L’activité de tenue de comptes d’Amundi basée à Valence a obtenu la certification sur l’engagement de service AFNOR « Quali’ESR ». «Cette attestation, délivrée par AFNOR Certification, est une nouvelle étape importante dans la reconnaissance de la qualité des prestations fournies aux bénéficiaires des dispositifs d’épargne salariale et retraite (ESR) d’Amundi, souligne un communiqué. Déjà titulaire d’une certification ISO 9001 V 2015, la tenue de comptes d’Amundi est ainsi doublement certifiée. Amundi Epargne Salariale et Retraite affiche 56,2 milliards d’euros d’actifs gérés à fin 2017 et 42,7% de parts de marchés. L’activité basée à Valence, elle, compte plus de 3,5 millions de comptes titres administrés et près de 2,4 millions de salariés gérés. La certification Afnor «Quali’ESR» est une obligation de résultat basée sur 7 engagements de référence permettant de certifier la qualité des prestations de services délivrées :- Engagement n°1 = Mettre à disposition des clients une offre multicanal leur permettant d’être informés et d’agir sur leur épargne- Engagement n°2 = « Reçu à J- traité à J » : initier le traitement des demandes courriers et digitales des clients le jour de leur réception - Engagement n°3 = Apporter une information adaptée à la situation de chaque client grâce à la personnalisation des services- Engagement n°4 = Accompagner chaque client tout au long de ses démarches- Engagement n°5 = Être à l’écoute de chaque client (son avis étant précieux)- Engagement n°6 = Placer au cœur des préoccupations la sécurisation des accès de chaque compte épargne client- Engagement n°7= Adopter un comportement éco-socio responsable
Emergence, le fonds d’incubation et d’accélération de sociétés de gestion entrepreneuriales de la Place de Paris, présidé par Alain Leclair, a annoncé, ce 6 juin, la nomination de Bertrand du Guerny au poste de directeur général. Il s’agit d’une création de poste. L’intéressé est en charge du développement et du renforcement de la notoriété, en France et à l’international, d’Emergence, dont l’objet est de lever des capitaux auprès d’investisseurs institutionnels et de les allouer en gestion à une sélection de sociétés de gestion entrepreneuriales innovantes.Bertrand du Guerny compte 28 ans d’expérience dans le secteur de la gestion d’actifs, dans des fonctions opérationnelles, d’organisation puis managériales. De 2011 à 2016, il a été à la fois directeur administratif et financier et directeur des risques de la Banque Hottinguer et Secrétaire général de la société de gestion du groupe. Auparavant, il a été chargé de mission auprès de l’Association française de la gestion financière (AFG) de 2009 à 2010 en tant que coordinateur et animateur de plusieurs commissions, dont Techniques de Gestion Financière et Gestion Entrepreneuriales. Avant cela, Bertrand du Guerny a été, de 2002 à 2009, consultant manager au sein du cabinet Investance Consulting où il a réalisé de nombreuses missions transversales d’organisation auprès de grands acteurs de la gestion d’actifs, en France et à l’international, et est également intervenu pour le compte de l’Autorité des Marchés Financiers. De 1989 à 2002, il a principalement occupé des fonctions de négociateur sur les marchés d’instruments de taux puis de gérant d’OPCVM dans le groupe Caisse des Dépôts et Consignations.
