Banca Generali a renforcé son équipe dirigeante avec Stefano Lenti. Ce dernier prendra la responsabilité du département conseillers financiers de la banque, sous la direction de Marco Bernardi, directeur général adjoint. Il sera chargé de coordonner les plus de 2.000 banquiers privés et gérants de fortune de Banca Generali. Ces 21 dernières années, Stefano Lenti a dirigé le réseau du groupe Ubi.
La société de gestion colombienne Sura Asset Management a établi une Sicav luxembourgeoise afin de distribuer ses fonds Ucits à l’international, rapporte le média Citywire Americas. Cette Sicav sera gérée par Sura Investment Management, filiale de Sura AM. Un porte-parolea confirmé que la firme commencera par distribuer deux fonds une fois l’agrément obtenu par le régulateur luxembourgeois, à savoir un fonds sur les actions latino-américaines et un autre sur les obligations d’entreprises d’Amérique latine.Sura AM est présent au Chili, au Mexique, en Colombie, au Pérou, au Salvador et en Uruguay. La société administrait plus de 140,8 milliards de dollars fin 2019.
La boutique de gestion espagnole Santalucía Asset Managementa annoncé l’arrivée d’un nouveau responsable de la sélection de fonds en la personne de David Sánchez. Il était précédemment gérant de portefeuille senior au sein d’Andbank Wealth Management.Santalucía AM gère 1,4 milliard d’euros à travers différents fonds ainsi que2,7 milliards d’euros en mandats et plans de pension.
IM Global Partner annonce ce matin la première étape de la relance de la gamme de fonds Oyster, acquise en février dernier auprès de la banque Syz. Oyster European Opportunities deviendra Oyster Sustainable Europe le 26 juin. Il sera géré par Zadig Asset Management, dont IM GP a acquis une part au capital en début d’année. IM GP revendique 15,1 milliards de dollars d’encours sous gestion à fin mai 2020, en proportion de ses participations dans chacun de ses partenaires.
Les Principes pour l’investissement responsable proposent d’intégrer les Objectifs de développement durable des Nations unies aux analyses des investisseurs.
Kairos, la société de gestion italienne du groupe Julius Baer, vient d’annoncer le retour de Francesco Zantoni dans l’équipe de gestion d’actifs de Kairos Partners SGR, dirigée par Guido Maria Brera. L’intéressé a déjà travaillé pour la maison italienne il y a quelques années. Il était responsable de plusieurs fonds actions flexibles de 2001 à 2012, ainsi que membre du conseil d’administration de 2005 à 2010. Entre temps, il a eu plusieurs expériences entrepreneuriales dans le secteur de la conception et construction d’établissements pour le secteur pétrolier, gazier et de l’énergie ainsi que dans la réassurance des risques naturels liés à la météo. En 2014, il a réalisé le rachat d’Industrial Plants. De 2012 à 2015, il a été associé et responsable du développement de la méthodologie te des systèmes de calcul pour le pricing de couvertures d’assurance météo auprès de Satec et Meteotec, qui font aujourd’hui partie du groupe Cattolica Assicurazioni. Fort de cette expérience, Francesco Zantoni lancera cet été pour le compte de Kairos un fonds thématique dédié au changement climatique. Ce fonds viendra compléter l’offre de gestion thématique lancée récemment.
