p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; } The asset management firm Aberdeen Standard Investments has teamed up with the 21 Partners company to launch a new 50/50 joint venture, entitled 21 Aberdeen Standard Investments Limited (21ASI). The new entity, based in the United Kingdom, will launch a fund in the next few months with EUR1bn, dedicated to direct investment in private equity. The fund will work to form active minority stakes, with the objective of bringing the business long-term capital. “The fund aims to accompany and facilitate the growth of companies, without the owners selling their majority stakes,” Aberdeen Standard Investments says in a statement; Beyond financing, 21ASI also plans to assist companies in its portfolio to “help them to manage their challenges, particularly managing their growth, potential disruption in their industries, and issues related to succession and operational changes at the helm of companies,” the two partners say. The investment vehicle will concentrate primarily on Europe, and will have a maximum lifespan of 15 years. The joint venture, based in London, will have an initial team of six people. Its board of directors will be led by Alessandro Benetton, founder and managing partner at 21 Partners.
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; } The pan-European fund distribution platform Allfunds Bank on Monday, 19 March announced that it is launching a new technological and operational solution which allows Spanish distributors to operate and complete transfers between ETFs and mutual funds interchangeably. Through this solution, “any financial distributor who is a member of the platform can allow its invetors to trade investments in the transferable universe, without any fiscal impact for the end investor,” Allfunds says in a statement. Allfunds is offering a way to transfer from investment funds to ETFs, ETFs to other ETFs, and from ETFs to funds, covering all the various cases currently available under the Spanish tax regime entitled “traspaso.” For this service, Allfunds had to confront a number of challenges, including effective management of decimals in ETFs, identification of instruments in various markets, management of fiscal elements associated with transfers, and total operational consolidation of funds and ETFs via a single and unique efficient channel, the firm says.
The asset management firm Aberdeen Standard Investments has teamed up with the 21 Partners company to launch a new 50/50 joint venture, entitled 21 Aberdeen Standard Investments Limited (21ASI). The new entity, based in the United Kingdom, will launch a fund in the next few moths with EUR1bn, dedicated to direct investment in private equity. The fund will work to form active minority stakes, with the objective of bringing the business long-term capital. “The fund aims to accompany and facilitate the growth of companies, without the owners selling their majority stakes,” Aberdeen Standard Investments says in a statement;Beyond financing, 21ASI also plans to assist companies in its portfolio to “help them to manage their challenged, particularly managing their growth, potential disturbance in their industries, and issues related to succession and operational changes at the helm of companies,” the two partners say. The investment vehicle will concentrate primarily on Europe, and will have a maximum lifespan of 15 years.The joint venture, based in London, will have an initial team of six people. Its board of directors will be led by Alessandro Benetton, founder and managing partner at 21 Partners.
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; } Paul-Georges Moucan, formerly of Amundi, has joined H2O Asset Management (H2O AM)I, the asset management firm led by Bruno Crastes, affiliated to Natixis Investment Management, according to his LinkedIn profile. Moucan joined H2O AM in London in February 2018 as portfolio manager. Before that, he served at Quadra Capital, where he started in March 2015 as a partner, responsible for equities. Before that, Moucan served for more than nine years as head of global and thematic equity funds at Amundi, which he left in October 2013.
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; } In 2018, inflows to Italian individual savings funds (piani individuali di risparmio, or PIR) are expected to exceed EUR10bn, according to predictions by Intermonte, cited by Milano Finanza. In 2017, these products raised EUR7.8bn, while existing funds were converted into PIR-eligible funds for a total of EUR3bn. In 2018, net inflows are expected to total EUR10.2bn, while assets under management may total EUR25bn. In 2021, assets till total EUR60bn.
Les investisseurs ont intérêt, avant d’adopter leur stratégie d’exclusion, à identifier précisément l’impact potentiel des filtres sur la performance à court terme.
Les encours du pôle de gestion d'actifs français de l'assureur britannique ont au global grimpé l’an dernier de 3,4 milliards d’euros, à 108,5 milliards.
Lundi 19 février, la société de gestion Comgest a publié les résultats de son activité en 2017. L'an dernier, elle a collecté 2 milliards d'euros et porté ses actifs sous gestion à un niveau record de 28,3 milliards d'euros.