BNP Paribas Wealth Management a mis les petits plats dans les grands pour témoigner de sa contribution croissante à l’investissement socialement responsable (ISR). Ce lundi 4 juin, la banque privée a en effet réuni plus de 200 clients, provenant des quatre coins du monde, au Musée des Arts Décoratifs dans le cadre d’une soirée dédiée au thème de « l’impact positif ». « L’impact positif permet à chacun d’orienter sa vie personnelle, professionnelle et ses investissements financiers pour contribuer à un monde meilleur », ont résumé Sofia Merlo et Vincent Lecomte, co-directeurs généraux de BNP Paribas Wealth Management lors d’une conférence de presse.Première banque privée de la zone euro et numéro 8 à l’échelle mondiale, BNP Paribas Wealth Management est un acteur financier engagé de longue date dans les domaines de l’ISR et de la philanthropie. « Nos encours ISR ont été multipliés par 10 en l’espace de 6 ans pour atteindre aujourd’hui 12 milliards d’euros », a ainsi souligné Sofia Merlo, à la tête d’une banque qui affiche actuellement un encours total de 364 milliards d’euros. Par ailleurs, « le groupe BNP Paribas a été l’une des premières banques à investir dans la philanthropie en développant toute une gamme de services dans ce domaine », a rappelé Vincent Lecomte.Cette inclinaison pour l’ISR dans un sens qui reste tout de même très large, vise également à accompagner des clients de plus en plus sensibles à cette problématique. « Nos clients veulent de plus en plus avoir un impact positif dans leur investissement et leur activité, a noté Sofia Merlo. Ils sont 40% à nous le déclarer aujourd’hui, contre 10% seulement il y a 2 ans. En outre, 55% des entrepreneurs disent consacrer une partie de leur patrimoine pour atteindre des objectifs socialement responsables. »Au fil des années, BNP Paribas Wealth Management a développé des fonds et des solutions d’investissements dédiées, qu’il s’agisse de fonds thématiques à l’image du fonds Aqua ou de fonds multi-sectoriels. « Nos offres sont disponibles soit en gestion conseillée soit en gestion discrétionnaire ou gestion sous mandat », a précisé Eleonore Bedel, responsable de l’investissement responsable chez BNP Paribas Wealth Management. Elle a notamment donné l’exemple d’un fonds de fonds ISR lancé en Belgique en partenariat avec la Fondation du Roi Baudouin. Dans ce cadre, une partie des commissions de gestion du fonds est reversée à différents projets pilotés par la Fondation du Roi Baudouin. « Cette offre a été déclinée dans d’autres pays avec des fondations locales », a indiqué Eleonore Bedel.Afin d’aller plus loin dans son engagement ISR, BNP Paribas Wealth Management travaille actuellement, en collaboration avec 120 clients, au lancement de l’application « myImpact ». Cet outil vise à accompagner les clients de la banque privée dans leur volonté d’avoir un impact positif et à aligner leur patrimoine avec des objectifs ISR et les enjeux du développement durable. Cette application comprend à ce stade deux fonctionnalités : la définition du profil « d’impact » du client d’une part et, de l’autre, des contenus d’information dédiés et multi-sources. Une troisième fonctionnalité, à vocation communautaire, devrait prochainement enrichir cette application.
La société de gestion indépendante 123 Investment Managers (123 IM) prépare le lancement du fonds LinkSport Capital, un nouveau véhicule de capital-développement spécialisé sur les secteurs du sport, de la santé et du bien-être, a appris NewsManagers. L’information, dévoilée par le club de rugby Stade Français Paris, dont 123 IM est devenu le nouveau partenaire, a été confirmée par la société de gestion. « Le lancement du fonds est prévu dans les prochains mois, avec une taille cible de 30 millions d’euros », a précisé à NewsManagers un porte-parole de 123 IM.Selon un dossier de presse du Stade Français Paris, le fonds LinkSport Capital a vocation à accompagner les entreprises dans leurs projets de développement et à mettre en relation les entrepreneurs, les sportifs de haut niveau et les clubs professionnels. Ce véhicule adresse tout les segments de marché, de l’équipement aux infrastructures en passant par la distribution et le marketing. Toujours selon le dossier de presse du Stade Français Paris, ce fonds a également vocation à accompagner les sportifs de haut niveau via : un placement financier performant et rentable afin de préparer leur après-carrière ; des formations financières et juridiques pour contribuer à leur reconversion ; et, enfin, la mise en relation des sportifs avec les entreprises LinkSport mais aussi du portefeuille d’investissement 123 IM.