L’initiative Finance for Tomorrow, branche de l’association Paris Europlace dédiée à l’investissement vert, a présenté en fin de semaine dernière la composition de son nouveau bureau pour le mandat 2020-2022. Le bureau est composé de 14 membres. Outre le président Thierry Déau, par ailleurs PDG et fondateur de Meridiam, et la directrice générale Anne-Claire Roux, il compte six membres élus, quatre membres de droit et deux membres cooptés. Les six membres élus sont : - Erick Decker, responsable des investissements de la zone Europe du Sud et pays émergents chez Axa - Laurence Pessez-Hublot, directrice RSE de BNP Paribas - René Kassis, directeur de la gestion dette privée de La Banque Postale AM - Anne Chassagnette, directrice RSE d’Engie - Emilie Beral, directrice des méthodes, de l’innovation et de la qualité et directrice du marché émetteurs de Vigeo Eiris - Nicolas Rivard, directeur de la ligne métier Advanced Data Services d’Euronext Les quatre membres de droit sont : - La Banque de France, représentée par Morgan Desprès, directeur adjoint de la stabilité financière - Le Ministère de l’Economie et des Finances, représenté par Yann Pouezat, sous-directeur financement des entreprises et marché financier - Le Ministère de la Transition écologique et solidaire, représenté par Pascal Dupuis, chef de service au Commissariat Général au Développement Durable - Paris Europlace, représentée par Arnaud de Bresson, délégué général Les deux membres cooptés par le conseil d’administration de Paris Europlace sont : - Jean-Jacques Barberis, vice-Président de Finance for Tomorrow, par ailleurs directeur du coverage, de la clientèle institutionnelle et corporate, membre du comité exécutif d‘Amundi - Pierre Ducret, conseiller spécial du président de Finance for Tomorrow, par ailleurs contrôleur général, conseiller climat du Groupe Caisse des Dépôts
Credit Suisse vient de recruter Wang Jing au poste de directrice de la gestion de fortune en Chine, a appris Finews. Elle est rattachée à François Monnet, le directeur de la banque privée en Asie du nord, et à Tang Zhenyi, le directeur exécutif pour la Chine, selon un document interne. L’intéressée arrive de China Merchants Bank, où elle travaillait depuis 25 ans, dont 13 dans la banque privée.
La société de gestion de la première banque norvégienne, DNB Asset Management, a publié un rapport sur l’impact généré par les investissements du fonds DNB Renewable Energy en termes d’émissions CO2. La méthodologie choisie est celle des « Emissions évitées » et a été établie avec ISS ESG. Selon le rapport, les émissions évitées du fonds sont cinq fois plus importantes que l’empreinte carbone. NB Renewable Energy investit dans des entreprises qui proposent des solutions en faveur d’une économie décarbonée. L’efficacité énergétique et de nouvelles techniques réduisant les émissions industrielles de gaz à effet de serre font partie des domaines favorisés par le fonds, explique un communiqué. DNB précise que pour quantifier et mesurer l’impact de tels investissements, l’industrie financière s’est longtemps fiée à l’empreinte carbone, qui consiste à mesurer les émissions directes générées par les entreprises (émissions dit « scope 1 »), ainsi que les émissions indirectes, provenant entre autres de l’électricité achetée (« scope 2 »). Elle estime toutefois, qu’en raison de la nature complexe de l’estimation des émissions indirectes provenant de toute la chaine de valeur (« scope 3 »), l’analyse reste incomplète. C’est pourquoi, DNB AM a décidé de lancer le projet de calcul des « émissions évitées » qui consiste à démontrer la quantité d’émissions évitées pour chaque million d’euros investi. Il s’agit «des émissions qui auraient été libérées si une action ou une intervention particulière n’avait pas eu lieu» et peuvent apparaître tout au long de la chaîne de valeur. DNB AM a fait appel à ISS ESG pour calculer et analyser le portefeuille. Le résultat de l’analyse montre des émissions évitées de plus de 2.800 tonnes de CO2 par million d’euros, soit cinq fois plus que l’empreinte carbone du fonds, ou l’équivalent de 1.819 voitures de moins sur la route pendant un an. L'étude mesure également l’impact sur plusieurs des objectifs de développement durable (ODD) des Nations Unies. Parmi les secteurs du portefeuille ressortant comme les meilleurs contributeurs aux émissions évitées, apparaît sans surprise les secteurs éolien et solaire. Quelque peu surprenant, c’est le secteur des matériaux qui arrive en deuxième position. Jusqu'à présent, ce secteur n’a pas bénéficié de la même « aura ESG » que d’autres secteurs, notamment en raison de l’intensité carbone de la production de matériaux. « Or, les matériaux produits par certaines entreprises sont essentiels pour la transition énergétique. Le secteur est également fondamental en termes de contribution à une utilisation efficace des ressources et à l'économie circulaire ». souligne Christian Rom, gérant du fonds. Le rapport souligne aussi que DNB Renewable Energy devrait bénéficier des derniers développements post Covid-19, notamment le plan de relance de l’UE de 750 milliards d’euros annoncé en mai. Celui-ci souligne en effet que la reconstruction de l'économie après la pandémie doit impérativement soutenir la transition énergétique. « Cela permettra de revitaliser l'économie et de garantir des emplois, tout en nous guidant vers l’objectif de 1,5 dégrées de l’accord de Paris. », commente Christian Rom. La réalisation de cet objectif exige une réduction annuelle de 6 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre entre 2020 et 2030, selon les estimations du IPCC. Lien vers le rapport : https://dnb-asset-management.s3.amazonaws.com/Annual-Semiannualreports/DNB-Renewable-Energy-report-May2020.pdf?mtime=20200528155233&focal=none
Natixis a annoncé lundi prendre «une série d’engagements concrets, mesurables et encadrés dans le temps pour préserver la biodiversité et le capital naturel» au travers de ses différents métiers, la gestion d’actifs et de fortune, la banque de financement et d’investissement et l’assurance. La filiale de BPCE concrétise ainsi sa participation à l’initiative «act4nature international», dont elle est signataire depuis 2018.