Entre finance, technologie et réglementation, l’AMF est intervenue lors des tables rondes de l’ANACOFI 2018. Franck Guiader, directeur de la division fintech et innovation de l’AMF a souligné l’importance d’ajouter la notion de gestion des technologies à celle de gestion des risques dans le cadre des activités de conseils.
Créée en 2006 pour gérer les actifs du groupe Garance (ex-MNRA), Indép'AM est entrée depuis 2017 dans une nouvelle phase de son développement. La société de gestion a décidé, d'une part, d'accélérer la commercialisation de son offre à la clientèle externe et, d'autre part, d'ouvrir son capital à ses salariés à hauteur de 17,8 %. Elle a également créé le poste de responsable commercial pour la première fois et recruté Séverine Ananda, venue de chez BNP Paribas Securities Services. Le processus de sélection de fonds d'Indép'AM, basé avant tout sur des aspects qualitatifs, exclut les gestions collégiales et l'utilisation des stop/loss.
De la brousse sénégalaise aux marchés financiers, l’itinéraire de Frédéric Lagier, directeur général d’Indép’AM, est tout sauf linéaire. Cet amoureux du jazz et de sport est toujours à la recherche du mot juste dans la description des choses. Infatigable travailleur, il redoute le jour où il devra prendre sa retraite pour se concentrer uniquement sur les arbres fruitiers qui poussent dans son jardin.
Plusieurs grands fonds de pension (Alecta, AP3, AP4, APK Pensionkasse, APK Vorsorgekasse AG, ERAFP, MP Pension), compagnies d’assurances (Crédit Agricole Assurances, LocalTapiola General Mutual Insurance Company, LocalTapiola Mutual Life Insurance Company), gestionnaires d’actifs, banques de développement international, et autres institutions ont annoncé avoir investi dans le fonds Amundi Planet Emerging Green One (EGO). Lancé par IFC, membre du groupe de la Banque Mondiale, et Amundi, avec un encours de 1,42 milliard de dollars, ce fonds prévoit d’investir près de 2 milliards de dollars dans des obligations vertes dans les pays émergents durant sa durée de vie. Avec un engagement de 256 millions de dollars, IFC est le plus grand investisseur dans le fonds qui vise à financer des projets focalisés sur le changement climatique dans les pays émergents. La participation d’IFC en tant qu’investisseur de référence, ainsi que celle d’autres entités de financement du développement telles que la Banque Européenne pour la Reconstruction et le Développement (BRED), la Banque Européenne d’Investissement (BEI) et Proparco, confirment le consensus existant pour les initiatives de financement vert axées sur la lutte contre le changement climatique et confortent l’ambition du fonds d’établir des normes exigeantes pour les obligations vertes des marchés émergents. «La BEI est très fière de devenir un investisseur de référence du premier fonds d’obligations vertes des marchés émergents avec une participation de 100 millions de dollars», a commenté Ambroise Fayolle, vice-président de la BEI. «Par son intervention, la BEI contribuera à accélérer la transition des marchés émergents vers une économie verte, tout en soutenant la croissance et l’emploi. La banque de l’UE reste déterminée à mobiliser des investisseurs privés et à financer des projets aux fins des Objectifs de développement durable et de l’Accord de Paris sur le climat conclu à l’issue de la COP 21.» Afin que le fonds puisse devenir, via sa politique ESG, la référence du marché en termes d’exigences environnementales et sociales, un comité scientifique composé d’experts de la finance verte issus d’institutions de développement a été mis en place pour conseiller Amundi en tant que gérant du fonds. La politique ESG du fonds reflète les Standards de Performance 2012 d’IFC et les «Activités Exclues» par IFC. La signature de l’Accord de Paris sur le Climat créé des opportunités d’investissement significatives. Une étude récente d’IFC portant sur 21 pays émergents, recense près de 23 trillions de dollars d’opportunités d’investissements d’ici 2030 en lien avec la lutte contre le dérèglement climatique.