Primonial REIM accélère son développement dans le secteur de l’immobilier résidentiel en Europe avec le lancement de sa SCPI dédiée : Primofamily. «Ce lancement s’inscrit en cohérence avec le plan stratégique de Primonial REIM qui vise à élargir son univers d’investissement à la zone Euro, tout en consolidant ses positions en France», souligne un communiqué. Grâce à des investissements ciblés, Primonial REIM souhaite porter la part d’allocation d’actifs résidentiel dans son portefeuille immobilier de 6% à 20%, tout en maintenant son objectif global de 20 milliards d’euros d’encours sous gestion pour l’ensemble des classes d’actifs dans les trois ans à venir contre 14 milliards d’euros à fin 2017.Ainsi, après être devenu en l’espace de deux ans, l’un des principaux gérants européens dans l’immobilier de la santé, Primonial REIM, convaincu des opportunités du marché résidentiel en zone Euro, a désormais pour ambition de devenir «un acteur incontournable de l’immobilier résidentiel en France et en Europe». Selon Primonial REIM, e marché résidentiel bénéficie en effet de facteurs conjoncturels et structurels favorables. Le phénomène de métropolisation croissante et les migrations en cours créent une forte demande locative dans les villes européennes les plus attractives. Ces territoires, en tension foncière, connaissent une pénurie de logements qui favorise une progression des loyers et des prix de l’immobilier. A travers sa nouvelle SCPI, Primonial REIM souhaite proposer à ses clients une solution d’épargne orientée sur l’immobilier du quotidien (logements et commerces de proximité) en France et en zone euro. L’objectif de Primofamily est de restituer aux investisseurs les performances immobilières potentielles des biens situés sur des territoires urbains, pour lesquels les évolutions démographiques et économiques offrent un potentiel de valorisation sur l’horizon de placement recommandé (10 ans).
Le cabinet de gestion privée Althos Patrimoine étoffe sa gamme de solutions d’investissement socialement responsable (ISR) avec le lancement d’une nouvelle option « impact investing » complémentaire de l’option « ESG » lancée en décembre 2017, a-t-il annoncé ce 5 juin. Au sein de son offre « impact investing », le cabinet sélectionne des fonds de gestion active et passive dont le but commun est de financer le développement durable en tenant compte de critères principalement environnementaux et sociaux. « En choisissant l’option ‘impact investing’, les clients d’Althos Patrimoine voient leur patrimoine être investi sur des fonds thématiques de qualité comme Sycomore Happy @ Work, dont le but est d’investir dans des entreprises caractérisées par un haut niveau de bien-être des salariés, ou encore Lyxor Green Bonds, un ETF axé sur les obligations vertes, explique le cabinet. Les clients font ainsi le choix de privilégier les critères extra-financiers et acceptent d’obtenir des performances potentiellement inférieures à celles des allocations classiques et ESG offertes par Althos Patrimoine. » Cette option « impact investing » s’adresse à des investisseurs à la recherche de solutions de placement les plus éthiques possibles.
Wall Street a jusqu’ici été relativement épargnée par le mouvement #MeToo. Mais cela pourrait bientôt changer vu que plusieurs grands investisseurs ont adopté une attitude stricte à l’égard des inconduites sexuelles et scrutent à la loupe les sociétés de gestion, rapporte le Financial Times fund management. Au lieu d’attendre que des affaires de harcèlement surgissent, deux fonds de pension publics de Californie ont pris le sujet à bras le corps et demandent aux sociétés de gestion de dévoiler leur passé en matière d’affaires de harcèlement. Calpers, le plus gros fonds de pension public aux Etats-Unis avec 355 milliards de dollars d’actifs, a déclaré en mai qu’il demanderait aux sociétés de gestion (celles à qui il délègue de l’argent et celles dans lesquelles il détient une participation) de faire état de ces cas au conseil d’administration. Le fonds a aussi mis à jour sa politique d’investissement pour y inclure le harcèlement sexuel comme forme de mauvaise conduite. Le Los Angeles County Employees Retirement Association (Lacera) qui gère 56 milliards de dollars va aussi demander aux sociétés de gestion de l’informer de leurs affaires de harcèlement et pourrait ajouter les risques d’inconduite sexuelles dans ses contrats de gestion.
