Jefferies a entamé mercredi son suivi sur deux acteurs majeurs de la gestion d’actifs en Europe, le français Amundi et l’allemand DWS, avec une nette préférence pour le premier. Le courtier américain recommande Amundi à l’achat avec un objectif de cours à 85 euros en soulignant l’efficacité du modèle du leader européen qui disposerait tout à la fois d’un fort potentiel de croissance et d’une valorisation plus attractive que la moyenne du secteur. Pour DWS, filiale de gestion d’actifs de Deutsche Bank introduite en Bourse en 2018, Jefferies opte pour une recommandation à «conserver» avec un objectif de cours à 33 euros.
La complexité des mécanismes utilisés dans leurs formules a diminué. Mais dans le même temps le nombre de scénarios dont dépendent les gains a augmenté.
La société de gestion londonienneMan Group redouble d’efforts en matière d’investissement responsable avec la nomination de Robert Furdak en qualité de responsable des investissements pour les critères environnementaux, sociaux et de gouvernance. Le gestionnaire avait dévoilé un outil d’analyse ESG en juillet dernier. Robert Furdak est basé à Boston et rattaché à Sandy Rattray, responsable des investissements de Man Group. Il sera en charge de superviser toutes les initiatives de la firme liées à l’investissement responsable. Son rôle, nouvellement créé, implique aussid’aider les détenteurs d’actifs externes à développer et analyser leurs politiques en matière d’ESG et de mettre en oeuvre des solutions pour concrétiser les efforts de Man Group dans le domaine du «stewardship» et de l’engagement entreprise. De plus, Robert Furdak présidera le comité d’investissement responsable de Man Group et continuera de représenter le gestionnaire britannique au sein du comité de conseil sur le risque macro-économique des principes pour l’investissement responsable des Nations Unies. Avant sa promotion, Robert Furdak était co-responsable des investissements de l’activité d’investissement quantitatif de Man Group, Man Numeric, qu’il a rejoint en 1997. Il y dirigeait également le comité d’investissement et y a développé le modèle propriétaire de la firme sur les critèresESG. L’intégration des critères ESG touche actuellement90% des encours de Man Numeric.
Amundi a recruté Jeanne Duvoux en tant que directrice générale d’Amundi Luxembourg. Elle succède à Julien Faucher. Jeanne Duvoux vient de Société Générale où elle était en charge des activités de Banque Privée à Luxembourg et membre du comité exécutif de la banque privée depuis 2015. Elle a intégré le groupe Société Générale en 1996. Elle assure successivement les fonctions de directeur financier du groupe Fimat, puis de directeur général délégué de Fimat Banque. En 2006, elle rejoint SGSS (Société Générale Securities Services) lors du rachat du métier titres d’Unicredit en Italie, en tant que directeur général adjoint de SGSS S.p.A, à Milan dont elle devient administrateur délégué en janvier 2012.
Les chiffres sont impressionnants. Le groupe américain BlackRock, premier gérant au monde, a fait état d’une collecte nette record de 429 milliards de dollars au titre de l’année 2019. Pour le seul quatrième trimestre, cette collecte s’est élevée à 129 milliards de dollars. «Nous commençons l’année 2020 bien positionné pour continuer à remplir notre objectif et à être à l’avant-garde de l'évolution du secteur de la gestion d’actifs», a commenté Larry Fink, son président et directeur général. Les encours du groupe atteignaient fin décembre 7.430 milliards de dollars contre 5.975 milliards l’année précédente, soit une croissance de 24% en un an. Au regard de sa taille qui a tendance à étouffer la concurrence, BlackRock est bien placé pour continuer à grandir rapidement, du moins tant que les marchés et l’environnement sont favorables. A ce rythme-là, il pourrait dépasser les 10.000 milliards d’encours début 2021. Le groupe raffermit donc son leadership mondial après une année 2018 en demi-teinte et face à son principal concurrent Vanguard, qui a affiché une croissance plus rapide ces dernières années. Celui-ci doit n’a pas encore publié ses propres résultats 2019. BlackRock précise avoir bénéficié l’an dernier d’une activité record dans les actifs alternatifs illiquides, dans les fonds factoriels et les fonds monétaires (93 milliards collectés). Les fonds cotés indiciels (ETF) commercialisés sous la marque iShares, ont attiré 183,5 milliards de dollars pour terminer l’année sur des encours de 2.240 milliards, soit 30% de ses actifs. En y ajoutant les fonds passifs non cotés, la gestion passive