Des salariées de Coutts & Co, la banque privée de la Reine d’Angleterre, se sont plaintes de harcèlement physique et verbal de la part de plusieurs de leurs collègues masculins, rapporte le Wall Street Journal. Certaines femmes ont même refusé de travailler avec le banquier star Harry Keogh, l’homme au centre des plaintes. En 2015, la banque a demandé à une personne de conduire une enquête interne sur l’équipe d’une dizaine de banquiers de Harry Keogh, selon des documents internes lus par le Wall Street Journal. Elle a interrogé 20 banquiers de Coutts et a été informée d’allégations de comportement inapproprié par Harry Keogh et d’autres banquiers, dont des commentaires obscènes, des beuveries et des contacts physiques non voulus. L’information a été relayée au directeur général, Michael Morley, qui pensait qu’un départ d’Harry Keogh était souhaitable. Mais après discussions avec Royal Bank of Scotland, la maison mère, dont Alison Rose, responsable de la banque commerciale et privée, il a été décidé que Harry Keogh pouvait rester.
Dans le financement de l’innovation, le secteur des fonds de pension suisses ne joue pas le rôle qu’ils pourrait jouer en raison de sa trop grande fragmentation. «En Suisse, nous avons énormément d’argent, environ 800 milliards de francs dans nos fonds de pension et c’est tant mieux. Mais là où le bât blesse, c’est que nous avons un grand nombre de petits fonds de pension alors qu’aux Etats-Unis il y a des grands fonds du type Calpers. Par conséquent, en fonction des dispositions légales suisses, les sommes qui pourraient être investies par les fonds de pension dans le capital risque ou le private equity sont trop petites; par conséquent, ces fonds suisses préfèrent investir dans l’immobilier ou des obligations plutôt que dans l’économie réelle», explique Adam Said, cofondateur et CEO du groupe de private equity suisse ACE, dans les colonnes de L’Agefi suisse.Actuellement, ACE, qui emploie 37 personnes réparties dans cinq bureaux (Genève, Londres, Hong Kong, New York, Le Caire), a environ 150 sociétés dans son portefeuille représentant un total de 800 millions de dollars d’actifs. «Sur la base de la valeur monétaire, environ 50% de nos investissements sont localisés aux Etats-Unis contre environ 30% en Europe (principalement en Suisse) et environ 20% dans le reste du monde», précise Adam Said.
Blackstone Group a garanti à son directeur général Stephen Schwarzman de nouveaux avantages pour sa contribution à la société en tant que fondateur lorsqu’il partira à la retraite – et même après sa mort, rapporte le Wall Street Journal. Cela cimente le statut unique du milliardaire de 71 ans au sein de l’empire qu’il a aidé à créer et lie sa fortune à la principale société de private equity en termes d’actifs. La société va fournir à Stephen Schwarzman un accès libre à une voiture et un chauffeur, des privilèges qui étaient jusqu’à présent limités dans le temps. Si et quand il part à la retraite, il sera remboursé pour des voyages réalisés pour le compte de Blackstone et il aura le droit de représenter juridiquement la société. Enfin, Stephen Schwarzman et ses propriétés pourront investir dans les fonds Blackstone ou à leurs côtés sans payer de frais dix ans après sa mort.
BBL Commodities, l’un des plus gros hedge funds spécialisés sur l’énergie, cherche à lever 1 milliard de dollars pour un nouveau fonds qui pariera sur des tendances macro-économiques via des obligations, des actions, des devises et des matières premières, rapporte le Wall Street Journal. BBL gère actuellement un fonds de matières premières de 535 millions de dollars. Le fondateur Jonathan Goldberg indique que son travail sur le pétrole et les autres matières premières lui donne une vision unique sur les tendances mondiales, ce qu’il pourra exprimer dans le nouveau fonds macro et vice versa. BBL est à un stade avancé pour lever 250 millions de dollars auprès d’un premier cercle d’investisseur. Il vise ensuite à lever 750 millions de dollars supplémentaires.