Robeco étoffe sa gamme de solutions multi factorielles. Le gestionnaire d’actifs néerlandais a en effet annoncé, ce 5 juin, le lancement du fonds Robeco QI Global Multi-Factor High Yield. Cette nouvelle stratégie d’investissement factorielle offre une exposition diversifiée et équilibrée aux facteurs de faible risque (« low-risk »), de qualité, de valeur (« value »), de « momentum » et de taille sur le marché du crédit à haut rendement (« high yield »). « La liquidité de chaque obligation high yield est mesurée en temps réel afin d’identifier efficacement les opportunités de négociation sur les obligations de premier rang et, ainsi, réduire les coûts de transaction », indique Robeco dans un communiqué.Cette nouvelle stratégie repose sur un modèle quantitatif multi factoriel qui détermine quelles obligations et quelles entreprises sont sélectionnées pour la construction du portefeuille. La supervision humaine est également embarquée dans le processus d’investissement et elle est exécutée par les analystes fondamentaux de Robeco qui vérifient les risques au-delà du modèle. Une analyse ESG est également systématiquement intégrée dans l’approche d’investissement, ajoute Robeco.L’objectif de ce fonds est de surperformer l’indice Bloomberg Barclays Global High Yield Corporates ex. Financials. Sa gestion est assurée par Patrick Houweling et Mark Whirdy, actuellement en charge de la stratégie Multi Factor Credit de Robeco, qui fêtera ses trois ans de « track record » le mois prochain.
Le gestionnaire d’actifs espagnol Bestinver, filiale du groupe Acciona, vient d’ouvrir une nouvelle succursale en Galice, plus précisément à La Corogne, dans le but de fournir ses services à ses 2.000 investisseurs installés dans la région, rapporte le site spécialisé Funds People. Cette nouvelle structure porte désormais à 7 le nombre de bureaux de Bestinver en Espagne. La société de gestion est déjà présente à Madrid, Barcelone, Valence, Bilbao, Léon et Pampelune. Bestinver compte près de 5.000 investisseurs et plus de 6 milliards d’euros d’actifs sous gestion répartis dans des fonds espagnols et luxembourgeois ainsi que dans des fonds de pension.
«Senior business development manager» chez Achmea Investment Management après avoir travaillé chez Syntrus Achmea et PGGM Investment, Gül Poslu vient de rejoindre NN investment Partners comme directrice au sein de l'équipe chargée des solutions sur mesure pour les investisseurs institutionnels, rapporte le site spécialisé Fondsnieuws. L’intéressée sera subordonnée à Maureen Schleejen, directrice de la clientèle institutionnelle aux Pays-Bas.
Timone Fiduciaria, qui réunit les membres du pacte d’actionnaires d’Azimut Holding, renforce sa participation dans le groupe italien en montant à 24,2 % du capital, rapporte Bluerating. Plus de 75 millions d’euros ont été levés auprès de la direction, des conseillers financiers, des gérants et des salariés du groupe dans 14 pays du monde. Le fonds de private equity Peninsula Investments II SCA participera à l’opération comme investisseur financier et entrera dans le pacte d’actionnaires avec une participation dans Azimut Holding de 2,8 %. Il devient ainsi premier investisseur institutionnel du pacte avec plus de 10 %.
Milano Investment Partners, société de gestion fondée par l’entrepreneur italien Angelo Moratti, annonce le premier closing du fonds MIP I, qui aura comme cible des sociétés actives dans le « lifestyle » italien qui ont dépassé la phase de lancement et visent un développement plus construit avec une vision stratégique d’évolution à l’international, rapporte Il Sole 24 Ore. « Le fonds se focalise sur des entreprises du secteur lifestyle italien avec des opérations d’expansion », explique Angelo Moratti. Les associés du fonds sont Stefano Guidotti, administrateur délégué de la société de gestion, ex-CEO de U-Start, Paolo Gualdani, administrateur de la société de gestion, managing directeor d’ACM depuis 2008, et enfin, Igor Pezzilli, administrateur de la société et co-fondateur de Lazada. Le fonds a un objectif de collecte de 100 millions d’euros.