représente un peu plus de 4.930 milliards de dollars dans le groupe, soit 66%. Elle n’apporte toutefois que 48% de la base des commissions. De fait, les revenus progressent plus faiblement, de 2% sur un an à 14,52 milliards de dollars et le résultat net augmente de 4% à 4,48 milliards de dollars. La marge opérationnelle régresse même légèrement en passant de 38,4% en 2018 à 38,2% en 2019. Dans son communiqué, Larry Fink précise par ailleurs que la société de services technologiques Aladdin, renforcée l’an dernier avec le rachat du français eFront, a apporté 1 milliard de dollars de revenus. S’ils sont impressionnants globalement, ces chiffres restent pour autant relativement logiques. Le gérant d’actifs, qui a annoncé hier un verdissement de sa stratégie d’investissement, a profité de marchés boursiers favorables qui ont encouragé les investisseurs à se tourner vers les fonds, et notamment les ETF. Géographiquement parlant, les Amériques restent la zone de prédilection de BlackRock puisque plus de 217 milliards de dollars proviennent de cette zone. La zone EMEA (Europe, Afrique, Moyen Orient) reste bien placée avec une collecte de plus de 93 milliards et 27% des encours.
A peine agrée, la société Jeito Capital, créée par Rafaèle Tordjman et dont NewsManagers avait révélé l’agrément deux ans après son lancement, vient d’annoncer une levée de 200 millions d’euros pour son fonds Jeito 1. L’idée est de sélectionner et accompagner une quinzaine de start-ups dans le domaine du médicament ayant le potentiel de devenir de futures licornes. «Tout l’enjeu est de les aider à accélérer le développement et la commercialisation d’innovations vitales dans des aires thérapeutiques à fort besoin médical», explique un communiqué. La société assure se différencier des autres par sa stratégie d’investissement «unique», misant sur la continuité entre le début du développement clinique et jusqu’à l’accès au marché de médicaments particulièrement innovants, dits « breakthrough », disposant de preuves de concept validées chez l’Humain. "(...) Nous visons 500 millions d’euros d’ici à la fin 2020. Notre premier investisseur est bpifrance, qui nous accompagne depuis le début, et nous comptons aussi parmi les autres institutionnels CNP, AXA, Aviva ou BNP Paribas Fortis», a expliqué aux Echos Rafaèle Tordjman. Des family offices sont aussi de la partie. «Cette continuité s’exprime dans l’accompagnement des entrepreneurs par l'équipe Jeito Capital et par l’investissement de montants significatifs (jusqu'à 80 millions d’euros, NDLR) pour assurer la croissance des entreprises, l’accélération vers la commercialisation et un accès plus rapide des patients à ces innovations majeures», explique-t-elle.
La société de gestion indépendante Amiral Gestion a annoncé ce 15 janvierla nomination d’Ugo Emrinian au poste de responsable institutionnels et grands comptes.Basé à Paris, il travaillera avec Benjamin Biard, directeur du développement et Pierre-Antoine Door, responsable institutionnels et grands comptes. «Il aura pour mission de poursuivre les développements déjà initiés ces dernières années auprès des clients institutionnels et grands comptes», souligne un communiqué. Ugo Emrinian, 32 ans, sera également chargé de superviserle développement commercial sur le marché italien où la gamme Sextant est disponible à la commercialisation depuis quelques semaines. «Nous nous réjouissons de l’arrivée d’Ugo qui marque une étapeimportantedans notre stratégie de développement. Après les succèsrécentsauprès de grands comptes et de clients institutionnels tels que le Fonds de Réserve pour les Retraites, ce recrutement illustre notre volonté de poursuivre nos efforts et notre structuration pour répondre aux exigences de cette typologie de clientèle et lui apporter la plus grande satisfaction. De plus, l’international est un axe de développement sur lequel nous avons beaucoup d’ambition. Son expérience sur le marché italien nous sera précieuse », a commentéBenjamin Biard, directeur du développement chez Amiral Gestion, cité dans le communiqué. Après une première expérience d’assistant trader chez Natixis,Ugo Emrinian développe une expertise de plus de 10 ans dans le développement commercial des grands comptes et institutionnels en France et en Italie. Il rejoint en 2010 l'équipe commerciale institutionnelle de Swiss Life Asset Management avant d’intégrer MetropoleGestion en 2015 où il est nommé directeur commercial adjoint en 2019. Amiral Gestion, qui compte 45 collaborateurs dans le monde, gèreprès de 3,9 milliards d’euros à fin décembre 2019.