BNP Paribas USA veut passer à la vitesse supérieure, écrit ce matin L’Agefi. «Avec 16.000 employés et 15% du résultat du groupe, la plate-forme a atteint une masse critique», revendique Jean-Yves Fillion, CEO de BNP Paribas USA et responsable de CIB Americas. «Elle peut ainsi s’appuyer sur son modèle diversifié pour offrir une plus large palette de solutions à ses clients existants». Une ambition qui se traduit par le lancement en mars d’un pôle de banque privée à New York destiné aux clients de la banque d’investissement CIB et aux expatriés. «Nous démarrons en mode start-up mais visons plusieurs milliers de clients», explique Pierre Ramadier en charge de l’activité. Il faut dire que la gestion de fortune, lancée en 2011 et qui pèse 15 milliards de dollars (12,2 milliards d’euros) d’actifs, est passée de 6.000 à 32.000 clients. Un fort potentiel de croissance pour la banque outre-Atlantique.
« Nous cherchons à faire d’autres acquisitions de sociétés gérant entre 2 et 10 milliards d’euros », a affirmé à NewsManagers Naïm Abou-Jaoudé, CEO de Candriam Investors Group et chairman de New York Life Investment Management International. Après avoir pris 40 % de Tristan Capital Partners début 2018, et ainsi réalisé une première opération de croissance externe, Candriam ne veut pas en rester là. Interrogé plus précisément sur l’éventuel rachat d’une partie des activités de gestion d’actifs d’ABN Amro Investment Solutions, Naïm Abou-Jaoudé a répondu ne pas souhaiter communiquer.Mais il est clair que la croissance externe est au menu de Candriam, avec à l’esprit l’idée de s’adjoindre des compétences ou des clientèles complémentaires. Et cela pourrait intervenir une fois de plus cette année. « J’avais indiqué l’an dernier que nous avons pour objectif d’atteindre 150 milliards d’euros d’ici à 2021 et que sur les 50 milliards d’euros de croissance, 40 milliards viendraient de la croissance organique et 10 milliards des acquisitions », rappelle Naïm Abou-Jaoudé.En attendant, en 2017, Candriam a fait une partie du chemin, puisque la société a accru ses encours de 10,7 milliards d’euros à 112,6 milliards. Cela s’explique notamment par une collecte nette de 7,1 milliards d’euros, en hausse par rapport aux 5,5 milliards de 2016. La collecte a été portée par l’activité institutionnelle (70 %) et la signature de plusieurs mandats, notamment auprès des français Erafp, FRR et de l’italien Cometa.Elle a été aussi le fruit d’un élargissement de la distribution en Europe et à l’international. Ainsi, en Europe, Candriam a commencé à s’ouvrir aux conseillers en gestion de patrimoine en France et à leur équivalent italien, les « promotori », levant respectivement 70 millions et 300 millions d’euros. La société compte poursuivre son effort dans ce domaine et étudie le développement auprès des conseillers allemands. Hors Europe, Candriam continue de profiter des synergies avec son actionnaire, le groupe New York Life Investment Management, aux Etats-Unis et a fait enregistrer son premier fonds « 40 Act » sur la plate-forme MainStay. La société se développe également en Asie, où elle a ouvert un bureau au Japon en 2017 et a développé l’activité coréenne, ainsi qu’au Chili.Côté classes d’actifs, les stratégies obligataires se sont taillées la part du lion dans la collecte, levant 3 milliards d’euros, dont 1 milliard sur la dette émergente. Sur les actions, les marchés émergents et les actions internationales ont enregistré plus de 2 milliards d’euros de souscriptions. Le multi-asset a recueilli 1,4 milliard d’euros et les stratégies à performance absolue, 700 millions d’euros. A noter aussi que les cinq premiers ETF lancés en juillet par Candriam l’an passé ont levé 350 millions d’euros (400 à ce jour). Enfin, la collecte sur les stratégies ISR a été forte et représenté près de la moitié des fonds levés. Si bien qu’à fin 2017, 27 % du total des actifs sous gestion de Candriam sont en ISR. Dans ce domaine, la société de gestion a continué à s’investir en 2017, avec notamment l’intégration des objectifs de développement durable dans le processus de sélection des fonds ISR ou le lancement d’une académie ISR ouverte à tous… Elle a aussi tout dernièrement annoncé le reversement de 10 % des frais de gestion des fonds ISR à sa fondation développement durable et des projets d’inclusion sociale. Et pour aller plus loin, la société réfléchit à faire un fonds de fonds d’impact social dans le private equity. « Car dans l’ESG, c’est le S qui m’inquiète le plus », conclut Naïm Abou-Jaoudé.