Carlyle a recruté Simon Dingemans en tant que managing director de l’équipe de conseil en Europe. Il deviendra un membre senior de l’équipe des investissements en Europe et pilotera les activités d’acquisition de la société au Royaume-Uni et il couvrira le secteur de la santé en Europe. Il travaillera en étroite collaboration avec Marco De Benedetti et Gregor Boehm, co-responsables des acquisitions en Europe. Dingeman a été directeur financier de GlaxoSmithKline entre 2011 et 2019 et membre du conseil d’administration. Dernièrement, il était président du Financial Reporting Council. Il aussi été managing director et partner de Goldman Sachs pendant 10 ans.
L’Association luxembourgeoise du capital-investissement et du capital-risque (LPEA, Luxembourg Private Equity and Venture Capital Association) a tenu ce 10 juin son assemblée générale annuelle en ligne. Cela a notamment permis d'élire les membres de son conseil d’administration, qui sont au nombre de trente. Ils ont élus sur une base de trois ans. Le président et les comités exécutifs seront élus dans les prochaines semaines, a précisé l’association. Les membres et leurs représentants 3i Investments Luxembourg S.A. – Antoine Clauzel Allen & Overy SCS – Patrick Mischo Astorg Asset Management – Hind El Gaidi Arendt & Medernach SA – Adrian Aldinger Atoz Tax Advisers – Petya Dimitrova Banque de Luxembourg – Lucienne Andring BC Partners – Giuliano Bidoli Bi-Invest Endowment Management S.àr.l. – Eckart Vogler Cinven Luxembourg S.àr.l. – Gautier Laurent Clifford Chance – Katia Gauzès CVC Advisers (Luxembourg) – Emanuela Brero Deloitte – Nick Tabone Edmond de Rothschild Asset Management (Luxembourg) – Serge Weyland Elvinger Hoss Prussen S.A. – Katia Panichi EY Luxembourg – Laurent Capolaghi EQT – Peter Veldman European Investment Fund – Marcel Müller-Marbach Expon Capital – Jérôme Wittamer International Advisory Services Company S.A. – Serge de Ganay KPMG Luxembourg Société coopérative – Mickael Tabart Linklaters – Nicolas Gauzès LIS (Luxembourg Investment Solutions S.A.) – Pierre Weimerskirch Mangrove Capital Partners – Hans-Jürgen Schmitz Norbert Becker/Becker Family Office – Norbert Becker Permira Luxembourg S.àr.l. – Cédric Pedoni PwC – Vincent Lebrun Quintet Private Bank – Gorka Gonzalez Sofina Luxembourg – Stéphanie Delperdange SwanCap Investment Management S.A. – Claus Mansfeldt The Carlyle Group (Luxembourg) S.àr.l. – Sara Huda
Les sociétés de gestion tentent de rouvrir leurs bureaux à Londres et dans toute l’Europe, près de trois mois après avoir fermé leurs portes en réponse à l’épidémie de coronavirus, rapporte le Financial Times fund mangement. Amundi, Schroders, Legal and General Investment Management et Ninety One font partie des grandes maisons de gestion dont les employés commencent à retourner au bureau à Londres. BNP Paribas Asset Management, BlackRock et Invesco rouvrent les espaces de travail en Europe continentale. Les sociétés de gestion ont souligné que toute réouverture se ferait en ligne avec les consignes gouvernementales locales. De plus, le retour des employés se fait souvent en alternance. Amundi a indiqué au FTfm que 30 % de ses effectifs seraient de retour dans les bureaux de Londres dans les jours qui viennent. Près de la moitié reviendrait entre juillet et septembre. En France, 30 % des effectifs sont déjà de retour, le reste étant attendu le 22 juin, à l’exception des personnes vulnérables et de celles ayant des problèmes de garde d’enfant. En Asie, 80 % des effectifs d’Amundi sont de retour, tandis que 70 % reviendront en Allemagne, Autriche, République tchèque et en Italie dans les jours qui viennent. D’autres sociétés de gestion sont plus prudentes, notamment à Londres où le métro est très utilisé et les écoles n’ont pas rouvert. M&G Investments, Jupiter, Janus Henderson et Invesco ont indiqué que leurs bureaux de Londres resteraient fermés pour le moment.
