BNP Paribas Gestion de Inversiones, la société de gestion espagnole du groupe BNP Paribas Wealth Management (BNP Paribas WM), a nommé Angel Borrego au poste de directeur de la gestion obligataire, rapporte Funds People. Il remplace ainsi Marta Raga qui a quitté l’entreprise pour poursuivre d’autres opportunités de carrière. Angel Borrego combinera cette nouvelle fonction avec celle de responsable de l’investissement socialement responsable. L’intéressé avait rejoint BNP Paribas WM en 2010 comme gérant sénior. Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, il sera rattaché à Silvia Garcia-Castaño, directrice des investissements.Avant d’intégrer BNP Paribas WM, Angel Borrego, qui compte 23 ans d’expérience dans le secteur financier, a été directeur de la gestion obligataire et des produits structurés chez Fortis Private Bank. Auparavant, il a été directeur adjoint en charge des marchés de capitaux chez Espirito Santo Investment.
Le Bureau américain de la protection financière des consommateurs (CFPB) pourrait infliger à la banque Wells Fargo une amende de plusieurs centaines de millions de dollars, voire d’un milliard de dollars, au titre d’abus en matière de prêts immobiliers et d’assurance automobile, écrit Reuters de sources proches. Il s’agirait de la première amende imposée par le CFPB depuis la nomination de Mick Mulvaney à sa tête comme directeur intérimaire. Celui-ci envisagerait une amende bien supérieure à celle de 100 millions de dollars dont Wells Fargo avait écopé auprès du CFPB en 2016, dans le cadre du scandale lié à ses pratiques commerciales illicites, poursuit l’agence de presse.
La société de gestion Talence Gestion vient d'annoncer le renforcement de son équipe lilloise avec le recrutement de Thibaud Le Blan, ex-CM-CIC comme responsable du développement du bureau du Nord, ouvert il y a 3 ans à Marcq-en-Baroeul
D'abord juriste, puis responsable commerciale en immobilier, Pascale Tardieu, dirigeante du Cnaf, a fait évoluer sa carrière et son activité au fil du temps, jusqu’à ce que la gestion de patrimoine devienne une évidence. Cette grande amatrice de roman policier, passionnée par l’aspect psychologique des intrigues, a écrit son parcours professionnel sans se douter qu’elle deviendrait, un jour, un « artisan » de la gestion de patrimoine.
A l’occasion du Forum obligataire organisé par l’Agefi, Catherine Vialonga directrice adjointe de l’Erafp, a annoncé qu’une accélération des investissements de l’institution sur les marchés émergents était à l'étude. Ceux-ci ne constituent pour le moment que 0,5% de l’actif du fonds de pension via quelques fonds de place. «C’est une des pistes de réflexion pour l'évolution de l’allocation», a commenté la responsable. Catherine Vialonga a en outre expliqué que la sélection et l’investissement dans cette classe d’actifs subira un filtre ISR, comme le reste du portefeuille. «Le dispositif sera toutefois adapté à la classe d’actifs, dans la mesure où nous ne pouvons pas avoir les mêmes exigences notamment en termes de droit français, précise-t-elle. Mais nous serons très sensibles sur les aspects de corruption, et allons faire une sélection sur la base du best-in-class, que nous compléterons par des actions d’engagement si l’on considère qu’il y a une amélioration à obtenir à l’aide de dialogue avec cette entreprise». L’investissement en titres souverains des pays émergents est cependant exclu, dans la mesure où ces derniers «ne passent pas le tamis ESG». En outre, dans sa politique d’investissement responsable, l’Erafp a notamment pour principe de ne pas investir dans les pays qui pratiquent la peine de mort et le travail des enfants. «Cela exclut un certain nombre d’émetteurs souverains, nous nous contentons donc d’investir dans des entreprises privées», poursuit Catherine Vialonga. La réflexion de l’Erafp pour investir plus massivement sur cette classe d’actifs est déjà bien amorcée et «nous allons certainement lancer un appel d’offres avant la fin de l’année pour la création d’un fonds dédié. On peut donc espérer investir en 2019", conclut la directrice adjointe.