Jefferies entame ce mercredi son suivi sur deux acteurs majeurs de la gestion d’actifs en Europe, le français Amundi et l’allemand DWS, avec une nette préférence pour le premier. Le courtier américain recommande Amundi à l’achat avec un objectif de cours à 85 euros en soulignant l’efficacité du modèle du leader européen qui disposerait tout à la fois d’un fort potentiel de croissance et d’une valorisation plus attractive que la moyenne du secteur. Pour DWS, filiale de gestion d’actifs de Deutsche Bank introduite en Bourse en 2018, Jefferies opte pour une recommandation à «conserver» avec un objectif de cours à 33 euros.
L’Autorité des marchés financiers (AMF) vient de publier une étude d’impact des différentes recommandations qu’elle a émises avec l’ACPR en 2010 et 2016 visant à limiter la complexité des produits structurés proposés aux investisseurs particuliers. L’Autorité constate une très nette diminution de la complexité des formules attachées à ces fonds ou à ces titres de créance après 2010, mais « ce mouvement a été contrebalancé par une augmentation du nombre de scénarios affectant le rendement du produit », tempère l’AMF.
Le groupe BlackRock a fait état d’une collecte record de 429 milliards de dollars pour l’année 2019 à l’occasion de la publication de ses résultats annuels. Le premier gérant d’actifs mondial par la taille des encours indique que sur le seul quatrième trimestre, cette collecte s’est élevée à 129 milliards de dollars. « Nous commençons l’année 2020 bien positionné pour continuer à remplir notre objectif et à être à l’avant-garde de l'évolution du secteur de la gestion d’actifs », commente Larry Fink, président et directeur général de BlackRock. Ses encours atteignaient fin décembre 7.430 milliards de dollars contre 5.975 milliards l’année précédente, soit une croissance de 24% en un an.
Le fournisseur de services financiers en ligne Swissquote a annoncé ce matin des prévisions de résultats records pour l’année 2019. La société suisse a notamment enregistré des entrées nettes de 4,6 milliards de francs, si bien que ses encours s'élèvent au niveau record de 32,3 milliards de francs. Le bénéfice avant impôts pourrait atteindre 50 millions de francs contre une prévision initiale de 44 millions de francs.
VDOS, consultant espagnol spécialisé sur la gestion d’actifs, rapporte que Nao AM, Bestinver Gestión et Dunas Capial sont les sociétés de gestion dont les fonds ont été le plus rentables en 2019. Les fonds de Nao AM ont ainsi obtenu un rendement moyen de 22,6% sur l’année 2019 quand ceux de Bestinver et de Dunas Capital s'élevaient respectivement à 19,41% et 19,36%. Quant aux grands acteurs de la gestion d’actifs espagnole, le rendement moyen de leurs fonds pour 2019 n’excède pas 10%. Caixabank AM tire son épingle du jeu avec un rendement moyen de 9,34% pour ses fonds en 2019.Selon les données de VDOS, entre autres gestionnaires, les fonds de BBVA AM affichaient un rendement moyende7,67%, ceux de Bankia Fondos et de Santander AM,desrendements moyensde 6,91% etde 6,2% pour 2019.