Banca Euromobiliare, la société du groupe italien Credem spécialisée dans la gestion des investissements et le conseil aux clients fortunés, a nommé Paolo Zulian nouveau responsable de la banque privée, rapporte Funds People Italia. Entre 2016 et 2017, l’intéressé était responsable de la banque privée de Credem. Il a occupé plusieurs autres fonctions au sein du groupe.Banca Euromobiliare gère 11 milliards d’euros.
Azimut Global Advisory, le département du groupe Azimut dédié au conseil aux particuliers fortunés, vient de débaucher 11 conseillers financiers de l’activité banque privée de FinecoBank. Ce groupe travaillera principalement à Turin et à Gênes. Parmi ces nouveaux banquiers privés figurent notamment Enzo Sericano, Maria Rosa Censoplano, Marco Canale, Luca Covi et Maura Oi.
Le hedge fund britannique Caius Capital juge qu’il serait «intenable» pour UniCredit d’entreprendre une opération majeure tant que la banque italienne n’a pas répondu aux interrogations soulevées par Caius sur le traitement de ses fonds propres au regard de la réglementation européenne. Le Financial Times a rapporté dimanche dernier qu’UniCredit - première banque italienne par le montant des actifs, poussait à une fusion avec Société générale. Une information démentie du côté de la banque française.Caius a par ailleurs demandé à l’Autorité bancaire européenne (ABE), dans une lettre datée du 3 mai à laquelle Reuters à eu accès, d’enquêter sur le traitement d’une émission de 2,98 milliards d’euros d’obligations convertibles lancée par UniCredit en 2008. Selon le fonds, l’obligation convertible a été classée à tort parmi les fonds propres «CET1» (Core Equity Tier 1), c’est-à -dire la meilleure qualité de fonds propres détenus par une banque, qui constitue une mesure clé de sa solidité financière. Dans un communiqué, Caius déclare qu’il serait «intenable pour UniCredit d’entreprendre une opération majeure, quelle qu’elle soit, avant que les problèmes que nous avons soulevés concernant l'éligibilité de ses actions ordinaires au titre des fonds propres réglementaires (...) aient été réglés.""Si UniCredit devait fusionner avec une autre banque, nous pensons que les problèmes que nous avons soulevés s’appliqueraient également aux actions ordinaires du groupe issu de la fusion, les rendant inéligibles au statut de fonds propres CET1.» «Nous doutons qu’un gouvernement ou des régulateurs compétents tolèreraient la contamination des fonds propres réglementaires d’un établissement systémique de cette façon. Mais nous sommes convaincus que les autorités de régulation traiteront ces problèmes dans un avenir proche et en tout cas avant qu’une telle opération devienne réalité», ajoute le fonds. UniCredit s’est refusé à tout commentaire sur le communiqué de Caius. UniCredit avait auparavant déclaré que le traitement réglementaire des obligations convertibles avait été entièrement présenté au marché puis confirmé et examiné par les régulateurs.L’ABE a confirmé en mai avoir reçu une lettre de Caius et indiqué qu’elle y répondrait en temps voulu.
La Banque centrale indienne (RBI) a relevé mercredi son principal taux directeur pour la première fois en plus de quatre ans, en raison d’inquiétudes sur l’inflation, mais a surpris certains analystes en gardant son «biais neutre» en matière de politique monétaire. La RBI a décidé de relever son taux de prise en pension («repo») de 25 points de base à 6,25%, le premier changement depuis une baisse de 25 pb en août 2017. Cette première hausse de taux depuis janvier 2014 était attendue par 46% des économistes interrogées par Reuters.
L’ancien directeur général de Morningstar en France rejoindra le 1er juillet le spécialiste de la sélection de fonds Quantalys, pour en devenir directeur général en charge de l’international. «Quantalys a décidé, parallèlement à son développement en France, d’exporter son savoir-faire. Après avoir ouvert une première filiale en Italie en 2016 avec succès, elle veut aujourd’hui s’affirmer comme un acteur global au niveau européen à cinq ans», précise un communiqué de la société.
Le fonds d’incubation et d’accélération de sociétés de gestion entrepreneuriales de la place de Paris, Emergence, a annoncé mercredi la nomination de Bertrand du Guerny au poste de directeur général. Le dirigeant aura la charge du développement et du renforcement de la notoriété, en France et à l’international, d’Emergence, dont l’objet est de lever des capitaux auprès d’institutionnels et de les allouer en gestion à une sélection de sociétés de gestion innovantes.