Le «Réseau des superviseurs et des banques centrales pour le verdissement du système financier» (NGFS) s’est réuni à Amsterdam, le 6 avril, pour la première fois depuis qu’il a été créé lors du One Planet Summit le 12 décembre dernier à Paris. Les gouverneurs de la Banque de France et de la Banque d’Angleterre ont appelé à des mesures fortes pour «verdir» la finance. François Villeroy de Galhau, le gouverneur de la Banque de France et président de l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR), a émis l’idée de pénalités ciblant es actifs bruns (néfastes pour le climat, ndlr) avec un «facteur pénalisant brun» plutôt qu’un soutien aux actifs verts. «Cela pourrait être conçu comme un coussin pour le risque systémique (systemic risk buffer) spécifique, ou être intégré dans les exigences au titre du pilier 2"», a-t-il précisé. Par ailleurs il a demandé aux Etats européens, « y compris le Royaume-Uni », de se doter de « normes communes » sur les « green bonds » ou obligations vertes pour compléter la « taxonomie » des actifs verts voulue par la Commission européenne. Il a également appelé les compagnies d’assurance et les banques à «développer des stress-tests carbone prospectifs».
Des divisions profondes ont émergé au sein du gouvernement norvégien sur les mérites de permettre au fonds pétrolier de 1.000 milliards de dollars de devenir un investisseur dans le private equity, alors qu’une décision doit être prise cette semaine, rapporte le Financial Times. Le fonds souverain a recommandé en janvier qu’il devrait être autorisé à investir dans le private equity. Une décision finale est attendue mardi, mais le sujet a provoqué un débat farouche parmi les membres du gouvernement, selon des sources proches du dossier. « Le private equity pourrait mettre en risque le modèle entier de gestion d’actifs norvégien », prévient Espen Henriksen, un professeur associé de l’école de commerce BI Norwegian à Oslo et ancien dirigeant du fonds.
Dans le cadre d’une vaste réorganisation, le groupe danois Danske Bank a annoncé, ce 6 avril, la nomination d’un nouveau responsable pour son pôle de gestion de fortune (« Wealth Management »). De fait, Jacob Aarup-Andersen, actuel directeur financier du groupe, est nommé avec effet au 2 mai 2018 en qualité de responsable de l’activité « Wealth Management ». Il remplace ainsi Tonny Thierry Andersen qui a décidé de quitté Danske Bank où il travaillait depuis 1999. « Après 18 années excitantes au sein de Danske Bank, j’ai décidé de quitter la banque à partir du 1er mai 2018, a expliqué Tonny Thierry Andersen, 53 ans, dans un message posté sur LinkedIn. Dans le contexte de la mise en place d’une nouvelle stratégie ambitieuse et d’une large réorganisation de l’équipe de direction, il m’a été proposé une nouvelle position intéressante au sein du directoire. Après un examen attentif […], j’ai toutefois décidé de démissionné. » L’intéressé entend désormais poursuivre sa carrière à l’extérieur du groupe.En parallèle, Danske Bank a nommé Christian Baltzer au poste de directeur financier en remplacement de Jacob Aarup-Andersen. L’intéressé, qui arrive en provenance de l’assureur danois Tryg, prendra officiellement ses fonctions à partir du 15 octobre 2018.
A l’occasion de la publication de son invitation à l’assemblée générale du 27 avril prochain, EFG International a indiqué ce 6 avril la nomination de trois nouveaux membres, Fong Seng Tee, John Spiro Latsis et Stuart M. Robertson, à son conseil d’administration pour un mandat d’un an. Fong Seng Tee a une expérience de près de quarante ans dans la finance internationale e tout particulièrement l’Asie. Il préside actuellement le comité consultatif sur l’Asie d’EFG International. Il est également président du comité consultatif sur le wealth management de la Lee Kong Chian Scholl of Business de la Singapore Management University. Il travaillait dernièrement chez Credit Suisse en qualité de vice chairman private banking de la région Asie-Pcifique.John Spiro Latsis rejoint son père, Spiro J. Latsis, au sein du conseil d’administration, et fait donc partie de la famille Latsis qui contrôle le groupe EFG. Il dirige une société, Gestron Services, et participe à plusieurs comités consultatifs et conseils d’administration.Stuart M. Robertson a plus de 25 ans d’expérience dans les services financiers suisses. C’est un spécialiste de l’audit et du conseil qui travaille chez KPMG depuis 1999..