SoftBank a discrètement injecté plus de 500 millions de dollars dans des fonds d’investissement de Credit Suisse qui, à leur tour, ont réalisé de gros paris sur la dette de start-up financées par le Vision Fund dur conglomérat japonais, a appris le Financial Times. SoftBank a investi dans la gamme de fonds de financement de la chaîne d’approvisionnement de la banque suisse (7,5 milliards de dollars d’encours), selon trois sources proches du dossier. Credit Suisse vend ces fonds à des investisseurs professionnels comme des produits sûrs pour placer leurs liquidités dans la dette court terme d’entreprises apparemment diversifiées. Des documents marketing envoyés aux investisseurs montrent que ces fonds ont augmenté leur exposition à plusieurs start-up du Vision Fund l’année passée. Quatre des dix plus grosses lignes du principal fonds de financement de la chaîne d’approvisionnement de Credit Suisse étaient fin mars des entreprises du Vision Fund, représentant 15 % de ses 5,2 milliards de dollars d’actifs. Au centre de ce flux circulaire de financement figure Greensill Capital, une société soutenue par le Vision Fund qui indique «rendre la finance plus juste», révèle le FT. La société londonienne, qui emploie David Cameron comme conseiller, sélectionne tous les actifs allant dans les fonds de Credit Suisse. L’arrangement a permis à SoftBank de fournir une assistance financière à d’autres sociétés du Vision Fund en payant leurs fournisseurs à l’avance, mais par le biais d’un fonds ayant d’autres investisseurs et finançant d’autres sociétés.
Denise Krisko, qui a évolué pendant plus de 20 ans dans l’industrie des ETF et de la gestion indicielle, est décédée le 10 juin, a annoncé vendredi la société Vident Investment Advisory (VIA) dont elle était présidente et co-fondatrice. Avant de co-fonder VIA, elle avait travaillé au sein de plusieurs groupes dont Index Management Solutions,Mellon Capital Management, BNY Asset Management, Northern Trust etDeutsche Asset Management. Elle avait commencé sa carrière chez Vanguard. Vince Birley, co-fondateur de Vident Financial, la maison mère de VIA, a été nommé président de VIA par intérim suite au décès de DeniseKrisko.
Renaissance Technologies, l’un des plus gros hedge funds au monde, a essuyé des pertes à deux chiffres cette année, selon le Financial Times. Le fonds Renaissance Institutional Diversified Alpha a décliné de 8,8 % sur la première semaine de juin, creusant sa perte depuis le début de l’année à 20,7 %, selon des chiffres envoyés aux investisseurs. Les fonds actions de Renaissance figurent parmi les plus grosses victimes de la déroute des marchés en mars. La société devrait afficher l’une des pires performances annuelles de son histoire.