Credit Suisse Group a annoncé mercredi que sa filiale hong-kongaise avait conclu un accord de non poursuite avec le ministère américain de la Justice concernant ses pratiques d’embauche dans la région Asie-Pacifique entre 2007 et 2013.
Gilles Garnier, directeur des investissements du groupe Pro BTP, nous présente ses investissements dans l’impact investing ces dernières années dont la création du fonds Construction Energie Plus entièrement dédié au financement de projets de constructions ou de rénovations lourdes à hautes performances énergétiques en France. Pro BTP est candidat au Prix des Couronnes dans la catégorie de la meilleure initiative en matière d’impact investing
Le fonds d'incubation Émergence, spécialisé dans l'investissement dans les sociétés de gestion entrepreneuriales de la Place de Paris, a annoncé ce mercredi 06 juin la nomination de Bertrand du Guerny (photo), ex-banque Hottinguer, au poste de directeur général.
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; } Antonio Celeste, who joined Roche-Brune AM early in 2018 as deputy director in charge of innovation and distribution, has left the asset management firm to join Ossiam. According to his LinkedIn profile, Celeste has been serving since May at Ossiam as sales director and head of ESG business development. Celeste, who has a degree from Turin Polytechnic university, and an MBA from HEC Paris, served for seven years as director of institutional relations at Sustainalytics. Before that, he was head of sales for Vigeo at Paris, and for BearingPoint in London. Celeste began his career as an R&D engineer at FCA Fiat Chrysler, and then as a senior consultant at Altran.
Indosuez Wealth Management has appointed Jacques Prost as CEO of the Indosuez Wealth Management group from 18 June 2018. Prost, who is a member of the board of directors at Crédit Agricole S.A., had previously overseen the markets and financing activities at Crédit Agricole CIB as deputy CEO, since 2013.Prost began his career in 1986 in the corporate department at Crédit Lyonnais in London. In 1988, he joined Paribas bank, where he served in a variety of roles directing European real estate financing and project financing, and was appointed as head of project financing at Paribas in Milan in 1996.Prost joined the Crédit Agricole group in 2000 as head of structured finance for the finance and investment bank in Italy. In 2008, he became global head and of real estate and hotels in Paris. He became global head of structured finance in 2011.
Following questions from the Financial Times on Sunday 3 June in the context of the publication of an article concerning the possibility of discussions within the Board of Directors regarding a potential merger between Societe Generale and Unicredit, the Bank’s position is as follows:“Société Générale denies any board discussion regarding a potential merger with Unicredit “
32 millions d’euros. C’est la somme apportée à Lendix par Idinvest Partners, Allianz France et CIR SpA (holding coté de la famille De Benedetti) au côté des actionnaires historiques que sont notamment CNP Assurances, Matmut, Partech et Decaux Frères Investissements. Les trois nouveaux investisseurs se verront également attribuer une place au conseil de surveillance de Lendix.Via «un partenariat stratégique fort» noué avec Lendix, il s’agira donc pour Allianz de donner accès aux entreprises couvertes au service de financement de Lendix. En retour, la plateforme pourra donner accès aux entreprises financées à certains produits de l’assureur, notamment sur les marchés allemands et néerlandais sur lesquels elle souhaite se développer prochainement.Pour rappel, il s’agit du troisième tour de table pour Lendix. Contrairement aux deux premiers tours de table, les investisseurs de celui-ci ne s’engagent pas à être prêteurs pour les entreprises de la plateforme. “Cela n’est plus utile aujourd’hui. Nous sommes dans une logique d’emprunteurs business et capitalistique”, justifie le fondateur de Lendix. La fintech a prêté un total de 190 millions d’euros à environ 400 projets depuis sa création en 2014.