L’hémorragie continue. FalconPrivate Bank vient de perdre son financier, Urs Zgraggen, rapporte le site spécialisé finews. Une démission confirmée par un porte-parole de la banque privée qui a déjà perdu ces derniers mois de nombreux cadres dirigeants, dont son directeur général Walter Berchtold. Ces turbulences sans précédent sont liées à l’implication de la banque privée dans le scandale du fonds souverain 1MDB.Dans ce contexte, la banque privée souhaite simplifier ses structures et réduire ses effectifs qui pourraient passer de 300 à environ 250.
Julius Baer cible la génération des « millenials » avec un nouveau fonds thématique, a appris Citywire Selector. Le fonds Julius Baer Equity Next Generation, officiellement lancé le 23 février, est géré par Jiazhi Chen Seiler.
Helena Levander a été nommée membre du conseil d’administration de Lannebo Fonder, rapporte le site suédois Realtid.se. L’intéressée a notamment fondé la société de conseil Nordic Investor Services. Helena Levander était aussi analyste financier et a commencé sa carrière chez SEB.
L’Asie constitue un pilier important pour la croissance de la banque de gestion Julius Baer, a déclaré Bernhard Hodler, le nouveau directeur général de la banque privée suisse dans un entretien au quotidien indien The Economic Times. «Je vois également des opportunités en Amérique du Sud», a indiqué Bernhard Hodler, qui a repris les rênes de Julius Baer en novembre dernier, suite à la démission surprise de Boris Collardi qui a rejoint Pictet. L’Inde figure déjà parmi les marchés clés du groupe suisse, où se trouvent de nombreux riches clients potentiels et où la demande de conseils en investissement est forte. Bernhard Hodler s’attend à une reprise de la collecte dès que la situation dans le pays se sera stabilisée. De nombreuses élections se tiendront dans le pays cette année, avant le renouvellement complet du Parlement en 2019.Le patron de Julius Baer estime par ailleurs que le marché des actions présente encore du potentiel malgré la forte volatilité observée dernièrement en raison des incertitudes politiques. La fin de la politique très accommodante des banques centrales demeure le plus grand défi, un virage délicat qu’il faudra négocier. «Ce ne sera pas facile, car la quantité de liquidité qui a été injectée dans le système est très élevée», a déclaré le banquier.
La société de gestion allemande QC Partners, basée à Francfort, renforce son équipe de gestion de portefeuille avec la nomination de Natalia Sidorova en qualité de gérante. Dans ses nouvelles fonctions, Natalia Sidorova soutiendra l'équipe de gestion dans l'élaboration de solutions d’investissement dans le cadre de fonds ouverts et de mandats. Elle sera rattachée directement à Thomas Altmann, responsable de la gestion de portefeuille de QC Partners. Natalia Sidorova travaillait précédemment chez State Street Bank en tant que Agency Fund Trading Specialist depuis 2016.Au cours des 24 derniers mois, les actifs sous gestion de QC Partners ont plus que doublé pour s'établir à environ 800 millions d’euros, selon les données de la société.