Olivier Livenais va prendre la direction générale du bureau d’Insosuez Wealth Management à Hong Kong. Il remplace Antoine Candiotti, qui part à la retraite, a précisé la société française dans un communiqué. Olivier Livenais, qui n’a pas encore rejoint la cité-Etat, sera rattaché à Omar Shokur, le directeur général pour l’Asie et responsable du bureau de Singapour. L’intéressé était depuis 2016 responsable global du développement commercial, depuis Paris. Avant cela, il fut notamment responsable du bureau de Miami.
La filiale de gestion du groupe financier espagnol BBVA, BBVA Asset Management, a nommé Luis Ángel Rodríguez en qualité de responsable des investissements pour l’Amérique latine, indique Citywire Americas. Basé au Mexique, il remplace Jorge Undapromu début janvier au poste de responsable des investissements pour la gestion d’actifs et de fortune aux Etats-Unis. Luis Ángel Rodríguez estrattaché à Jaime Lázaro Ruiz, responsable de la gestion d’actifs chez BBVA.
Schroders a recruté Julien Houdain en tant que responsable adjoint du crédit pour l’Europe, un poste nouvellement créé. Il sera basé à Londres et rattaché à Patrick Vogel, responsable crédit pour l’Europe. Il gérera le fonds Schroder ISF Global Credit Income Short Duration lancé récemment et travaillera aux côtés de Patrick Vogel et l’équipe crédit sur la stratégie crédit. Julien Houdain arrive en provenance de Legal & General Investment Management où il était dernièrement responsable des stratégies obligataires mondiales. Il avait rejoint la société en 2007.
PGIM, la branche de gestion d’actifs de l’américain Prudential Financial, vient de nommer Sun Hao en tant que responsable senior des relations avec les investisseurs institutionnels en Chine. Il est rattaché à Philip Hsin, le directeur des relations avec les investisseurs institutionnels en Asie Pacifique hors-Japon. Sun Hao se concentrera sur les dirigeants des principales banques, fonds de pension et assurances chinois, ainsi que le régulateur. L’intéressé était jusqu’ici General Manager au sein du bureau de Shanghai de Legg Mason. Il a également géré les relations avec les investisseurs institutionnels pour AllianceBernstein, Amundi, PIMCO et ING Bank. PGIM a noué plusieurs partenariats en Chine pour y vendre ses produits sur le marché intérieur. Le géant américain (1,300 milliards de dollars d’encours sous gestion) a également une joint-venture locale avec Everbright Securities, dénommée Everbright PGIM Fund Management Co., qui gère 20 milliards de dollars.
Anticipant une «réallocation massive du capital» vers les actifs verts, le numéro un mondial de la gestion d’actifs modifie sa politique d’investissement. Non sans quelques ambiguïtés.
Emergence, le fonds d’incubation des sociétés de gestion entrepreneuriales françaises, a élu la Caisse des Dépôts (CDC) à sa présidence. L’institution publique est représentée par Laurent Laborde qui remplace le fondateur d’Emergence Alain Leclair. Ce dernier devient président d’honneur de la Sicav. Laurent Deborde est le directeur innovation et développement de la gestion d’actifs à la CDC. Un quatrième compartiment d’Emergence sera créé cette année. Il ciblera pour la première fois les fonds de boutiques de gestion européennes et ouvrira ses portes à des institutionnels de ces pays. La CDC avait annoncé en novembre son entrée au capital d’une nouvelle société de gestion.
JPMorgan a fait état d’une collecte nette de 178 milliards de dollars dans ses activités de gestion d’actifs et de fortune (Asset & Wealth Management) pour l’année 2019, à l’occasion de la publication de ses résultats annuels ce 14 janvier. «Dans la gestion d’actif et de patrimoine, nous avons fait croître les prêts et les dépôts à un rythme soutenu et, pour l’ensemble de l’exercice, nous avons enregistré des flux nets à long terme records de 100 milliards de dollars ", a précisédans un communiqué Jamie Dimon, le dirigeant de la banque américaine. Les actifs gérés au sein de cette division s'établissaient fin 2019 à 2.364 milliards de dollars contre 1.987 milliards un an plus tôt, soit une progression de 19%. Sur ces actifs, un peu plus de 1.000 milliards proviennent de clients institutionnels, 672 milliards de la banque privée et 623 milliards de la clientèle «retail»
WisdomTree a recruté Ravinder Azad en tant que responsable des ventes au Royaume-Uni et en Europe du Nord, rapporte Investment Week. L’intéressé vient d’Invesco, où il a passé 12 ans en tant que directeur du développement de l’activité ETF au Royaume-Uni. WidsomTree a aussi annoncé l’arrivée de Sam Coppell et Cameron Trundle à des postes de support dans l’équipe commerciale pour le Royaume-Uni. Sam Coppell vient de BlackRock et Cameron Trundle était précédemment chez Last Word Media.