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; } Tikehau Capital on 4 June announced the recruitment of Christian Rouquerol as director of sales for the Iberian peninsula. Rouquerol will be based in Madrid, and will be responsible for sales and distribution of funds in Spain and Portugal for alternative and liquid strategies from the asset management firm. He will also handle relationships with institutional investors, mainly insurance companies, pension funds, asset managers, and private banks. He reports directly to Carmen Alonso, head for Spain and Portugal at Tikehau Capital. The asset management firm opened its first office in Madrid in September 2017. Rouquerol, who has over 20 years of experience in the asset management sector, joins from Natixis Investment Mnaagers, where he had been director of sales for the Iberian peninsula since 2011, Before that, he helped to launch Amundi Iberia in Spain in 2000, and served as director of sales for retail distribution in Spain and Portugal. Over his career, he has also worked at Crédit Agricole Indosuez and Bankia.
Invesco has hired two senior sales managers in the Nordics to boost its expanding institutional and retail investment business in the region. Stefan Behring (44) has been named head of Nordics institutional sales as of June 1st and Matthias Hagen will join as head of retail sales, with effect from June 18th. Both will be based in Invesco’s Stockholm office.Stefan Behring joins from JP Morgan, where he was client advisor, executive director since 2007. Prior to his position at JP Morgan, he was a sales manager in the Nordics for Invesco. Mattias Hagen brings over 20 years’ experience in the sector and joins from Goldman Sachs where he was executive director, third party distribution for the Nordic markets for almost three years, after being head of manager research at SEB Wealth Management between 2005 and 2015.
Many actively-managed UCITS funds still do not respect information transparency rules respecting benchmark indices, which must be included in the key investor information document (KIID). According to research by the Better Finance association, the European federation of users of financial services, nearly 30% of UCITS format actively-managed funds (a total of over 2,000) do not meet the information requirements concerning indices.A large part of the recalcitrant funds are domiciled in Luxembourg, with 43% of 272 equity funds. In total, Better Finance reports, 82% of all funds with faults are based in Luxembourg, the United Kingdom or Ireland. Only 1% of faulty UCITS funds are domiciled in France. Better Finance also reports that 145 funds explicitly indicate in their KIID documents that the fund is not managed with reference to a benchmark index, which, at the least, is not in keeping with the establishment of a public database which lists a reference index for all of these funds.“These persistent and very frequent violations of the rules of the European Union concerning investor protection, require a fresh appeal to the European public authorities to stop these damaging practices to European savers and investors as soon as possible, particularly in light of the current debate over the need for reform of the European financial supervision system,” says Guillaume Prache, CEO of Better Finance.The European Federation also says that it is surprised at the inaction of Brussels, as it already alerted European regulators to shortfalls in regulations, slightly over one year ago, at the time of its study of funds which claimed to be actively-managed. Since that date, only the British regulator (FCA) has forced 64 falsely active funds domiciled in the United Kingdom to bring their practices into line with regulations.
The criminal trial of the Swiss bank UBS for aggravated money laundering has been set by the Paris court on October 8 and should last until November 15, reports L’Agefi. UBS is suspected of having put in place a money laundering system allowing French residents to hide their holdings to the tax department. This practice lasted from 2004 to 2012. The alleged damage to the French State would be evaluated in billions of euros. The French subsidiary of the Swiss bank will be judged for complicity. Half a dozen former executives from both entities will also be tried at the same trial.
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; } Pictet Asset Management (Pictet AM) on 4 June announced that it has obtained the SRI label for five of its funds. These are the Global Environmental Opportunities, Timber, Clean Energy, Emerging Markets Sustainable Equities, and lastly the European Sustainable Equities funds. These funds from Pictet AM have been audited by certification teams at Ernst & Young (EY). Analysis concentrated on six areas: general objectives of funds; method for ratings and analysis of ESG criteria at Pictet AM; integration of ESG criteria into the construction of portfolios; policy to promote ESG criteria; transparency in management of funds; and lastly, evaluation of the impact of the fund on the development of a sustainable economy. “The certification of our funds is part of a global move to integrate ESG criteria into all of our investment strategies,” explains Hervé Thiard, CEO of Pictet AM in Paris, in a statement. The SRI label, created and supported by the French finance minister, aims to give better visibility to SRI products for savings investors.