Le numéro un allemand de la distribution de produits financiers DVAG et l’incubateur de fintech Finleap viennent d’annoncer la création d’une joint venture dénommée Deutsche Fintech Solutions GmbH. La co-entreprise a pour objectif de développer un outil digital, qui doit aider les 14.500 conseillers en patrimoine de DVAG dans leurs activités quotidiennes d’analyse et de conseil. «Notre objectif est d’associer la sensibilité et l’expertise des conseillers financiers à l’intelligence artificielle et de mettre les résultats de cette association au service de clients», explikque Christian Glanz, membre du directoire de DVAG responsable de l’informatique.L’outil devrait réduire les coûts administratifs et permettre aux conseillers de se concentrer sur leurs compétences et leur coeur de métier. Dans un premier temps, la fintech devrait compter un effectif de 25 personnes. Elle sera dirigée par Vincent Ma, qui travaillait précédemment pour le portail comparatif Verivox, et Reiner Neusser, issu de Deutsche Verrechnungsstelle, une filiale de compensation de DVAG.
GSO Capital Partners, la plateforme de crédit du groupe américain Blackstone, a annoncé, ce 5 avril, le « closing » définitif de son troisième fonds de dettes « stressed / distressed », GSO Capital Solutions Fund II, à hauteur de 7 milliards de dollars. Ce montant correspond à une progression de 40% par rapport au précédent fonds levé en 2013. Ce nouveau véhicule a obtenu des engagements de la part d’une large base d’investisseurs internationaux, y compris des fonds de pension américains et internationaux, des institutions financières, des fonds de dotations, des fondations et des family offices.GSO Capital Solutions Fund III a vocation à fournir des capitaux aux entreprises confrontées à des problèmes de liquidité, du fait de dettes arrivées à maturité, de pénuries de liquidités ou de défis cycliques temporaires. GSO a déjà déployé plus de 8,7 milliards de dollars via cette stratégie dans différents secteurs d’activités et zones géographiques, se concentrant plus particulièrement sur les Etats-Unis et l’Europe.
Entré dans un processus de vente officiellement depuis le mois de novembre par Natixis, Sélection 1818 va être attribué à Nortia, rapportait Distrib Invest (groupe Agefi) ce dimanche. Nortia a gagné l’appel d’offres devant deux autres candidats retenus sur la « short list » dont la Société Générale, a appris Distrib Invest de sources proches des transactions. La cession doit être annoncée officiellement ce 11 avril pour une clôture de l’opération en juin.Natixis et Nortia ont refusé de commenter l’information. Selon une des sources interrogées par Distrib Invest, «le nom du gagnant est connu depuis longtemps dans le milieu mais des contraintes juridiques ont pour le moment empêché les deux groupes de l’annoncer officiellement». La source n’a pas expliqué quelles étaient exactement ces contraintes.Nortia crée et distribue des contrats d’assurance vie et des compte titres via un réseau de conseillers en gestion de patrimoine. Alors que le fonds BlackFin vient de prendre une participation de 34% à son capital ((après être sorti de Cyrus Conseil) pour l’aider dans sa croissance notamment externe, elle revendique 3,3 milliards sous gestion, un réseau d’environ 500 CGP et 26.000 clients. Elle détient aussi une société de gestion sous le nom de Haas Gestion.Issue du rapprochement en 2010 entre Sélection R (Rothschild & Cie Gestion) et 1818 Partenaires (BPCE), Sélection 1818 est une plateforme de distribution de produits de placement (banque, assurance, international, immobilier) et offre des services aux professionnels du patrimoine dans leur activité. Elle revendique des encours d’un peu plus de 6,3 milliards d’euros investis pour les 2/3 dans des supports d’assurance vie et 1/3 en comptes titres pour le compte de plus de 35 000 clients. La plateforme travaille aujourd’hui avec près de 650 courtiers et CIF parmi les plus actifs du marché.L’annonce de la mise en vente était intervenue suite à l’élaboration d’un nouveau plan stratégique par Natixis dans lequel l’activité de gestion et de banque privée a été remodelée et renommée, avec des objectifs de collecte à 3 ans. Banque Privée 1818 a, par exemple, pris le nom de Natixis Wealth Management.
L’opérateur de marchés Euronext a annoncé la cotation par Amundi Asset Management d’un nouvel ETF sur Euronext Paris à compter du 10 avril. Le nouveau véhicule, Amundi G AG500 UH (LU1778293313) a pour sous-jacent l’indice Bloomberg Barclays Global Aggregate (500 million). L’ETF sera chargé à 0,10%.