François de Wendel a décidé de céder la présidence du conseil d’administration de Wendel Participations, le principal actionnaire de Wendel avec 36,9% du capital du holding coté, rapporte Les Echos. François de Wendel incarne la douzième génération de la famille industrielle tricentenaire. Selon le quotidien économique, il va aussi quitter la présidence du conseil de surveillance de Wendel au profit d’un autre membre familial, Nicolas ver Hulst. L’ancien bras droit d’Ernest-Antoine Seillière jusqu’au début des années 2000, parti fonder sa propre société d’investissement Alpha et aujourd’hui âgé de soixante-quatre ans, avait fait son entrée au conseil en juillet dernier. Ce passage de témoin devrait être validé en conseil de surveillance ce mercredi, la veille des résultats annuels, puis entériné en assemblée générale. Nicolas ver Hulst formera alors à la tête du holding un nouveau tandem avec André François-Poncet, arrivé en début d’année pour remplacer Frédéric Lemoine, l’artisan du redressement de la société. François de Wendel conservera cependant certaines fonctions et restera représentant de la famille au conseil de surveillance jusqu’en 2020.Par ailleurs, les actionnaires familiaux ont relancé les réflexions sur un sujet de crispation ancien, le verrouillage du capital du bloc familial. L’objectif est d’améliorer les conditions de sortie de ceux qui souhaitent quitter Wendel Participations. Deux pistes seraient à l’étude : ouvrir le capital sur un temps limité à ceux qui souhaitent vendre, ou utiliser une partie du dividende perçu par Wendel Participations pour racheter les titres de ces membres.
T. Rowe Price Group vient de lancer aux Etats-Unis le fonds T. Rowe Price Multi-Strategy Total Return, qui associe six stratégies « alternatives liquides » gérées en interne, afin d’obtenir une corrélation faible aux actions et aux obligations. Le fonds est co-géré par Stefan Hubrich, gérant et directeur de la recherche multi-actifs, et Rick de los Reyes, gérant de l’équipe multi-asset. Les stratégies sous-jacentes sont les suivantes : macro et rendement absolu, obligataire à rendement absolu, long/short actions, long/short actions quantitatives, relative value volatilité, « style premia ».
Le gestionnaire d’actifs sud-coréen Samsung Active Asset Management, filiale à 100% de Samsung Asset Management, va fusionner avec la division sud-coréenne de Franklin Templeton Investments pour créer une coentreprise, rapporte le site spécialisé Asia Asset Management. L’objectif est de développer leurs offres produits et de renforcer leur compétitivité en Corée du Sud. Concrètement, Samsung Active Asset Management va fusionner avec Franklin Templeton Investment Trust Management co pour donner naissance à une nouvelle entité, baptisée Samsung Franklin Templeton Asset Management. L’opération, qui doit encore obtenir le feu vert des régulateurs, pourrait être finalisée dans la deuxième moitié de l’année 2018, précise Asia Asset Management qui évoque un communiqué de presse commun. Samsung Active Asset Management et Franklin Templeton Investment Trust Management gèrent chacun environ 5,6 milliards de dollars américains d’actifs.
La société de gestion américaine Payden & Rygel, qui gère 120 milliards de dollars, vient d’ouvrir un bureau à Milan, en Italie, renforçant ainsi sa présence en Europe. Elle a parallèlement recruté Nicolo Piotti en tant que «managing director». Ce dernier vient de Morgan Stanley à Zurich où il était «managing director» et responsable de la Suisse et de l’Autriche. Précédemment, il a passé 14 ans chez Morgan Stanley en Italie où il couvrait les clients institutionnels et intermédiaires. « Payden propose ses services aux clients italiens depuis près de 20 ans, dont plusieurs institutions supranationales locales », explique Joan Payden, président et directeur général de Payden & Rygel. « Notre présence à Milan va nous aider à mieux service nos clients et à étendre notre activité en Italie et en Europe continentale », poursuit-il.Basé à Los Angeles, Payden & Rugel a déjà des bureaux à Londres.
