State Street a engrangé 129 millions de dollars de moins qu’au T2-2018. La société impute cette baisse à la pression concurrentielle et à une moindre activité des clients. Les services de trading de devises (-13,3%) et de prêt-emprunt de titres (-18,2%) ont été les plus touchées par le ralentissement des marchés. Au total, le résultat net s'élève à 587 millions de dollars sur le trimestre. La société a par ailleurs annoncé relever son objectif en matière d'économies de coûts, à 400 millions de dollars (+50 millions).
Le bureau parisien du cabinet d’avocats Allen & Overy, spécialisé dans la gestion d’actifs, vient de recruter Antoine Serailler, a appris les Echos. Ce recrutement doit permettre à la firme anglo-saxonne de renforcer son équipe européenne dédiée aux fonds et aux institutions financières. Diplômé de l’EM Lyon, Antoine Sarailler arrive du cabinet concurrent Dechert LLP.
Axa IMa nommé Rachel Basarab-Horwath au poste de directrice commerciale institutionnelle, rapporte le Financial Times. L’intéressée, qui sera basée à Londres, travaillait au sein du cabinet de conseil Mercer, où elle occupait le poste de directrice commerciale. Auparavant, elle a travaillé chez Bluebay AM et State Street.
L’association luxembourgeoise des fonds d’investissement (Alfi) a désigné son nouveau comité exécutif. Outre Corinne Lamesch, responsable du Luxembourg et responsable des affaires juridiques en Europe au sein de Fidelity International, qui a récemment été élue présidente de l’association, il comprend Michael Ferguson, de EY Luxembourg, et Maria Löwenbrück, de Union Investment, en qualité de vice-présidents, Patrick Stampfli, de Schroders, en tant que trésorier, etCamille Thommes, de l’Afli, au poste de directeur général.
Michael Gubenko, actuel responsable de la sélection de gérants au sein de JP Morgan, a quitté la société, rapporte ce vendredi 19 juilletCitywire Americas.L’intéressé avait rejoint la société il y a moins d’un an. Il devrait rapidement rejoindre un hedge fund, retrouvant ainsi une industrie qu’il avait quitté en 2012. Durant sa carrière,Michael Gubenko a également travaillé pourSkyBridge Capital ou encoreThomas H. Lee Capital. La rédaction de NewsManagers a pu confirmer l’information auprès d’une source interne. Selon le média anglo-saxon, qui cite une source proche du dossier, JP Morgan ne rechercherait pas de remplaçant direct pour combler ce départ. La firmeaurait même déjà réparti les responsabilités deMichael Gubenko entreElizabeth Eldridge et Steven Bower, qui sont respectivement responsable de la sélection de gérants actions et responsable de la sélection de gérants obligataire. Ils reporteront désormais directement àMonica Issar, responsable mondiale du multi-asset et des solutions de portefeuille au sein de JP Morgan.
La société de gestion américaine QMA, spécialisée en gestion quantitative et propriété de l’assureur Prudential Financial, a annoncéle recrutement de Linda Gibson en tant que chief business officer, rapporte le Financial Times. L’intéressée a passé 18 ans au sein deBrightSphere Investment Group (ex-Old Mutual Asset Management).Elle travaillera aux côtés d’Andrew Dyson, président de QMA.