Sequoia Fund a pris une participation dans Facebook dans le sillage du scandale des données qui a fait chuter le cours de l’action du groupe, rapporte le Financial Times. Ruane, Cunniff & Goldfarb, le gérant du fonds, a indiqué dans une note aux clients avoir acquis une petite participation dans Facebook à la fin du premier trimestre. « Même si Facebook a sans aucun doute commis des fautes pour lesquelles elle doit désormais se racheter, nous pensons qu’elle reste une entreprise bien plus avantagée d’un point de vue concurrentiel, plus économiquement attractive et à plus forte croissance que la moyenne des entreprises américaines », selon la note.
La société d’investissement Idinvest Partners a annoncé, ce matin, le premier « closing » de son troisième fonds digital à hauteur de 180 millions d’euros. Idinvest Digital Fund III, dont la taille cible est de 300 millions d’euros, dépasse ainsi le fonds précédent, Idinvest Digital Fund II qui avait collecté 154 millions d’euros et l’objectif initial de 150 millions d’euros pour ce premier closing.Ce nouveau véhicule, géré par une équipe de 9 investisseurs, poursuivra la stratégie initiée par les fonds précédents : financer des entreprises européennes innovantes en forte croissance et soutenir les entrepreneurs européens du digital dans des secteurs tels que les logiciels pour entreprises, la Fintech & Assurtech, la Deeptech (intelligence artificielle, Big Data, réalité virtuelle, internet des objets, cyber-sécurité) et le digital appliqué à la santé. « Le fonds accueille une majorité de nouveaux LPs aux côtés d’investisseurs existants et a déjà identifié deux cibles dans lesquelles une prise de participation est en cours de finalisation », indique Idinvest dans un communiqué.
Apax Partners vient d’ouvrir des bureaux à Milan en Italie, rapporte Bluerating. Le groupe de private equity a recruté pour cela Francesco Panfilo, actuellement membre du conseil d’administration de Benetton Group. L’Italie est considéré comme un marché clé pour Apax, qui misera sur des entreprises ayant des valorisations jusqu’à 600 millions d’euros dans les secteurs TMT, consommation, santé et services.
La différence de rémunération entre hommes et femmes dans le secteur de la gestion d’actifs est de 28,5 %, tandis que la différence de bonus est de 55,4 %, a calculé le Financial Times fund management. Cela est à comparer avec une moyenne nationale au Royaume-Uni de 9,7 % et une moyenne pour le secteur des services financiers de 22,2 %. L’un des plus mauvais élèves est Wellington Management, qui a publié une différence de rémunération hommes/femmes de 44,7 % et une différence pour les bonus de 84,6 %. Investec affiche une différence de 43,4 % pour les salaires et de 57,8 % pour les bonus. Pour Pimco, c’est 39 % et 81 %. Parmi les meilleurs élèves figurent State Street Global Advisors (11,8 % et 24 %) et BlueBay Asset Management (8,8 % et 38 %).