Les fonds obligataires demeurent la classe d’actifs la plus attractive pour les investisseurs. Après un record historique de 32,5 milliards de dollars de collecte nette la semaine dernière, la catégorie a réalisé son deuxième meilleur résultat entre le 5 et le 11 juin, avec 24,6 milliards, selon le «Flow Show», le rapport hebdomadaire sur les flux de collecte de BofA Global Research. La collecte a été soutenue sur les principaux segments obligataires. Les fonds d’obligations d’investissement ont enregistré une collecte de 18,6 milliards de dollars (deuxième plus importante collecte), ceux d’obligations à haut rendement de 6,5 milliards (cinquième plus importante), et les fonds d’obligations émergentes de 2,2 milliards. De même, les fonds d’obligations municipales américaines ont connu leur meilleure semaine avec une collecte nette de 2,4 milliards de dollars. A l’inverse, les fonds d’obligations souveraines ont décollecté de 4,8 milliards de dollars. Le retour du risque dans les portefeuilles des investisseurs s’observe également sur les fonds actions. Avec 13,8 milliards de dollars de collecte, ils font plus que doubler leur résultat par rapport à la semaine dernière (6,2 milliards). Encore une fois, la classe d’actifs est emmenée par les fonds actions américaines, qui ont attiré 11,5 milliards de dollars. Cependant, les fonds tech et santé nord-américains, qui menaient le jeu depuis le début de l’année, ont connu un coup d’arrêt, avec respectivement +0,2 et -0,4 milliard de collecte. Les fonds européens ont également enregistré une bonne semaine, avec 2,4 milliards de dollars de collecte. Les fonds émergents poursuivent leur dégringolade avec cette fois-ci une décollecte de 4,8 milliards. Enfin, du côté des liquidités, les fonds monétaires ont rendu 6,9 milliards de dollars à leurs investisseurs. Les fonds aurifères connaissent eux une seconde décollecte en un semestre, avec -0,1 milliard de dollars.
La société de gestion suédoise Tin Fonder lance un fonds mondial Tin World Tech, axé sur la technologie, la santé et le développement durable, et le fonds nourricier Avanza World Tech by Tin. Le nouveau fonds est géré par Carl Armfelt et Erik Sprinchorn. Le fonds investira dans des sociétés innovantes caractérisées par une croissance et une rentabilité élevées dans le monde entier. Les investissements, réalisés sur le long terme, visent des entreprises de taille moyenne avec un contenu de haute technologie et des services ou produits durables. Au moins la moitié du portefeuille se compose de sociétés dont les produits ou services contribuent à un monde meilleur et aux objectifs de développement durable des Nations unies.
Direxion a lancé trois nouveaux ETF aux Etats-Unis: le Direxion Dynamic Hedge ETF, le Direxion High Growth ETF et le Direxion Fallen Knives ETF. Le premier suit l’indice Salt truVolTM US Large Cap Dynamic Hedge. Il offre une méthodologie systématique de couverture qui cherche à limiter le risque de marché. Pour cet ETF, Direxion s’est associé à Salt Financial. Le Direxion High Growth ETF suit l’indice Russell 1000 Hyper Growth, qui cible les moyennes et grandes valeurs de croissance durable. Enfin, le dernier ETF suit l’indice Indxx US Fallen Knives qui identifie les sociétés aynat subi d’importantes dégradations de cours.
Mathieu Descout est nommé directeur général et directeur de la gestion des fonds de Novaxia Investissement, indique la société de gestion dans un communiqué jeudi.Diplômé de L’ESPI en 2005, Mathieu Descout a débuté sa carrière chez Les Nouveaux Constructeurs avant de rejoindre Nexity Val de Seine puis Bécarré à des postes de développement de projets principalement résidentiels. En 2014, il rejoint Novaxia en qualité de directeur du pôle développement. 18 mois plus tard il devient directeur général.
La famille Meeschaert a réalisé un premier écrémage dans le processus de vente de la banque privée qui porte son nom. Les candidats au rachat ne sont désormais plus que quatre, selon une information des Echos. Il s’agit de Rothschild & Co, de BPE (filiale de La Banque Postale), d’Oddo BHF, et de Gilles Etrillard, fondateur de la société de gestion LFPI. La valorisation tournerait autour de 80 à 90 millions d’euros, soit dix fois le résultat opérationnel, estime le quotidien économique.
Depuis 2006 et le rachat du groupe financier espagnol BancoUrquijopar Banco Sabadell, la marque de gestion d’actifs d’Urquijo, UrquijoGestión, a toujours été maintenue même si Sabadell disposait desa propre filiale, Sabadell AM. Et elle continuera de l'êtreselon le média Funds Peoplequi indique que le rachat à 100% de Sabadell AM par Amundiet le partenariat de distribution attenant au dealen févriern’entraîneront ni la fusion ni la disparition de UrquijoGestión. Au contraire, la boutique, détenue entièrement par Banco Sabadell, poursuivra sa propre stratégie et demeurera indépendante de celle suivie par Sabadell AM.UrquijoGestiónest plutôt axée sur la clientèle de banque privée. A fin avril 2020, la boutique demeurait le sixième plus gros gestionnaire de Sicav espagnoles avec plus d'1,5 milliard d’euros d’actifs sous gestion.