Le gestionnaire d’actifs américain Columbia Threadneedle a décidé de fermer son fonds dédié au secteur mondial de l’énergie, a appris Citywire Selector. Baptisé Threadneedle (Lux) Global Energy Equities, ce véhicule a été officiellement liquidé le 16 janvier 2018. Le fonds avait initialement géré par Jonathan Mogil, d’août 2012 jusqu’à son départ de la société en juin 2017. La gestion avait été reprise par Josh Kapp jusqu’à la fermeture du fonds. Selon les dernières données disponibles chez Lipper, le véhicule affichait 7 millions de dollars d’encours le 16 janvier 2018, bien loin de son pic de 96,7 millions de dollars en juin 2008.
Après avoir complété son offre dans le private equity et la dette privée, Allianz GI compte encore faire de nouvelles acquisitions pour compléter son offre aux clients et faire de lui un parfait spécialiste de la gestion active. Andreas Utermann, CEO et CIO du groupe, explique qu'il cherche toujours à racheter une société de gestion immobilière, et vise d’autres axes de croissance externe, dans la distribution et le digital. Quelques mois après la mise en place de MIF 2, le dirigeant explique aussi pourquoi il s'attend à une productivité plus forte de la part de ses analystes et gérants.
Amundi et IFC, membre du Groupe de la Banque Mondiale, ont annoncé vendredi soir le lancement « du plus grand fonds d’obligations vertes émises sur les marchés émergents ». Avec un encours de 1,42 milliards de dollars, ce fonds appelé Amundi Planet Emerging Green One (EGO) prévoit d’investir près de 2 milliards de dollars dans des obligations vertes dans les pays émergents durant sa durée de vie. Avec un engagement de 256 millions de dollars, IFC est le plus grand investisseur dans le fonds qui vise à financer des projets focalisés sur le changement climatique dans les pays émergents. Le lancement d’Amundi Planet EGO marque l’aboutissement d’une campagne de levée de fonds réussie, rassemblant un large panel d’investisseurs institutionnels à travers l’Europe et le Moyen-Orient. « De par son échéance à long terme et sa grande taille, ce fonds, de droit luxembourgeois, devrait permettre d’accroître fortement l’ampleur et le rythme des financements de projets climatiques dans les marchés émergents en attirant d’importants capitaux d’investisseurs internationaux et ainsi favoriser la création de nouveaux marchés », indique un communiqué. « Amundi Planet EGO est le premier de son genre à adopter une approche intégrée en investissant dans des obligations vertes de pays émergents tout en favorisant la création d’un marché d’obligations vertes de qualité par la mise en place de mesures d’accompagnement des émetteurs. Un programme d’assistance technique géré par IFC avec une subvention initiale de 7,5 millions de dollars émanant du SECO (Secrétariat d’Etat à l’économie suisse) aidera en effet à la création de nouveaux marchés pour le financement climatique en développant des standards d’obligations vertes et en proposant des programmes de formation pour les institutions financières cibles. Cela facilitera l’adoption par ces dernières des « Green Bond Principles » et des meilleures pratiques internationales », poursuit le communiqué. Plusieurs grands fonds de pension (Alecta, AP3, AP4, APK Pensionkasse, APK Vorsorgekasse AG, ERAFP, MP Pension), compagnies d’assurances (Crédit Agricole Assurances, LocalTapiola General Mutual Insurance Company, LocalTapiola Mutual Life Insurance Company), gestionnaires d’actifs, banques de développement international, et autres institutions ont manifesté un intérêt pour ce projet de finance verte. Outre la participation d’IFC en tant qu’investisseur de référence, le fonds peut compter sur d’autres entités de financement du développement telles que la Banque Européenne pour la Reconstruction et le Développement (BRED), la Banque Européenne d’Investissement (BEI) et Proparco. Afin que le fonds puisse devenir, via sa politique ESG, la référence du marché en termes d’exigences environnementales et sociales, un comité scientifique composé d’experts de la finance verte issus d’institutions de développement a été mis en place pour conseiller Amundi en tant que gestionnaire du fonds. La politique ESG du fonds reflète les Standards de Performance 2012 d’IFC et les « Activités Exclues » par IFC.