La course à la taille critique n’en finit pas dans le petit monde des groupes de protection sociale , rapporte L’Agefi ce matin. Alors qu’AG2R La Mondiale travaille à son rapprochement avec la Matmut, qui conduira notamment à améliorer les ratios de solvabilité du nouvel ensemble, le groupe dirigé par André Renaudin, leader du secteur, serait aussi en négociations avec la Mutuelle Générale (MG), ex-mutuelle des PTT, selon une source proche du dossier. MG avait étudié un rapprochement avec Malakoff Médéric qui avait échoué en mai 2016, après que des négociations difficiles eurent provoqué l'éviction de Guillaume Sarkozy des organes de direction. Aujourd’hui, Malakoff Médéric se rapproche d’Humanis. Aucune négociation exclusive n’est enclenchée avec MG, souligne cependant la direction d’AG2R, même si elle admet l’existence de discussions. La nécessaire augmentation de la taille joue particulièrement en matière de retraite complémentaire. C’est ainsi que plusieurs groupes de protection sociale (Agrica, Audiens, B2V, IRP Auto, Lourmel), emmenés par un acteur de taille plus importante, Pro BTP, viennent d’officialiser via un communiqué la fusion de leurs activités dans ce domaine de la retraite, avec effet au 1er janvier 2018. La création de deux institutions, Alliance professionnelle Agirc et Alliance professionnelle Arrco est annoncée, pour quelques mois seulement puisque l’Agirc et l’Arrco doivent fusionner le 1er janvier 2019. Il n’en restera alors qu’une. Si certains membres de cette nouvelle alliance avaient hésité avant de franchir le pas, les exigences de réduction des coûts de gestion formulées par les partenaires sociaux, qui dirigent l’Agirc-Arrco, ont eu raison de ces résistances. Un premier plan de 300 millions d’euros d'économies sur les frais de gestion a abouti en 2016, un autre a été imposé sur la période 2019-2022. Cette nouvelle alliance pèsera 18% de l’ensemble des régimes Agirc-Arrco, recueillant les cotisations de retraite complémentaire de 4,1 millions de salariés, indique le communiqué des groupes de protection sociale. Elle sera donc au niveau de Malakoff Médéric, mais d’une taille inférieure à celle d’Humanis dans ce domaine, et surtout d’AG2R La Mondiale, qui gère un quart du «marché» de la retraite complémentaire.
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; } As part of a larger reshuffle, the Danish group Danske Bank on 6 April announced that it is appointing a new head for its wealth management unit. Jacob Aarup-Andersen, currently chief financial officer at the group, is appointed as new head of the wealth management activity from 2 May 2018. He replaces Tonny Thierry Andersen, who has decided to leave Danske Bank, where he had worked since 1999. “After 18 exciting years at Danske Bank, I have decided to leave the bank from 1 May 2018,” Andersen, 53, explains in a message posted on LinkedIn. “As an ambitious new strategy is put in place, with a large reshuffle of the management team, I have been offered an attractive new position on the board. After careful examination … I have however decided to resign.” Andersen is planning to continue his career outside the group. Meanwhile, Danske Bank has appointed Christian Baltzer as chief financial officer, replacing Aarup-Andersen. Baltzer, who joins from the Danish insurer Tryg, will officially begin from 15 October 2018.
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; } Apax Partners has opened offices in Milan, Italy, Bluerating reports. The private equity group has recruited Francesco Panfilo, currently chairman of the board of directors at Benetton Group. Italy is considered a key market for Apax, which will bet on companies with valuations of up to EUR600m in the technology, media and telecommunicatons (TMT), consumer, health and services sectors.
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; } The prviate equity firm Idinvest Partners has signed a strategic partnership agreement in venture capital with the Italian energy group Edison. The agreement specifies investment by Edison in the investment fund Smart City, managed by Idinvest, which focuses on startups dedicated to smart energy, smart industry and construction, new mobility and facilitating technologies in Europe, North America, Israel and Asia. The partnership will provide Edison a way to co-invest in attractive startups. At the same time, Idivest agrees to promote the Italian innovation ecosystem, by investing in one or more innovative Italian startup companies which fall within its investment universe, via its venture capital activity.
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; } At a publication of its invitaion to a general assemby on 27 April this year, EFG International on 6 April announced the appointment of three new members to its board of directors, Fong Seng Tee, John Spiro Latsis and Stuart M. Robertson, for one-year terms. Seng Tee has nearly 40 years of experience in international finance, particularly in Asia. He is currently chair of the Asia consulting board at EFG International. He is also chairman of the consulting committee for wealth management at the Lee Kong Chian School of Business at Singapore Management University. He most recently worked at Credit Suisse as vice chairman private banking for the Asia-Pacific region. Latsis joins his father, Spiro J. Latsis, on the board of directors, and is a part of the Latsis family which controls the EFG group. He is director of a company, Gestron Services, and sits on several consulting committees and boards of directors. Robertson has over 25 years of experieince in Swiss financial serivices. He is an auditing and consulting specialist who has been working at KPMG since 1999.