BlueBay AM s’apprête à ouvrir un bureau en Italie, a appris Funds People Italia. La nouvelle structure sera dirigée par Tommaso De Giuseppe, déjà responsable commercial pour l’Italie, qui travaille au sein de l’équipe de Roberto Valsecchi Oliva, responsable des ventes Europe centrale et du Sud. BlueBay AM est une société spécialisée dans la gestion obligataire basée à Londres. Ses encours se montaient fin septembre à plus de 59 milliards de dollars.
Bordier & Cie (France) S.A., filiale française de la banque privée suisse Bordier & Cie, a recruté Audrey Ferry en tant que responsable de l’ingénierie patrimoniale. Basée à Paris, elle est placée sous la responsabilité directe de Christophe Burtin, directeur général de Bordier & Cie (France) S.A. Audrey Ferry remplace Rosa Riche, qui a occupé ce poste de juin 2009 à septembre 2019. Audrey Ferry vient de BRED Banque Privée où elle était ingénieur patrimonial senior depuis 2010. Avant cela, elle était notaire assistante dans une étude parisienne au sein du service droit de la famille.
La société de gestion suisse Fisch Asset Management a fait état d’une progression de ses actifs gérés de 7% par rapport à fin 2018 à 10,6 milliards de francs. Une évolution due à la bonne tenue des marchés mais également à des «flux substantiels», indique la société de gestion dans un communiqué. Fisch AM, qui célèbre cette année son 25ème anniversaire, a par ailleurs annoncé l’introduction d’un nouveau système de gestion de portefeuille et l’externalisation dans le cloud de toute sa technologie informatique. «La solution du cloud augmente notamment notre flexibilité et notre vitesse. Nous pourrons ainsi modéliser plus rapidement et de façon plus flexible des idées d’investissement. Dans cette perspective, notre équipe de Data Science etQuant Finance va jouer un rôle clé», a commenté Juerg Sturzenegger, directeur général de Fisch AM.
GAM Investments a annoncé ce 14 janvier la signature d’un nouvel accord de long terme avec le fournisseur de solutions de gestion SimCorp. La société de gestion en difficulté va pouvoir ainsi fondre ses systèmes de front et middle office sur une seule plateforme. Une nouvelle illustration des efforts de GAM pour maintenir coûte que coûte son activité au terme d’une crise de dix-huit mois déclenchée par un lanceur d’alertes, avec une direction générale instable (3 CEO en douze mois) et de multiples propositions de rachat, dont celle, récente, de Generali. SimCorp travaille avec GAM depuis 2004 avecun peu plus de 100 milliards de francs suisses sont traités sur la plateforme de gestion des investissements, notamment les fonds en marque blanche et certaines stratégies de GAM. La transition sur la nouvelle plateforme doit commencer durant ce mois de janvier.
La société immobilière Patrizia AG a annoncé ce 14 janvier la nomination d’Alberto González de las Heras au poste de directeur asset management pour le sud-ouest de l’Europe. Basé à Madrid, González de las Heras supervisera la gestion des actifs pour la France, l’Italie, le Portugal et l’Espagne, avec la responsabilité de gérer environ 4,55 milliards d’euros d’actifs. Alberto González de las Heras a commencé sa carrière dans la gestion d’investissements immobiliers en 2001 chez Rodamco Europe et a depuis occupé des postes de direction dans des sociétés telles que British Land et Falcon II Real Estate Investments. Il était dernièrement directeur asset management chez Meridia Capital, où il gérait un portefeuille immobilier de plus d’un milliard d’euros en valeur et a également été membre du comité exécutif de la société.