Deutsche Bank Wealth Management vient de nommer Jorge Rocafort Lasheras en qualité de directeur régional en charge de la Catalogne et des Îles Baléares, rapporte le site spécialisé Funds People. L’intéressé arrive en provenance de Credit Suisse où il a officié pendant près de 8 ans, d’abord comme banquier privé puis comme responsable depuis le Luxembourg des marchés espagnols et portugais. Avant cela, il a travaillé pendant 7 ans chez Santander Wealth Management.
Mark Vreeswijk a rejoint Kempen Capital Management comme chargé de clientèle institutionnelle, rapporte le site spécialisé Fondsnieuws. L’intéressé vient de passer douze ans à Londres où il a été en dernier lieu responsable du suivi de la clientèle institutionnelle néerlandaise chez Goldman Sachs. Auparavant, il a exercé chez Barclays Capital dans la distribution de produits obligataires auprès de fonds de pension et d’assureurs néerlandais.
Le gestionnaire d’actifs espagnol azValor a annoncé, ce 16 mars, le recrutement dans les prochains jours de Javier Saenz de Cenzano en qualité de responsable de son nouveau fonds multi-gérant, baptisé « Managers ». Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, l’intéressé pilotera un portefeuille de gérants externes internationaux qui partagent les mêmes principes d’investissements qu’azValor. « L’objectif est de compléter l’offre d’azValor à ses clients avec des investissements dans des marchés autres que le marché historique de nos produits existants, en mettant l’accent dans régions en dehors de l’Europe, tant dans des marchés développés que des marchés émergents, indique la société de gestion dans un communiqué. Le gestionnaire d’actifs espagnol entend travailler avec « des professionnels expérimentés et de prestige, qui gèrent des volumes limités et qui se sont montrés fidèles à un style et une approche d’investissement comme celui développé par azValor, obtenant ainsi d’excellents rendement à long et très long terme ». Avant de rejoindre azValor, Javier Saenz de Cenzano était directeur en charge de la recherche de gérants (« director of manager research ») pour l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique chez Morningstar, où il supervisait à ce titre une équipe dédiée à l’analyse des fonds. Avant cela, il avait travaillé comme analyste Russell Investments, à Londres, et chez Allfunds Bank à Madrid.
Fidelity International a promu Bryan Collins au poste de responsable de la gestion obligataire en Asie à compter du 1er février, rapporte le site spécialisé Asian Investor. Basé à Hong Kong, l’intéressé officiait précédemment en tant que gérant de portefeuille au sein de l’équipe obligataire asiatique.
Le fonds phare de Pimco, le GIS Income fund, le plus gros fonds ouvert européen avec 60 milliards d’euros d’actifs sous gestion, vient de subir ses premières sorties nettes mensuelles depuis la fin 2014, c’est-à-dire la période qui avait immédiatement suivi le départ du co-fondateur de Pimco, Bill Gross, rapporte Financial News. Le fonds GIS Income, piloté par Dan Ivascyn et Alfred Murata, a affiché des flux nets négatifs de 616 millions d’euros en février, selon des données préliminaires de Morningstar, après 39 mois consécutifs de collecte. L’an dernier, le fonds GIS Income a plus doublé de taille grâce à des entrées nettes d’environ 4 milliards d’euros par mois, soit sur l’ensemble de l’année plus de 40 milliards d’euros.Le fonds de Pimco n’a ainsi pas pu échapper au mouvement de vente qui a caractérisé le marché début février. Les fonds obligataires gérés activement en Europe ont ainsi subi des sorties de nettes de 3,5 milliards d’euros en février. Les données provisoires de Morningstar indiquent aussi que les fonds d’obligations high yield gérés par Morgan Stanley Investment Management et AXA Investment Managers ont enregistré des sorties nettes de plus de 1 milliard d’euros chacun.En revanche, on observe que les fonds indiciels et les ETF obligataires ont affiché une collecte nette d’environ 1,5 milliard d’euros en février.