Vanguard lance Digital Advisor, un service de conseil robotisé pour la planification financière sur le long terme à bas coût. Le service cible les jeunes investisseurs et se passe entièrement de conseillers financiers humains. D’ici à la fin de l’année, Vanguard prévoit de déployer Digital Advisor et son Personal Advisor Services, un service qui a cinq ans, auprès de plus de 1.500 plans de retraite qu’il administre.
DoorDash, la société de livraison de repas, est sur le point de s’assurer un nouveau financement qui la valoriserait à plus de 15 milliards de dollars avant l’injection, rapporte le Wall Street Journal. La société non cotée prévoit de vendre des centaines de millions de dollars d’actions à T. Rowe Price Group, Fidelity Investments et d’autres, qui l’ont déjà soutenue, selon des sources proches du dossier. Le Vision Fund de SoftBank Group envisage de participer.
Pershing Square, le hedge fund de Bill Ackman, prévoit de lever plus d’un milliard de dollars en Bourse pour un véhicule d’investissement, rapporte le Financial Times. La société de gestion new-yorkaise a déposé un dossier confidentiel pour une introduction en Bourse auprès des régulateurs américains, selon des sources informées du sujet. S’il réussit, ce «special purpose acquisition vehicle» ou spac pourrait être l’un des plus gros levés cette année. Plusieurs autres investisseurs ont levé des fonds sur les marchés boursiers.
Leverage Shares (leverageshares.com), un émetteur de trackers à réplication physique, a coté 28 nouveaux trackers (ETP) à la Bourse de Londres sur certaines des actions américaines les plus négociées - élargissant leur gamme à 40 produits. Ces trackers peuvent avoir un effet de levier (2x, 3x) ou une exposition inverse (-1x). Ils pourraient être disponibles sur Euronext Paris d’ici 4 à 5 semaines. Ces nouveaux trackers peuvent être utilisés pour effectuer des transactions à forte conviction ou prendre des positions de couverture sur plusieurs Actions allant des géants de la technologie, tels qu’Apple, Microsoft et Google, aux leaders de la consommation discrétionnaire comme Netflix, Amazon et Tesla. Pour Marc Raffard, institutional sales chez Leverage Shares, ces produits sont censés constituer «une alternative plus sûre au trading de CFD ou à l’achat sur marge». Ils sont destinés à des investisseurs expérimentés «La cotation des ETP à effet de levier et «short» sur les principales actions américaines est une première en Europe», précise Lida Eslami, responsable du développement commercial ETP et IOB au London Stock Exchange.
Vanguard a annoncé avoir bouclé la première phase d’un programme pilote sur la blockchain destiné à digitaliser l’émission de titres adossés à des actifs (ABS), en partenariat avec Symbiont, une fintech. Avec l’aide d’un gros émetteur américain d’ABS, de BNY Mellon, de Citi et de State Street, Vanguard a modélisé le cycle de vie d’un réglement d’ABS sur un reseau DLT (distributed ledger technology).
Omnes annonce avoir recruté cinq personnes et en avoir promues trois autres. Aubrey Stewart-Quinquis rejoint l’équipe Mid Cap en qualité d’analyste sous la responsabilité de Stéphane Roussilhe, directeur associé. Iris Duffillot et Simon Hardi intègrent l’équipe co-investissement, respectivement en qualité de chargée d’affaires et directeur de participations, sous la responsabilité de Fabien Prévost, Président d’Omnes. Enfin, Alexandre Yip rejoint Omnes en qualité de contrôleur financier, sous la responsabilité de Serge Rakovitch, directeur des opérations. Bérengère Vanlerberghe arrive dans l’équipe énergies renouvelables en tant que directrice asset management. Corentin Defond est nommé chargé d’affaires dans l’équipe bâtiments durables. Ces deux équipes sont sous la responsabilité de Serge Savasta, associé gérant. Claire Poulard et Marc Gasser sont nommés directeurs de participations dans l’équipe de capital-risque, sous la responsabilité de Michel de Lempdes, associé gérant.